POEME DU VENDREDI 13 NOVEMBRE

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  • Опубліковано 20 жов 2024
  • La menace a frappée.
    Le peuple de la Terre
    Est avec nous affligé
    Des perles de lumière
    Eteintes en une soirée.
    Le soleil levé, à Paris, je me balade.
    Souhaitant te réapproprier, malgré le vide,
    Et en constatant la profondeur de ton deuil,
    J'entends plusieurs larmes couler à ton oeil.
    Vous rendez-vous compte ?
    Auteur du massacre,
    Que celui qui agit
    Armé dans la nuit
    En tuant l'innocent
    Tachant le sol de sang
    Est celui qui a peur.
    Votre âme meurtrie
    Est l'arme qui détruit.
    Que votre Dieu vous pardonne, car
    Il faut tirer bilan
    Et non tirer à blanc
    Ne pas tirer à l'arme
    Mais juste quelques larmes.
    Le dégout de nos coeurs
    Tout d'un coup devient fleur.
    Les champs de la joie
    Sont notre voie !
    Le vent de notre colère
    ne recherche pas la guerre,
    Mais au contraire,
    C'est lui qui nous relève.
    Fluctuat nec mergitur
    Après sombres sanglots,
    C'est une ode à l'amour
    Arrivant au galop
    Qui parcourt les faubourgs.
    Cherchant la sécurité
    Par la Fraternité
    Qui nous donne le courage
    De se remettre à l'ouvrage.
    Aussi solide que des pieds de fer,
    De notre culture, soyons fière.
    Voyons que l'art séjournant ici
    Nous invite à jouir
    Encore plus de la vie !
    La scène retrouve dès à présent son calme,
    Scintillante comme les vitraux de Notre Dame.
    Puisse-t-elle apaiser les coeurs de l'ennemi
    Et la peine des proches des nombreuses victimes.
    Gratitude à ceux qui ont hissé les couleurs de la nation.
    Le fil du quotidien, nous le reprenons avec détermination.
    Mondialisons la compassion !
    Et la paix de nos coeur
    Et celle du climat
    A jamais régnera !
    Sophia Mélanie et Guillaume -
    Musique : The Secession - Move Forth

КОМЕНТАРІ • 3

  • @lespoemesdalex
    @lespoemesdalex 9 років тому +3

    Absolument magnifique !! j'adore ! bravo ! +1