Ces derniers temps, j'ai remarqué que le cinéma parlait beaucoup... de cinéma ! Et pour mon plus grand plaisir ! "Babylon" était juste phénoménal, je l'ai adoré (peut-être déjà le meilleur film de l'année) et j'ai hâte de découvrir les propositions de Steven Spielberg et Sam Mendes. En tout cas j'aime beaucoup ton interprétation du nom de Spielberg. J'y avais jamais vraiment pensé.
J'ai adoré aussi et cela fait penser à une référence à un autre film qui aurait une importance particulière pour Spielberg mais je bloque. Quelqu'un à une idée ?
Je te regarde de puis le live avec Landri et j’adore t’as personnalité très agréable t’es critiques sont toujours constructive avec des points de vue différents FableMan c’est un film incroyable c’est indéniable
La Couleur des Souvenirs, quelle magnifique formule. Très belle analyse en tout cas qui donne encore plus furieusement envie de voir ce film. La lenteur annoncée du film ne me dérange pas. Très bien aussi ton résumé du Nouvel Hollywood. Tu as certes survolé cette période comme tu le dis dans ta scene post générique mais il faudrait au moins une émission toute entière à consacrer à cette période extrêmement riche, ma préférée. Bref une excellente vidéo d'une excellente chaîne, bravo à toi.
Chef d’œuvre instantané pour ma part ! j'ai été happé de bout en bout ! Spielberg montre à tous, à 76 ans qu'il n'a plus rien à prouver le concernant ! Michelle Williams mériterait l'oscar mais ce sera dur face a Cate Blanchett qui est éblouissante dans "TAR". Magnifique critique bien dosée de ta part que je partage quasi totalement (pas de ventre trop mou pour moi) merci j'apprécie beaucoup ta façon de parler du cinéma
Après «Babylon» au mois de janvier, un second film de cinéma sur le cinéma (mais pas seulement). Et un second coup de cœur à mes yeux. Une toute première sortie au cinéma. Un spectaculaire accident de train projeté sur grand écran. Un choc, mais surtout une révélation pour un tout jeune spectateur assis entre ses parents, Sammy Fabelman. Voilà le point de départ de l’œuvre la plus éminemment personnelle de Steven Spielberg. Car, ne nous voilons pas la face, il s'agit là d'une œuvre ô combien autobiographique, transposée à l'intérieur d'un récit dramaturgique et (en partie) fictionnelle. Marquant le retour de Spielberg à l'écriture depuis «A.I. Intelligence Artificielle» en 2001 (ici aux côtés de Tony Kushner, scénariste de «Munich» et «West Side Story»), le cinéaste ne se borne pourtant pas à nous proposer un simple machin égocentrique sans rien à raconter dedans, bien au contraire. Ici, il dresse un portrait à la fois touchant et désenchanté de ses parents : Burt, informaticien et Mitzi, pianiste. La logique, le réalisme d'un côté, le rêve et l'optimisme de l'autre. 2 êtres qui s'aiment, mais dont les visions et les désirs respectifs finissent par les éloigner l'un de l'autre. Et cela, Sammy, le "double" cinématographique de Spielberg, n'en rate rien, dans les moments idylliques comme dans les moments plus tristes, captant les gestes, les corps et les regards, toujours les regards. Tout a toujours été affaire de regards chez Spielberg (la fameuse "Spielberg Face", atteignant son apogée dans sa trilogie des aliens). Ici, il y a celui qui regarde à travers son objectif, celles et ceux qui sont regardés par ce même objectif, et enfin ces mêmes personnes qui se (re)découvrent sur un grand écran, leur tendant un miroir de ce qu'elles sont ou de ce qu'elles rêveraient d'être (à l'image de cette mère en mal d'amour voyant la vie dont elle rêve, ou de cet élève qui ne se sentira jamais à la hauteur de l'image qu'il se colle lui-même). Car dans «The Fabelmans», le cinéma est là pour dévoiler la vérité (qu'elle dérange ou non) et tenter de réparer le réel. Mais, comme l'apprendra notre protagoniste au fil du film, certaines choses ne peuvent se réparer à l'aide d'une caméra, et il faut parfois ressentir cette souffrance et ce chamboulement pour aller de l'avant et voir l'horizon (tant que celui-ci n'est pas au centre de l'image. Celles et ceux qui ont vu le film comprendront ce détail qui n'en est pas un). Accompagné d'un casting exemplaire et d'une photographie somptueuse signée Janusz Kaminski, une histoire d'apprentissage et de passion, mélange de joie et de tristesse, convoquant comme jamais la puissance révélatrice des images. Et cette poésie en mouvement, ce portrait intimiste rendu universel par le biais du cinéma ne peut me laisser indifférent, que ce soit en tant que spectateur et en tant qu'artiste. Tant de choses à dire encore autour de ce film-somme qui va me rester en tête et qui donne tout son sens à la filmographie de son réalisateur, mais une chose est sûre : Spielberg est et reste l'un des plus grands conteurs du 7e Art, et le cinéma est et restera le plus grand spectacle du monde. 8/10.
The Fabelmans Spielberg se raconte la famille la camera , la famille devant la caméra📽 . Les meilleurs scnéne L'oncle Boris qui lui dit un discours sur l'Art et la rencontre de Spielberg avec John Ford un géant du Cinéma il lui fait une leçon sur la ligne d'horizon " intéressant " et le plan finale. Un bon Spielberg . Sur NETFLIX pour continuer sur la carrière de Spielberg THE MOVIES That made US les coulisses du film jurassic Park 🦖 passionnant le film qui a révolutionné les effets visuels le premier Dinosaures en CGI . Le Cinéma fait sa révolution Numerique de Jurassic Park à AVATAR la voie de l'eau
J'ai bien aimé ta critique du film, c'est bien détaillé, bien expliqué rien à dire là-dessus et pour te dire ça ma donné envie d'aller le voir 🤩(vu que babylon aussi m'a plu) et c'était cool le "bêtisier" à la fin de la vidéo 😂👍
Toujours au top tes analyses. J'ai vu the Fabelmans en Décembre et ai ressenti a peut près la meme chose que toi. J'ai trouvé une longueur personnellement qui était la parti avec le grand oncle pendant laquelle j'ai faillis m'endormir mais sinon le reste du film j'ai vraiment adoré et il est meme mon top 1 film 2022. Pour moi le point fort du film est son jeu de camera qui dit tout ce qu'on a besoin de comprendre et semble terme le narrateur principal du film meme sans parole comme dans certaines scenes avec les parents et Bennie. Ce film m'a plongé dans l'univers de Spielberg dont j'étais vraiment assez dubitatif avant mais qui est un réalisateur que j'adore maintenant. La petite pique aux "cinéphiles" de Twitter à la fin 😂
On ne choisit pas sa famille tout court , faut faire avec , par contre ses ami(e)s , oui . On voit que ses parents à Tonton Spielberg représentent les deux faces de sa personnalité : Une réaliste , cartésienne ( le père ) , l' autre artiste , rêveuse ( la mère ). Ses sœurs étant son premier soutien.
Superbe critique, il y a certains films ou ce n'est pas évident dans faire une critique, je susi d'accord, le problème c'est que si je parle du film 5 joursp lus tard j'aurais oublié les 3/4 des détails à abordé haha!!!. Mais bon c'est cool les films de 2023 qui parle de l'essence même, et la création du cinéma, pour les cinéphiles, c'est généreux, ça te touche peux ètre le nombril, mais si c'est bien fait, je valide, ce genre de biopic, parce que oui la création du cinéma au fil des années c'est aussi du biopic, quand en plus on met en avant des mecs ou des femmes du milieux c'est encore mieux, quand en plus c'est réalisé par celui qui veux nous parlé de son enfance de cinéphile, c'est encore plus beau. En tout cas superbe vidéo
Jolie histoire bien romancée. Du Spielberg dans le texte. Mais encore + dans ce cas présent vu qu'il s'agit de son film le + personnel. J'ai beaucoup aimé la scène avec David Lynch dans la peau de John Ford. Un joli clin d'oeil.
E.T. semble être aussi être un film personnel pour Steven Spielberg. Un jeune garçon imaginatif et sa jeune sœur (il en manque une oui mais c'est le garçon le plus grand des deux). Les Etats-Unis profond, une mère seule (il me semble) (père absent) ... On peut retrouver beaucoup d'aspects vus dans Fabelmans dans E.T.
Judd Hirsch a surtout joué dans le film Running on Empty (About de course en français, un des plus grand film des années 80), avec lequel The Fabelmans a beaucoup de points communs.
J'ai trouvé ce film fascinant , et totalement cohérent dans le parcours du réalisateur, Spielberg a toujours fonctionné par cycle, cycle de la vérité historique ( Schindler,soldat Ryan, Aminstad ) cycle distopie contemporaine ( A.I., Minosrity Report, guerre des mondes ) cycle de l'homme seul contre l'institution ( Lincoln, Pentagon papers, le pont des espions ). Ce Fablemans ne déroge pas à la règle en s'inscrivant un petit peu dans toutes les histoires du cinéaste mais aussi dans une certaine continuité entre le cycle de l'homme enfant ( Hook, Terminal ) et celui de la vérité de l'image et sa manipulation ( minority report, arrête moi si tu peux ) c'est au travers d'une sorte de mélodrame métatextetuel quelque part entre Brian Depalma et Douglas Sirk que Spielberg se raconte pour le meilleur ( fulgurance de mise en scène, jeu symbolique sur la lumière éloquent ) comme parfois le pire ( surlignage du propos, thématique du divorce traité avec beaucoup moins de subtilité que dans E.T.) comme si la vérité de la légende du cinéma était tellement plus belle que celle du quotidien qu'il faille lui laisser toute sa place dans le cadre et laisser mourir le monde réel ( liberty valence de Ford toujours en toile de fond, quand la légende est plus belle que la réalité , il faut imprimer la légende ) . C'est finalement dans cette dernière scène que tout le propos du film prend sens ,la vie est toujours plus belle quand on lui offre un cadre, une image sous contrôle , lorsque le jeune Sammy/Spielberg rencontre le vieux Lynch/John Ford ( l'homme aux 150 films ) dans un bureau minuscule tout en débattant paradoxalement sur l'importance de l'horizon dans des réductions des vastes étendues de l'ouest américain (ci celui est en milieu de cadre, l'image en devient fatalement inintéressante,comme vidée de toute substance, "chiante" dira Ford , rappelant aussi la célèbre devise de David Lean) une jolie scène qui annonce à la fois l'immensité d'une carrière à l'imagerie inoubliable, qui rentrera très vite dans l'inconscient du monde entier dans l'intimité d'un bureau de studio d'un cinéma en pleine transformation esthétique et d'un future cinéaste en pleine métamorphose sentimentale.
Merci pour cette vidéo. C’était un retour à Spielberg pour moi après n’avoir pratiquement rien vu après son adaptation de «Tintin». Je ne saurais expliquer mais j’ai eu cette impression de changement chez-lui, un éveil à son judaïsme (avec la liste de Schindler ?), un sérieux dans le ton ou un changement de look pour ses images dû à son directeur photo polonais. Je crois avoir retrouvé un peu du Speilberg «d’avant» avec un peu plus de simplicité (pas de CGI ou si peu) ce qui a dû lui faire grand bien. J’ai aimé le film mais sans plus, le «ventre mou» je l’ai perçu à l’arrivée en Californie... Il faut voir en complément le très bon documentaire fait sur Spielberg par HBO. La question du divorce de ses parents est abordée en plus d’un survol de ses principaux films (dispo sur Canal+ VOD et Orange). P.S. 1 : À 28:15 pour la fameuse photo du groupe «Nouvel Hollywood», je viens à la défense de Ron Howard qui est toujours coupé dans la photo.🙂Sur le cliché original il est à gauche de Spielberg. P.S. 2 : Seth Rogen est originaire de Vancouver, Canada. Phonétiquement il n’y a pas de D dans son nom de famille. Prononcé, on dirait «Ro-gaine». Aussi je remarque qu’en France vous dites «Shpielberg» (avec un h prononcé) alors que du côté américain ce h n’est pas prononcé.
Tu as tout dit oui, sur la corde de sensibilité avec laquelle il joue Steven Spielberg. Elle est très identique à des films comme Armageddon Time que j'avais adoré perso mais ducoût le frisson n'est pas le même J'ai peur que ça soit la même chose pour empire of light de Sam Mendes bientôt
Excellente critique ! On sent que tu aimes le cinéma et que tu le comprends parfaitement. Tu n’as pas parlé de John Williams qui s’est fait discret dans la BO. Le thème est merveilleux mais il passe « inentendu ». C’est complètement nouveau chez Spielberg. Moi ça m’a manqué et toi ? :)
Ce que j'ai beaucoup aimé dans the Fabelmans, c'est cette ligne entre le cartesien (materialisé par le pere) et l'artistique (materialisé par la mere) et comment Sammy va voguer dessus, son pere qui parle de hobby mais que Sammy va toucher lorsqu'il fait le western (il se sort de soucie de realisme avec une technique tres cartesienne, les trous dans la pelicule), lorsqu'il montre le film du weekend en famille, j'ai aimé la subtilité des 2 montages qui revele le souvenir du pere qu'il veut transmettre a sa femme (le montage officiel) et le souvenir de la mere avec le montage non officiel qui va reveler le souvenir de la mere, et attention spoiler, au dela de l'humour du film, le plan final fait le parallele entre Sammy et Spielby, celui qui a entendu les paroles de Ford c'est Sammy et c'est Spielby qui le met en pratique comme s'il voulait dire "et tout ce que j'ai vecu m'a amené a ca" Le moment de flottement je l'ai trouvé interessant car je pense que c'est une vraie scission dans la vie de Sammy sa mere qu'il perd c'est un peu la disparition artistique dans sa vie, au profit de la version cartesienne (les etudes, la vie avec son pere ...) et du choix conscient qu'il va faire de repartir dans la realisation en entrant dans "l'industrie du cinema", c'est peut etre un peu tiré par les cheveux mais je me suis rendu compte avec ce film des paralleles avec ma vie (sans avoir le talent de Spielby hein) ou ma mere parlait de ma passion et de mes petits films entre amis de hobby, la separation de mes parents et que dans le choix final je suis resté dans le cartesien ... dans l'industrie, donc les petits paralleles on peut etre orienté ma vision du film, en tout cas j'ai beaucoup aimé le film
J’ai un avis très partagé sur Spielberg. Autant je le trouve excellent lorsqu’il fait de la fiction (SF, aventure, thriller/horreur), autant ses films historiques ou traitant de personnages réels me posent un réel problème, tant ils ont tendance à s’arranger avec candeur et complaisance des faits pour leur donner une tournure optimiste. Je prépare néanmoins mon top 10.
@@Kage3948 D'une certaine manière oui, car Spielberg adopte l'angle du sauvetage pour raconter l'histoire d'une extermination de masse. Mais La Liste de Schindler passe encore (on est loin de la véritable pantalonnade qu'est le film de Roberto Benigni sur le même sujet). Je pensais surtout à Il faut sauver le soldat Ryan, à Arrête-moi si tu peux, à Lincoln, etc.
@@clintwestwood9198 Pourquoi il n'y aurait qu'une façon de raconter la shoah ? Pas fan du film de Benigni mais sa proposition est intéressante. C'est quoi tes références en film de guerre par ex ?
@@Kage3948 Effectivement, il n'y a pas qu'une façon de la raconter. Mais le film démontre bien l'angle optimiste privilégié par Spielberg pour traiter ses sujets historiques. Le problème est que cet optimisme a tendance à virer à la candeur (Il faut sauver le soldat Ryan) et à la complaisance (Arrête-moi si tu peux, Lincoln). Après, ce n'est que mon avis. Les deux étant connectés, je dirais que la série Band of Brothers est bien meilleure que le soldat Ryan.
Salut !!! Aller au cinéma actuellement mission impossible en + de mes horaires de travail fou fou, j'y suis pas allé depuis un mois au moins " déménagement, emménagement " 🥵 D'ici sous peu j'espère 🤞🏻 PS : j'attends avec impatience le nouveau film de Sam Mendes Empire of Light 01/03/23 où il a le point en commun avec Babylone de Damien Chazel,et The Fabelmans de Steven Spielberg . 💓l'amour du cinéma💓
@@lily_sennuie Vu hier soir je l'ai trouvé Magnifique un Belle hommage a l'art du cinéma et a sa fabrique et a son sens de l'esthétique personnel de sa marque de fabrique. Casting super Musique de son compère de toujours John Williams a minima "91 ans tout de même" 😱. Pas vue les 2h30 de la scéance. Le film ressemble un peu au destin de Babylon boudé aux États-Unis mais encensé en Europe et ailleurs. Un Oscar pour Michelle Williams ✨🏆✨ Paul Dano tout en justesse et retenue. Bonne ambiance de communion dans la salle ♥️
waaaah t'es la 1ere que j'entend prononcé comme ça le nom de Spielberg ça ma dérouté 😂mais j'ai adoré ta critique alors même que pourtant le film m'intéresse pas
Les couleurs dont tu parles avec beaucoup d'acuité, c'est peut-être les couleurs des années 60 dans l'Amérique de cette époque. On retrouve un peu ce langage des couleurs dans le film de Tarantino qui se déroule aussi dans les années 60.
Le souci c'est qu'à force de voir des films avec une mise en abîme on risque de sortir des univers qu'ils proposent Comme Incroyable mais vrai, Everything Everywhere All At Once, trois mille ans à t'attendre...
J'ai pas du tout aimé Armageddon Time,the Fabelmans ne m'attire pas du tout, pourtant J'ADORE Spielberg,La liste de Schindler est dans mon top 3 de mes films préférés de tout les temps, mais les biopic, c'est pas trop mon genre, j'ai pas vu Blonde, ni Elvis, donc je passerais mon tour, sinon excellente critique, comme d'hab 👍👌😁
Eh mademoiselle !! Faut calmer le débit ! Le montage découpé à la seconde ! Faut prendre le temps de respirer !!! C’est quoi ce speed ??? Je n’en peux plus ces montages façon dessin animé surexcité ! Faut se calmer … ! parler de grands réalisateurs et débiter l’image et le texte à cette allure … Coupe le son et l’image et continue à regarder comment on capte l’attention et comment on utilise une caméra ! Et en plus t’agite les bras comme un moulin … tu parasites tout ton message !! Sans parler des placages de visuels qui apparaissent disparaissent à la vitessse de la lumière !!! Un vrai Luna park ta séquence !!
Ce n’est pas qu’une histoire de débit de paroles 😊c’est aussi un souci de rythme du montage des images . Souci que l’on rencontre avec certains autres youtubeurs …peut être pensez vous que la vitesse va donner de l’impact à vos séquences mais en réalité elle vous dessert . Si ton débit de parole est naturellement rapide c’est une raison pour séquencer plus calmement ton montage et ton ajout d’images… je m’excuse pour la tonalité un peu acerbe de mon message d’hier mais dans le fond prend mon message comme une critique constructive plutôt que de le rejeter abruptement et je t’invite à regarder ce que fond certains autres youtubeurs critiques cinéphiles , je pense que tu comprendras le sens de mes propos. Ton message perd en impact par cette abondance … comme on dit « less is more »😉
@@ohhzutalorsohzutalors6959 j'ai pas vraiment envie de faire "comme les autres" justement. Et petit conseil constructif, si tu veux que tes remarques soient perçues comme tel évite le ton obséquieux voir agressif ☺️ et tout ces points d'exclamations ... Inspire toi des autres commentaires conseil et voit a faire comme eux !
Pourquoi serions-nous obligés d'avoir vécu les époques évoquées dans un film pour le comprendre et l'apprécier ? C'est très étrange cette tendance chez les jeunes, ce besoin de s'identifier à une époque... Quand j'ai découvert Barry Lindon, j'ai halluciné devant ce chef-d'œuvre sans pour autant avoir vécu au 18 ème siècle.
@@stephanegozlan3056 vous dites que je dis qu'il faut avoir vécu les période pour les comprendre. Ça dépend des films ! Certains sont plus référencés intimement a leur période que d'autres, politiquement notamment
Je pense que tu es la personne qui parle le mieux de ce film, tu ne cries pas au chef d'oeuvre absolu comme tous les autres critiques en nous traitant quasi de crabes si l'on est pas touché mais tu pointes tous les aspects positifs de ce film.qui sont là indéniablement.
Une vidéo complète ou tu présente super bien le film tu as du énormément bosser un biopic de Spielberg doit pas être évident à analyser on m en a beaucoup parlé j ai hâte de le voir c est pas avant mi mars dans mon cgr, tu fais un boulot au top comme toujours
Je confirme, je me suis ennuyé ! C'est bien lui qui a fait Duel, les dents de la mer, Rencontre du 3ème type, les aventuriers de l'arche perdue, ET l'extra-terrestre, Jurassic Park, la liste de Schindler, il faut sauver le soldat Ryan, Minority report, la guerre des mondes, Munich ? Ha oui ? Ok ..... C'est sur que c'est pas une de ses sœurs qui a réalisé The Fabelmans 😜 1 Répondre
Je n'ai pas voulu être méchant, je disais simplement qu'il faut respirer parfois, prendre son temps pour souffler. Je m'en fous que la durée soit longue ou courte, l'essentiel, c'est de respirer, on n'est pas pressé. Sinon vos vidéos sont intéressantes, je les aiment beaucoup. @@lily_sennuie
Bon.... je suis passé complétement à côté. Le film ne m'a rien évoqué. C'est joli, bien foutu et on sent la patte d'un grand réalisateur, mais cela ne m'évoque rien, rien de rien. Dommage. ATTENTION SPOILER : c'est tout de même bizarre que Cameron ait réussi à m'intéresser aux états d'âme d'une baleine extraterrestre sur une planète à des milliards d'années lumières pendant que Spielberg ne m'a pas intéréssé du tout en parlant du divorce de ses parents en Arizona. Heureusement qu'il ya eu babylon en ce début d'année parcequ'entre Spielberg et Gray, je suis terriblement déçu.
@@stalwarthk ce film m'a pris au trip vous cherchez toujours des problèmes ou il n'ont n'a pas il ya quelque film que j'ai trouvé moyen de Steven Spielberg comme le bon gros géant, indiana jones 4 et Ready player one mais dire que ce film n'a pas de logique c'est de l'hypocrisie vous me faite pitié venez pas pleurer quand il n'aura plus de film comme ça
UN NAUFRAGE ...Steven Speilberg, un réalisateur que j'adore mais la c'est une catastrophe. Film avec des longueurs, sans scénario et scène interminables, avec une vielle réalisation, . Un film raté. , copié sur retour vers futur, . Speilberg n'a pas compris que le cinéma a changé. Son film et un montage et une réalisation pas original déjà vue dans ces précédent film . La musique c'est toujours pareil, pas original que tu peux la placer aussi bien dans Catch me if you can, un autre film de Speilberg. Seul les acteurs sont formidables.
Et en plus ta séquence dure 38 minutes ! C’est en plus une thèse en accéléré !!! Un peu de compassion pour le public !😅😅😅😅a croire que t’es sous CC ! c’est pas possible 😳😳😳😳
J’ai eu du mal avec ce film. Pour la comparaison, j’ai trouvé Armageddon Time plus subtil et plus émotionnel. Ici, j’ai eu ce sentiment de « too-much », un peu déjà vu. Pourtant je reconnais ses qualités mais je suis passé à côté :/ en tout cas tu présentes très bien le film !
Merci beaucoup ☺️☺️ A l'inverse j'ai eu beaucoup de mal avec Armageddon tout était beau, bien filmé, mais ça ne m'a pas atteinte 🤔 question de sensibilité sûrement ☺️
Je fais parti de ceux qui sont passés à coté. J'ai trouvé la 1ère partie interminable et peu prenante, avec des adultes qui y sont involontairement exaspérants, surtout la mère névrosée jouée par une Michelle Williams en roue libre; la 2ème est un peu plus enjouée et parfois drôle mais c'est peu pour 2h30 de film et ça ne décolle jamais vraiment... On est loin du chef d'oeuvre annoncé. 2/5
Ces derniers temps, j'ai remarqué que le cinéma parlait beaucoup... de cinéma ! Et pour mon plus grand plaisir ! "Babylon" était juste phénoménal, je l'ai adoré (peut-être déjà le meilleur film de l'année) et j'ai hâte de découvrir les propositions de Steven Spielberg et Sam Mendes.
En tout cas j'aime beaucoup ton interprétation du nom de Spielberg. J'y avais jamais vraiment pensé.
Elles sont chouettes tes vidéos 😁 j’aime bien la sympathie qui se dégage de toi !
Oh merci beaucoup !
Vu le mois dernier et j'ai beaucoup aimé. Le plan final était génial !
J'ai adoré aussi et cela fait penser à une référence à un autre film qui aurait une importance particulière pour Spielberg mais je bloque. Quelqu'un à une idée ?
Je te regarde de puis le live avec Landri et j’adore t’as personnalité très agréable t’es critiques sont toujours constructive avec des points de vue différents FableMan c’est un film incroyable c’est indéniable
On est d'accord ! Pour l'instant je te rejoint sur tout tes avis. Pour Fabelmans, j'ai vraiment eu l'impression de retrouver enfin du vrai cinéma.
et un amour de celui ci !
Malgré que j’ai pas réussi à accrocher au film,c’est une très belle critique, très détaillé , bravo 👏
Merci 😁
Bravo pour cette vidéo marathon !
Haha merci !
La Couleur des Souvenirs, quelle magnifique formule. Très belle analyse en tout cas qui donne encore plus furieusement envie de voir ce film. La lenteur annoncée du film ne me dérange pas. Très bien aussi ton résumé du Nouvel Hollywood. Tu as certes survolé cette période comme tu le dis dans ta scene post générique mais il faudrait au moins une émission toute entière à consacrer à cette période extrêmement riche, ma préférée. Bref une excellente vidéo d'une excellente chaîne, bravo à toi.
Chef d’œuvre instantané pour ma part ! j'ai été happé de bout en bout ! Spielberg montre à tous, à 76 ans qu'il n'a plus rien à prouver le concernant ! Michelle Williams mériterait l'oscar mais ce sera dur face a Cate Blanchett qui est éblouissante dans "TAR". Magnifique critique bien dosée de ta part que je partage quasi totalement (pas de ventre trop mou pour moi) merci j'apprécie beaucoup ta façon de parler du cinéma
Bonne vidéo ! C'était très structuré ! et passionnant à suivre J'ai beaucoup aimé tes analyses ! Merci ! Bon rétablissement !
Après «Babylon» au mois de janvier, un second film de cinéma sur le cinéma (mais pas seulement). Et un second coup de cœur à mes yeux.
Une toute première sortie au cinéma. Un spectaculaire accident de train projeté sur grand écran. Un choc, mais surtout une révélation pour un tout jeune spectateur assis entre ses parents, Sammy Fabelman.
Voilà le point de départ de l’œuvre la plus éminemment personnelle de Steven Spielberg. Car, ne nous voilons pas la face, il s'agit là d'une œuvre ô combien autobiographique, transposée à l'intérieur d'un récit dramaturgique et (en partie) fictionnelle.
Marquant le retour de Spielberg à l'écriture depuis «A.I. Intelligence Artificielle» en 2001 (ici aux côtés de Tony Kushner, scénariste de «Munich» et «West Side Story»), le cinéaste ne se borne pourtant pas à nous proposer un simple machin égocentrique sans rien à raconter dedans, bien au contraire.
Ici, il dresse un portrait à la fois touchant et désenchanté de ses parents : Burt, informaticien et Mitzi, pianiste. La logique, le réalisme d'un côté, le rêve et l'optimisme de l'autre. 2 êtres qui s'aiment, mais dont les visions et les désirs respectifs finissent par les éloigner l'un de l'autre.
Et cela, Sammy, le "double" cinématographique de Spielberg, n'en rate rien, dans les moments idylliques comme dans les moments plus tristes, captant les gestes, les corps et les regards, toujours les regards.
Tout a toujours été affaire de regards chez Spielberg (la fameuse "Spielberg Face", atteignant son apogée dans sa trilogie des aliens).
Ici, il y a celui qui regarde à travers son objectif, celles et ceux qui sont regardés par ce même objectif, et enfin ces mêmes personnes qui se (re)découvrent sur un grand écran, leur tendant un miroir de ce qu'elles sont ou de ce qu'elles rêveraient d'être (à l'image de cette mère en mal d'amour voyant la vie dont elle rêve, ou de cet élève qui ne se sentira jamais à la hauteur de l'image qu'il se colle lui-même).
Car dans «The Fabelmans», le cinéma est là pour dévoiler la vérité (qu'elle dérange ou non) et tenter de réparer le réel. Mais, comme l'apprendra notre protagoniste au fil du film, certaines choses ne peuvent se réparer à l'aide d'une caméra, et il faut parfois ressentir cette souffrance et ce chamboulement pour aller de l'avant et voir l'horizon (tant que celui-ci n'est pas au centre de l'image. Celles et ceux qui ont vu le film comprendront ce détail qui n'en est pas un).
Accompagné d'un casting exemplaire et d'une photographie somptueuse signée Janusz Kaminski, une histoire d'apprentissage et de passion, mélange de joie et de tristesse, convoquant comme jamais la puissance révélatrice des images.
Et cette poésie en mouvement, ce portrait intimiste rendu universel par le biais du cinéma ne peut me laisser indifférent, que ce soit en tant que spectateur et en tant qu'artiste.
Tant de choses à dire encore autour de ce film-somme qui va me rester en tête et qui donne tout son sens à la filmographie de son réalisateur, mais une chose est sûre : Spielberg est et reste l'un des plus grands conteurs du 7e Art, et le cinéma est et restera le plus grand spectacle du monde. 8/10.
The Fabelmans Spielberg se raconte la famille la camera , la famille devant la caméra📽 . Les meilleurs scnéne L'oncle Boris qui lui dit un discours sur l'Art et la rencontre de Spielberg avec John Ford un géant du Cinéma il lui fait une leçon sur la ligne d'horizon " intéressant " et le plan finale. Un bon Spielberg .
Sur NETFLIX pour continuer sur la carrière de Spielberg THE MOVIES That made US les coulisses du film jurassic Park 🦖 passionnant le film qui a révolutionné les effets visuels le premier Dinosaures en CGI . Le Cinéma fait sa révolution Numerique de Jurassic Park à AVATAR la voie de l'eau
J'ai préféré ta critique au film. 😁
Continue comme ça. On n'a plus qu'à réviser sa filmo de Spielberg en vue du top 10.
Merci 😁
J'ai bien aimé ta critique du film, c'est bien détaillé, bien expliqué rien à dire là-dessus et pour te dire ça ma donné envie d'aller le voir 🤩(vu que babylon aussi m'a plu) et c'était cool le "bêtisier" à la fin de la vidéo 😂👍
Contente que ça t'ai plu !
je connaissais pas cette prononciation et sa signification ! c'est marrant !
merci pour la video !
Avec plaisir 🙂
Toujours au top tes analyses. J'ai vu the Fabelmans en Décembre et ai ressenti a peut près la meme chose que toi. J'ai trouvé une longueur personnellement qui était la parti avec le grand oncle pendant laquelle j'ai faillis m'endormir mais sinon le reste du film j'ai vraiment adoré et il est meme mon top 1 film 2022. Pour moi le point fort du film est son jeu de camera qui dit tout ce qu'on a besoin de comprendre et semble terme le narrateur principal du film meme sans parole comme dans certaines scenes avec les parents et Bennie. Ce film m'a plongé dans l'univers de Spielberg dont j'étais vraiment assez dubitatif avant mais qui est un réalisateur que j'adore maintenant. La petite pique aux "cinéphiles" de Twitter à la fin 😂
On ne choisit pas sa famille tout court , faut faire avec , par contre ses ami(e)s , oui .
On voit que ses parents à Tonton Spielberg représentent les deux faces de sa personnalité :
Une réaliste , cartésienne ( le père ) , l' autre artiste , rêveuse ( la mère ).
Ses sœurs étant son premier soutien.
Un top SPIELberg en prévision ? ;-)
Très bonne analyse comme d’habitude 👏 excellent film que je ne peux , également, que vous recommander
Superbe critique, il y a certains films ou ce n'est pas évident dans faire une critique, je susi d'accord, le problème c'est que si je parle du film 5 joursp lus tard j'aurais oublié les 3/4 des détails à abordé haha!!!. Mais bon c'est cool les films de 2023 qui parle de l'essence même, et la création du cinéma, pour les cinéphiles, c'est généreux, ça te touche peux ètre le nombril, mais si c'est bien fait, je valide, ce genre de biopic, parce que oui la création du cinéma au fil des années c'est aussi du biopic, quand en plus on met en avant des mecs ou des femmes du milieux c'est encore mieux, quand en plus c'est réalisé par celui qui veux nous parlé de son enfance de cinéphile, c'est encore plus beau. En tout cas superbe vidéo
Jolie histoire bien romancée. Du Spielberg dans le texte. Mais encore + dans ce cas présent vu qu'il s'agit de son film le + personnel. J'ai beaucoup aimé la scène avec David Lynch dans la peau de John Ford. Un joli clin d'oeil.
Oui c'était très sympa mais j'ai préféré ne pas en parler ( no spoil 😉)
E.T. semble être aussi être un film personnel pour Steven Spielberg.
Un jeune garçon imaginatif et sa jeune sœur (il en manque une oui mais c'est le garçon le plus grand des deux).
Les Etats-Unis profond, une mère seule (il me semble) (père absent) ...
On peut retrouver beaucoup d'aspects vus dans Fabelmans dans E.T.
@@lily_sennuiepour moi il gagnera l'oscar du meilleure réalisateur et meilleure film
Magnifique 🍷🧐
Pour moi c’est pas un film qui parle du cinéma, mais un film qui parle des rapports entre les gens et le cinéma
Le cinéma est un art, tout est forcément question de rapport entre le créateur et le récepteur c'est ça le cinéma
Judd Hirsch a surtout joué dans le film Running on Empty (About de course en français, un des plus grand film des années 80), avec lequel The Fabelmans a beaucoup de points communs.
J'ai trouvé ce film fascinant , et totalement cohérent dans le parcours du réalisateur, Spielberg a toujours fonctionné par cycle, cycle de la vérité historique ( Schindler,soldat Ryan, Aminstad ) cycle distopie contemporaine ( A.I., Minosrity Report, guerre des mondes ) cycle de l'homme seul contre l'institution ( Lincoln, Pentagon papers, le pont des espions ).
Ce Fablemans ne déroge pas à la règle en s'inscrivant un petit peu dans toutes les histoires du cinéaste mais aussi dans une certaine continuité entre le cycle de l'homme enfant ( Hook, Terminal ) et celui de la vérité de l'image et sa manipulation ( minority report, arrête moi si tu peux ) c'est au travers d'une sorte de mélodrame métatextetuel quelque part entre Brian Depalma et Douglas Sirk que Spielberg se raconte pour le meilleur ( fulgurance de mise en scène, jeu symbolique sur la lumière éloquent ) comme parfois le pire ( surlignage du propos, thématique du divorce traité avec beaucoup moins de subtilité que dans E.T.) comme si la vérité de la légende du cinéma était tellement plus belle que celle du quotidien qu'il faille lui laisser toute sa place dans le cadre et laisser mourir le monde réel ( liberty valence de Ford toujours en toile de fond, quand la légende est plus belle que la réalité , il faut imprimer la légende ) .
C'est finalement dans cette dernière scène que tout le propos du film prend sens ,la vie est toujours plus belle quand on lui offre un cadre, une image sous contrôle , lorsque le jeune Sammy/Spielberg rencontre le vieux Lynch/John Ford ( l'homme aux 150 films ) dans un bureau minuscule tout en débattant paradoxalement sur l'importance de l'horizon dans des réductions des vastes étendues de l'ouest américain (ci celui est en milieu de cadre, l'image en devient fatalement inintéressante,comme vidée de toute substance, "chiante" dira Ford , rappelant aussi la célèbre devise de David Lean) une jolie scène qui annonce à la fois l'immensité d'une carrière à l'imagerie inoubliable, qui rentrera très vite dans l'inconscient du monde entier dans l'intimité d'un bureau de studio d'un cinéma en pleine transformation esthétique et d'un future cinéaste en pleine métamorphose sentimentale.
Merci pour cette vidéo. C’était un retour à Spielberg pour moi après n’avoir pratiquement rien vu après son adaptation de «Tintin». Je ne saurais expliquer mais j’ai eu cette impression de changement chez-lui, un éveil à son judaïsme (avec la liste de Schindler ?), un sérieux dans le ton ou un changement de look pour ses images dû à son directeur photo polonais. Je crois avoir retrouvé un peu du Speilberg «d’avant» avec un peu plus de simplicité (pas de CGI ou si peu) ce qui a dû lui faire grand bien. J’ai aimé le film mais sans plus, le «ventre mou» je l’ai perçu à l’arrivée en Californie... Il faut voir en complément le très bon documentaire fait sur Spielberg par HBO. La question du divorce de ses parents est abordée en plus d’un survol de ses principaux films (dispo sur Canal+ VOD et Orange).
P.S. 1 : À 28:15 pour la fameuse photo du groupe «Nouvel Hollywood», je viens à la défense de Ron Howard qui est toujours coupé dans la photo.🙂Sur le cliché original il est à gauche de Spielberg.
P.S. 2 : Seth Rogen est originaire de Vancouver, Canada. Phonétiquement il n’y a pas de D dans son nom de famille. Prononcé, on dirait «Ro-gaine». Aussi je remarque qu’en France vous dites «Shpielberg» (avec un h prononcé) alors que du côté américain ce h n’est pas prononcé.
Un film superbe! Merci!!!
Tu as tout dit oui, sur la corde de sensibilité avec laquelle il joue Steven Spielberg. Elle est très identique à des films comme Armageddon Time que j'avais adoré perso mais ducoût le frisson n'est pas le même
J'ai peur que ça soit la même chose pour empire of light de Sam Mendes bientôt
Dans les post gen, l'expression que tu recherché:"prendre le taureau par les cornes" 😅
Dommage de ne pas avoir parlé de There will be blood pour Paul Dano. Une très bonne interprétations et faut quand même assurer face a Day Lewis
Je ne peux pas parler de tout, c'est juste une présentation rapide
@@lily_sennuie Je me doute, mais j'avais envie de critiquer. Je m'emmerde en ce moment^^
@@rhodesfilm6599 ça a le mérite d'être honnête 😂
Pis bon la legende ma famille on es tous des elu sa soule!
passionnante !
Excellente critique ! On sent que tu aimes le cinéma et que tu le comprends parfaitement. Tu n’as pas parlé de John Williams qui s’est fait discret dans la BO. Le thème est merveilleux mais il passe « inentendu ». C’est complètement nouveau chez Spielberg. Moi ça m’a manqué et toi ? :)
Ce que j'ai beaucoup aimé dans the Fabelmans, c'est cette ligne entre le cartesien (materialisé par le pere) et l'artistique (materialisé par la mere) et comment Sammy va voguer dessus, son pere qui parle de hobby mais que Sammy va toucher lorsqu'il fait le western (il se sort de soucie de realisme avec une technique tres cartesienne, les trous dans la pelicule), lorsqu'il montre le film du weekend en famille, j'ai aimé la subtilité des 2 montages qui revele le souvenir du pere qu'il veut transmettre a sa femme (le montage officiel) et le souvenir de la mere avec le montage non officiel qui va reveler le souvenir de la mere, et attention spoiler, au dela de l'humour du film, le plan final fait le parallele entre Sammy et Spielby, celui qui a entendu les paroles de Ford c'est Sammy et c'est Spielby qui le met en pratique comme s'il voulait dire "et tout ce que j'ai vecu m'a amené a ca"
Le moment de flottement je l'ai trouvé interessant car je pense que c'est une vraie scission dans la vie de Sammy sa mere qu'il perd c'est un peu la disparition artistique dans sa vie, au profit de la version cartesienne (les etudes, la vie avec son pere ...) et du choix conscient qu'il va faire de repartir dans la realisation en entrant dans "l'industrie du cinema", c'est peut etre un peu tiré par les cheveux mais je me suis rendu compte avec ce film des paralleles avec ma vie (sans avoir le talent de Spielby hein) ou ma mere parlait de ma passion et de mes petits films entre amis de hobby, la separation de mes parents et que dans le choix final je suis resté dans le cartesien ... dans l'industrie, donc les petits paralleles on peut etre orienté ma vision du film, en tout cas j'ai beaucoup aimé le film
Très bonne vidéo.
Merci 😁
J’ai un avis très partagé sur Spielberg. Autant je le trouve excellent lorsqu’il fait de la fiction (SF, aventure, thriller/horreur), autant ses films historiques ou traitant de personnages réels me posent un réel problème, tant ils ont tendance à s’arranger avec candeur et complaisance des faits pour leur donner une tournure optimiste. Je prépare néanmoins mon top 10.
La Liste de Schindler c'est candide et optimiste ?
@@Kage3948 D'une certaine manière oui, car Spielberg adopte l'angle du sauvetage pour raconter l'histoire d'une extermination de masse. Mais La Liste de Schindler passe encore (on est loin de la véritable pantalonnade qu'est le film de Roberto Benigni sur le même sujet). Je pensais surtout à Il faut sauver le soldat Ryan, à Arrête-moi si tu peux, à Lincoln, etc.
@@clintwestwood9198 Pourquoi il n'y aurait qu'une façon de raconter la shoah ? Pas fan du film de Benigni mais sa proposition est intéressante.
C'est quoi tes références en film de guerre par ex ?
@@Kage3948 Effectivement, il n'y a pas qu'une façon de la raconter. Mais le film démontre bien l'angle optimiste privilégié par Spielberg pour traiter ses sujets historiques. Le problème est que cet optimisme a tendance à virer à la candeur (Il faut sauver le soldat Ryan) et à la complaisance (Arrête-moi si tu peux, Lincoln). Après, ce n'est que mon avis.
Les deux étant connectés, je dirais que la série Band of Brothers est bien meilleure que le soldat Ryan.
Salut !!!
Aller au cinéma actuellement mission impossible en + de mes horaires de travail fou fou, j'y suis pas allé depuis un mois au moins " déménagement, emménagement " 🥵
D'ici sous peu j'espère 🤞🏻
PS : j'attends avec impatience le nouveau film de Sam Mendes Empire of Light 01/03/23 où il a le point en commun avec Babylone de Damien Chazel,et The Fabelmans de Steven Spielberg .
💓l'amour du cinéma💓
Courage ! J'espère que le marathon va se calmer côté taf !
@@lily_sennuie Merci 😊
Et à moi la détente et le plaisir de retourner en salle 🎟️🎦.
@@lily_sennuie
Vu hier soir je l'ai trouvé Magnifique un Belle hommage a l'art du cinéma et a sa fabrique et a son sens de l'esthétique personnel de sa marque de fabrique.
Casting super
Musique de son compère de toujours John Williams a minima "91 ans tout de même" 😱.
Pas vue les 2h30 de la scéance.
Le film ressemble un peu au destin de Babylon boudé aux États-Unis mais encensé en Europe et ailleurs.
Un Oscar pour Michelle Williams ✨🏆✨
Paul Dano tout en justesse et retenue.
Bonne ambiance de communion dans la salle ♥️
Super8 a été produit par Spielberg. Et produire c'est superviser un projet cinématographique
Il est vrai !
waaaah t'es la 1ere que j'entend prononcé comme ça le nom de Spielberg ça ma dérouté 😂mais j'ai adoré ta critique alors même que pourtant le film m'intéresse pas
Ce n'est pas la première fois que Spielberg fait ce genre se films, non spectaculaires: always, The post, Le pont des espions, la couleur pourpre
Les couleurs dont tu parles avec beaucoup d'acuité, c'est peut-être les couleurs des années 60 dans l'Amérique de cette époque. On retrouve un peu ce langage des couleurs dans le film de Tarantino qui se déroule aussi dans les années 60.
Très possible !
Le souci c'est qu'à force de voir des films avec une mise en abîme on risque de sortir des univers qu'ils proposent
Comme Incroyable mais vrai, Everything Everywhere All At Once, trois mille ans à t'attendre...
J'ai pas du tout aimé Armageddon Time,the Fabelmans ne m'attire pas du tout, pourtant J'ADORE Spielberg,La liste de Schindler est dans mon top 3 de mes films préférés de tout les temps, mais les biopic, c'est pas trop mon genre, j'ai pas vu Blonde, ni Elvis, donc je passerais mon tour, sinon excellente critique, comme d'hab 👍👌😁
un real qui tourne son propre biopic, non mais pourquoi pas
Eh mademoiselle !! Faut calmer le débit ! Le montage découpé à la seconde ! Faut prendre le temps de respirer !!! C’est quoi ce speed ???
Je n’en peux plus ces montages façon dessin animé surexcité !
Faut se calmer … ! parler de grands réalisateurs et débiter l’image et le texte à cette allure …
Coupe le son et l’image et continue à regarder comment on capte l’attention et comment on utilise une caméra !
Et en plus t’agite les bras comme un moulin … tu parasites tout ton message !! Sans parler des placages de visuels qui apparaissent disparaissent à la vitessse de la lumière !!! Un vrai Luna park ta séquence !!
C'est juste mon débit naturel, si ça te plaît pas personne ne t'oblige à regarder 😉
Ce n’est pas qu’une histoire de débit de paroles 😊c’est aussi un souci de rythme du montage des images . Souci que l’on rencontre avec certains autres youtubeurs …peut être pensez vous que la vitesse va donner de l’impact à vos séquences mais en réalité elle vous dessert .
Si ton débit de parole est naturellement rapide c’est une raison pour séquencer plus calmement ton montage et ton ajout d’images… je m’excuse pour la tonalité un peu acerbe de mon message d’hier mais dans le fond prend mon message comme une critique constructive plutôt que de le rejeter abruptement et je t’invite à regarder ce que fond certains autres youtubeurs critiques cinéphiles , je pense que tu comprendras le sens de mes propos.
Ton message perd en impact par cette abondance … comme on dit « less is more »😉
@@ohhzutalorsohzutalors6959 j'ai pas vraiment envie de faire "comme les autres" justement.
Et petit conseil constructif, si tu veux que tes remarques soient perçues comme tel évite le ton obséquieux voir agressif ☺️ et tout ces points d'exclamations ... Inspire toi des autres commentaires conseil et voit a faire comme eux !
@@lily_sennuie 😅
Pourquoi serions-nous obligés d'avoir vécu les époques évoquées dans un film pour le comprendre et l'apprécier ?
C'est très étrange cette tendance chez les jeunes, ce besoin de s'identifier à une époque...
Quand j'ai découvert Barry Lindon, j'ai halluciné devant ce chef-d'œuvre sans pour autant avoir vécu au 18 ème siècle.
Pas pour tous les simple. Mais certains sont des clins d'oeil entre gens d'une même époque et ayant les même références, politique notamment
@@lily_sennuiequelle politique ?
Le wokisme ?
@@stephanegozlan3056 je parle de contexte historique de diffusion du film 🙃
@@lily_sennuie je ne comprends pas à quoi vous faites allusion.
Mais ce n'est pas grave tant que vous, vous comprenez... c'est l'essentiel.
@@stephanegozlan3056 vous dites que je dis qu'il faut avoir vécu les période pour les comprendre. Ça dépend des films ! Certains sont plus référencés intimement a leur période que d'autres, politiquement notamment
Je pense que tu es la personne qui parle le mieux de ce film, tu ne cries pas au chef d'oeuvre absolu comme tous les autres critiques en nous traitant quasi de crabes si l'on est pas touché mais tu pointes tous les aspects positifs de ce film.qui sont là indéniablement.
Spielberg prononcé à l'allemande semble la meilleure façon de le prononcer 🤔
A moi aussi mais beaucoup n'aiment pas
@@lily_sennuie Après je suis Suisse ça aide (on est plus proche des Allemands que vous les Français 😏☺️)
Une vidéo complète ou tu présente super bien le film tu as du énormément bosser un biopic de Spielberg doit pas être évident à analyser on m en a beaucoup parlé j ai hâte de le voir c est pas avant mi mars dans mon cgr, tu fais un boulot au top comme toujours
Je confirme, je me suis ennuyé ! C'est bien lui qui a fait Duel, les dents de la mer, Rencontre du 3ème type, les aventuriers de l'arche perdue, ET l'extra-terrestre, Jurassic Park, la liste de Schindler, il faut sauver le soldat Ryan, Minority report, la guerre des mondes, Munich ? Ha oui ? Ok ..... C'est sur que c'est pas une de ses sœurs qui a réalisé The Fabelmans 😜
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12:04 JJ abram es un copycatr spielberg sans personnalité,comme zemekis!
Bonjour, vos vidéos sont intéressantes ! Mais, je me demande quand vous avez le temps de respirer ?
Je ne respire pas, comme les vampires ☺️
Je n'ai pas voulu être méchant, je disais simplement qu'il faut respirer parfois, prendre son temps pour souffler. Je m'en fous que la durée soit longue ou courte, l'essentiel, c'est de respirer, on n'est pas pressé. Sinon vos vidéos sont intéressantes, je les aiment beaucoup. @@lily_sennuie
@@ericmielle7610 je l'ai pas mal pris, je parle vite naturellement mais j'ai l'habitude que ça dérange haha
Bon.... je suis passé complétement à côté. Le film ne m'a rien évoqué. C'est joli, bien foutu et on sent la patte d'un grand réalisateur, mais cela ne m'évoque rien, rien de rien. Dommage. ATTENTION SPOILER : c'est tout de même bizarre que Cameron ait réussi à m'intéresser aux états d'âme d'une baleine extraterrestre sur une planète à des milliards d'années lumières pendant que Spielberg ne m'a pas intéréssé du tout en parlant du divorce de ses parents en Arizona. Heureusement qu'il ya eu babylon en ce début d'année parcequ'entre Spielberg et Gray, je suis terriblement déçu.
Je suis pas d'accord ce film c'est un chef d'œuvre
Pareil, je suis totalement passé à coté, ce film m'a semblé interminable. On est loin du chef d'oeuvre !
@@stalwarthk arrête de dire n'importe quoi c'est un chef d'œuvre c'est juste que vous savez pas apprécier un magnifique film
@@dylanluffy334 je ne suis pas le seul dans ce cas. Chacun ses goûts !
@@stalwarthk ce film m'a pris au trip vous cherchez toujours des problèmes ou il n'ont n'a pas il ya quelque film que j'ai trouvé moyen de Steven Spielberg comme le bon gros géant, indiana jones 4 et Ready player one mais dire que ce film n'a pas de logique c'est de l'hypocrisie vous me faite pitié venez pas pleurer quand il n'aura plus de film comme ça
UN NAUFRAGE ...Steven Speilberg, un réalisateur que j'adore mais la c'est une catastrophe. Film avec des longueurs, sans scénario et scène interminables, avec une vielle réalisation, . Un film raté. , copié sur retour vers futur, . Speilberg n'a pas compris que le cinéma a changé. Son film et un montage et une réalisation pas original déjà vue dans ces
précédent film . La musique c'est toujours pareil, pas original que tu peux la placer aussi bien dans Catch me if you can, un autre film de Speilberg. Seul les acteurs sont formidables.
Dsl j'ai deteste et la rea es pauvre sa a aucune personnalité et c'es niais......
Et en plus ta séquence dure 38 minutes ! C’est en plus une thèse en accéléré !!! Un peu de compassion pour le public !😅😅😅😅a croire que t’es sous CC ! c’est pas possible 😳😳😳😳
En tout cas merci pour la thèse ☺️
J’ai eu du mal avec ce film. Pour la comparaison, j’ai trouvé Armageddon Time plus subtil et plus émotionnel. Ici, j’ai eu ce sentiment de « too-much », un peu déjà vu. Pourtant je reconnais ses qualités mais je suis passé à côté :/ en tout cas tu présentes très bien le film !
Merci beaucoup ☺️☺️
A l'inverse j'ai eu beaucoup de mal avec Armageddon tout était beau, bien filmé, mais ça ne m'a pas atteinte 🤔 question de sensibilité sûrement ☺️
Je fais parti de ceux qui sont passés à coté. J'ai trouvé la 1ère partie interminable et peu prenante, avec des adultes qui y sont involontairement exaspérants, surtout la mère névrosée jouée par une Michelle Williams en roue libre; la 2ème est un peu plus enjouée et parfois drôle mais c'est peu pour 2h30 de film et ça ne décolle jamais vraiment... On est loin du chef d'oeuvre annoncé. 2/5
Arrête de dire n'importe quoi moi je met 20/20