Ravi de voir que les soucis avec UA-cam ont vite été résolus. 3e bravo pour cet excellent épisode, qui combine habillement l'expertise de Melvin, les pertinentes anectodes de Thomas et un regard plus contemporain sur l'oeuvre de la part de Sofiane. Certes, un troisième opus qui s'éloigne de la rugosité des deux précédents mais qui possède de belles qualité, même lorsque l'on décape un peu le vernis de la nostalgie: L'iconisation de Max, les décors ingénieux, la stature de Turner, l'exploitation des espaces... Merci de nous avoir rappelé que Brian May a laissé sa place au Jarre recommandé par Weir à Miller (Jarre a non seulement composé la musique de The Year of Living Dangerously et Witness mais aussi de The Mosquito Coast, Dead Poets Society et Fearless - et renvoie à Weir par la bande de son fils dont la musique a aussi été utilisée par Weir dans Gallipoli). Autre lien avec Weir (et avec Gallipoli), les retrouvailles de Gibson avec l'immense Robert Grubb dont la carrière cinématographique a commencé avec rien de moins que My Brillant Career (Armstrong, 79) et Gallipoli (Weir, 81). La Saga Mad Max a finalement réuni quelques unes des grandes figures de la Nouvelle Vague Australienne: Gibson, Grubb, Spence, et beaucoup d'autres derrière la caméra (le coscenariste du 2, Hannant, était l'un des trois réalisateurs du triptyque Three to Go - avec Olivia Howes- qui fit gagner à Weir ses premiers galons derrière la caméra). Il y aurait aussi des tonnes à dire sur la société Roadshow qui distribue les trois films mais cela demanderait un épisode complet (!). Merci encore pour cette excellente plongée dans ce désert australien aussi peuplé par notre admiration que par ses chameaux (pour les traversées de désert australien à dos d'animal ruminant, je vous conseille "Tracks" (2013) de John Curran avec Mia Wasikowska). Ecouter Melvin nous fait presque regretter que la saga Mad Max ne s'étende pas sur plus de films...
Celui que j'ai moins aime MAIS j'ai toujours été fascine par la ville, son fonctionnement,... Apres bien que l'aspect mythologique y soit exploite d'une façon interessante, je trouve qu'il y a une baisse de rythme avec la partie des enfants. Et écoutant le podcast cette partie prend une dimension encore plus interessante.
Merci beaucoup pour ce podcast très très intéressant. Avec le temps ce film sera de plus en plus apprécié car malgré quelques faiblesses, il possède de nombreux atouts qu'il faut prendre le temps d'apprécier. Et puis c'est le dernier Mad Max, il y a un côté nostalgique. Fury Road, c'est tout à fait autre chose. Je préfère Mad Max : Au delà du dôme du tonnerre car Mel Gibson (le seul et unique Max) et le scénario qui est plus riche que Fury Road et le film plus attachant
@@furyoblues Je ne suis pas prêt d'arrêter. Il n'y a aucune connerie et rien de stérile. C'est comme si après "Indiana Jones et la dernière croisade", on avait remplacé Harrison Ford par un autre acteur. Max Rockatansky, c'est Mel Gibson. Indiana Jones, c'est Harrison Ford.
Ravi de voir que les soucis avec UA-cam ont vite été résolus.
3e bravo pour cet excellent épisode, qui combine habillement l'expertise de Melvin, les pertinentes anectodes de Thomas et un regard plus contemporain sur l'oeuvre de la part de Sofiane.
Certes, un troisième opus qui s'éloigne de la rugosité des deux précédents mais qui possède de belles qualité, même lorsque l'on décape un peu le vernis de la nostalgie: L'iconisation de Max, les décors ingénieux, la stature de Turner, l'exploitation des espaces...
Merci de nous avoir rappelé que Brian May a laissé sa place au Jarre recommandé par Weir à Miller (Jarre a non seulement composé la musique de The Year of Living Dangerously et Witness mais aussi de The Mosquito Coast, Dead Poets Society et Fearless - et renvoie à Weir par la bande de son fils dont la musique a aussi été utilisée par Weir dans Gallipoli).
Autre lien avec Weir (et avec Gallipoli), les retrouvailles de Gibson avec l'immense Robert Grubb dont la carrière cinématographique a commencé avec rien de moins que My Brillant Career (Armstrong, 79) et Gallipoli (Weir, 81). La Saga Mad Max a finalement réuni quelques unes des grandes figures de la Nouvelle Vague Australienne: Gibson, Grubb, Spence, et beaucoup d'autres derrière la caméra (le coscenariste du 2, Hannant, était l'un des trois réalisateurs du triptyque Three to Go - avec Olivia Howes- qui fit gagner à Weir ses premiers galons derrière la caméra).
Il y aurait aussi des tonnes à dire sur la société Roadshow qui distribue les trois films mais cela demanderait un épisode complet (!).
Merci encore pour cette excellente plongée dans ce désert australien aussi peuplé par notre admiration que par ses chameaux (pour les traversées de désert australien à dos d'animal ruminant, je vous conseille "Tracks" (2013) de John Curran avec Mia Wasikowska). Ecouter Melvin nous fait presque regretter que la saga Mad Max ne s'étende pas sur plus de films...
Celui que j'ai moins aime MAIS j'ai toujours été fascine par la ville, son fonctionnement,... Apres bien que l'aspect mythologique y soit exploite d'une façon interessante, je trouve qu'il y a une baisse de rythme avec la partie des enfants. Et écoutant le podcast cette partie prend une dimension encore plus interessante.
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Merci beaucoup pour ce podcast très très intéressant.
Avec le temps ce film sera de plus en plus apprécié car malgré quelques faiblesses, il possède de nombreux atouts qu'il faut prendre le temps d'apprécier. Et puis c'est le dernier Mad Max, il y a un côté nostalgique.
Fury Road, c'est tout à fait autre chose. Je préfère Mad Max : Au delà du dôme du tonnerre car Mel Gibson (le seul et unique Max) et le scénario qui est plus riche que Fury Road et le film plus attachant
Il faudrait peut-être arrêter cette connerie du "seul et unique Max", c'est tellement stérile.
@@furyoblues
Je ne suis pas prêt d'arrêter.
Il n'y a aucune connerie et rien de stérile. C'est comme si après "Indiana Jones et la dernière croisade", on avait remplacé Harrison Ford par un autre acteur.
Max Rockatansky, c'est Mel Gibson.
Indiana Jones, c'est Harrison Ford.
ce 3eme mad max m as deçus