Quand l'écriture de soi devient un acte de révolte

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  • Опубліковано 11 вер 2024
  • Edouard Louis
    Ecrivain
    Auteur de : En finir avec Eddy Bellegueule ( éd. Seuil)

КОМЕНТАРІ • 22

  • @damabel5579
    @damabel5579 4 роки тому +6

    L homme le plus respectable de l année

  • @damabel5579
    @damabel5579 4 роки тому +4

    RESPECT à Monsieur Édouard Louis !

  • @MiguelLeBacon
    @MiguelLeBacon 7 років тому +21

    "Très fluet, mais à l'intérieur c'est très costaud , c'est du solide"Colette Kerber à-propos de Edouard Luis.

  • @mirandaemery8566
    @mirandaemery8566 3 роки тому +4

    Comme quoi le génie n’a pas d’âge; Le feu sacré non plus, et quand l’hypersensibilité, la créativité non-conformiste de ceux qui ont tellement souffert d’injustices, en restant fidèles à leur éthique Intrinsèque, leur sens de l’analyse et demande pourquoi ? Fort de leurs expériences de la souffrance est devenu insoutenable, de leur sagacité, leur identité profonde choisie, le libre arbitre galvanise leurs forces créatrices pour la cause qui déjà depuis longtemps a choisis Et son camps et sa bataille.

  • @astra7015
    @astra7015 5 років тому

    Autodidacte ?

  • @franceelle3560
    @franceelle3560 5 років тому +3

    Ce n'est pas un roman mais un témoignage, nuance. Bon, ça se laisse lire mais des témoignages de ce type, il y en a déjà eu, non ? Rien de nouveau.

    • @thanatos7594
      @thanatos7594 3 роки тому +3

      la qualité littéraire fait la différence

  • @Jean93656
    @Jean93656 3 роки тому +1

    Un "roman" - plutôt qu'un témoignage - fort bien écrit... d'autant plus que ce qu'il affirme à propos de sa famille (pauvreté, alcoolisme, violence) est, selon les personnes concernées, totalement faux. Enquête à l'appui.

    • @thanatos7594
      @thanatos7594 3 роки тому +2

      “selon les personnes concernées“ . Evidemment, comment les personnes concernées ne seraient elles pas dans le déni ? C'est comme cela qu'on occulte tout ce qui dérange, les vérités qui dérangent. Aucune chance que ces gens acceptent de se voir tels qu'ils sont.

    • @Jean93656
      @Jean93656 3 роки тому +1

      @@thanatos7594 On peut tout de même comprendre que des parents - par ailleurs "aimants" comme le reconnaît l'auteur lui-même- aient souffert de se voir exposés au jugement de lecteurs (voyeurs?) et de subir, via un roman et un bref récit ("Qui a tué mon père", certes très émouvant mais intrusif) un véritable "massacre symbolique"... Le père est représenté comme violent, grossier, "viriliste" à l'extrême; la mère comme analphabète, raciste, alcoolique, vulgaire, cruelle (dans une scène à la fois rapide et terrible de "Pour en finir avec E. Bellegueule"), elle élimine le foetus dont elle veut se débarrasser... dans les toilettes ("Il est tombé dans les chiottes"... C'était une anecdote qui, des années plus tard, l'amusait beaucoup... p. 67-68). On peut ajouter le frère d'une violence extrême (il bat son père: p. 51-52 Mon père a été contraint à se défendre..." Vous êtes pas mes parents. Crevez...""), le cousin (violeur), une description misérabiliste de la Picardie (Hallencourt), etc. Bref, certains critiques ont parlé d'atteinte à la vie privée! Remarquons aussi que les enfants du couple ont tout de même entrepris des études supérieures; E. Louis a fait Normale Sup'. Les parents ont été interviewés par, entre autres, "Le Nouvel Obs", "France-Culture"... on les entend s'exprimer et, honnêtement, il est difficile de les faire correspondre aux "personnages" du roman... Bref, si Edouard Louis est un écrivain estimable, si son but est de dénoncer les injustices, les conséquences de "l'habitus" tel que P. Bourdieu le définit (il considère que ses parents sont le produit "irresponsable" du milieu qui les a modelés), on peut se poser des questions sur les éventuelles conséquences humaines de romans qui sont, en réalité, des autofictions... On peut comprendre que certains lecteurs soient très mal à l'aise et auraient souhaité une description plus distanciée, ne citant nommément aucune personne "réelle". La liberté que donne la fiction aurait même permis au romancier-sociologue d'éviter le misérabilisme qui - à mon avis - dénature son récit. Je pense, par exemple, au magnifique roman de Ocean Vuong, "Un bref instant de splendeur" qui évite toute intrusion dans la vie d'autrui... tout en étant autobiographique.

  • @supergaboul
    @supergaboul 6 років тому +2

    Pov petit homme, tu écrit bien, et puis tu pleurniche bien aussi...encore un bob du marait...merki France Coultoure....

    • @waterskyfishes
      @waterskyfishes 6 років тому +10

      Keblow des sens, keblow des sentiments. Keblow keblow, c'est la donne, jusqu'au nom.
      LA FAIBLESSE EST SUBLIME, LA FORCE EST MÉPRISABLE. QUAND UN HOMME NAÎT, IL EST FAIBLE ET SOUPLE. QUAND IL MEURT, IL EST FORT ET RAIDE. QUAND UN ARBRE CROÎT, IL EST SOUPLE ET TENDRE ; QUAND IL DEVIENT SEC ET DUR, IL MEURT. LA DURETÉ ET LA FORCE SONT COMPAGNES DE LA MORT. LA SOUPLESSE ET LA FAIBLESSE TRADUISENT LA FRAÎCHEUR DE LA VIE. C'EST POURQUOI CE QUI A DURCI NE VAINCRA PAS.
      LAO TSEU

    • @waterskyfishes
      @waterskyfishes 6 років тому +4

      Pauvre Edouard Louis? Non je ne le crois pas.

    • @philippevignardet9209
      @philippevignardet9209 6 років тому +6

      pov keblow.

    • @christinedelmaere7216
      @christinedelmaere7216 5 років тому +1

      et toi KEBLOW keblow reprend ton bescherelle !!!

    • @veromescla4445
      @veromescla4445 5 років тому +5

      Commentaire raciste et homophobe. Un concentré de connerie, en somme!