et c'est un vrai compliment, reprendre brassens correctement c'est pas donné à tout le monde, les seules bonnes reprises que j'ai entendue sont dans le style propre des intérprètes
Bravissimo Victoria. ..ardu et pas facile à chanter les chansons du grand Georges ......qui aurait aimé sans nul doute, cette interprétation malicieuse, espiègle et coquine de la joyeuse Victoria
Grande victoria Abril. Eres unica guapa y Valiente Muy famosa pero francia parece k te ama. mas k España ya lo dice el Refrán nadie es poeta en su Tierra. Felicidades guapisima bonita canción y mas vonita tu simpatía.
Interpête parfaite, elle sait de quoi elle parle. Brassens avait une vision absolue sur le monde et ceux qu'ils l'habitent et Une plume incomparable pour transmettre le tout
FABULEUX ! PAS UNE ERREUR ! INTERPRÉTATION PLEINE DE SÈVE ! UN HOMMAGE À L'AMOUR, AU TALENT ET À L'INTELLIGENCE; "À LA FRANCE ET NON À LA PATRIE", COMME AURAIT DIT KING GEORGES
Magnifique interprétation !!! Pleine de swing et de malice de cette chanson qui rend hommage aux femmes. Eh oui Brassens n'était pas si misogyne que ça, surtout pour son époque.
Paroles : La femme qui possède tout en elle Pour donner le goût des fêtes charnelles La femme qui suscite en nous tant de passion brutale La femme est avant tout sentimentale Main dans la main les longues promenades Les fleurs, les billets doux, les sérénades Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet La transportent, mais Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Sauf quand elle aime un homme avec tendresse Toujours sensible alors à ses caresses Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir Elle s'emmerde sans s'en apercevoir Ou quand elle a des besoins tyranniques Qu'elle souffre de nymphomanie chronique C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs De fichus quarts d'heure Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Les "encore", les "c'est bon", les "continue" Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont En général que de pieux mensonges C'est à seule fin que son partenaire Se croit un amant extraordinaire Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus Ne soit pas déçu Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas J'entends aller bon train les commentaires De ceux qui font des châteaux à Cythère "C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit Qu'elle conserve toujours son sang-froid" Peut-être, mais si les assauts vous pèsent De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos Chantez in petto Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas
La femme qui possède tout en elle Pour donner le goût des fêtes charnelles La femme qui suscite en nous tant de passion brutale La femme est avant tout sentimentale Main dans la main les longues promenades Les fleurs, les billets doux, les sérénades Les crimes, les foli’s que pour ses beaux yeux l'on commet La transportent, mais... Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Sauf quand elle aime un homme avec tendresse Toujours sensible alors à ses caresses Toujours bien disposé’, toujours encline à s'émouvoir Ell’ s'emmerd' sans s'en apercevoir Ou quand elle a des besoins tyranniques Qu'elle souffre de nymphomani’ chronique C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs De fichus quarts d'heure Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Les "encore", les "c'est bon", les "continue" Qu'ell' cri’ pour simuler qu'ell' monte aux nues C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont En général que de pieux mensonges C'est à seule fin que son partenaire Se croie un amant extraordinaire Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus Ne soit pas déçu Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas J'entends aller bon train les commentaires De ceux qui font des châteaux à Cythère : "C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit Qu'elle conserve toujours son sang-froid." Peut-être, mais si les assauts vous pèsent De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos Chantez in petto... Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas
Que n'ai-je pas entendu dans ma jeunesse, à propos de Brassens lors de la sortie de cette chanson ! Et il suffit qu'elle soit interprétée par une femme pour que les opinions changent §
Pour comprendre l'introduction, il faut rappeler que la France avait battu l'Espagne en huitième de finale de la Coupe du Monde de Football le 27 juin 2006. Heureusement que Victoria ne s'était pas laissé abattre...
Merciiii Victoria !👏🏼
Elle est merveilleuse, Victoria.
J'adore Victoria
j adore ...!! je craque ...
J adore...et quelle femme !!!
très belle artiste , une magnifique interprétation avec un accompagnement musical très agréable! Bravo
Excellent !!!
J’adore!
Très jazzy !
🎶🎵🎶🎵🍾🥂
Magnifique interprétation ! ❤️
et c'est un vrai compliment, reprendre brassens correctement c'est pas donné à tout le monde, les seules bonnes reprises que j'ai entendue sont dans le style propre des intérprètes
Tellement vrai 🎉
Merveilleux! Merci Georges et Victoria !
Merci beaucoup j'adore bonne écoute.
Victoria té amo.. Maravillosa.. 🎉❤❤
Bravo Victoria!!!
Me encanta todo lo que haces.
Eres única
Magnifique interprétation
Avec son adorable accent cela rajoute un côté mutin à cette si drôle chanson ! Bravo !
Bien meilleur que la version d'Emmanuelle Béart ^^"
splendide !
Merveilleuse Victoria. 👍😊
Délicieuse interprétation 🥰😍
SUPER !!
Supers guitaristes pour l'accompagnement, et quel beau cadeau de voir Victoria Abril chanter cette chanson bien mise en valeur! Belle réussite!
Muy buena guitarra y bajo!
Très belle interprétation de victoria
Victoria Abril: Hermosa y gran artista!!!
je m'en lasse pas nom de dieu!!!
Très belle reprise une des meilleures
Je découvre le talent de victoria abril comme chanteuse superbe interprétation
Sólo una grandiosa mujer como Victoria Abril podía ser, a la vez, una "Chica Almodóvar" y una maravillosa cantante.
Bravissimo Victoria. ..ardu et pas facile à chanter les chansons du grand Georges ......qui aurait aimé sans nul doute, cette interprétation malicieuse, espiègle et coquine de la joyeuse Victoria
Comment résister au sourire de Victoria Abril, et à une chanson de Brassens ?
Maja Maravillosa paloma y hermozura perfecta
Interprétation subtile de Victoria Abril. Merci Pierre Schuller!
grand bravo Victoria! Merci pour ce cadeau
Divina Victoria!!
La Adoro mi actriz favorita me encanta todo lo que hace. ❤❤❤❤❤
MAGNIFIQUE !!!.
Grande victoria Abril. Eres unica guapa y Valiente Muy famosa pero francia parece k te ama. mas k España ya lo dice el Refrán nadie es poeta en su Tierra. Felicidades guapisima bonita canción y mas vonita tu simpatía.
Claro que si, Dolores Valenzuela ! Un abrazo !!
Profeta
Elle est superbe, simple, sensuelle et authentique,, Méditarreenne 💝💖💗💓💞💕😻
méditerranéenne
Très belle interprétation de Victoria avec deux très bon guitaristes
Interpête parfaite, elle sait de quoi elle parle. Brassens avait une vision absolue sur le monde et ceux qu'ils l'habitent et Une plume incomparable pour transmettre le tout
FABULEUX ! PAS UNE ERREUR ! INTERPRÉTATION PLEINE DE SÈVE ! UN HOMMAGE À L'AMOUR, AU TALENT ET À L'INTELLIGENCE; "À LA FRANCE ET NON À LA PATRIE", COMME AURAIT DIT KING GEORGES
Moment de grâce !
Cette interprétation baigne dans la fraîcheur....très agréable !
Génial
Très belle interprétation avec sourire de cette magnifique chanson de Georges Brassens .
"avec tendrrrrrrrrrresse"....🎶🎶🎶😘
Magnifique interprétation !!! Pleine de swing et de malice de cette chanson qui rend hommage aux femmes. Eh oui Brassens n'était pas si misogyne que ça, surtout pour son époque.
Brassens était pas du tout misogyne , celui qui pense ça a rien comprit a ses chansons.
Et oui brassens le parfait opposé de la misogynie!😊👌
Un romantique
Paroles :
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Superbe
Super ! Olé olé 🌺
Le top 👍🤩
Un immense bravo à vous Victoria 👏 le grand Georges a du apprécier de tout la haut 😘
Une des rares personnes à interpréter Brassens de manière personnelle tout en conservant un fond de l’intention de l’auteur
GENIAL
Magnífica
L'interprétation est très réussie et très espiègle !!!
Comme Victoria, d'après ce que l'on en sait. Una mujer libre !
oh! Victoria
j'aime Victoria holé
Brassens: El más "grande" trovador del siglo XX!!!
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les foli’s que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais...
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l’œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchèr’ !
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposé’, toujours encline à s'émouvoir
Ell’ s'emmerd' sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomani’ chronique
C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l’œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchèr’ !
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'ell' cri’ pour simuler qu'ell' monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croie un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l’œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchèr’ !
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère :
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid."
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto...
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l’œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchèr’ !
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Salió de la mejor escuela el 1,2,3 con Chicho Ibañez
Les français il on eu de la chance de l'avoir eux c une reine de landalousi❤
Heureusement, pour les 5% qui restent, tonton Brassens est là !
aaaaah, Victoria!!!!!!!!!!! sublimissime!!!
Olé !
Ôlé! 👊🏽🤩
95 pour cent...charmente Victoria...
je dis oui .. Bravo Madame
😮
Soberbio acompañamiento musical!!
Que n'ai-je pas entendu dans ma jeunesse, à propos de Brassens lors de la sortie de cette chanson ! Et il suffit qu'elle soit interprétée par une femme pour que les opinions changent §
Elle est magnifique quand elle chante Brassens... Je tombe devant Cupidon... Je kif son interprétation ^^
Formidable! Mais quelle dommage que la vidéo soit si mauvaise!
Quel parjure !!
je n'aime pas Brassens chanté par une femme mais l'accompagnement est magnifique
Marrant que Victoria chante assise... tout au long de la chanson j avais envie qu elle se ’lève et bouge au rythme de la musique rires’
Je me suis fait la même réflexion ...
Se le veía algo nerviosa, normal, pero adorable y con 2 cojones la Victoria jeje
J’entends aller bon train les commentaires…
Pour comprendre l'introduction, il faut rappeler que la France avait battu l'Espagne en huitième de finale de la Coupe du Monde de Football le 27 juin 2006. Heureusement que Victoria ne s'était pas laissé abattre...
bof !
Quand l'insupportable chante brassens devient tout d'un coup supportable !