J'aime beaucoup votre travail, mais pour une fois je ne suis pas totalement d'accord avec vous, mais cela ne veux pas dire que vous avez tort 😊. Juste que après avoir écouté l'enfant il faut bien l'emmener à trouver une solution à son problème. Parce que je pense que, chaque problème à une solution. Encore merci pour vos multiples conseils ça m'aide beaucoup.
Merci tellement important. Je le sais ça, mais je me fais encore avoir. Merci de remettre une petite couche pour que cette écoute bienveillante s'intègre. Et puis, Courage pour la reprise. On a tellement besoin de vous!
Bonjour. Encore une fois vos vidéos me permettent de réfléchir à nos mécanismes de psychologie d'humain en général, bien au delà que seuls ceux des enfants en particulier. 👍😊. Bien à vous 😘
exactement, les adultes fonctionnent de la même manière, au fond. Il y a une citation que j'aime beaucoup : "les adultes sont des enfants qui ont grandi".
@@toucantoucan c'est joli cette citation. De qui est -ce ? On pourrait rajouter à "les adultes sont des enfants qui ont grandi" : "mais certains ont oublié leur "mini -soi" 😅". Sur ce bonne fin de journée à tous
Ce qu'on peut faire aussi c'est parler de sa propre expérience d'enfant, de raconter des anecdotes de ce qui nous est arrivé à nous aussi, de nos peurs ou complexes. Ça dédramatise.
Totalement d'accord ! Autre chose : concernant votre alerte ... sachez que votre cas n'est pas unique. J'habite à Dourgne, l'institutrice de mon fils a une classe de trois niveaux (cp, ce1 et 2) trois élèves avec ce type de problèmes dont un enfant qui a enfoncé un stylo dans la main d'une maitresse : bagarres dans la cour, mon fils de 6 ans ne va olus à l'école le jeudi pour pouvoir "respirer" des coups et des humiliations qu'il reçoit. Les Profs qui viennent remplacer ne viennent qu'une fois et ne renouvellent pas, donc les enfants prennent du retard. La nouvelle solution : faire sortir dans la cour les enfants qui devraient être encadrés et écoutés et les laisser faire ce qu'ils veulent donc ils n'ont pas l'accès au savoir comme les autres. Nous avons tenté d'alerter l'inspection académique mais nous nous sommes heurté à des jugements du type : vous voulez les exclure, vous êtes des individus étroits d'esprit et j'en passe. Je n'ai plus confiance en l'éducation nationale (pas dans les profs, dans la gérance au niveau de l'État) je n'ai qu'une seule solution : faire la queue dans le privé comme 10 des familles de mon petit village qui préfèrent se priver, pour certains des repas de la journée pour inscrire leurs enfants à l'école. Voilà vous savez tout. Merci pour votre vidéo. J'espère qu'elle portera ses fruits
Idem, autant habituellement je trouve votre contenu pertinent autant là un grand et immense NON. Heureusement que mes parents m'ont convaincue de l'inverse quand je me dévalorisais enfant, j'ai des souvenirs précis de repartir avec plein d'énergie et de confiance après avoir été reboostée par des paroles positives. Ce n'est pas contredire un enfant que de dire " moi je le trouve magnifique ce dessin", c'est lui montrer que ses proches peuvent avoir un avis bien différent du sien !En sport, idem ! Combien de fois, la tête basse auprès du coach, on dit "je joue mal ajdh" et après un petit speech positif, bam ! On repart plein de gniak et de confiance retrouvée ! Non là, vraiment, je ne vous suis pas.....
hm en fait je pense que quand on veut contredire tout de suite, on peut donner involontairement l'impression qu'on ne l'a pas écouté ou que l'enfant "dit n'importe quoi" alors la souffrance est réelle. On peut ainsi risquer de donner l'impression à l'enfant que "nous n'avons rien compris à leur douleur". C'est le fait de nier qui pose un problème, car l'enfant a l'impression qu'on nie son ressenti. Le besoin de contredire et de positiver est naturel, mais pour certains enfants, c'est d'abord le besoin de se sentir écouté.e et compris.e, qu'on lui dise "oui je comprends que tu souffres, et je suis avec toi". C'est d'abord cela qui va se manifester. Par contre, ça n'empêche pas du tout de rassurer par la suite et / ou de proposer une solution ou une manière de rassurer/relativiser/dépasser la dévalorisation. Chaque enfant est différent et si certains enfants peuvent être remotivés par des paroles positives, d'autres ont d'abord besoin de compréhension / de "légitimisation", avant de nuancer leur ressenti. Une des pistes que je trouve intéressantes et qui a été dite plus haut, est de parler de son expérience. "Tu sais, moi aussi j'ai vécu ceci, et puis au fil du temps, j'ai....." Ca permet de nuancer sans directement contredire. Une autre technique qu'on m'avait dit était de reprendre les mots de l'enfant, de réutiliser ses paroles pour lui faire comprendre qu'on a compris ce qu'il/elle traversait. "Je comprends quand tu dis que....."
J'aime beaucoup votre travail, mais pour une fois je ne suis pas totalement d'accord avec vous, mais cela ne veux pas dire que vous avez tort 😊. Juste que après avoir écouté l'enfant il faut bien l'emmener à trouver une solution à son problème. Parce que je pense que, chaque problème à une solution. Encore merci pour vos multiples conseils ça m'aide beaucoup.
Merci tellement important. Je le sais ça, mais je me fais encore avoir. Merci de remettre une petite couche pour que cette écoute bienveillante s'intègre.
Et puis, Courage pour la reprise. On a tellement besoin de vous!
Merci ! J'aime ce que vous faites et ce que vous dégagez ! ❤
Merci pour ce conseil !
Continuez comme ça !
Merci bcp pour t'es conseil et t'es solution ❤
Bonjour.
Encore une fois vos vidéos me permettent de réfléchir à nos mécanismes de psychologie d'humain en général, bien au delà que seuls ceux des enfants en particulier. 👍😊.
Bien à vous 😘
exactement, les adultes fonctionnent de la même manière, au fond. Il y a une citation que j'aime beaucoup : "les adultes sont des enfants qui ont grandi".
@@toucantoucan c'est joli cette citation. De qui est -ce ?
On pourrait rajouter à "les adultes sont des enfants qui ont grandi" : "mais certains ont oublié leur "mini -soi" 😅".
Sur ce bonne fin de journée à tous
Vous êtes Géniale. J'adore !!. Si vous avez des enfants ils ont beaucoup de chance de vous avoir ❤
Toujours généreuse de votre savoir. Merci. XOX
Ce qu'on peut faire aussi c'est parler de sa propre expérience d'enfant, de raconter des anecdotes de ce qui nous est arrivé à nous aussi, de nos peurs ou complexes. Ça dédramatise.
❤ Merci
Totalement d'accord ! Autre chose : concernant votre alerte ... sachez que votre cas n'est pas unique. J'habite à Dourgne, l'institutrice de mon fils a une classe de trois niveaux (cp, ce1 et 2) trois élèves avec ce type de problèmes dont un enfant qui a enfoncé un stylo dans la main d'une maitresse : bagarres dans la cour, mon fils de 6 ans ne va olus à l'école le jeudi pour pouvoir "respirer" des coups et des humiliations qu'il reçoit. Les Profs qui viennent remplacer ne viennent qu'une fois et ne renouvellent pas, donc les enfants prennent du retard. La nouvelle solution : faire sortir dans la cour les enfants qui devraient être encadrés et écoutés et les laisser faire ce qu'ils veulent donc ils n'ont pas l'accès au savoir comme les autres. Nous avons tenté d'alerter l'inspection académique mais nous nous sommes heurté à des jugements du type : vous voulez les exclure, vous êtes des individus étroits d'esprit et j'en passe. Je n'ai plus confiance en l'éducation nationale (pas dans les profs, dans la gérance au niveau de l'État) je n'ai qu'une seule solution : faire la queue dans le privé comme 10 des familles de mon petit village qui préfèrent se priver, pour certains des repas de la journée pour inscrire leurs enfants à l'école. Voilà vous savez tout. Merci pour votre vidéo. J'espère qu'elle portera ses fruits
😢😢😢
Bonjour
Que répondre à un enfant qui ne veut jamais aller à l’école😫😫😫
Idem, autant habituellement je trouve votre contenu pertinent autant là un grand et immense NON. Heureusement que mes parents m'ont convaincue de l'inverse quand je me dévalorisais enfant, j'ai des souvenirs précis de repartir avec plein d'énergie et de confiance après avoir été reboostée par des paroles positives. Ce n'est pas contredire un enfant que de dire " moi je le trouve magnifique ce dessin", c'est lui montrer que ses proches peuvent avoir un avis bien différent du sien !En sport, idem ! Combien de fois, la tête basse auprès du coach, on dit "je joue mal ajdh" et après un petit speech positif, bam ! On repart plein de gniak et de confiance retrouvée ! Non là, vraiment, je ne vous suis pas.....
hm en fait je pense que quand on veut contredire tout de suite, on peut donner involontairement l'impression qu'on ne l'a pas écouté ou que l'enfant "dit n'importe quoi" alors la souffrance est réelle. On peut ainsi risquer de donner l'impression à l'enfant que "nous n'avons rien compris à leur douleur".
C'est le fait de nier qui pose un problème, car l'enfant a l'impression qu'on nie son ressenti.
Le besoin de contredire et de positiver est naturel, mais pour certains enfants, c'est d'abord le besoin de se sentir écouté.e et compris.e, qu'on lui dise "oui je comprends que tu souffres, et je suis avec toi". C'est d'abord cela qui va se manifester. Par contre, ça n'empêche pas du tout de rassurer par la suite et / ou de proposer une solution ou une manière de rassurer/relativiser/dépasser la dévalorisation.
Chaque enfant est différent et si certains enfants peuvent être remotivés par des paroles positives, d'autres ont d'abord besoin de compréhension / de "légitimisation", avant de nuancer leur ressenti.
Une des pistes que je trouve intéressantes et qui a été dite plus haut, est de parler de son expérience. "Tu sais, moi aussi j'ai vécu ceci, et puis au fil du temps, j'ai....." Ca permet de nuancer sans directement contredire.
Une autre technique qu'on m'avait dit était de reprendre les mots de l'enfant, de réutiliser ses paroles pour lui faire comprendre qu'on a compris ce qu'il/elle traversait. "Je comprends quand tu dis que....."
Votre validisme me révolte.