C'est l'excuse qui fait qu'on ne se lance pas. Je suis dans la même situation. Rien n'empêche de réduire le temps de travail pour bosser les projets perso à côté, c'est ce que je compte faire dans les prochains mois quitte à mettre ma vie perso en parenthèses.
@jeromediaz5333 Personnellement, j'avais remarqué il y a une dizaine d'années que je passais en moyenne 1h30 par jour à lire des comparo de frameworks. C'est quand je me suis décidé à remplacer ce temps perdu par le fait de monter effectivement en compétence sur un des frameworks que j'ai pu me libérer ce laps de temps qui me manquait. Après, il faut bien gardé à l'esprit que Pieter Levels était un poil marginal. Il a choisi une route en dehors du métro - boulot - dodo. C'est pas possible pour tout le monde. En tous cas, il ne faut pas se ruiner la santé à aller jusqu'au burn-out quand on sent que le corps ou l'esprit commencent à lâcher. Il y a des symptômes clairs : angoisse ou colère, insomnies, pensées négatives etc. On n'est pas des machines à produire ;)
Et levels s’est lancé direct en entreprenariat chef, si t’as pas encore d’enfants et tout tu peux tjrs réduire tes dépenses et go chômage un an quand tu auras bien avancé sur ton shmilblik
Il me semble qu’avant son challenge un mois une entreprise ou une semaine une entreprise jsplus bah il était dans un incubateur en tant que dev et il s’est rendu compte assez vite du bourbier dans lequel la plupart des boîtes se mettaient
Pour éviter la procrastination, c'est une bonne démarche; et c'est efficace pour des petits projets. Pour des projets de taille importante, il faut quand même un plan général, un découpage des fonctionnalités, un diagramme d'interactions, etc. Au moins d'être un génie et d'avoir tout en tête du premier coup!
Merci pour cette vidéo, toujours au top. Apprendre de nouvelles technos nécessite du temps c est la chose la plus rare à trouver , cette approche de commencer ensuite se poser la question de techno c est efficace.
Merci :) Ca évite la procrastination active à passer plus de temps à chercher la stack "idéale" au lieu de créer quelque chose avec ce qu'on connaît déjà.
@@codeconcept Oui oUi et oui surtout surtout avec le Frontend j'ai appris le Javascript pour que au final on me demande d apprendre un Framework (mais lequel) je me suis dit React (car il y a Reactnative pour le mobile ) mais est ce le bon choix je ne sais pas ?
C'est toujours bien de développer seul qu'en équipe; j'aime sa façon de développer (Commencer tout de suite) car c'est ma façon de faire aussi. Merci pour la vidéo
@siamform3126 Merci :) Développer seul est une sacrée liberté. La seule chose qui bat ça, c'est de développeur avec un graphiste. J'ai été sur une mission où j'étais le seul dev, avec une graphiste, un data analyste et un marketeux. Tout allait vite mais sans précipitation ni stress inutile. Des réunions très brèves le reste par email. Mais bon, dès qu'une boite grandit, la bureaucratie s'invite ...
C'est vraiment inspirant ! Après si il fait un produit par mois, cela ne lui coûte pas trop chère en hébergement ? Je pense que la partie la plus complexe pour un développeur, c'est d'aller vendre son produit. Il faut sortir de sa zone de confort, et développer des compétences qu'on maîtrise peu : marketing, vente, publicité, gestion, ... Je pense que c'est pour cela qu'on a globalement tendance à ne pas finir nos projet, et à rester dans la technique.
Il héberge tous ses sites sur un seul shared VPS Linode. Il a commencé petit et l'a upgradé au fil du temps, aujourd'hui ça lui coûte 320$ par mois pour un CA au dessus du million.
@TheRemiRODRIGUES Il faut clairement être homme orchestre. Faire le dev, le graphisme, le déploiement, le marketing, la maintenance. Pour les développeurs qui n'aiment pas sortir du code, la solution est de s'associer avec un profile marketing / vente. Mais il faut avoir confiance :D
@@Tragon76 Linode est un excellent hébergeur. J'ai vraiment été impressionné par la rapidité et le niveau de détail dans les réponses du support. C'est devenu Akamai suite à un rachat. J'espère que la qualité du support est restée la même. Après, il doit payer pas mal aussi en abonnements à des outils d'IA sur certains projets.
C’est vrai mais il faut être commercial pour vendre son produit le côté commercial on n’y échappe pas. Je ne suis pas pour délégue à autrui qui peut mieux que moi vendre ce que je fais. Il faut juste dépasser sa crainte de l’échec ou de faire des erreurs. Je suis sûre que la plupart dont je fais partie n’ose pas se l’avouer mais le vrai frein c’est ça. Mais comme on dit si bien qui ne tente rien n’a rien.
Effectivement, le passage à la vente est souvent un frein aux projets. Pourtant il faut vendre pour que le projet devienne concret, car c'est là qu'il se confronte à des vrais cas d'utilisations. C'est donc là où on est confronté à la maintenance de notre projet, et donc à l'évaluation de nos choix d'architecture. Après pas besoin d'être un bon vendeur, il faut simplement osez aller voir des prospect et leur proposer notre solution. Après c'est plus facile à dire qu'à faire, mais un peu comme tout.
C'est toujours bon de développer ses propres outils, surtout si on en a une réelle utilité immédiate et qu'on peut éventuellement rapidement partager avec d'autres, et pourquoi pas les maintenir dans la durée si ça répond à un besoin précis. Ça permet de tester des nouvelles choses, ce qui peut toujours servir, car un développeur peut toujours s'améliorer, le refactoring de code étant en soi un sujet à part entière qui mérite qu'on s'y colle vraiment... Mais peu de dev le font réellement, pour ma part je sais que j'y consacre trop peu de temps, c'est un axe d'amélioration parmi d'autres. 😊
@applicationscommunicantes5235 Pour refactoriser sereinement, il faut avoir beaucoup de tests unitaires en place. Mais comme on développe trop souvent à l'arrache (avec la doc et les tests qui sont escamotés ... voire pire), c'est ce qui rend le refactoring si stressant. Sans compter les fichiers de plus de 1000 lignes de code, développés par plusieurs devs à la suite sur 10 ans 😄 Pour ce qui est de faire ses outils, c'est souvent le temps disponible qui joue le plus. C'est fréquemment le privilège des architectes, dans les boites où on leur laisse la liberté de créer des outils qui seront ensuite utilisés par plusieurs équipes. Si bien qu'on sait que le temps passé va largement être rattrapé à moyen terme.
@@codeconcept oui tout à fait, les fameux TU... C'est toujours ardu d'encourager les équipes à s'y mettre, et pourtant, quand c'est bien dosé en général ça paye. Faut une certaine seniorité pour faire bouger les choses, ça prend du temps, mais quand ça évolue ans le bon sens, là on est bien.
je suis en train de regarder le podcast par petit bout, mais je me pose une question et je voudrais la poser sur cette chaine par lequel j'ai découvert cette méthodologie. Depuis quelques semaines, et surtout depuis mon licenciement, j'essaie d'appliquer certains de ces principes et ça marche plutot bien pour ce focus sur du concret et s'y tenir sans digression. Mais je me demande, quand on développe seul, une appli par mois (c'est pas encore mon cas ^^), comment on la met en avant ? Comment arrive-t-on à ce qu'elle se fasse connaitre ? Met-il des moyens dans la comm ? Vend-il ses applications ?
@koralior Merci :) Oui, le dev reste passionnant, notamment quand on peut partir d'une idée et la réaliser entièrement. Trop souvent, le quotidien consiste à maintenir un code pas documenté, développé par plein de développeurs d'affilié, qui devaient souvent faire vite, avant d'avoir une bonne vision globale du projet parce qu'il fallait faire vite. Si bien qu'on devient le suivant qui va aggraver l'existant un peu plus :p Alors quand on peut de nouveau créer quelque chose, même si c'est bien plus modeste, ça redonne une dose de motivation.
Je le suis depuis quelques temps et oui très inspirant. On a un français aussi dans cette mode des micro saas à la chaine, c'est Marc Lou (Marc Louvion), il communique en anglais sur ces réseaux et vit à Bali mais il avait fait une interview avec un français il y a quelques semaines je crois.
@zarathoustraInParis Oui Marc Lou s'est clairement inspiré de lui. Mais bon, reprendre les bonnes idées, est aussi une bonne idée : Pieter Levels le revendique aussi :) L'un comme l'autre ont un côté marginal qui me plait bien. Ils se sentaient être de gros loosers car dans l'impasse en fait de vingtaine début de trentaine, et finalement, en allant au bout de leur logique, ils ont réussi à faire ce qu'ils voulaient.
Moi ça fait un an je proscrine en me convainquant que je ne sais rien pour me lancer. J’ai obtenu plusieurs certifications mais j’ai du mal à me lancer pour au moins faire ma page avec un portefolio et progresser mais je me dit que maintenant il y a trop de monde qui se forme dans la dev.
@sarahb2582 Il faut juste commencer une tâche et la réaliser. Le fait de s'y mettre et de faire marcher quelque chose est très important. Même si le résultat n'est pas parfait, il existe et on peut l'améliorer par la suite. Et plus tard, on peut même le refaire complètement parce qu'avec le recul, on a envie de refaire autrement. Mais entre-temps, même imparfait, la fonctionnalité développée a rendu service. Le piège, c'est de repousser au moment rêvé, idéal, où on ferait du premier coup quelque chose de parfait. A chaque nouvelle application, on apprend quelque chose de nouveau, on affine quelque chose qu'on savait faire etc. Hier, ce je suis tombé sur un compte rendu suite à la nouvelle version d'un projet open-source : il y a eu presque 3000 bugs corrigés. Ca prouve que même les développeurs très expérimentés font des erreurs.
Bonjour, je n’y connais rien en développement informatique mais je suis ce qu’il se passe dans le milieu de l’ia. En tant que spécialiste, pourriez-vous svp me confirmer ou non que les vrais profiteurs de ce boom actuel sont les développeurs avec une base solide en coding? J’ai l’impression que pour le moment, toutes les solutions IA qui sortent paraissent impressionnantes mais malheureusement pas suffisantes pour aider un non spécialiste à construire lui-même un outil IA personnalisé. J’ai l’impression que ceux qui vont le plus profiter dans les mois et années à venir sont tous les profils ingénieurs/PhD math/informatique.
@upinthesky63 Bonjour, je ne suis pas spécialiste non plus. Je lis et regarde ce que disent les pro du domaine et je joue avec les outils :) Pour le moment, c'est clair que les outils d'IA profitent davantage aux développeurs, car on comprend le code généré, on voit assez vite ce qui ne va pas (les réponses obsolètes ou fausses). Mais comme c'est le cas dans le domaine depuis des décennies, il a des gens en costume cravate qui n'attendent que la bonne occasion de sabrer les équipes de développeurs. Ils ont fait le coup avec le offshore, puis le nearshore pour finalement ré-embaucher localement afin de réparer les dégâts après que de nombreux projets étaient allés dans le mur. Mais ça va recommencer : des équipes vont de nouveau être sabrées, des projets vont aller dans le mur et on fera revenir des développeurs, partiellement en freelance pour ne pas refaire grossir la masse salariale. Ceux qui sont en meilleures position sont ceux qui ont choisi le domaine avant même que le grand public en ait entendu parlé. J'ai eu ceci dit des collègues, il y a une quinzaine d'années, qui avaient suivi une formation initiale dans le domaine et s'étaient retrouvés ... à faire de l'informatique de gestion parce qu'il fallait bien payer ses factures. Il n'y avait pas tant de postes que ça dans leur domaine. D'autres faisaient des interventions ponctuelles en freelance. C'était au moment où le big data commençait à bien monter. L'idéal , c'est d'être un doctorant ou un post-doc suivi par des chercheurs qui bossent dans des structures qui ont beaucoup de moyens. Ca veut dire souvent partir outre Atlantique où les conditions de travail / revenus / moyens techniques sont biens meilleures, là où la moitié du temps n'est pas consacrée à remplir de la paperasse dans l'espoir d'obtenir la moitié de qu'il faut pour faire tourner son labo à l'arrivée. En attendant, un non-développeur peut tirer profit de l'IA. Mais il faudra quand même, à un moment, s'initier au développement ou bien prendre un développeur pour aller plus loin.
En effet,, partir sur une techno sans projet, c'est de la perte de temps...Si tu veux aller vite par tout seul... Si tu veux aller loin assures toi que les autres suivent ;). J'aime bien l'idée de :" Mon produit est mon étude de marché!"
@cirtey29 Il a en effet un côté marginal qui faisait qu'il ne voulait pas d'une vie normale à la métro boulot dodo. Ca lui valu pendant des années de grosses angoisses, à se sentir seul - à l'époque où le nomadisme des devs n'était pas encore à la mode -, à penser qu'il avait raté sa vie parce que les années passant, ses anciens collègues s'installaient, achetaient une maison etc . Alors que lui ne possédait que ce qui tenait dans son sac à dos. C'était bien plus angoissant et moins glamour que ce que les posts linkedin font miroiter. C'est en tous cas ce qui ressort bien de sa longue interview :) Donc oui, travailler en équipe sur des gros projets n'a jamais été son quotidien.
Chacun son rythme après voilà es ce que il a une expertise sur Linux ou kali Linux en faisent toujours ce qu'on sait faire et en améliorant un petit peut... Moi personnellement j'aime bien avoir un max d'info sur tout dès le début puis construire des projets perso sur la base des connaissances que j'ai survolé.
@tyloser1255 J'imagine que c'est à chacun de trouver son rythme et ses points forts. J'ai eu des collègues qui détestaient le Front. Ils échangeaient la partie Front contre tout ce qui était base de données. Du coup, ils restaient nuls en Front mais de plus en plus avancés sur ce qui les intéressaient. Généraliste ou spécialiste, plutôt Front ou Back : on se rend vite compte de ce qu'on préfère. Le solo dev en question, il doit forcément toucher à tout. Mais ça lui convient ... et lui réussit visiblement ;)
Symfony c'est très bien pour le back mais pour le front, je préfère largement angular, je peux en faire un PWA ou même une appli ionic gérer la réactivité avec symfony/jquery j'ai déjà donné... non merci ! dév.. des formulaires complexe en symfony c'est l'enfer.... non merci ! peut être bien qu'apprendre une nouvelle techno plus adapté fait perdre quelques mois mais quand tu dev beaucoup d'app... au final, tu gagnes du temps, en qualité et en performance d'execution donc pas trop d'accord sur ce point ..... après oui, quand on a une idée, faut foncer, ça fait l'expérience mais avoir la meilleure idée du monde parmi des centaines de millier d'app. qui existent déjà c'est ça le très gros point noir
@nuketoto3868 C'est vrai que c'est plus long la gestion des formulaires. En tous cas jusqu'à ce qu'on ait trouvé les customisations proposées par twig. J'ai ainsi dû passer pas mal de temps dans la doc de twig pour trouver comment customiser ces foutus formulaires plutôt que d'obtenir ces formulaires automagiquement générés à partir d'une classe PHP. A noter que Pieter Levels n'utilise PAS de framework. Ce qui doit vouloir dire qu'il doit avoir son petit framework maison. Pour la partie Front, on peut facilement utiliser Vue. Et même Angular, mais à ce moment là, Symfony servira uniquement à créer des API REST. En tous cas, la dernière fois que j'ai fait du PHP en poste, c'était sur une mission dans un grosse administration publique. Le projet, c'était 50% C# (sur un client lourd), 50% PHP (pour l'appli web). C'était à l'époque où Linux commençait à bien être adopté dans l'administration. La logique était d'économiser sur les licences serveurs en passant pour la stack LAMP plutôt que de payer du Windows Server, très coûteux à ce moment là. Sur cette mission, c'était avec le framework Zend côté PHP, Zend qui proposait déjà du MCV alors qu'on avait pas encore ça en ASP.NET MCV à l'époque (c'est arrivé un ou deux ans après).
@vfb6265 Je l'ai essayé en Front d'une appli web développée en Go. On s'y fait vite. En revanche, je me demande si ça va être utilisé en poste. Car si je m'étais remis à Symfony avant d'avoir vu la vidéo sur Pieter Levels, c'était surtout parce que je voyais beaucoup de missions dans mon coin où le Back était soit Java / Spring (mais j'ai de mauvais souvenirs en Java sur des appli Web) soit PHP / Symfony. Et comme la CLI de Symfony est toujours aussi redoutable du fait qu'elle dispense de faire de lourdes configurations, j'ai opté pour le retour à Symfony.
@@codeconcept Non ce n'est pas utilisé en poste mais c'est marrant de jouer avec cette lib. On peut prototyper un saas en quelques jours sans devoir s'occuper de composants comme avec React etc... Je le vois comme un JQuery++. Sinon c'est vrai que JAVA tout comme PHP restent très demandés en backend aujoud'hui. A l'ecole on condamne PHP au profit des technos JS (node etc...). Je n'aime pas ces mentalités imposées dans la Tech. C'est super cool de voir quelqu'un comme Peter casser les codes, merci pour le partage
PHP c'est bien pour du gros blog où du dashboard admin, mais des qu'on à besoin de réactivité et de l'animation c'est Dead. Un framework sa ouvre des portes. J'ai coder mon site vitrine en SvelteKit et c'est d'une puissance extrême que j'aurais jamais pu faire en PHP. Et jquery c'est dépassé même le gouvernement Anglais l'a enlevé de son site web car sa causait des lenteurs de rendu. Bonne vidéo sinon!
@mwlulud2995 Merci ! Concernant Svelte, tu prêches un converti :) Mais en dehors d'une mission Svelte / Sapper (l'ancêtre de SvelteKit) il y a 5 ans, je n'ai plus rien trouvé comme mission sur cette stack. Alors que des offres sur Java et du PHP, il y en a à la pelle. Même en cherchant des missions Front, la connaissance de ces "vieux" Backend est souvent demandée, voire exigée. En revanche, pour un projet perso, c'est bien tentant.
C'est pas le boulot de PHP de faire de la réactivité et de l'animation. PHP c'est pour le backend, et j'ajouterai pour c'est pour du ROBUSTE, du FIABLE, du "Bullet proof" !!! Pour le reste tu utilises ce que tu veux basé principalement sur du JS/TS. Dans le cas de la présente vidéo, c'est du jQuery !!!
Il y a 2 mois, j'ai fini une mission. Tu vas rire : Pour gérer 20 champs, 24 mois de développement pour une refonte ! C'est ça l'agile avec tous outils que propose SCRUM ! DSL pour ce troll... Symfony, un gros bof..... Je n'ai jamais aimé cet outil. Trop surfait pour ce que c'est.
@MrNiuxe Bah, ça fait pas mal parfois d'être sur des projets pépères : ça laisse de l'énergie pour les soirs et les week-ends. On ne peut pas être à 100% tout le temps non plus. Mais si ça été causé par de la réunionite aigües, c'est une autre histoire. Il est parfois très fatiguant de ne rien faire :D Pour ce qui est de Symfony, j'avais acheté un bouquin sur Symfony 2 il y a pfff une quinzaine d'années. Et j'avais été impressionné déjà par la cohérence du framework. La CLI est très bien également et permet de générer pas mal de choses pénibles rapidement. Après, c'est les ORM qui m'emballent moyennement. Aujourd'hui, je me suis battu avec Doctrine maintenant que j'ai plusieurs tables avec des jointures. Ca a marché du premier coup mais avec des erreurs et warnings un peu sybillins. Je préfère largement faire mes jointures à la mano.
"Développeur de légende.....", le type reconnait lui meme devant des milliers de personnes comme un débile profond, qu'il se fait une marge de 2 millions de dollars sur un cout de 400$, ou comment expliquer que ce que tu fais en réalité ne vaut que 400$ et que donc n'importe qui peut le mettre en place et cesser de lui donner 20$ par mois
Il a choisi une infrastructure très restreinte uniquement pour l'hébergement. Son projet IA nécessite des GPU et il ne donne pas d'indications sur ces serveurs annexes. Il explique aussi que seuls 4 à 5 % de ses projets ont fonctionnés.
En attendant, avec son seul site dédié aux missions freelances full remote, quelqu'un qui trouvait une mission grâce a lui avait d'emblée plus que compensé son abonnement de plusieurs années en une seule journée de TJM. On ne travaille pas davantage gratuitement. Si tu ne vends pas ton code directement, c'est un commercial qui le fait pour toi. Ce qui veut dire vente avec une plus-value qui doit permettre à minima de te payer toi et lui (plus pas mal d'autres personnes de l'entreprise). Donc à moins de faire de l'open source gratuit, tu codes pour de la marge. Sauf que tu ne la voit pas directement.
@@Tragon76 C'est ce qui est interessant dans sa façon de faire. Dès qu'il a une idée, il la développe. Donc au lieu de passer son temps à chercher LA grande idée, il se contente d'idées simples mais utiles. Et finalement, il a beaucoup de déchet (95% en effet). Mais même développer ce qui ne marche pas, c'est de la pratique et de l'expérience qui s'accumulent. Il a clairement pris la vague de l'IA dès le début sur tout ce qui est génération d'images. Mais d'autres idées sont très traditionnelles.
@@codeconcept Oui mais bon le terme "vague" donne bien son sens, après la montée sa redescend. Beaucoup de projets Saas surfe sur un effet de mode,codé à la va vite,aucune base solide et dans la plus part des cas c'est pas du concret mais du ciblé.
@mwlulud2995 Bien qu'il ait commencé avant que les petits SaaS soient aussi tendance, il avait conscience qu'on ne sait jamais si une idée va être bonne à priori. D'où l'importance de tester vite et de laisser tomber si l'application fait un bide. Donc il ne faisait pas d'application bien propre, avec une belle architecture etc. Une fois son appli lancée, il passait à la suivante. Et si elle prenait, il continuait. Sinon, il passait à la suivante. Un peu comme un pêcheur qui ajouterait une canne à pêche chaque mois. L'autre point important, c'est qu'il ciblait en effet, mais surtout, il ciblait principalement le B2B. Ca le dispense de dépenser en publicité notamment. C'est d'ailleurs pour ça que ses applications ne sont connus que des gens d'une niche particulière (par exemple les développeurs en full remote ou les développeurs nomades).
Le probleme c'est le temps et la force, après une semaine a 40, 50h de dev pour la boite, dur dur de passer 20h de plus à la maison.
C'est l'excuse qui fait qu'on ne se lance pas. Je suis dans la même situation. Rien n'empêche de réduire le temps de travail pour bosser les projets perso à côté, c'est ce que je compte faire dans les prochains mois quitte à mettre ma vie perso en parenthèses.
@jeromediaz5333 Personnellement, j'avais remarqué il y a une dizaine d'années que je passais en moyenne 1h30 par jour à lire des comparo de frameworks. C'est quand je me suis décidé à remplacer ce temps perdu par le fait de monter effectivement en compétence sur un des frameworks que j'ai pu me libérer ce laps de temps qui me manquait.
Après, il faut bien gardé à l'esprit que Pieter Levels était un poil marginal. Il a choisi une route en dehors du métro - boulot - dodo. C'est pas possible pour tout le monde.
En tous cas, il ne faut pas se ruiner la santé à aller jusqu'au burn-out quand on sent que le corps ou l'esprit commencent à lâcher. Il y a des symptômes clairs : angoisse ou colère, insomnies, pensées négatives etc. On n'est pas des machines à produire ;)
Comment t’as un taff à 40-50h chef en général un taff de dev t’es sur du 30h et t’avances suffisamment
Et levels s’est lancé direct en entreprenariat chef, si t’as pas encore d’enfants et tout tu peux tjrs réduire tes dépenses et go chômage un an quand tu auras bien avancé sur ton shmilblik
Il me semble qu’avant son challenge un mois une entreprise ou une semaine une entreprise jsplus bah il était dans un incubateur en tant que dev et il s’est rendu compte assez vite du bourbier dans lequel la plupart des boîtes se mettaient
Souvent les gens oublient une chose essentielle dans le lancement d'une startup : STARTUP
@youcodeuse En effet :)
Pour éviter la procrastination, c'est une bonne démarche; et c'est efficace pour des petits projets. Pour des projets de taille importante, il faut quand même un plan général, un découpage des fonctionnalités, un diagramme d'interactions, etc. Au moins d'être un génie et d'avoir tout en tête du premier coup!
@toadleap8296 Il est clairement sur des petits projets. Les rares qui ont grandi l'ont fait au fil des années.
Très sympa la vidéo sobre efficace. J'adore la forme, j'adore le fond ❤
Merci pour cette vidéo, toujours au top.
Apprendre de nouvelles technos nécessite du temps c est la chose la plus rare à trouver , cette approche de commencer ensuite se poser la question de techno c est efficace.
Merci :) Ca évite la procrastination active à passer plus de temps à chercher la stack "idéale" au lieu de créer quelque chose avec ce qu'on connaît déjà.
@@codeconcept Oui oUi et oui surtout surtout avec le Frontend j'ai appris le Javascript pour que au final on me demande d apprendre un Framework (mais lequel) je me suis dit React (car il y a Reactnative pour le mobile ) mais est ce le bon choix je ne sais pas ?
C'est toujours bien de développer seul qu'en équipe; j'aime sa façon de développer (Commencer tout de suite) car c'est ma façon de faire aussi. Merci pour la vidéo
@siamform3126 Merci :) Développer seul est une sacrée liberté. La seule chose qui bat ça, c'est de développeur avec un graphiste.
J'ai été sur une mission où j'étais le seul dev, avec une graphiste, un data analyste et un marketeux. Tout allait vite mais sans précipitation ni stress inutile. Des réunions très brèves le reste par email. Mais bon, dès qu'une boite grandit, la bureaucratie s'invite ...
@@codeconcept Absolument
C'est vraiment inspirant !
Après si il fait un produit par mois, cela ne lui coûte pas trop chère en hébergement ?
Je pense que la partie la plus complexe pour un développeur, c'est d'aller vendre son produit.
Il faut sortir de sa zone de confort, et développer des compétences qu'on maîtrise peu : marketing, vente, publicité, gestion, ...
Je pense que c'est pour cela qu'on a globalement tendance à ne pas finir nos projet, et à rester dans la technique.
Il héberge tous ses sites sur un seul shared VPS Linode. Il a commencé petit et l'a upgradé au fil du temps, aujourd'hui ça lui coûte 320$ par mois pour un CA au dessus du million.
@TheRemiRODRIGUES Il faut clairement être homme orchestre. Faire le dev, le graphisme, le déploiement, le marketing, la maintenance. Pour les développeurs qui n'aiment pas sortir du code, la solution est de s'associer avec un profile marketing / vente. Mais il faut avoir confiance :D
@@Tragon76 Linode est un excellent hébergeur. J'ai vraiment été impressionné par la rapidité et le niveau de détail dans les réponses du support. C'est devenu Akamai suite à un rachat. J'espère que la qualité du support est restée la même.
Après, il doit payer pas mal aussi en abonnements à des outils d'IA sur certains projets.
C’est vrai mais il faut être commercial pour vendre son produit le côté commercial on n’y échappe pas. Je ne suis pas pour délégue à autrui qui peut mieux que moi vendre ce que je fais. Il faut juste dépasser sa crainte de l’échec ou de faire des erreurs. Je suis sûre que la plupart dont je fais partie n’ose pas se l’avouer mais le vrai frein c’est ça. Mais comme on dit si bien qui ne tente rien n’a rien.
Effectivement, le passage à la vente est souvent un frein aux projets.
Pourtant il faut vendre pour que le projet devienne concret, car c'est là qu'il se confronte à des vrais cas d'utilisations.
C'est donc là où on est confronté à la maintenance de notre projet, et donc à l'évaluation de nos choix d'architecture.
Après pas besoin d'être un bon vendeur, il faut simplement osez aller voir des prospect et leur proposer notre solution.
Après c'est plus facile à dire qu'à faire, mais un peu comme tout.
C'est toujours bon de développer ses propres outils, surtout si on en a une réelle utilité immédiate et qu'on peut éventuellement rapidement partager avec d'autres, et pourquoi pas les maintenir dans la durée si ça répond à un besoin précis. Ça permet de tester des nouvelles choses, ce qui peut toujours servir, car un développeur peut toujours s'améliorer, le refactoring de code étant en soi un sujet à part entière qui mérite qu'on s'y colle vraiment... Mais peu de dev le font réellement, pour ma part je sais que j'y consacre trop peu de temps, c'est un axe d'amélioration parmi d'autres. 😊
@applicationscommunicantes5235 Pour refactoriser sereinement, il faut avoir beaucoup de tests unitaires en place. Mais comme on développe trop souvent à l'arrache (avec la doc et les tests qui sont escamotés ... voire pire), c'est ce qui rend le refactoring si stressant.
Sans compter les fichiers de plus de 1000 lignes de code, développés par plusieurs devs à la suite sur 10 ans 😄
Pour ce qui est de faire ses outils, c'est souvent le temps disponible qui joue le plus. C'est fréquemment le privilège des architectes, dans les boites où on leur laisse la liberté de créer des outils qui seront ensuite utilisés par plusieurs équipes. Si bien qu'on sait que le temps passé va largement être rattrapé à moyen terme.
@@codeconcept oui tout à fait, les fameux TU... C'est toujours ardu d'encourager les équipes à s'y mettre, et pourtant, quand c'est bien dosé en général ça paye. Faut une certaine seniorité pour faire bouger les choses, ça prend du temps, mais quand ça évolue ans le bon sens, là on est bien.
je suis en train de regarder le podcast par petit bout, mais je me pose une question et je voudrais la poser sur cette chaine par lequel j'ai découvert cette méthodologie. Depuis quelques semaines, et surtout depuis mon licenciement, j'essaie d'appliquer certains de ces principes et ça marche plutot bien pour ce focus sur du concret et s'y tenir sans digression. Mais je me demande, quand on développe seul, une appli par mois (c'est pas encore mon cas ^^), comment on la met en avant ? Comment arrive-t-on à ce qu'elle se fasse connaitre ? Met-il des moyens dans la comm ? Vend-il ses applications ?
Php mysql js debian nginx apache et yolo!
Dès qu'on est à l'aise sur une stack, suffisamment pour être "dangereux", c'est le principal :)
On va lancer le yodo: you only dev once :D
Merci beaucoup pour tous ce que tu fais !
Merci :)
J'adhère totalement au concept
Merci pour cette vidéo, j'ai ressenti la passion 😅
@koralior Merci :) Oui, le dev reste passionnant, notamment quand on peut partir d'une idée et la réaliser entièrement.
Trop souvent, le quotidien consiste à maintenir un code pas documenté, développé par plein de développeurs d'affilié, qui devaient souvent faire vite, avant d'avoir une bonne vision globale du projet parce qu'il fallait faire vite. Si bien qu'on devient le suivant qui va aggraver l'existant un peu plus :p
Alors quand on peut de nouveau créer quelque chose, même si c'est bien plus modeste, ça redonne une dose de motivation.
Je le suis depuis quelques temps et oui très inspirant. On a un français aussi dans cette mode des micro saas à la chaine, c'est Marc Lou (Marc Louvion), il communique en anglais sur ces réseaux et vit à Bali mais il avait fait une interview avec un français il y a quelques semaines je crois.
@zarathoustraInParis Oui Marc Lou s'est clairement inspiré de lui. Mais bon, reprendre les bonnes idées, est aussi une bonne idée : Pieter Levels le revendique aussi :)
L'un comme l'autre ont un côté marginal qui me plait bien. Ils se sentaient être de gros loosers car dans l'impasse en fait de vingtaine début de trentaine, et finalement, en allant au bout de leur logique, ils ont réussi à faire ce qu'ils voulaient.
Moi ça fait un an je proscrine en me convainquant que je ne sais rien pour me lancer. J’ai obtenu plusieurs certifications mais j’ai du mal à me lancer pour au moins faire ma page avec un portefolio et progresser mais je me dit que maintenant il y a trop de monde qui se forme dans la dev.
@sarahb2582 Il faut juste commencer une tâche et la réaliser. Le fait de s'y mettre et de faire marcher quelque chose est très important. Même si le résultat n'est pas parfait, il existe et on peut l'améliorer par la suite. Et plus tard, on peut même le refaire complètement parce qu'avec le recul, on a envie de refaire autrement. Mais entre-temps, même imparfait, la fonctionnalité développée a rendu service.
Le piège, c'est de repousser au moment rêvé, idéal, où on ferait du premier coup quelque chose de parfait.
A chaque nouvelle application, on apprend quelque chose de nouveau, on affine quelque chose qu'on savait faire etc.
Hier, ce je suis tombé sur un compte rendu suite à la nouvelle version d'un projet open-source : il y a eu presque 3000 bugs corrigés. Ca prouve que même les développeurs très expérimentés font des erreurs.
Bonjour, je n’y connais rien en développement informatique mais je suis ce qu’il se passe dans le milieu de l’ia. En tant que spécialiste, pourriez-vous svp me confirmer ou non que les vrais profiteurs de ce boom actuel sont les développeurs avec une base solide en coding? J’ai l’impression que pour le moment, toutes les solutions IA qui sortent paraissent impressionnantes mais malheureusement pas suffisantes pour aider un non spécialiste à construire lui-même un outil IA personnalisé. J’ai l’impression que ceux qui vont le plus profiter dans les mois et années à venir sont tous les profils ingénieurs/PhD math/informatique.
@upinthesky63 Bonjour, je ne suis pas spécialiste non plus. Je lis et regarde ce que disent les pro du domaine et je joue avec les outils :)
Pour le moment, c'est clair que les outils d'IA profitent davantage aux développeurs, car on comprend le code généré, on voit assez vite ce qui ne va pas (les réponses obsolètes ou fausses). Mais comme c'est le cas dans le domaine depuis des décennies, il a des gens en costume cravate qui n'attendent que la bonne occasion de sabrer les équipes de développeurs. Ils ont fait le coup avec le offshore, puis le nearshore pour finalement ré-embaucher localement afin de réparer les dégâts après que de nombreux projets étaient allés dans le mur. Mais ça va recommencer : des équipes vont de nouveau être sabrées, des projets vont aller dans le mur et on fera revenir des développeurs, partiellement en freelance pour ne pas refaire grossir la masse salariale.
Ceux qui sont en meilleures position sont ceux qui ont choisi le domaine avant même que le grand public en ait entendu parlé.
J'ai eu ceci dit des collègues, il y a une quinzaine d'années, qui avaient suivi une formation initiale dans le domaine et s'étaient retrouvés ... à faire de l'informatique de gestion parce qu'il fallait bien payer ses factures. Il n'y avait pas tant de postes que ça dans leur domaine. D'autres faisaient des interventions ponctuelles en freelance. C'était au moment où le big data commençait à bien monter.
L'idéal , c'est d'être un doctorant ou un post-doc suivi par des chercheurs qui bossent dans des structures qui ont beaucoup de moyens. Ca veut dire souvent partir outre Atlantique où les conditions de travail / revenus / moyens techniques sont biens meilleures, là où la moitié du temps n'est pas consacrée à remplir de la paperasse dans l'espoir d'obtenir la moitié de qu'il faut pour faire tourner son labo à l'arrivée.
En attendant, un non-développeur peut tirer profit de l'IA. Mais il faudra quand même, à un moment, s'initier au développement ou bien prendre un développeur pour aller plus loin.
En effet,, partir sur une techno sans projet, c'est de la perte de temps...Si tu veux aller vite par tout seul... Si tu veux aller loin assures toi que les autres suivent ;). J'aime bien l'idée de :" Mon produit est mon étude de marché!"
Merci à vous 😀👍👍👍
🙏
C est levelsio il est très fort…
C'est le GOAT comme aiment dire certains :)
Merci
Son secret est qu'il n'a jamais développé pour les autres dans une équipe en tant que salarié ou freelance.
@cirtey29 Il a en effet un côté marginal qui faisait qu'il ne voulait pas d'une vie normale à la métro boulot dodo. Ca lui valu pendant des années de grosses angoisses, à se sentir seul - à l'époque où le nomadisme des devs n'était pas encore à la mode -, à penser qu'il avait raté sa vie parce que les années passant, ses anciens collègues s'installaient, achetaient une maison etc . Alors que lui ne possédait que ce qui tenait dans son sac à dos.
C'était bien plus angoissant et moins glamour que ce que les posts linkedin font miroiter. C'est en tous cas ce qui ressort bien de sa longue interview :) Donc oui, travailler en équipe sur des gros projets n'a jamais été son quotidien.
@@codeconcept et toutes les femmes lui tournaient le dos jusqu'au jour où il a commencé à gagner gros je suppose ? 😅
Chacun son rythme après voilà es ce que il a une expertise sur Linux ou kali Linux en faisent toujours ce qu'on sait faire et en améliorant un petit peut...
Moi personnellement j'aime bien avoir un max d'info sur tout dès le début puis construire des projets perso sur la base des connaissances que j'ai survolé.
@tyloser1255 J'imagine que c'est à chacun de trouver son rythme et ses points forts. J'ai eu des collègues qui détestaient le Front. Ils échangeaient la partie Front contre tout ce qui était base de données. Du coup, ils restaient nuls en Front mais de plus en plus avancés sur ce qui les intéressaient. Généraliste ou spécialiste, plutôt Front ou Back : on se rend vite compte de ce qu'on préfère.
Le solo dev en question, il doit forcément toucher à tout. Mais ça lui convient ... et lui réussit visiblement ;)
Symfony c'est très bien pour le back
mais pour le front, je préfère largement angular, je peux en faire un PWA ou même une appli ionic
gérer la réactivité avec symfony/jquery j'ai déjà donné... non merci !
dév.. des formulaires complexe en symfony c'est l'enfer.... non merci !
peut être bien qu'apprendre une nouvelle techno plus adapté fait perdre quelques mois mais quand tu dev beaucoup d'app... au final, tu gagnes du temps, en qualité et en performance d'execution
donc pas trop d'accord sur ce point .....
après oui, quand on a une idée, faut foncer, ça fait l'expérience
mais avoir la meilleure idée du monde parmi des centaines de millier d'app. qui existent déjà
c'est ça le très gros point noir
Htmx est ton ami :)
@@vfb6265 pas besoin
@nuketoto3868 C'est vrai que c'est plus long la gestion des formulaires. En tous cas jusqu'à ce qu'on ait trouvé les customisations proposées par twig. J'ai ainsi dû passer pas mal de temps dans la doc de twig pour trouver comment customiser ces foutus formulaires plutôt que d'obtenir ces formulaires automagiquement générés à partir d'une classe PHP.
A noter que Pieter Levels n'utilise PAS de framework. Ce qui doit vouloir dire qu'il doit avoir son petit framework maison.
Pour la partie Front, on peut facilement utiliser Vue. Et même Angular, mais à ce moment là, Symfony servira uniquement à créer des API REST.
En tous cas, la dernière fois que j'ai fait du PHP en poste, c'était sur une mission dans un grosse administration publique. Le projet, c'était 50% C# (sur un client lourd), 50% PHP (pour l'appli web). C'était à l'époque où Linux commençait à bien être adopté dans l'administration. La logique était d'économiser sur les licences serveurs en passant pour la stack LAMP plutôt que de payer du Windows Server, très coûteux à ce moment là. Sur cette mission, c'était avec le framework Zend côté PHP, Zend qui proposait déjà du MCV alors qu'on avait pas encore ça en ASP.NET MCV à l'époque (c'est arrivé un ou deux ans après).
@vfb6265 Je l'ai essayé en Front d'une appli web développée en Go. On s'y fait vite. En revanche, je me demande si ça va être utilisé en poste. Car si je m'étais remis à Symfony avant d'avoir vu la vidéo sur Pieter Levels, c'était surtout parce que je voyais beaucoup de missions dans mon coin où le Back était soit Java / Spring (mais j'ai de mauvais souvenirs en Java sur des appli Web) soit PHP / Symfony. Et comme la CLI de Symfony est toujours aussi redoutable du fait qu'elle dispense de faire de lourdes configurations, j'ai opté pour le retour à Symfony.
@@codeconcept Non ce n'est pas utilisé en poste mais c'est marrant de jouer avec cette lib. On peut prototyper un saas en quelques jours sans devoir s'occuper de composants comme avec React etc... Je le vois comme un JQuery++. Sinon c'est vrai que JAVA tout comme PHP restent très demandés en backend aujoud'hui. A l'ecole on condamne PHP au profit des technos JS (node etc...). Je n'aime pas ces mentalités imposées dans la Tech. C'est super cool de voir quelqu'un comme Peter casser les codes, merci pour le partage
Fake it until you make it.
PHP c'est bien pour du gros blog où du dashboard admin, mais des qu'on à besoin de réactivité et de l'animation c'est Dead. Un framework sa ouvre des portes. J'ai coder mon site vitrine en SvelteKit et c'est d'une puissance extrême que j'aurais jamais pu faire en PHP. Et jquery c'est dépassé même le gouvernement Anglais l'a enlevé de son site web car sa causait des lenteurs de rendu.
Bonne vidéo sinon!
@mwlulud2995 Merci ! Concernant Svelte, tu prêches un converti :) Mais en dehors d'une mission Svelte / Sapper (l'ancêtre de SvelteKit) il y a 5 ans, je n'ai plus rien trouvé comme mission sur cette stack. Alors que des offres sur Java et du PHP, il y en a à la pelle. Même en cherchant des missions Front, la connaissance de ces "vieux" Backend est souvent demandée, voire exigée.
En revanche, pour un projet perso, c'est bien tentant.
C'est pas le boulot de PHP de faire de la réactivité et de l'animation. PHP c'est pour le backend, et j'ajouterai pour c'est pour du ROBUSTE, du FIABLE, du "Bullet proof" !!! Pour le reste tu utilises ce que tu veux basé principalement sur du JS/TS. Dans le cas de la présente vidéo, c'est du jQuery !!!
PHP c'est tellement sous côté 😢 mais comme c'est pas sexy ça n'attire pas les zoomers lol
Les langages les plus utilisés sont les plus détestés. Et les moins utilisés les plus aimés :D JavaScript (et TypeScript) a droit au même traitement.
Il y a 2 mois, j'ai fini une mission. Tu vas rire : Pour gérer 20 champs, 24 mois de développement pour une refonte ! C'est ça l'agile avec tous outils que propose SCRUM !
DSL pour ce troll... Symfony, un gros bof..... Je n'ai jamais aimé cet outil. Trop surfait pour ce que c'est.
" Pour gérer 20 champs, 24 mois de développement pour une refonte !"
Turbolol 🙂
@MrNiuxe Bah, ça fait pas mal parfois d'être sur des projets pépères : ça laisse de l'énergie pour les soirs et les week-ends. On ne peut pas être à 100% tout le temps non plus. Mais si ça été causé par de la réunionite aigües, c'est une autre histoire. Il est parfois très fatiguant de ne rien faire :D
Pour ce qui est de Symfony, j'avais acheté un bouquin sur Symfony 2 il y a pfff une quinzaine d'années. Et j'avais été impressionné déjà par la cohérence du framework. La CLI est très bien également et permet de générer pas mal de choses pénibles rapidement.
Après, c'est les ORM qui m'emballent moyennement. Aujourd'hui, je me suis battu avec Doctrine maintenant que j'ai plusieurs tables avec des jointures. Ca a marché du premier coup mais avec des erreurs et warnings un peu sybillins. Je préfère largement faire mes jointures à la mano.
"Développeur de légende.....", le type reconnait lui meme devant des milliers de personnes comme un débile profond, qu'il se fait une marge de 2 millions de dollars sur un cout de 400$, ou comment expliquer que ce que tu fais en réalité ne vaut que 400$ et que donc n'importe qui peut le mettre en place et cesser de lui donner 20$ par mois
Il a choisi une infrastructure très restreinte uniquement pour l'hébergement. Son projet IA nécessite des GPU et il ne donne pas d'indications sur ces serveurs annexes. Il explique aussi que seuls 4 à 5 % de ses projets ont fonctionnés.
En attendant, avec son seul site dédié aux missions freelances full remote, quelqu'un qui trouvait une mission grâce a lui avait d'emblée plus que compensé son abonnement de plusieurs années en une seule journée de TJM.
On ne travaille pas davantage gratuitement. Si tu ne vends pas ton code directement, c'est un commercial qui le fait pour toi. Ce qui veut dire vente avec une plus-value qui doit permettre à minima de te payer toi et lui (plus pas mal d'autres personnes de l'entreprise). Donc à moins de faire de l'open source gratuit, tu codes pour de la marge. Sauf que tu ne la voit pas directement.
@@Tragon76 C'est ce qui est interessant dans sa façon de faire. Dès qu'il a une idée, il la développe. Donc au lieu de passer son temps à chercher LA grande idée, il se contente d'idées simples mais utiles. Et finalement, il a beaucoup de déchet (95% en effet). Mais même développer ce qui ne marche pas, c'est de la pratique et de l'expérience qui s'accumulent.
Il a clairement pris la vague de l'IA dès le début sur tout ce qui est génération d'images. Mais d'autres idées sont très traditionnelles.
@@codeconcept Oui mais bon le terme "vague" donne bien son sens, après la montée sa redescend. Beaucoup de projets Saas surfe sur un effet de mode,codé à la va vite,aucune base solide et dans la plus part des cas c'est pas du concret mais du ciblé.
@mwlulud2995 Bien qu'il ait commencé avant que les petits SaaS soient aussi tendance, il avait conscience qu'on ne sait jamais si une idée va être bonne à priori. D'où l'importance de tester vite et de laisser tomber si l'application fait un bide. Donc il ne faisait pas d'application bien propre, avec une belle architecture etc. Une fois son appli lancée, il passait à la suivante. Et si elle prenait, il continuait. Sinon, il passait à la suivante. Un peu comme un pêcheur qui ajouterait une canne à pêche chaque mois.
L'autre point important, c'est qu'il ciblait en effet, mais surtout, il ciblait principalement le B2B. Ca le dispense de dépenser en publicité notamment. C'est d'ailleurs pour ça que ses applications ne sont connus que des gens d'une niche particulière (par exemple les développeurs en full remote ou les développeurs nomades).