Je vous fais ce petit commentaires ma foi modeste d'abord en vous remerciant pour votre lecture sublime et aussi car grâce a vous jai franchis le pas et acquis un exemplaire des Miserables et m'y mettre. Merci pour votre travail.😊
Merci pour votre message qui me touche infiniment. J’espère que vous aurez beaucoup de bonheur à lire ce roman. Ne vous découragez pas dans les passages un peu…longs, on est récompensé :)
Belle rencontre entre ces deux personnages. Le conventionnel pouvait être girondin, montagnard ou thermidorien… mais quelle époque riche en événements : convention et république contre monarchie de droit divin, directoire, consulat, puis empire et de nouveau monarchies, révolution etc. Combien de questionnements pour ce conventionnel, des vies contre d’autres vies, sachant que les rois et descendants étaient plus que des personnes mais des éléments de l’état si je puis dire. Et qu’en savons nous réellement aujourd’hui pour juger ? Nous en savons si peu sur les réalités de notre 5eme république, ou de son avènement. Reste l’idéal de justice de Victor Hugo, et son évêque confronté à la complexité de la société. Très belle lecture, merci Thomas
Je sais plus qui disait une révolution c'est faire un tour sur soi même, autant dire toujours revenir au point de départ.. en tout cas on constate que ce n'est pas faute d'en avoir fait et d'en faire que les choses changent, mais pour les personnages ça leur donne le moyen de faire chacuns une introspection et d'analyser leur propre choix et leurs idéaux respectifs... ô toi idéal .. toi seul existes !
Je ne sais que dire, très belle lecture, j'ai dû l'écouter deux fois, la première fois j'étais en train de me dire "lis les Misérables tu as le livre lis le en plus de ta lecture actuelle, deux livres à la fois t'as l'habitude" effectivement dès mon réveil je commencerais les Misérables. C'est comme une urgence là de le lire. Merci pour vos explications après, ça m'a aidé à comprendre effectivement. La p'tite erreur ?!? Au vu du travail que vos vidéos littéraires demandent ce n'est rien. Vraiment merci pour vos lectures, elles sont très importantes et vos remarques sont importantes car oui nous n'avons pas tous les connaissances pour comprendre. Merci de ne pas oublier les p'tits cancres qui comme moi désirent évoluer et apprendre toujours et encore. Votre chaîne, le travail fourni est un cadeau pour nous. Vu l'heure je vous souhaite une bonne journée Thomas et encore merci
J'imagine qu'Hugo a eu envie de faire un genre de miroir de l'histoire de Jean Valjean avec celle de Monseigneur Bienvenu dans ce premier livre. Il nous présente un personnage entièrement bienveillant, que le lecteur va s'imaginer comme un saint, puis nous montre dans le dernier chapitre qu'il a des défauts. C'est sûrement pour nous préparer à la surprise de voir Jean Valjean, le bagnard qui vole plus par réflexe que par désir dans le deuxième livre, devenir le meilleur des hommes tout au long de l'histoire. Merci pour les précisions historiques.
Je partage votre commentaire, même si je n’aurais pas employé les mêmes mots: ce qui me plaît chez Hugo ( entre autres) c’est sa façon de sculpter à grands traits ses personnages puis de les nuancer et de nous entraîner au fond de leur être. Le chapitre « Une tempête sous un crâne » est, à ce titre, assez magistral.
L’œuvre de Victor Hugo sous votre voix résonne magnifiquement . Cela me remémore lorsque je vous ai entendu à plusieurs reprises sous le texte de Théophile Gauthier cher capitaine. Texte que vous pourriez nous faire découvrir ou redécouvrir ensuite. :) (J’espère que le thé vous a plus)
La vidéo n’est pas trop longue, loin de là, les exergues historiques, biographiques, analytiques sont précieuses ! Ce chapitre est vraiment dense et foisonnant, je l’ai réécouté plusieurs fois. J’y vois la question de la confrontation, à l’autre d’abord, surtout si l’on est mu par un idéal ou un dogme. Un autre qui diffère de qui nous sommes, cette partie de nous-même ou du monde qu’il nous est loisible d’éviter et « qu’exprime si bien le mot éloignement ». Cet autre est ce face à quoi se retrouve Mgr Bienvenu avec G. je crois. Il attaque (leur dialogue me fait vraiment l’effet d’une partie d’échecs) passablement face à un adversaire qui n’a que des réponses élaborées. Dans la tirade finale de G. il parait que lui s’est confronté à l’autre, au monde des hommes et des idées, à lui-même aussi, pour finir exilé symboliquement par le rejet du groupe. Et cela a fait de lui ce qu’il est devenu : une personne (un peu christique, non?) qui, en dépit de son athéisme, semble avoir une connaissance de l’absolu (du divin?) qui met Monseigneur Bienvenu échec et mat. Et ces mots « la révolution a eu ses raisons », résonnent pour moi fortement avec ce que vous expliquez du passif familial d’Hugo pendant et après la Révolution. C’est presque une leçon de sagesse : évitons de voir les choses de manière binaire, considérons-les dans une palette de gris ; et peut-être s’adresse-t’il à nous : la Révolution mérite d’être regardée, étudiée, connue dans toute sa complexité au risque qu’elle devienne, elle aussi, un dogme... Merci Thomas pour cette richesse que vous offrez !
Merci infiniment pour vos remarques passionnantes :) Hugo s’adresse à nous, exactement. À ses contemporains, évidemment, mais je ne doute pas qu’avec son ambition hors norme, il souhaitait écrire aussi pour les siècles à venir.
Merci pour votre interprétation et votre choix - C'est difficile de partager des impressions tant le robot de youtube censure avec célérité et appétence toute tentative d'échanges ! J'ai perdu le courage d'écrire un long commentaire pour le voir supprimé cependant le personnage du conventionnel est voulu plus profond et ambigu par Hugo (pour une fois avec le chantre de l'universalisme) que ceux ayant posé un diagnostique plus froid sur ces êtres remplis de Progrès à l'instar d'un Flaubert et de son Senecal dans l'Education sentimentale - Ces êtres qui n'ont pas que l'idéal chevillé au corps mais sont également ppur Grossman," des êtres à la morale atrophiée, ils sont prêts à approuver tous les crimes pourvu qu'on ne les soupçonne pas de désaccord avec les autorités. Extrait de vie et destin, passage de la la dernière lettre."
Mon dieu thomas il c’est passer quoi? De mémoire dans le film kamelott tu avait plus de cheveux (sinon jadore ta facon de jouer ta jouer dans quoi a part kamelott?)
Je vous fais ce petit commentaires ma foi modeste d'abord en vous remerciant pour votre lecture sublime et aussi car grâce a vous jai franchis le pas et acquis un exemplaire des Miserables et m'y mettre. Merci pour votre travail.😊
Merci pour votre message qui me touche infiniment. J’espère que vous aurez beaucoup de bonheur à lire ce roman. Ne vous découragez pas dans les passages un peu…longs, on est récompensé :)
Merci pour le partage et pour vos commentaires bien utiles
Merci beaucoup :)
chaque fois l'envie de dire merci
Eh bien, je m’en lasse pas :)
Merci !
merci, sachez que je n'ai pas vu le temps passer
Ça fait super plaisir, merci :)
J'espère qu'il y aura une partie 4 !
Je ne voulais pas devenir une chaîne spécialisée Hugo ! Mais vous me tentez :)
Merci !
Belle rencontre entre ces deux personnages. Le conventionnel pouvait être girondin, montagnard ou thermidorien… mais quelle époque riche en événements : convention et république contre monarchie de droit divin, directoire, consulat, puis empire et de nouveau monarchies, révolution etc. Combien de questionnements pour ce conventionnel, des vies contre d’autres vies, sachant que les rois et descendants étaient plus que des personnes mais des éléments de l’état si je puis dire. Et qu’en savons nous réellement aujourd’hui pour juger ? Nous en savons si peu sur les réalités de notre 5eme république, ou de son avènement. Reste l’idéal de justice de Victor Hugo, et son évêque confronté à la complexité de la société.
Très belle lecture, merci Thomas
Merci, Annie, pour la pertinence de vos remarques que je partage entièrement :)
Je sais plus qui disait une révolution c'est faire un tour sur soi même, autant dire toujours revenir au point de départ.. en tout cas on constate que ce n'est pas faute d'en avoir fait et d'en faire que les choses changent, mais pour les personnages ça leur donne le moyen de faire chacuns une introspection et d'analyser leur propre choix et leurs idéaux respectifs... ô toi idéal .. toi seul existes !
Je ne sais que dire, très belle lecture, j'ai dû l'écouter deux fois, la première fois j'étais en train de me dire "lis les Misérables tu as le livre lis le en plus de ta lecture actuelle, deux livres à la fois t'as l'habitude" effectivement dès mon réveil je commencerais les Misérables. C'est comme une urgence là de le lire. Merci pour vos explications après, ça m'a aidé à comprendre effectivement. La p'tite erreur ?!? Au vu du travail que vos vidéos littéraires demandent ce n'est rien.
Vraiment merci pour vos lectures, elles sont très importantes et vos remarques sont importantes car oui nous n'avons pas tous les connaissances pour comprendre. Merci de ne pas oublier les p'tits cancres qui comme moi désirent évoluer et apprendre toujours et encore. Votre chaîne, le travail fourni est un cadeau pour nous. Vu l'heure je vous souhaite une bonne journée Thomas et encore merci
Merci, Emma, pour votre commentaire encore une fois très généreux. Je suis heureux que cette petite traversée dans ce roman continue à vous plaire :)
J'imagine qu'Hugo a eu envie de faire un genre de miroir de l'histoire de Jean Valjean avec celle de Monseigneur Bienvenu dans ce premier livre. Il nous présente un personnage entièrement bienveillant, que le lecteur va s'imaginer comme un saint, puis nous montre dans le dernier chapitre qu'il a des défauts. C'est sûrement pour nous préparer à la surprise de voir Jean Valjean, le bagnard qui vole plus par réflexe que par désir dans le deuxième livre, devenir le meilleur des hommes tout au long de l'histoire.
Merci pour les précisions historiques.
Je partage votre commentaire, même si je n’aurais pas employé les mêmes mots: ce qui me plaît chez Hugo ( entre autres) c’est sa façon de sculpter à grands traits ses personnages puis de les nuancer et de nous entraîner au fond de leur être. Le chapitre « Une tempête sous un crâne » est, à ce titre, assez magistral.
L’œuvre de Victor Hugo sous votre voix résonne magnifiquement . Cela me remémore lorsque je vous ai entendu à plusieurs reprises sous le texte de Théophile Gauthier cher capitaine. Texte que vous pourriez nous faire découvrir ou redécouvrir ensuite. :) (J’espère que le thé vous a plus)
Merci pour votre retour ! ((((Et le thé :))))) Enregistrer « Le capitaine Fracasse » ? Ouch … Je vais y réfléchir :)
La vidéo n’est pas trop longue, loin de là, les exergues historiques, biographiques, analytiques sont précieuses !
Ce chapitre est vraiment dense et foisonnant, je l’ai réécouté plusieurs fois. J’y vois la question de la confrontation, à l’autre d’abord, surtout si l’on est mu par un idéal ou un dogme. Un autre qui diffère de qui nous sommes, cette partie de nous-même ou du monde qu’il nous est loisible d’éviter et « qu’exprime si bien le mot éloignement ».
Cet autre est ce face à quoi se retrouve Mgr Bienvenu avec G. je crois. Il attaque (leur dialogue me fait vraiment l’effet d’une partie d’échecs) passablement face à un adversaire qui n’a que des réponses élaborées. Dans la tirade finale de G. il parait que lui s’est confronté à l’autre, au monde des hommes et des idées, à lui-même aussi, pour finir exilé symboliquement par le rejet du groupe. Et cela a fait de lui ce qu’il est devenu : une personne (un peu christique, non?) qui, en dépit de son athéisme, semble avoir une connaissance de l’absolu (du divin?) qui met Monseigneur Bienvenu échec et mat.
Et ces mots « la révolution a eu ses raisons », résonnent pour moi fortement avec ce que vous expliquez du passif familial d’Hugo pendant et après la Révolution. C’est presque une leçon de sagesse : évitons de voir les choses de manière binaire, considérons-les dans une palette de gris ; et peut-être s’adresse-t’il à nous : la Révolution mérite d’être regardée, étudiée, connue dans toute sa complexité au risque qu’elle devienne, elle aussi, un dogme...
Merci Thomas pour cette richesse que vous offrez !
Merci infiniment pour vos remarques passionnantes :)
Hugo s’adresse à nous, exactement. À ses contemporains, évidemment, mais je ne doute pas qu’avec son ambition hors norme, il souhaitait écrire aussi pour les siècles à venir.
Merci pour votre interprétation et votre choix - C'est difficile de partager des impressions tant le robot de youtube censure avec célérité et appétence toute tentative d'échanges ! J'ai perdu le courage d'écrire un long commentaire pour le voir supprimé cependant le personnage du conventionnel est voulu plus profond et ambigu par Hugo (pour une fois avec le chantre de l'universalisme) que ceux ayant posé un diagnostique plus froid sur ces êtres remplis de Progrès à l'instar d'un Flaubert et de son Senecal dans l'Education sentimentale - Ces êtres qui n'ont pas que l'idéal chevillé au corps mais sont également ppur Grossman," des êtres à la morale atrophiée, ils sont prêts à approuver tous les crimes pourvu qu'on ne les soupçonne pas de désaccord avec les autorités.
Extrait de vie et destin, passage de la la dernière lettre."
Désolé que le robot vous bride; je ne sais pas trop comment il fonctionne …
Merci pour votre commentaire plein d’érudition !
Mon dieu thomas il c’est passer quoi? De mémoire dans le film kamelott tu avait plus de cheveux (sinon jadore ta facon de jouer ta jouer dans quoi a part kamelott?)
Ah ah ah, les cheveux, ça va, ça vient :)
Pour te répondre, à part Kaamelott, je joue au théâtre et tourne aussi un peu pour la télé ou le cinoche.