16:16 oui à la différence que dans la dysmorphophobie c'est sur notre physique donc cela ne peut que revenir constamment d'autant plus si le défault est réel, il suffit d'un simple reflet, d'un miroir ou de simples regards pour nous y faire repenser...
Dans ce reportage, je reconnais un peu les processus mentaux de mon TOC qui est parti d'une fixation sur 1 Mauvais souvenir en particulier, et où toutes les associations d'idées qui ramènent au souvenir sont devenues des obsessions. Moi qui croyais qu'effacer le souvenir de ma mémoire me soulagerais (puis un souvenir ne s'efface pas), ça veut dire que si j'avais pu l'effacer pour être tranquille, le TOC aurait trouvé un autre mauvais souvenir pour me refaire tout le même cinéma ?
Une excellente vulgarisation - Cabinet Besset Crobu (psys se basant sur les TCC!), mon TOC ce despot avec Margot Eisenblaetter - ua-cam.com/video/TaF--XohQQ4/v-deo.html
Je trouve ces entrevues très intéressantes, instructives et pour cela, je vous en remercie ! en revanche, le thérapeute s’exprime d’une manière, (je trouve) par moment peu appropriée. si véritablement il s’adresse comme ça, ses patients !( dire à quelqu’un qui a une dispmorphophobie « mais attendez vous avez une cicatrice deguelasse ! pourquoi vous ne focalisez pas et sur votre perte de cheveux et sur votre cicatrice 😮…c est provocateur dans le but de bouger le patient mais je trouve ça vraiment limite et condescendant. Je n’aime pas le ton supérieur de ce thérapeute même son disputes sur le fond à propos des troubles est pertinent
Bonjour Madame, Il faut remettre cette vidéo dans son contexte : les interviews sont réalisées sur une journée entière, sur le temps libre des intervenants et dans un cadre décontracté qui n’est pas celui d’une séance de psychothérapie entre un thérapeute et un patient. Par ailleurs, s’agissant de l’exemple donné à la 30e minute, Vincent Trybou reprend le terme par lequel le patient caractérisait lui-même sa cicatrice. Bien à vous, Raphaël pour l’AFTOC
16:16 oui à la différence que dans la dysmorphophobie c'est sur notre physique donc cela ne peut que revenir constamment d'autant plus si le défault est réel, il suffit d'un simple reflet, d'un miroir ou de simples regards pour nous y faire repenser...
Une fois reconnue et acceptée , qu’es que la dysmorphophobie m’a empêchée d’apprendre? Quelles sont les sequelles restantes?
Dans ce reportage, je reconnais un peu les processus mentaux de mon TOC qui est parti d'une fixation sur 1 Mauvais souvenir en particulier, et où toutes les associations d'idées qui ramènent au souvenir sont devenues des obsessions.
Moi qui croyais qu'effacer le souvenir de ma mémoire me soulagerais (puis un souvenir ne s'efface pas), ça veut dire que si j'avais pu l'effacer pour être tranquille, le TOC aurait trouvé un autre mauvais souvenir pour me refaire tout le même cinéma ?
Bonjour. Pouvez vous traiter les tocs de la respiration
Une excellente vulgarisation - Cabinet Besset Crobu (psys se basant sur les TCC!), mon TOC ce despot avec Margot Eisenblaetter - ua-cam.com/video/TaF--XohQQ4/v-deo.html
Et le film "What if it works" de Romi Trower (trouvable en streaming)
Je trouve ces entrevues très intéressantes, instructives et pour cela, je vous en remercie ! en revanche, le thérapeute s’exprime d’une manière, (je trouve) par moment peu appropriée. si véritablement il s’adresse comme ça, ses patients !( dire à quelqu’un qui a une dispmorphophobie « mais attendez vous avez une cicatrice deguelasse ! pourquoi vous ne focalisez pas et sur votre perte de cheveux et sur votre cicatrice 😮…c est provocateur dans le but de bouger le patient mais je trouve ça vraiment limite et condescendant. Je n’aime pas le ton supérieur de ce thérapeute même son disputes sur le fond à propos des troubles est pertinent
Bonjour Madame,
Il faut remettre cette vidéo dans son contexte : les interviews sont réalisées sur une journée entière, sur le temps libre des intervenants et dans un cadre décontracté qui n’est pas celui d’une séance de psychothérapie entre un thérapeute et un patient.
Par ailleurs, s’agissant de l’exemple donné à la 30e minute, Vincent Trybou reprend le terme par lequel le patient caractérisait lui-même sa cicatrice.
Bien à vous,
Raphaël pour l’AFTOC
@ je vous remercie pour ces précisions. Cordialement