Georges Brassens - Quatre-vingt-quinze pour cent (Audio Officiel)
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- Опубліковано 7 вер 2024
- Georges Brassens - Quatre-vingt-quinze pour cent (Audio Officiel)
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Écrit et composé par Georges Brassens
Éditions Musicales 57
℗ 1972 Mercury
Photographe : Jacques Aubert
Une personne qui écoute BRASSENS, n'est foncièrement pas une mauvaise personne. Elle est une âme qui aime les sons enchevétrés dans les syntaxes, de textes pensés et transtrits, avec liaisons bien à propos.
Et ceux qui dansaient furent pris pour des fous par ceux qui ne pouvaient entendre la musique
La suntaxe ,,, l on va voir ailleurs quand on ne s eclate pas avec un mec llmmm
La personne qui écoute BRASSENS, l'aime et vous em................
Toujours aussi surpris à chaque chacunes de ces chaussons sa façon unique d'utiliser la langue française impressionnant du jamais vu surtout à l'heure actuelle bravo Brassens 👏😮👍
完全同意。😀
Avec la liberation de la parole des femmes et a l'heure du feminisme, Georges avait raison.
Que de la gentillesse, de l’humour et de l’amour pour les femmes ❤
...il avait absolument tout compris ... Immense respect !
Ce n'est pas demain la veille que l'on trouvera un autre monstre du verbe musical. BRASSENS l'icône du français. 🙏🇲🇫
Il reste le seul!!❤
@@denisemichel5624 comprendre le français et ses subtilités de langages ne sont plus à la portée des écoliers de nos jours.
Bonne journée 🙏
@@gerardgoujou1036 Tout à fait et malheureusement désormais quand on essaye de les élever ils restent fermés à la découverte de ces chef d'oeuvres d'antan qu'aujourd'hui la France ne fait plus.
La musique française actuelle, c'est comme comparait les politiques de nos jours et Robespierre.
Alalala.. Quelle homme ce Brassens..
Tellement vrai, un régal les paroles des chansons de Mr Brassens .
Cent fois sur cent tu resteras genial mon ami grand Georges
❤mon ami, mon 💓 maître, depuis 51 ans. Mon voisin de Sète.❤
R E S P E C T
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas.
combien tu nous manques ......
tu fais partie des meilleurs mon ami ! Repose en paix !
Brassens à atteint la perfection poétique et musicale
Merci infiniment
Magistral et immense Georges Brassens.
(Moi aussi.
Excellent merci...la vérité !
Merci Mr Georges,je découvre aujourd'hui cette magnifique chanson,excellent
Il a tout compris à la relationde couple! Et ce n'est pas vulgaire! Bravo!!!!
Il na jamais menti ❤un des meilleurs un énergique anarchiste ❤
Merci, merci, MERCI.
Pour ces quatre veingt quinze pour cent il a raison a cent pour cent ❤😢
Merci M. Brassens!
Merci à Monsieur Brassens et merci pour le partage, superbe chanson
Le grand george brassens
Merci pour du partage
Merci ♥️
Cher Georges.......♥♥♥♥
Une chanson qui veut dire qu'elle que chose pas comme les chansons d'aujourd'hui 😴😴😅
quelque chose* ducoup
Toujours le même jugement 🥱🥱
C’est sur c’est pas du jul ou autre,,,
Réalité universelle
Les " M'as- tu vu quand je baise " excellente définition , lui seul y a pensé et pourtant! !!!!!!
Quel génie ❤
Ne sois pas déçu
Le “GOAT”
Hard core Georges moi je le suit
❤❤❤❤❤❤❤❤😂
Paroles :
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Je travaille actuellement avec un collègue qui vient de se rendre compte qu'il est cocu jusqu'à l'os... J'hésite à lui envoyer cette chanson. Une pensée en passant pour les andouilles citadines qui ayant tout plaqué pour s'installer à la campagne, ne trouve rien de mieux à faire que de se plaindre du chant du coq, à l'aube : pire que le chant du coq, il y a le chant du cocu, à toute heure de la journée.Et c'est pas beau à entendre.
🦋🦋🐌🐌🐌🐌
🫠❤️
Oh non quand même pas, je dirais un bon 90!
😂
Emanuelle Beart la canta...... diez veces mejor. ((((((()))))))
C est dla peuf
Et toujours ces publicités de merde…
…on ressort les vieilles peaux communistes?