Les soldats sont là-bas endormis sur la plaine Où le souffle du soir chante pour les bercer, La terre aux blés rasés parfume son haleine, La sentinelle au loin va d'un pas cadencé. Soudain voici qu'au ciel des cavaliers sans nombre Illuminent d'éclairs l'imprécise clarté Et le petit chapeau semble guider ces ombres Vers l'immortalité. Les voyez-vous, Les hussards, les dragons, la Garde, Glorieux fous D'Austerlitz que l'Aigle regarde, Ceux de Kléber, De Marceau chantant la victoire, Géants de fer S'en vont chevaucher la gloire. Mais le petit soldat Voit s'assombrir le Rêve, Il lui semble là-bas Qu'un orage se lève, L'hydre au casque pointu Sournoisement s'avance ; L'enfant s'éveille, ému, Mais tout dort en silence Et dans son cœur le songe est revenu. Les canons ! Les clairons ! Ecoutez ! Regardez ! Les voyez-vous, Les hussards, les dragons, la Garde, Ils saluent tous L'Empereur qui les regarde.
Je vois de plus en plus souvent des critiques négatives à l'encontre d'Alain Vanzo, parfois même la critique affiche un certain dédain à son encontre..Certes , on peut effectivement ne pas apprécier ce chanteur, mais à ce point !...Il est vrai que certains spectateurs lui reprochaient d’être un peu le Tino Rossi de l’opéra, et de penser plus a chanter en abusant de son falsettone élégiaque, qu'a véritablement interpréter son rôle...Ce qui d'ailleurs était excessif et injuste...Il ne faudrait pas avoir la mémoire trop courte au point d'oublier qu'il fut Werther, Rodolphe, Gérald, Mylio etc et qu'il obtenait à chaque représentation un énorme succès...succès totalement mérité..Sa voix était facile, belle, sa technique de chant comme sa diction, impeccables...Alain Vanzo était le ténor vedette de l'Opéra Comique...On venait voir la Bohème, ou Lakmé, mais on venait aussi entendre Vanzo...Ses enregistrements, a part quelques rares exceptions, à mon humble avis, l'ont plutôt desservi...En tout cas à l'époque, et il est bon de le souligner ici, les chanteurs lyriques ne portaient pas de micro-cravate pour amplifier leur voix...De nos jours, on ne peut plus en être aussi surs.
@@vonebivo9457 Il y a pour quelque raison des gens qui croient que la culture de l’élite, comme la musique classique, était une fois la culture populaire. C’est triste, mais une telle période n’a jamais existé... il y avait toujours une musique populaire baisse et vulgaire. Monsieur en haut souffre de ce syndrome.
@@Jim63071 c'est une musique qui était chanter lors des défilé et dans l'armée et même dans les écoles bien sûr qu'elle était populaire et non uniquement pour les élites après oui de tel chanteur coûtait plus d'argent à aller voir mais pas non plus des centaines d'euro
Cet air a été composé bien après l’épopée napoléonienne .....Et si vous désirez l'une des plus belle interprétation: cherchez celle chantée par Georges Thill.Remarque , le charmant Vanzo était un ténor léger et en baisse de talent... Quant à la formation ....une catastrophe de couacs ??K???
J'ai suivi votre conseil !!!Georges Thill était l'idole de ma mère !!! j'ai trouvé un enregistrement avec en timbre ,une photo de son enregistrement Columbia ...... c'est la meilleure à mon humble avis !!!! Je ne vois plus très clair ....mais ou est passé cette foutue boîte de kleenex ?
Les soldats sont là-bas endormis sur la plaine Où le souffle du soir chante pour les bercer, La terre aux blés rasés parfume son haleine, La sentinelle au loin va d'un pas cadencé. Soudain voici qu'au ciel des cavaliers sans nombre Illuminent d'éclairs l'imprécise clarté Et le petit soldat semble guider ces ombres Vers l'immortalité. Les voyez-vous, Les hussards, les dragons, la Garde, Glorieux fous, D'Austerlitz que l'Aigle regarde, Ceux de Kléber, De Marceau chantant la victoire, Géants de fer , S'en vont chevaucher la gloire. Mais le petit soldat Voit s'assombrir le Rêve, Il lui semble là-bas Qu'un orage se lève, L'hydre au casque pointu Sournoisement s'avance; L'enfant s'éveille, ému, Mais tout dort en silence; Et dans son cœur le songe est revenu. Les canons ! Les clairons ! Écoutez ! Regardez ! Les voyez-vous, Les hussards, les dragons, la Garde, Ils saluent tous L'empereur qui les regarde. Et dans un pays clair où la moisson se dore, L'âme du petit bleu revoit un vieux clocher. Voici la maisonnette où celle qu'il adore Attendant le retour, tient son regard penché. Mais tout à coup... Douleur ! Il la voit plus lointaine, Un voile de terreur a couvert ses yeux bleus. Encore les casques noirs, l'incendie et la haine, Les voilà ce sont eux ! Les voyez-vous, Leurs hussards, leurs dragons, leur Garde, Sombres hiboux Entraînant la vierge hagarde. Le vieux Strasbourg Frémit sous ses cheveux de neige. Mourez tambours, Voici le sanglant cortège ; Bientôt le jour vermeil A l'horizon se lève On sonne le réveil Et c'est encore le Rêve. Les Géants de l'An deux Sont remplacés par d'autres. Et ces soldats joyeux France... ce sont les nôtres. Blondes aimées ! Il faut sécher vos yeux. Vos amis, les voici. Les voyez-vous, Les hussards, les dragons, l'Armée, Ils mourront tous Pour la nouvelle épopée. Fiers enfants De la race Sonnez aux champs, Le rêve passe.
Les soldats sont là-bas endormis sur la plaine
Où le souffle du soir chante pour les bercer,
La terre aux blés rasés parfume son haleine,
La sentinelle au loin va d'un pas cadencé.
Soudain voici qu'au ciel des cavaliers sans nombre
Illuminent d'éclairs l'imprécise clarté
Et le petit chapeau semble guider ces ombres
Vers l'immortalité.
Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, la Garde,
Glorieux fous
D'Austerlitz que l'Aigle regarde,
Ceux de Kléber,
De Marceau chantant la victoire,
Géants de fer
S'en vont chevaucher la gloire.
Mais le petit soldat
Voit s'assombrir le Rêve,
Il lui semble là-bas
Qu'un orage se lève,
L'hydre au casque pointu
Sournoisement s'avance ;
L'enfant s'éveille, ému,
Mais tout dort en silence
Et dans son cœur le songe est revenu.
Les canons !
Les clairons !
Ecoutez !
Regardez !
Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, la Garde,
Ils saluent tous
L'Empereur qui les regarde.
Vive l'Empereur, vive la France ! En mémoire à nos braves guerriers ayant donné leur vie pour leur patrie !
Wonderful stirring music, and what a tenor!
Money well spent..
Le GRAND Alain Vanzo !!
Magnifico tenore!!!!!!!!!
T belle melodie
A Vanzo etait un fabuleux tenor...pas d affectation.
quelle voix! quelle prestance!
Je vois de plus en plus souvent des critiques négatives à l'encontre d'Alain Vanzo, parfois même la critique affiche un certain dédain à son encontre..Certes , on peut effectivement ne pas apprécier ce chanteur, mais à ce point !...Il est vrai que certains spectateurs lui reprochaient d’être un peu le Tino Rossi de l’opéra, et de penser plus a chanter en abusant de son falsettone élégiaque, qu'a véritablement interpréter son rôle...Ce qui d'ailleurs était excessif et injuste...Il ne faudrait pas avoir la mémoire trop courte au point d'oublier qu'il fut Werther, Rodolphe, Gérald, Mylio etc et qu'il obtenait à chaque représentation un énorme succès...succès totalement mérité..Sa voix était facile, belle, sa technique de chant comme sa diction, impeccables...Alain Vanzo était le ténor vedette de l'Opéra Comique...On venait voir la Bohème, ou Lakmé, mais on venait aussi entendre Vanzo...Ses enregistrements, a part quelques rares exceptions, à mon humble avis, l'ont plutôt desservi...En tout cas à l'époque, et il est bon de le souligner ici, les chanteurs lyriques ne portaient pas de micro-cravate pour amplifier leur voix...De nos jours, on ne peut plus en être aussi surs.
Entièrement d'accord. Pour confirmation, écoutez la Romance de Nadir par Vanzo : exceptionnel !
c'est le véritable chant comme THILL GIGLI ect
Bonjour. Avant on avait des chanteurs de qualité mais les techniques de prise de son n'était pas encore à la hauteur. Maintenant c'est l'inverse.
Pascal
Oui on avait des chanteurs de qualité que seul un public de melomanes connaissait
@@vonebivo9457 Il y a pour quelque raison des gens qui croient que la culture de l’élite, comme la musique classique, était une fois la culture populaire. C’est triste, mais une telle période n’a jamais existé... il y avait toujours une musique populaire baisse et vulgaire. Monsieur en haut souffre de ce syndrome.
@@Jim63071 c'est une musique qui était chanter lors des défilé et dans l'armée et même dans les écoles bien sûr qu'elle était populaire et non uniquement pour les élites après oui de tel chanteur coûtait plus d'argent à aller voir mais pas non plus des centaines d'euro
Vive l'Empereur, Vive l'ancienne France qui n'a rien avoir avec celle qu'on connaît aujorud'hui :'(
CHER ALAIN VANZO VOUS ETES TOUJOUR DANS NOS COEURS
what a nice touch the chef,d musique has done by placing the trumpet call in the last passage..i never heard that before..great! ..marty
Un ptit coucou a mon pere 😃😄❤❤❤❤❤
gloire eternelle a napoléon et aux vaillants soldats de l,empire
vive l'Empereur, vive la Nation française
vive l' Empereur
:)
1:19
vive napoléon vive la france
Si vous chantez , mieux .... Tant mieux , certains vous n êtes bons , qu à critiquer les autres ,
C'est le moins que l'on puisse dire à part quelques exceptions!
R.I.P ma france
Cet air a été composé bien après l’épopée napoléonienne .....Et si vous désirez l'une des plus belle interprétation: cherchez celle chantée par Georges Thill.Remarque , le charmant Vanzo était un ténor léger et en baisse de talent... Quant à la formation ....une catastrophe de couacs ??K???
Je ne suis pas un spécialiste en musique, mais des "couacs" par la musique de la Garde, je ne pense pas qu'il y en ait eu beaucoup ...
J'ai suivi votre conseil !!!Georges Thill était l'idole de ma mère !!! j'ai trouvé un enregistrement avec en timbre ,une photo de son enregistrement Columbia ...... c'est la meilleure à mon humble avis !!!! Je ne vois plus très clair ....mais ou est passé cette foutue boîte de kleenex ?
@@Marcus-78 je crois que çà vient de la prise de son ......
Sounds better sung in English ….
Merci de m'avoir fait rire
Les soldats sont là-bas endormis sur la plaine
Où le souffle du soir chante pour les bercer,
La terre aux blés rasés parfume son haleine,
La sentinelle au loin va d'un pas cadencé.
Soudain voici qu'au ciel des cavaliers sans nombre
Illuminent d'éclairs l'imprécise clarté
Et le petit soldat semble guider ces ombres
Vers l'immortalité.
Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, la Garde,
Glorieux fous,
D'Austerlitz que l'Aigle regarde,
Ceux de Kléber,
De Marceau chantant la victoire,
Géants de fer
,
S'en vont chevaucher la gloire.
Mais le petit soldat
Voit s'assombrir le Rêve,
Il lui semble là-bas
Qu'un orage se lève,
L'hydre au casque pointu
Sournoisement s'avance;
L'enfant s'éveille, ému,
Mais tout dort en silence;
Et dans son cœur le songe est revenu.
Les canons !
Les clairons !
Écoutez !
Regardez !
Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, la Garde,
Ils saluent tous
L'empereur qui les regarde.
Et dans un pays clair où la moisson se dore,
L'âme du petit bleu revoit un vieux clocher.
Voici la maisonnette où celle qu'il adore
Attendant le retour, tient son regard penché.
Mais tout à coup... Douleur ! Il la voit plus lointaine,
Un voile de terreur a couvert ses yeux bleus.
Encore les casques noirs, l'incendie et la haine,
Les voilà ce sont eux !
Les voyez-vous,
Leurs hussards, leurs dragons, leur Garde,
Sombres hiboux
Entraînant la vierge hagarde.
Le vieux Strasbourg
Frémit sous ses cheveux de neige.
Mourez tambours,
Voici le sanglant cortège ;
Bientôt le jour vermeil
A l'horizon se lève
On sonne le réveil
Et c'est encore le Rêve.
Les Géants de l'An deux
Sont remplacés par d'autres.
Et ces soldats joyeux
France... ce sont les nôtres.
Blondes aimées ! Il faut sécher vos yeux.
Vos amis, les voici.
Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, l'Armée,
Ils mourront tous
Pour la nouvelle épopée.
Fiers enfants
De la race
Sonnez aux champs,
Le rêve passe.