J'écoute Jean Marie Vivier depuis quelques années déjà qui est de la même veine que les plus grands comme Ferrat, Ferré, Brel un vrai bonheur d'écouter de si belles chansons.
"Bouffons de société Comme dit le Quillet Ils sont les mal-aimés D'un monde déchiré Les saltimbanques On les dit comédiens Poètes ou musiciens C'est à dire moins que rien On traite mieux les chiens Qu' les saltimbanques Ils vous viennent d'ailleurs Les yeux pleins de chaleur De l'amour plein le cœur Et pourtant ils font peur Les saltimbanques Puis aussitôt partis Se perdre dans la nuit C'est tout de suite l'oubli On n'est jamais l'ami Des saltimbanques Ils sont d'un autre temps Et se cassent les dents À trop aimer les gens Qui n'y voient que du vent Les saltimbanques Sur la pointe des pieds Ils viennent se faire aimer Mais sont excommuniés De toutes sociétés Les saltimbanques Quand on daigne les voir Il est déjà trop tard Souvenez-vous qu'un soir Un chien suivait Mozart Le saltimbanque Ils hurlent avec les loups À s'en tordre le cou Mais sont toujours debout Quand la mort vient à bout Des saltimbanques Ils sont nés de folie Ne vivent que la nuit Changent souvent de lit Voilà ce que l'on dit Des saltimbanques Et pourtant le cœur lourd D'être à jardin et cour Il arrive qu'un jour Ils aiment enfin d'amour Les saltimbanques Bouffons de société Comme dit le Quillet Ils sont les mal-aimés D'un monde déchiré Les saltimbanques On les dit comédiens Poètes ou musiciens C'est à dire moins que rien On traite mieux les chiens Qu' les saltimbanques."
En France pour nos hommes politique surtout en période électorale parler culture depuis une vingtaine d’année ne consiste finalement qu’à explorer les moyens financiers et à trouver les solutions de plus en plus rocambolesques pour faire vivre les arts et le partage de la connaissance avec les citoyens. Les débats, consultations ou états généraux se concentrent invariablement sur les baisses de subventions, ou plutôt la façon dont le saupoudrage financier doit s’organiser. Le système culturel français s’est peu à peu mué en un gigantesque outil de gestion de la précarité à tous les niveaux. Paroles de la chanson Bouffons de société par Jean-Marie Vivier Bouffons de société Comme dit le Quillet Ils sont les mal-aimés D'un monde déchiré Les saltimbanques On les dit comédiens Poètes ou musiciens C'est à dire moins que rien On traite mieux les chiens Qu' les saltimbanques Ils vous viennent d'ailleurs Les yeux pleins de chaleur De l'amour plein le cœur Et pourtant ils font peur Les saltimbanques Puis aussitôt partis Se perdre dans la nuit C'est tout de suite l'oubli On n'est jamais l'ami Des saltimbanques Ils sont d'un autre temps Et se cassent les dents À trop aimer les gens Qui n'y voient que du vent Les saltimbanques Sur la pointe des pieds Ils viennent se faire aimer Mais sont excommuniés De toutes sociétés Les saltimbanques Quand on daigne les voir Il est déjà trop tard Souvenez-vous qu'un soir Un chien suivait Mozart Le saltimbanque Ils hurlent avec les loups À s'en tordre le cou Mais sont toujours debout Quand la mort vient à bout Des saltimbanques Ils sont nés de folie Ne vivent que la nuit Changent souvent de lit Voilà ce que l'on dit Des saltimbanques Et pourtant le cœur lourd D'être à jardin et cour Il arrive qu'un jour Ils aiment enfin d'amour Les saltimbanques Bouffons de société Comme dit le Quillet Ils sont les mal-aimés D'un monde déchiré Les saltimbanques On les dit comédiens Poètes ou musiciens C'est à dire moins que rien On traite mieux les chiens Qu' les saltimbanques
J'écoute Jean Marie Vivier depuis quelques années déjà qui est de la même veine que les plus grands comme Ferrat, Ferré, Brel un vrai bonheur d'écouter de si belles chansons.
Et certains moins connus n’ont rien à leur envier: Jehan Jonas, Danielle Messia, Jean-Roger Caussimon, Henri Tachan,...
22h'49 un moment de pur bonheur un soir de tristesse.
"Bouffons de société
Comme dit le Quillet
Ils sont les mal-aimés
D'un monde déchiré
Les saltimbanques
On les dit comédiens
Poètes ou musiciens
C'est à dire moins que rien
On traite mieux les chiens
Qu' les saltimbanques
Ils vous viennent d'ailleurs
Les yeux pleins de chaleur
De l'amour plein le cœur
Et pourtant ils font peur
Les saltimbanques
Puis aussitôt partis
Se perdre dans la nuit
C'est tout de suite l'oubli
On n'est jamais l'ami
Des saltimbanques
Ils sont d'un autre temps
Et se cassent les dents
À trop aimer les gens
Qui n'y voient que du vent
Les saltimbanques
Sur la pointe des pieds
Ils viennent se faire aimer
Mais sont excommuniés
De toutes sociétés
Les saltimbanques
Quand on daigne les voir
Il est déjà trop tard
Souvenez-vous qu'un soir
Un chien suivait Mozart
Le saltimbanque
Ils hurlent avec les loups
À s'en tordre le cou
Mais sont toujours debout
Quand la mort vient à bout
Des saltimbanques
Ils sont nés de folie
Ne vivent que la nuit
Changent souvent de lit
Voilà ce que l'on dit
Des saltimbanques
Et pourtant le cœur lourd
D'être à jardin et cour
Il arrive qu'un jour
Ils aiment enfin d'amour
Les saltimbanques
Bouffons de société
Comme dit le Quillet
Ils sont les mal-aimés
D'un monde déchiré
Les saltimbanques
On les dit comédiens
Poètes ou musiciens
C'est à dire moins que rien
On traite mieux les chiens
Qu' les saltimbanques."
Chanson très réaliste dans beaucoup de cas...texte, voix et vidéo super! Merci Jean-Marie Vivier.
La chanson à texte ....du bonbon!
Bouleversant
bouleversant !
la vraie vie d'artistes !
Que de Vérités Merci a vous Amicalement Simone
En France pour nos hommes politique surtout en période électorale parler culture depuis une vingtaine d’année ne consiste finalement qu’à explorer les moyens financiers et à trouver les solutions de plus en plus rocambolesques pour faire vivre les arts et le partage de la connaissance avec les citoyens. Les débats, consultations ou états généraux se concentrent invariablement sur les baisses de subventions, ou plutôt la façon dont le saupoudrage financier doit s’organiser. Le système culturel français s’est peu à peu mué en un gigantesque outil de gestion de la précarité à tous les niveaux.
Paroles de la chanson Bouffons de société par Jean-Marie Vivier
Bouffons de société
Comme dit le Quillet
Ils sont les mal-aimés
D'un monde déchiré
Les saltimbanques
On les dit comédiens
Poètes ou musiciens
C'est à dire moins que rien
On traite mieux les chiens
Qu' les saltimbanques
Ils vous viennent d'ailleurs
Les yeux pleins de chaleur
De l'amour plein le cœur
Et pourtant ils font peur
Les saltimbanques
Puis aussitôt partis
Se perdre dans la nuit
C'est tout de suite l'oubli
On n'est jamais l'ami
Des saltimbanques
Ils sont d'un autre temps
Et se cassent les dents
À trop aimer les gens
Qui n'y voient que du vent
Les saltimbanques
Sur la pointe des pieds
Ils viennent se faire aimer
Mais sont excommuniés
De toutes sociétés
Les saltimbanques
Quand on daigne les voir
Il est déjà trop tard
Souvenez-vous qu'un soir
Un chien suivait Mozart
Le saltimbanque
Ils hurlent avec les loups
À s'en tordre le cou
Mais sont toujours debout
Quand la mort vient à bout
Des saltimbanques
Ils sont nés de folie
Ne vivent que la nuit
Changent souvent de lit
Voilà ce que l'on dit
Des saltimbanques
Et pourtant le cœur lourd
D'être à jardin et cour
Il arrive qu'un jour
Ils aiment enfin d'amour
Les saltimbanques
Bouffons de société
Comme dit le Quillet
Ils sont les mal-aimés
D'un monde déchiré
Les saltimbanques
On les dit comédiens
Poètes ou musiciens
C'est à dire moins que rien
On traite mieux les chiens
Qu' les saltimbanques
exellent...merciii
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