Excellente vidéo. Et excellent moyen d'associer votre métier réel et votre métier fantasmé. Les pervers fascinent depuis longtemps, avant ils étaient brûlés, aujourd'hui ils rapportent des milliards. Pour votre livre je lui souhaite les milliards, pas le bûcher. Un pouce vers le haut.
Salut super boulot merci est ce que tu peux faire des analyses psy des personnalités public du genre 2pac, booba, muhammad ali denis rodman, mike tyson conor macgregor, michael jackson will smith et sa femme, angelina jolie etc..
On peut avoir les mêmes pulsions morbides que les serial killers, c'est juste qu'on éprouve de l'empathie et/ou qu'on ne veut pas d'emmerdes... Je le savais mais ça fait peur n'empêche.
Personnellement, je m'interroge sur les mobiles véritables des "bienfaiteurs de l'humanité"... Ils sont souvent pesants, les actions foutraques des méchants en tout genre nous en libèrent...
Je suis pas trop d’accord. Pour moi ce n’est pas « une contrariété ou une frustration » qui me font élaborer des choses. En tout cas personnellement je ne me reconnais pas là dedans. Ce qui me parle dans les actes violents des personnages « méchants » (déjà je n’ai peut être pas les mêmes personnages de méchants en tête) c’est jusqu’où ils sont capables d’aller pour survivre, pour se défendre contre la violence de la société. Je suis plutôt fan de films où les vrais méchants se font défoncer la gueule comme Hostel 2 et 3 ou la dernière scène dans Once upon a time in Hollywood où il détruit les gars de la secte au lance flame. Brimstone aussi est un film d’horreur correspond beaucoup à cette idée d’aller chercher dans ses tripes la violence de contrer celle des autres. Mais dans Brimstone le méchant est vraiment un pauvre type, un personnage offert pour y décharger toute notre haine en tant que spectateur. Donc peut être qu’en réalité j’aime les films violents mais pas les personnages de méchants. A par dans Joker mais c’est un personnage qui ne commet pas d’actes méchants en dehors du meurtre dans le métro. En tout cas si je m’identifie à des films violents c’est parce que ça donne une résonnance à deux choses: ma peur des autres et mes phobies d’impulsions. Pour ma part j’ai jamais eu l’idée de me faire des coupures parallèles le long du bras alors les films à la Hostel sont les seuls trucs qui vont aussi loin de moi dans mon imagination et qui du coup relativisent le fait que j’aille aussi loin parce que d’autres gens vont aussi loin et ne sont pas morts d’être passés à l’acte, ils font des films. Grâce aux films ça devient quelque chose de fun et contrôlé. Et dans mes cauchemars d’ailleurs je suis soit victime soit spectatrice mais je ne suis jamais l’auteur de ce qui se passe. J’ai jamais fait de toute ma vie un cauchemar dans lequel c’est moi qui torture quelqu’un. Par contre j’ai souvent laissé des personnages dans la merde pour essayer de me sauver moi. Mon subconscient ne se fait pas d’illusions sur ce point XD
Notre contenu refoulé ne peux effectivement pas être le même d’un individu à l’autre. De même que notre affection pour tel ou tel personnage. Mais ça parle bel et bien de nous.
Excellente vidéo. Et excellent moyen d'associer votre métier réel et votre métier fantasmé. Les pervers fascinent depuis longtemps, avant ils étaient brûlés, aujourd'hui ils rapportent des milliards. Pour votre livre je lui souhaite les milliards, pas le bûcher. Un pouce vers le haut.
Ouvrage commandé. Pour info Chris du psylab a publié "Nos héros sont malades", qui est très bon .
Vidéo vraiment très intéressante! Merci beaucoup
Surprenant comme sujet! Bien emmené en tout cas!
Merci pour le partage 🤴🏿🙏🏿
Merci pour le retour !
Et avec plaisir
Sympa ton livre bien envie de le lire pour analyser la cruauté de tous nos méchants favoris
Y’a plus qu’à ! ☺️
Salut super boulot merci
est ce que tu peux faire des analyses psy des personnalités public du genre 2pac, booba, muhammad ali denis rodman, mike tyson conor macgregor, michael jackson will smith et sa femme, angelina jolie etc..
Le livre est déjà dans ma liste d'achat pour ma prochaine vague de livre 😁✌️
Et bon courage avec le "coup de vent" 😅
Merci beaucoup ! Le plus dur est derrière nous pour le cyclone 🌀 !
"J'ai menti sur la scolarité de mes enfants, c'était plus fort que moi."
Ces méchants sans foi ni loi nous effraieront toujours.
On peut avoir les mêmes pulsions morbides que les serial killers, c'est juste qu'on éprouve de l'empathie et/ou qu'on ne veut pas d'emmerdes... Je le savais mais ça fait peur n'empêche.
Personnellement, je m'interroge sur les mobiles véritables des "bienfaiteurs de l'humanité"... Ils sont souvent pesants, les actions foutraques des méchants en tout genre nous en libèrent...
Vous risquez d’adorer ma conclusion alors 😉
Je suis pas trop d’accord. Pour moi ce n’est pas « une contrariété ou une frustration » qui me font élaborer des choses. En tout cas personnellement je ne me reconnais pas là dedans. Ce qui me parle dans les actes violents des personnages « méchants » (déjà je n’ai peut être pas les mêmes personnages de méchants en tête) c’est jusqu’où ils sont capables d’aller pour survivre, pour se défendre contre la violence de la société. Je suis plutôt fan de films où les vrais méchants se font défoncer la gueule comme Hostel 2 et 3 ou la dernière scène dans Once upon a time in Hollywood où il détruit les gars de la secte au lance flame. Brimstone aussi est un film d’horreur correspond beaucoup à cette idée d’aller chercher dans ses tripes la violence de contrer celle des autres. Mais dans Brimstone le méchant est vraiment un pauvre type, un personnage offert pour y décharger toute notre haine en tant que spectateur. Donc peut être qu’en réalité j’aime les films violents mais pas les personnages de méchants. A par dans Joker mais c’est un personnage qui ne commet pas d’actes méchants en dehors du meurtre dans le métro.
En tout cas si je m’identifie à des films violents c’est parce que ça donne une résonnance à deux choses: ma peur des autres et mes phobies d’impulsions. Pour ma part j’ai jamais eu l’idée de me faire des coupures parallèles le long du bras alors les films à la Hostel sont les seuls trucs qui vont aussi loin de moi dans mon imagination et qui du coup relativisent le fait que j’aille aussi loin parce que d’autres gens vont aussi loin et ne sont pas morts d’être passés à l’acte, ils font des films. Grâce aux films ça devient quelque chose de fun et contrôlé. Et dans mes cauchemars d’ailleurs je suis soit victime soit spectatrice mais je ne suis jamais l’auteur de ce qui se passe. J’ai jamais fait de toute ma vie un cauchemar dans lequel c’est moi qui torture quelqu’un. Par contre j’ai souvent laissé des personnages dans la merde pour essayer de me sauver moi. Mon subconscient ne se fait pas d’illusions sur ce point XD
Notre contenu refoulé ne peux effectivement pas être le même d’un individu à l’autre.
De même que notre affection pour tel ou tel personnage.
Mais ça parle bel et bien de nous.