Bien, mais moi je ne l'ai pas simulée la panne de badin: juste après le décollage en ulm, le badin indiquait n'importe quoi: de l'eau s'était infiltrée dans la circuit lors d'un précédent vol sous la pluie, j'ai continué le vol comme je l'avais prévu car ça n'avait pas de réelle incidence sur la sécurité, il n'y a qu'à l'atterrissage, ou on est obligé d'estimer sa vitesse, qu'il faut être très attentif et prudent: vaut mieux être un peu vite en dernier virage que trop lent...et en finale, le coyote que je pilotais à ce moment là, "téléphone" suffisamment ses réactions pour éviter de se mettre en danger (pas d'indicateur d'angle d'attaque sur ulm, donc pas de BIIIP si l'on s'approche du décrochage...Mais en ulm faut pas être trop vite en finale, sinon on efface la piste (refus de poser de l'appareil)...
Bien, mais moi je ne l'ai pas simulée la panne de badin: juste après le décollage en ulm, le badin indiquait n'importe quoi: de l'eau s'était infiltrée dans la circuit lors d'un précédent vol sous la pluie, j'ai continué le vol comme je l'avais prévu car ça n'avait pas de réelle incidence sur la sécurité, il n'y a qu'à l'atterrissage, ou on est obligé d'estimer sa vitesse, qu'il faut être très attentif et prudent: vaut mieux être un peu vite en dernier virage que trop lent...et en finale, le coyote que je pilotais à ce moment là, "téléphone" suffisamment ses réactions pour éviter de se mettre en danger (pas d'indicateur d'angle d'attaque sur ulm, donc pas de BIIIP si l'on s'approche du décrochage...Mais en ulm faut pas être trop vite en finale, sinon on efface la piste (refus de poser de l'appareil)...
Merci pour ce partage d'expérience...