Rare que je passes autant de temps à décortiquer un album...de l'analyser de de tout bord tout côté...de faire des recherches de significations, autant artistique, géopolitique, métaphasique et j'en passe...mes ses moments plus intellectuels ne sont qu'un plaisirs en écoutant ce voyage post-Metal dans une émotion vive et viscérale avec des moments de paix et contemplations très courts qui crée l'effet d'un balancier...comme une vague continue...dans un temps de détresse loin des côtes sous le silences des astres et des Dieux. Vraiment à découvrir...belle job les Sherbrookois!
Paroles: I. L'Ancre de la Douleur Triangulaire Satellite en dormance, dessin d'une nitescence. Nuit funambulesque, comble du vide pittoresque. Œillet de l'attraction, fragment d'une douce sédation. II. Anachorète Seul, exclu, mort, vaincu. Un irrationnel regard ambivalent. La corrélation entre le noir et le blanc. Seul, exclu, mort, vaincu. Dyade éternelle sans ambiguïté. Rejetant toute velléité. Un irrationnel regard ambivalent. La corrélation entre le noir et le blanc. Anachorète, anachorète, début du rite énigmatique. Anachorète, anachorète, stéréotype d'un parasite. Maîtres chatoyants disposant de leur acolyte. Ancrés dans le temps et leur appétit. Cherchant à réunir l'inséparable. Noble passion qui jamais ne s'enflammera. III. Cent Mots Ravagées par la honte et la peur d'un mot. Volant dans le néant à bord du grand radeau. Un message, un grave danger. Les pauvres âmes vierges et désemparées Devront se sauver. Courant, amusées. Dans les champs des larmes sucrées. Les membres arrachés, embrasés, frappant la naïveté des victimes enjouées... ...par la honte et la peur d'un mot. Volant dans le néant à bord du grand radeau. Un rêve éveillé, aux formes réincarnées. Un songe passager, emmuré, sans droit ni utilité. Un passé aux années massacrées, Où toutes les dignités furent bafouées, Où tous les soleils restèrent couchés IV. Délire Mantique La paume de la délivrance s’est noyée de milliers de cris. La plèbe proclame « prophétie », à la tromperie « éternelle ». Caresse des promesses des affres de leur vie. L’exhumation de son esprit. Déferlement « répétitif », une révélation « pessimiste ». De par ses nuits, l’ont-ils meurtri dans le mépris, l'enfant aigri ? Seul, exclu, mort, vaincu. Les sacrifiés iront danser, à l'origine de l'atrocité. Usurper la foi, bafouer les droits Effacer la joie, destinée sans voie Les sacrifiés iront danser, à l'origine de l'atrocité. Étrange nuitée à bord du grand radeau échoué. Caressant les promesses des affres de nos vies. La triste exhumation de nos esprits troublés. Caresse des promesses des affres de leur vie. L’exhumation de son esprit. V. Sans Maux Naufragé immobile, l'équipage est à l'eau. Guidé par les flots, livré aux oiseaux. Entouré de par les siens, englouti par son destin. Ce qui devait être oublié n'est qu'aube sans fin. Blâmant les visages aux regards effacés, Qui vacillent entre mensonges et vérités. Submergés de douceur insolite, Par les revers des marées qui s'invitent. Devant la béance des abîmes sans maux émerge l'écho du silence. Silence isolé ! Silence ignoré ! Silence condamné ! Silence dévoré ! Les prisonniers du lendemain se trouvent et se perdent en vain. Divergeant de leur propre chemin, enviant un dernier matin. Un état de rêverie qui nous embrasse. S'éminçant dans nos têtes sans laisser de trace. Réunissant les oscillations « perpétuelles''. Une symbiotique étreinte enfantant « le cycle éternel ». Actes forcés, reflétant le délire des prosélytes étiolés. Gloire au roi en anoxie, qui s'enfonce dans le vide infini. Chantant l'hymne de son origine : « Seul, exclu, mort, vaincu ». VI. L'Astre de Velours Une résonance distractive fait écho dans les colonies, silencieuse agonie. La main funeste a repris son travail, prenant les vies épuisées, sans représailles. Mirage réfléchissant le préambule du jour. Celle qui, sans cruauté, jonchait parmi les rampants, Maintenant apaise les pleurs des innocents. Silencieuse dans ce vacarme, elle observe les vipères écrasées. Annihilant les projections répressives, réinjectant les réactions impulsives. Mirage réfléchissant le préambule du jour. Une ondulation dénuant l'astre de velours. Une résonance distractive fait écho dans les colonies, silencieuse agonie. Affliction sans nom, déclin de l'illusion. À peine distinguable, elle résonne dans les têtes qui ont plu du ciel. Ne faisant qu'un avec les mues de la pernicieuse créature artificielle. La main funeste a repris son travail, prenant les vies épuisées, sans représailles. Un concret éphémère d'une noyade sans vue qui écoute sans ouïe. Une distraction mièvre sanguinolente de quelques gouttes de folie. VII. Les Amants du Désordre Qui ose pénétrer la raison ? Des salariés aux visages sans nom. Des âmes qui tentent de violer leur temple du pardon. Insensibles face à cette désunion, Les amants du désordre, défoncent les portes et brûlent les fondations, sans faille, sans sermon. Ne cherchant qu'à dissiper leurs rêves inachevés. Qui ose pénétrer la raison? Les amants du désordre. VIII. Cent Maux Affaibli de par mille brèches, irradiant l'ivresse. Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai. Leurs corps impossibles à distinguer, à matérialiser. Inutile de parler. Me noient dans mon sang assoiffé, je n'espère que rêver. Inutile de crier. Ils finiront un jour par me dévorer. Inutile de pleurer. Ma tête est un festin duquel ils puisent depuis des années. Et mon cœur, depuis des jours, ne fait qu'agoniser. Leur fils me célèbre en harmonie, telle une symphonie. Sévissant du précipice, ils vivent le vice, vissant mes idées pessimistes. Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai. Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai. Ce monde désorienté aura fini par me souiller. Nargué de fluides immaculés, je ne sais plus comment rêver. Inutile d’essayer. Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai. IX. L’Apogée des Oubliés Les bêtes cessent de mordre, les inconnus me laissent. Achevez moi, ne m'aidez pas, faites en une promesse. Mes idées exprimées se tordent dans l'allégresse. Telle une aveuglante douceur sombrant ma détresse. Mes idées exprimées se tordent dans l'allégresse. Mes pensées détruites meurent sans manifeste. Ils sont repartis, m'ont laissé engourdi. Les yeux branchés dans des pixels infinis. Une paralysie sans peur, la léthargie du bonheur. Seul, exclu, mort, vaincu. Usurper la foie, bafouer les droits. Effacer la joie, destiné sans voix. X. Sans Mot ...
Rare que je passes autant de temps à décortiquer un album...de l'analyser de de tout bord tout côté...de faire des recherches de significations, autant artistique, géopolitique, métaphasique et j'en passe...mes ses moments plus intellectuels ne sont qu'un plaisirs en écoutant ce voyage post-Metal dans une émotion vive et viscérale avec des moments de paix et contemplations très courts qui crée l'effet d'un balancier...comme une vague continue...dans un temps de détresse loin des côtes sous le silences des astres et des Dieux. Vraiment à découvrir...belle job les Sherbrookois!
J'adore.. juste c'est simplement parfait ... il faut que je vous voie en live !
Good album
Paroles:
I. L'Ancre de la Douleur Triangulaire
Satellite en dormance, dessin d'une nitescence.
Nuit funambulesque, comble du vide pittoresque.
Œillet de l'attraction, fragment d'une douce sédation.
II. Anachorète
Seul, exclu, mort, vaincu.
Un irrationnel regard ambivalent.
La corrélation entre le noir et le blanc.
Seul, exclu, mort, vaincu.
Dyade éternelle sans ambiguïté. Rejetant toute velléité.
Un irrationnel regard ambivalent. La corrélation entre le noir et le blanc.
Anachorète, anachorète, début du rite énigmatique.
Anachorète, anachorète, stéréotype d'un parasite.
Maîtres chatoyants disposant de leur acolyte.
Ancrés dans le temps et leur appétit.
Cherchant à réunir l'inséparable.
Noble passion qui jamais ne s'enflammera.
III. Cent Mots
Ravagées par la honte et la peur d'un mot.
Volant dans le néant à bord du grand radeau.
Un message, un grave danger.
Les pauvres âmes vierges et désemparées
Devront se sauver. Courant, amusées.
Dans les champs des larmes sucrées.
Les membres arrachés, embrasés, frappant la naïveté des victimes enjouées...
...par la honte et la peur d'un mot.
Volant dans le néant à bord du grand radeau.
Un rêve éveillé, aux formes réincarnées.
Un songe passager, emmuré, sans droit ni utilité.
Un passé aux années massacrées,
Où toutes les dignités furent bafouées,
Où tous les soleils restèrent couchés
IV. Délire Mantique
La paume de la délivrance s’est noyée de milliers de cris.
La plèbe proclame « prophétie », à la tromperie « éternelle ».
Caresse des promesses des affres de leur vie.
L’exhumation de son esprit.
Déferlement « répétitif », une révélation « pessimiste ».
De par ses nuits, l’ont-ils meurtri dans le mépris, l'enfant aigri ?
Seul, exclu, mort, vaincu.
Les sacrifiés iront danser, à l'origine de l'atrocité.
Usurper la foi, bafouer les droits
Effacer la joie, destinée sans voie
Les sacrifiés iront danser, à l'origine de l'atrocité.
Étrange nuitée à bord du grand radeau échoué.
Caressant les promesses des affres de nos vies.
La triste exhumation de nos esprits troublés.
Caresse des promesses des affres de leur vie.
L’exhumation de son esprit.
V. Sans Maux
Naufragé immobile, l'équipage est à l'eau.
Guidé par les flots, livré aux oiseaux.
Entouré de par les siens, englouti par son destin.
Ce qui devait être oublié n'est qu'aube sans fin.
Blâmant les visages aux regards effacés,
Qui vacillent entre mensonges et vérités.
Submergés de douceur insolite,
Par les revers des marées qui s'invitent.
Devant la béance des abîmes sans maux émerge l'écho du silence.
Silence isolé ! Silence ignoré ! Silence condamné ! Silence dévoré !
Les prisonniers du lendemain se trouvent et se perdent en vain.
Divergeant de leur propre chemin, enviant un dernier matin.
Un état de rêverie qui nous embrasse.
S'éminçant dans nos têtes sans laisser de trace.
Réunissant les oscillations « perpétuelles''.
Une symbiotique étreinte enfantant « le cycle éternel ».
Actes forcés, reflétant le délire des prosélytes étiolés.
Gloire au roi en anoxie, qui s'enfonce dans le vide infini.
Chantant l'hymne de son origine :
« Seul, exclu, mort, vaincu ».
VI. L'Astre de Velours
Une résonance distractive fait écho dans les colonies, silencieuse agonie.
La main funeste a repris son travail, prenant les vies épuisées, sans représailles.
Mirage réfléchissant le préambule du jour.
Celle qui, sans cruauté, jonchait parmi les rampants,
Maintenant apaise les pleurs des innocents.
Silencieuse dans ce vacarme, elle observe les vipères écrasées.
Annihilant les projections répressives, réinjectant les réactions impulsives.
Mirage réfléchissant le préambule du jour.
Une ondulation dénuant l'astre de velours.
Une résonance distractive fait écho dans les colonies, silencieuse agonie.
Affliction sans nom, déclin de l'illusion.
À peine distinguable, elle résonne dans les têtes qui ont plu du ciel.
Ne faisant qu'un avec les mues de la pernicieuse créature artificielle.
La main funeste a repris son travail, prenant les vies épuisées, sans représailles.
Un concret éphémère d'une noyade sans vue qui écoute sans ouïe.
Une distraction mièvre sanguinolente de quelques gouttes de folie.
VII. Les Amants du Désordre
Qui ose pénétrer la raison ?
Des salariés aux visages sans nom.
Des âmes qui tentent de violer leur temple du pardon.
Insensibles face à cette désunion,
Les amants du désordre, défoncent les portes et brûlent les fondations,
sans faille, sans sermon.
Ne cherchant qu'à dissiper leurs rêves inachevés.
Qui ose pénétrer la raison? Les amants du désordre.
VIII. Cent Maux
Affaibli de par mille brèches, irradiant l'ivresse.
Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai.
Leurs corps impossibles à distinguer, à matérialiser. Inutile de parler.
Me noient dans mon sang assoiffé, je n'espère que rêver. Inutile de crier.
Ils finiront un jour par me dévorer. Inutile de pleurer.
Ma tête est un festin duquel ils puisent depuis des années.
Et mon cœur, depuis des jours, ne fait qu'agoniser.
Leur fils me célèbre en harmonie, telle une symphonie.
Sévissant du précipice, ils vivent le vice, vissant mes idées pessimistes.
Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai.
Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai.
Ce monde désorienté aura fini par me souiller.
Nargué de fluides immaculés, je ne sais plus comment rêver. Inutile d’essayer.
Ne m'aidez pas, achevez moi ou je m'achèverai.
IX. L’Apogée des Oubliés
Les bêtes cessent de mordre, les inconnus me laissent.
Achevez moi, ne m'aidez pas, faites en une promesse.
Mes idées exprimées se tordent dans l'allégresse.
Telle une aveuglante douceur sombrant ma détresse.
Mes idées exprimées se tordent dans l'allégresse.
Mes pensées détruites meurent sans manifeste.
Ils sont repartis, m'ont laissé engourdi.
Les yeux branchés dans des pixels infinis.
Une paralysie sans peur, la léthargie du bonheur.
Seul, exclu, mort, vaincu.
Usurper la foie, bafouer les droits.
Effacer la joie, destiné sans voix.
X. Sans Mot
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