Je viens d'acheter en 33 tours son album "Vivre" dans une bourse aux disques. Il n'y a pas d'autres continents évoqués dans les chansons de cet album. Au contraire, c'est un album assez critique sur le continent européen ("Les stars du pouvoir", "Vivre", "Une autre vie", "Chasseur d'images"), un album plus sombre, où je ne dirais quand même pas que Rose Laurens fait dans la "chanson engagée" mais sur lequel les chansons expriment essentiellement les thèmes de la politique et du business. Et j'ai remarqué aussi qu'à l'intérieur de ce disque, seules les paroles de "Mamy Yoko" ne sont pas retranscrites. D'après Frédéric Zeitoun dans une de ses émissions "Melody story" sur cette chanson sur la chaîne câblée Melody, effectivement, au départ, Rose Laurens n'était pas très fan de "Mamy Yoko", une chanson qu'elle a trouvé mignonne, mais qui, selon elle, ressemblait trop à "Africa", ce sont d'ailleurs les mêmes accords. Pourtant, au contraire, "Africa" c'était elle qui l'adorait contrairement à son compagnon d'alors Jean-Pierre Goussaud, qui était aussi son compositeur, et qui trouvait la mélodie trop simple, surtout comparée à celles des chansons de la comédie musicale "Les Misérables" de Jean-Marc Natel, Alain et Daniel Boublil et Claude-Michel Schönberg dans laquelle Rose avait créé en 1980, le rôle de Fantine. Il avait même omis de présenter la chanson lors de la rencontre avec la maison de disques Flarenasch avec laquelle Rose a fini par signer un nouveau contrat discographique en début d'année 1982. Il a présenté la chanson au producteur de la maison de disques, Alain Puglia sous l'insistance de ce dernier, car le producteur trouvait toutes les chansons qui constitueront l'album "Déraisonnable" intéressantes mais pas vraiment assez efficaces. Et Rose, qui voulait absolument sortir "Africa" qu'elle adorait, a signé chez Flarenasch avec Alain Puglia grâce à la chanson, et c'est devenu le 45 tours vendu à plus d'un million d'exemplaires, malgré l'incompréhension de son compagnon. Un an plus tard, "Africa" ayant obtenu un énorme succès en France mais aussi en Europe et dans les pays scandinaves, malgré l'incompréhension de Jean-Pierre Goussaud, il donne à son compagne Rose Laurens cette chanson "Mamy Yoko" dont les paroles sont, tout comme celles d'"Africa" écrites par Jean-Michel Bériat. Et là, c'est l'inverse qui se produit. Rose Laurens est plutôt rétive à l'enregistrer car effectivement, elle la trouve moins bonne qu'"Africa" et se demande si le filon "Chanteuse continentale" ne va pas l'enfermer dans un style de répertoire. Mais bon, "Mamy Yoko" marchera bien aussi, mais moins qu'"Africa", et devant sa volonté, le single suivant sera "Vivre", volontairement plus sérieux, plus sombre qu'"Africa" et "Mamy Yoko", et surtout plus représentatif de "Vivre", ce second album sorti chez Flarenasch en décembre 1983.
Tout simplement magnifique j'adore cette chanson j'ai le 45 tour bonne après midi à vous tous merci
superbe souvenirs! Paix a Rose LAURENS
superbe
La belle Rose Laurens et sa superbe voix. J'étais une petite fille la dernière fois que j'ai entendu cette chanson ! Ça ne me rajeunit pas !
belle chanson
Superbe et rayonnante sur ce titre fétiche Rose
Je viens d'acheter en 33 tours son album "Vivre" dans une bourse aux disques. Il n'y a pas d'autres continents évoqués dans les chansons de cet album. Au contraire, c'est un album assez critique sur le continent européen ("Les stars du pouvoir", "Vivre", "Une autre vie", "Chasseur d'images"), un album plus sombre, où je ne dirais quand même pas que Rose Laurens fait dans la "chanson engagée" mais sur lequel les chansons expriment essentiellement les thèmes de la politique et du business.
Et j'ai remarqué aussi qu'à l'intérieur de ce disque, seules les paroles de "Mamy Yoko" ne sont pas retranscrites. D'après Frédéric Zeitoun dans une de ses émissions "Melody story" sur cette chanson sur la chaîne câblée Melody, effectivement, au départ, Rose Laurens n'était pas très fan de "Mamy Yoko", une chanson qu'elle a trouvé mignonne, mais qui, selon elle, ressemblait trop à "Africa", ce sont d'ailleurs les mêmes accords.
Pourtant, au contraire, "Africa" c'était elle qui l'adorait contrairement à son compagnon d'alors Jean-Pierre Goussaud, qui était aussi son compositeur, et qui trouvait la mélodie trop simple, surtout comparée à celles des chansons de la comédie musicale "Les Misérables" de Jean-Marc Natel, Alain et Daniel Boublil et Claude-Michel Schönberg dans laquelle Rose avait créé en 1980, le rôle de Fantine. Il avait même omis de présenter la chanson lors de la rencontre avec la maison de disques Flarenasch avec laquelle Rose a fini par signer un nouveau contrat discographique en début d'année 1982. Il a présenté la chanson au producteur de la maison de disques, Alain Puglia sous l'insistance de ce dernier, car le producteur trouvait toutes les chansons qui constitueront l'album "Déraisonnable" intéressantes mais pas vraiment assez efficaces.
Et Rose, qui voulait absolument sortir "Africa" qu'elle adorait, a signé chez Flarenasch avec Alain Puglia grâce à la chanson, et c'est devenu le 45 tours vendu à plus d'un million d'exemplaires, malgré l'incompréhension de son compagnon.
Un an plus tard, "Africa" ayant obtenu un énorme succès en France mais aussi en Europe et dans les pays scandinaves, malgré l'incompréhension de Jean-Pierre Goussaud, il donne à son compagne Rose Laurens cette chanson "Mamy Yoko" dont les paroles sont, tout comme celles d'"Africa" écrites par Jean-Michel Bériat. Et là, c'est l'inverse qui se produit. Rose Laurens est plutôt rétive à l'enregistrer car effectivement, elle la trouve moins bonne qu'"Africa" et se demande si le filon "Chanteuse continentale" ne va pas l'enfermer dans un style de répertoire.
Mais bon, "Mamy Yoko" marchera bien aussi, mais moins qu'"Africa", et devant sa volonté, le single suivant sera "Vivre", volontairement plus sérieux, plus sombre qu'"Africa" et "Mamy Yoko", et surtout plus représentatif de "Vivre", ce second album sorti chez Flarenasch en décembre 1983.
un rayon de soleil
Je l'ai rencontré en 2002, je ne garde pas un bon souvenirs...
jean-pierre Garouste des petits papiers de Noel: toute une époque
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