Etienne Parizot : si tous les élèves de France vous avait rencontré tout le monde ou presque aimerait comprendre la physique ! Votre démonstration des champs est limpide comme un champ de connaissances ! Merci ! Je précise que je suis de formation littéraire comme quoi cette soi-disante opposition est nulle
Je vais essayer de regarder la vidéo suivante en espérant que ça rentrera un peu moins dans les calculs qui ici m'ont pas tout à fait complètement perdu mmmmais presque lol (ou en espérant disposer d'un recul, sorti de je ne sais où, qui me rendra perméable à une forme de compréhension globale ... C'est intéressant ça aussi : comment quelque chose en soi parvient à effleurer objectivement la justesse de l'idée exposée en faisant abstraction du chemin mathématique qui y conduit ?)
Bonjour, par rapport aux paradoxes de Zenon qui vous fascinent autant (et à raison) (et grâce auxquels je vous ai découvert via votre chaîne secondaire E.T d'Orion, donc merci infiniment à eux, et à l'Algorithme), est-ce que "bêtement" la réponse du problème du mouvement n'est pas dans la relativité restreinte : vu que tout corps est nécessairement en mouvement dans l'espace-temps (même dans son référentiel propre, s'il est immobile dans l'espace, il se déplace dans la direction de son temps), ça n'a pas vraiment de sens de considérer un instant figé ? (un peu un équivalent de la lumière qui ne peut être au repos dans aucun référentiel) Même si tout cela ne fait sans doute que déplacer le problème le problème vers : pourquoi le temps s'écoule ? Pour continuer sur les paradoxes de Zenon, c'est vraiment celui sur l'impossibilité du mouvement qui me parait le plus problématique. Pour le plus connu, celui d'Achille et la tortue, si on évacue le problème du mouvement, j'ai toujours considéré que la réponse n'était pas tant dans le fait que la limite de la somme du découpage en 1/2, 1/4, ... convergeait vers 1 (qui est quand même utile), que dans celui que en prenant des intervalles de distance de plus en plus petit, on prenait en même temps des intervalles de temps de plus en plus petit, et qu'en fait Achille ne rattrape pas la tortue dans le processus, parce qu'on n'atteint pas non plus le moment où il la doublerait, et non pas que ça lui demanderait un temps infini. Ce que Zenon rate peut-être, c'est qu'un processus infini ne prend pas nécessairement un temps infini. Réflexions qui me sont venues pendant que mon esprit divaguait quand je faisais la vaisselle (immobile devant mon évier bien-sûr).
Bonjour. Je continue ma "promenade découverte" très agréable au fil de vos cours. Encore merci. Vous dites que lorsqu'on est en chute libre, on n'est plus soumis à la gravitation. Ou on l'a fait localement disparaître. Mais pourtant, nous sommes toujours dans le champ gravitationnel. Donc comment dire "être dans le champ gravitationnel" et dire en même temps "ne plus être soumis à la gravitation"? Merci pour la réponse.
Bonjour. Je ne suis pas sûr de saisir ce qui vous gêne. Si vous êtes en chute libre, le champ gravitationnel est localement nul dans le système de coordonnées qui correspond à votre référentiel. Si vous êtes sur le trottoir et qu'un bus passe, le bus a une certaine vitesse par rapport à vous. Mais si vous vous laissez entraîner par le bus (en montant dedans !), le bus a une vitesse nulle dans votre référentiel. Cela répond-il à votre question ?
Mais si le champ gravitationnel est "localement nul dans mon référentiel" (pas certain de bien saisir toute la portée de cette phrase 😊), comment expliquer que je tombe ? Je n'ai peut être pas bien saisi le concept de champ. Pour moi, c'est quelque chose de "spatial". On est dedans ou on ne l'est pas. Je ne comprends pas que cela dépende simplement de la "situation" de la masse (repos ou chute libre). Merci en tout cas de prendre le temps de répondre 🙏.
@@ΜαηιBonsoir. Un champ est en effet une propriété attribuable localement en chaque point de l'espace (mais aussi du temps), mais dont la valeur des composantes peuvent dépendre du référentiel. En présence d'un champ électromagnétique, la valeur du champ électrique et du champ magnétique dépendent du référentiel. En un événement particulier de l'espace-temps (c'est-à-dire en un certain lieu à un certain instant), il peut y avoir un champ magnétique nul dans un certain référentiel, et non nul dans un autre. Dans une rivière qui s'écoule, il y a un certain champ de vitesse spatiale (une vitesse d'écoulement en chaque point de la rivière), mais si vous êtes un bouchon flottant emporté par le courant, le champ de vitesse est localement nul dans votre référentiel. J'ajoute que lorsque vous demandez "comment expliquer que je tombe ?", j'aimerais vous demander en retour : qu'entendez-vous par « tomber » ? Car je pourrais tout aussi bien vous dire que non, justement, vous ne tombez pas : vous continuez à aller droit devant vous dans l'espace-temps (conformément à sa géométrie particulière).
Bonjour Etienne, pourrions-nous dire qu'en chaque point de l'espace existe un champ gravitationnel représentant unique et singulier de la disposition de toute la masse de l'univers par rapport à ce point ?
Bonjour. Oui, mais je précise tout de même que cette vision de la physique classique newtonienne présente le problème fondamental de l'interaction instantanée à distance. En réalité, ce n'est pas la disposition de la masse (et de l'énergie !) à un instant donné qui est représentée en chaque point par le champ gravitationnel correspondant, mais "toute l'histoire" de cette distribution, c'est-à-dire en fait la distribution des "masses-énergies-impulsions" dans tout l'espace-temps.
@@EtienneParizot Pourrait-on dire qu'à l'approche de son propre reflet l'instant zéro s'est fuit lui-même, zappant ainsi tout début dans une expansion sans fin ? Si tant est que le mouvement lui-même ne soit pas une illusion ou une façon spécifique à la conscience humaine d'appréhender ce qu'elle pense être son environnement, le temps serait peut-être seulement notre version/vision plus souple, plus acceptable, plus confortable de cet "étirement" qui éloigne et rapproche, comme deux personnes penseraient s'éloigner dos à dos l'une de l'autre se retrouvent réunies à l'autre bout du monde ? 🤯
Bonjour, encore une fois merci de partager vos cours. Pourriez vous m'indiquez svp des livres de cours/exercices/corrigés pour apprendre la physique après le BAC S en autodidacte ? J'ai presque fini le BAC S (les trois parties scientifiques) avec des bouquins aux éditions Nathan (je recommande fortement) programme officiel de 2011
• _classical electrodynamics_ Jackson (le fameux « Jackson » (anglais mais existe en traduction. Les vecteurs sont soit indiqués par des lettres en gras, soit par des flèches ai dessus des lettres, il faut s'habituer aux deux) • Mécanique quantique: Tomes 1 et 2 par Cohen-Tannoudji et Liu. C'est en FRANCAIS + le cours de math de M. Parizot pour les prérequis à la mécanique quantique • Classical Mechanics (anglais) par Goldstein (il existe en ligne un pdf de correction des exercices)
@@EtienneParizot Par F = ma Toutes les forces change l'acceleration et donc le mouvement. C'est vrai que dire qu'elle agissent sur les masses ne veut rien dire comme elles agissent sur les objets. Mais cette action semble etre pondéré par la masse comme la loi l'indique.
@@cunningham.s_law Ah, oui, je comprends ce que vous avez en tête (du moins je le crois). Et figurez-vous que c'est quelque chose de très important ! C'est qu'il existe en réalité deux concepts de masse bien distincts : la masse inertielle, et la masse gravitationnelle. La masse inertielle est celle que vous avez utilisée en écrivant F = ma : c'est l'attribut d'un corps physique qui exprime sa "résistance" à l'action d'une force, son « inertie ». Et par ailleurs, il y a un concept a priori totalement distinct, qui est l'attribut d'un corps donné qui fait qu'à la fois il induit et subit une action gravitationnelle. Or, en effet, ces deux concepts se trouvent coïncider ! C'est très étrange, comme vous le notez fort justement. Très étrange, ou alors… très profond ! Eh bien c'est justement ce fait là qui a constitué l'un des points de départ essentiels de la réflexion d'Einstein qui l'a conduit à formuler la théorie de la Relativité générale ! Bravo, donc, pour l'avoir repéré ! Galilée, déjà, en avait fait la remarque (tous les corps chutent de la même façon, quelle que soit leur masse), et bien d'autres après lui. Mais en poussant la réflexion au bout, éclairé par ailleurs par les apports de la théorie de la Relativité restreinte, on en vient à soupçonner un statut tout à fait particulier pour la force de gravitation et un lien entre celle-ci et la géométrie de l'espace-temps. Le postulat d'une identité stricte entre masse inertielle et masse gravitationnelle (de sorte qu'en règle générale, on parle simplement de "masse", sans préciser) est ce qu'on appelle le « principe d'équivalence ». Nous aborderons cette question dans un cours ultérieur.
je croi que la physique fait une approche dogmatique moin logique on pose des postulats sans demonstation experimentale imaginer des lignes de champs qui ne viennt de nul part et echappant de la notion du temps c est comme imaginer un dieu qui ne vien de nul part
ce cours sur les champs est très puissant, merci monsieur Etienne Parizot
Magnifique ! L’aventure de la physique continue grâce à vous et à la qualité de vos cours que vous nous permettez de découvrir ! Un vrai régal !
Etienne Parizot : si tous les élèves de France vous avait rencontré tout le monde ou presque aimerait comprendre la physique ! Votre démonstration des champs est limpide comme un champ de connaissances ! Merci ! Je précise que je suis de formation littéraire comme quoi cette soi-disante opposition est nulle
Je vais essayer de regarder la vidéo suivante en espérant que ça rentrera un peu moins dans les calculs qui ici m'ont pas tout à fait complètement perdu mmmmais presque lol (ou en espérant disposer d'un recul, sorti de je ne sais où, qui me rendra perméable à une forme de compréhension globale ... C'est intéressant ça aussi : comment quelque chose en soi parvient à effleurer objectivement la justesse de l'idée exposée en faisant abstraction du chemin mathématique qui y conduit ?)
Bonjour, par rapport aux paradoxes de Zenon qui vous fascinent autant (et à raison) (et grâce auxquels je vous ai découvert via votre chaîne secondaire E.T d'Orion, donc merci infiniment à eux, et à l'Algorithme), est-ce que "bêtement" la réponse du problème du mouvement n'est pas dans la relativité restreinte : vu que tout corps est nécessairement en mouvement dans l'espace-temps (même dans son référentiel propre, s'il est immobile dans l'espace, il se déplace dans la direction de son temps), ça n'a pas vraiment de sens de considérer un instant figé ? (un peu un équivalent de la lumière qui ne peut être au repos dans aucun référentiel) Même si tout cela ne fait sans doute que déplacer le problème le problème vers : pourquoi le temps s'écoule ?
Pour continuer sur les paradoxes de Zenon, c'est vraiment celui sur l'impossibilité du mouvement qui me parait le plus problématique. Pour le plus connu, celui d'Achille et la tortue, si on évacue le problème du mouvement, j'ai toujours considéré que la réponse n'était pas tant dans le fait que la limite de la somme du découpage en 1/2, 1/4, ... convergeait vers 1 (qui est quand même utile), que dans celui que en prenant des intervalles de distance de plus en plus petit, on prenait en même temps des intervalles de temps de plus en plus petit, et qu'en fait Achille ne rattrape pas la tortue dans le processus, parce qu'on n'atteint pas non plus le moment où il la doublerait, et non pas que ça lui demanderait un temps infini.
Ce que Zenon rate peut-être, c'est qu'un processus infini ne prend pas nécessairement un temps infini.
Réflexions qui me sont venues pendant que mon esprit divaguait quand je faisais la vaisselle (immobile devant mon évier bien-sûr).
Svp Mr Étienne un cours de physique statistique si possibl
avec un aimant et et un fil metalic peut on cree de la lumiere?
Bonjour. Je continue ma "promenade découverte" très agréable au fil de vos cours. Encore merci.
Vous dites que lorsqu'on est en chute libre, on n'est plus soumis à la gravitation. Ou on l'a fait localement disparaître.
Mais pourtant, nous sommes toujours dans le champ gravitationnel. Donc comment dire "être dans le champ gravitationnel" et dire en même temps "ne plus être soumis à la gravitation"? Merci pour la réponse.
Bonjour. Je ne suis pas sûr de saisir ce qui vous gêne. Si vous êtes en chute libre, le champ gravitationnel est localement nul dans le système de coordonnées qui correspond à votre référentiel. Si vous êtes sur le trottoir et qu'un bus passe, le bus a une certaine vitesse par rapport à vous. Mais si vous vous laissez entraîner par le bus (en montant dedans !), le bus a une vitesse nulle dans votre référentiel. Cela répond-il à votre question ?
@@EtienneParizot Oui merci. Ma question reposait sur des bases un peu trop sémantiques, et pas assez "physiques". Je crois avoir compris.
Mais si le champ gravitationnel est "localement nul dans mon référentiel" (pas certain de bien saisir toute la portée de cette phrase 😊), comment expliquer que je tombe ?
Je n'ai peut être pas bien saisi le concept de champ. Pour moi, c'est quelque chose de "spatial". On est dedans ou on ne l'est pas. Je ne comprends pas que cela dépende simplement de la "situation" de la masse (repos ou chute libre).
Merci en tout cas de prendre le temps de répondre 🙏.
@@ΜαηιBonsoir. Un champ est en effet une propriété attribuable localement en chaque point de l'espace (mais aussi du temps), mais dont la valeur des composantes peuvent dépendre du référentiel. En présence d'un champ électromagnétique, la valeur du champ électrique et du champ magnétique dépendent du référentiel. En un événement particulier de l'espace-temps (c'est-à-dire en un certain lieu à un certain instant), il peut y avoir un champ magnétique nul dans un certain référentiel, et non nul dans un autre. Dans une rivière qui s'écoule, il y a un certain champ de vitesse spatiale (une vitesse d'écoulement en chaque point de la rivière), mais si vous êtes un bouchon flottant emporté par le courant, le champ de vitesse est localement nul dans votre référentiel.
J'ajoute que lorsque vous demandez "comment expliquer que je tombe ?", j'aimerais vous demander en retour : qu'entendez-vous par « tomber » ? Car je pourrais tout aussi bien vous dire que non, justement, vous ne tombez pas : vous continuez à aller droit devant vous dans l'espace-temps (conformément à sa géométrie particulière).
qui precede l autre ds le temps la matiere ou les lignes de champ
Bonjour Etienne, pourrions-nous dire qu'en chaque point de l'espace existe un champ gravitationnel représentant unique et singulier de la disposition de toute la masse de l'univers par rapport à ce point ?
Bonjour. Oui, mais je précise tout de même que cette vision de la physique classique newtonienne présente le problème fondamental de l'interaction instantanée à distance. En réalité, ce n'est pas la disposition de la masse (et de l'énergie !) à un instant donné qui est représentée en chaque point par le champ gravitationnel correspondant, mais "toute l'histoire" de cette distribution, c'est-à-dire en fait la distribution des "masses-énergies-impulsions" dans tout l'espace-temps.
@@EtienneParizot Pourrait-on dire qu'à l'approche de son propre reflet l'instant zéro s'est fuit lui-même, zappant ainsi tout début dans une expansion sans fin ? Si tant est que le mouvement lui-même ne soit pas une illusion ou une façon spécifique à la conscience humaine d'appréhender ce qu'elle pense être son environnement, le temps serait peut-être seulement notre version/vision plus souple, plus acceptable, plus confortable de cet "étirement" qui éloigne et rapproche, comme deux personnes penseraient s'éloigner dos à dos l'une de l'autre se retrouvent réunies à l'autre bout du monde ? 🤯
Bonjour,
encore une fois merci de partager vos cours.
Pourriez vous m'indiquez svp des livres de cours/exercices/corrigés pour apprendre la physique après le BAC S en autodidacte ?
J'ai presque fini le BAC S (les trois parties scientifiques) avec des bouquins aux éditions Nathan (je recommande fortement) programme officiel de 2011
• _classical electrodynamics_ Jackson (le fameux « Jackson » (anglais mais existe en traduction. Les vecteurs sont soit indiqués par des lettres en gras, soit par des flèches ai dessus des lettres, il faut s'habituer aux deux)
• Mécanique quantique: Tomes 1 et 2 par Cohen-Tannoudji et Liu. C'est en FRANCAIS + le cours de math de M. Parizot pour les prérequis à la mécanique quantique
• Classical Mechanics (anglais) par Goldstein (il existe en ligne un pdf de correction des exercices)
c’est particulier que tout les forces agissent sur des masses mais seulement la force gravitationelle l’utilise comme “charge”
Bonjour. Qu'entendez-vous par "toutes les forces agissent sur des masses" ?
@@EtienneParizot
Par F = ma
Toutes les forces change l'acceleration et donc le mouvement.
C'est vrai que dire qu'elle agissent sur les masses ne veut rien dire comme elles agissent sur les objets.
Mais cette action semble etre pondéré par la masse comme la loi l'indique.
@@cunningham.s_law Ah, oui, je comprends ce que vous avez en tête (du moins je le crois). Et figurez-vous que c'est quelque chose de très important ! C'est qu'il existe en réalité deux concepts de masse bien distincts : la masse inertielle, et la masse gravitationnelle. La masse inertielle est celle que vous avez utilisée en écrivant F = ma : c'est l'attribut d'un corps physique qui exprime sa "résistance" à l'action d'une force, son « inertie ». Et par ailleurs, il y a un concept a priori totalement distinct, qui est l'attribut d'un corps donné qui fait qu'à la fois il induit et subit une action gravitationnelle. Or, en effet, ces deux concepts se trouvent coïncider ! C'est très étrange, comme vous le notez fort justement. Très étrange, ou alors… très profond ! Eh bien c'est justement ce fait là qui a constitué l'un des points de départ essentiels de la réflexion d'Einstein qui l'a conduit à formuler la théorie de la Relativité générale ! Bravo, donc, pour l'avoir repéré ! Galilée, déjà, en avait fait la remarque (tous les corps chutent de la même façon, quelle que soit leur masse), et bien d'autres après lui. Mais en poussant la réflexion au bout, éclairé par ailleurs par les apports de la théorie de la Relativité restreinte, on en vient à soupçonner un statut tout à fait particulier pour la force de gravitation et un lien entre celle-ci et la géométrie de l'espace-temps. Le postulat d'une identité stricte entre masse inertielle et masse gravitationnelle (de sorte qu'en règle générale, on parle simplement de "masse", sans préciser) est ce qu'on appelle le « principe d'équivalence ». Nous aborderons cette question dans un cours ultérieur.
@@EtienneParizot merci pour de la réponse, j'attends la suite du cours avec impatiente
je croi que la physique fait une approche dogmatique moin logique
on pose des postulats sans demonstation experimentale
imaginer des lignes de champs qui ne viennt de nul part et echappant de la notion du temps c est comme imaginer un dieu qui ne vien de nul part