Bakhita la survivante : l’esclave qui a brisé ses chaînes
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- Опубліковано 25 тра 2024
- Ce film propose de découvrir la figure de Joséphine Bakhita, esclave soudanaise devenue sainte, patronne des opprimés et des exploités. Née vers 1869 dans un village du Darfour, enlevée par des négriers à l’âge de sept ans, elle a été vendue plusieurs fois à des maîtres cruels, battue et torturée. Elle est par la suite tirée de l’esclavage par un consul italien en poste à Karthoum qui l’achète et l’emmène en Italie. C’est dans ce pays qu’elle rencontre le Dieu d’Amour, son seul maître et Seigneur, reçoit le baptême et entend l’appel du Christ à lui consacrer sa vie. Bakhita la « Moretta », ou « petite Mère Noire » comme on la surnomme, a vécu avec un héroïsme et une simplicité désarmante l’amour du prochain et le pardon des ennemis. Ce récit est celui d’une âme simple, généreuse, courageuse qui, toute sa vie durant, par la grâce de Dieu, a su transformer sa souffrance en bonheur.
Cette histoire est intéressante.. J'espère qu'un jour les historiens et sociologues noirs vont accès leur travail sur les rebelles marrons et tout les héros noirs de l'histoire, les stratégies militaire et sophistiqué pour éteindre les colons.
Originale présentation, très belle je dois dire. Je préfère même cette vidéo au film qui a été fait. J'ai vu le film après avoir lu le dernier livre qui a été écrit sur la vie de Bakhita, édité en 2017 je crois, et j'ai été déçue. Je préfère encore les dessins qu'on voit ici et qui font appel à notre imagination. Il me semble qu'un détail important manque dans ce récit : Bakhita a été effectivement inquiète à l'idée de devenir sœur, du fait de son origine et de sa peau. C'est une statue d'une Vierge noire qui a mis fin à son tourment. Elle est tombée en pleurs à genoux devant.
Triste évangélisation des peuples non occidentaux. Encore un long travail à faire