Derrière la douceur , une volonté tenace pour témoigner. Annie Ernaux n'avait sans doute pas besoin de ce Nobel pour connaître la notoriété , mais c'est un hommage mérité à l'ecrivaine , à cette oeuvre qui parle de son temps , des humbles , des femmes mais aussi des hommes... Elle a mis au coeur de ses livres la place de chacun , déterminée par la classe sociale . Son engagement est un signe de fidélité à ses origines et son discours sur le changement d'etat social a quelque chose d'emouvant. A voir les mines éloquentes des éditorialistes de la cinq le soir de la proclamation du prix on se disait qu'Annie Ernaux n'avait toujours pas intégré cette classe bourgeoise , et on s'en réjouissait ! Son oeuvre précieuse continuera à temoigner longtemps...
Très bon d'écouter Annie Ernaux comme toujours. Je ne suis pas pourtant vraiment d'accord que les femmes comprennent les hommes mieux que les hommes les femmes ... Certainement les femmes le croient :) Mais il est vrai qu'elles cherchent plus sincèrement à nous comprendre que nous ne le font pour elles. Qu'elles réussissent ou non, ça dépend tellement de l'homme. La difficulté c'est que ce que montre un homme au monde, ce qu'il met en évidence, c'est souvent très bien compris par une femme, mais qu'il y a des choses non montrées, et que lui-même ne se connaît pas, ne sait pas qu'il y a plus à trouver s'il puisait plus profondément ... Souvent les femmes sont plus prêtes à croire qu'il y a toujours qqch sous la surface, ce qui les pousse à le trouver ... tandis que les hommes se contentent de se croire simples. Du moins c'est ce que je pense.
Bravo p/ le prix Nobel et votre capacité de toucher au coeur de bp de monde. J’ai bp apprecié la journaliste aussi. Un style enveloppant, fin, simple. 👏
Elle a fait toutes les bassesses nécessaires pour l'obtenir! C'est sans doute l'écrivaine qui a le moins de vocabulaire dans son français, en ça elle est très actuelle!
Ce fut - il y a quarante déjà - une révélation ! Je l'ai beaucoup lue et ce fut, chaque fois, un grand plaisir de découvrir chacun de ses romans. Merci, Madame ! 🌹💐🌹💐🌹💐🌹
Propos touchant, parcours intéressant, un plaisir que de l’entendre pour tout ceux qui aiment la littérature. Pour les autres, espérons que cela leur donne des raisons pour l’aimer et pour s’y intéresser...
Vous devez avoir une vie bien médiocre et surtout vide! Avec de jeunes hommes espérés sans doute aussi? On ne peut que lui laisser/reconnaitre, ........................."l'obstination du rien"! Il n'y a rien, et elle va nous pondre 42 pages sur ce rien, qui n'a aucun intérêt pour la postérité!
Le prix Nobel m'a donné l'occasion de découvrir les livres d'Annie Ernaux. Je ne peux que regretter d'être resté aussi longtemps ignorant de son œuvre et de son engagement.
@@khunlucie C'est fou ce que les gens peuvent critiquer ! Le jour où nous aurons l'honneur de lire vos livres Nessun Dorma , nous serons enchantés de faire des louanges sur votre prose.
@@dancap6670 Chacun est libre de penser ce qu'il veut, d'aimer ce qu'il veut et de critiquer un ouvrage s'il le souhaite. Quant à mes livres (sociologie) vous ne les lirez jamais, étant donné qu'ils ne sont pas écrits en français et que je doute que vous parliez ma langue. Vous ne pensez tout de même pas que Nessun Dorma soit mon nom, si ? Où est votre culture musicale ? Sans doute dans les poubelles où traînent les livres d'Ernaux.
@La Part des Choses Pendant une seconde, je me suis demandé : "Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?" Puis, j'ai vu votre nom. Je l'avais repéré ailleurs, à la suite des contenus méchants et méprisants de vos commentaires concernant cette autrice que beaucoup apprécient, dont moi (ce qui ne saurait empêcher de lire aussi Léon Bloy et d'autres…) Bon. C'est votre problème et on sait bien qu'on ne plaira jamais à tout le monde même avec un réel talent…
bravo pour un prix Nobel ,bien mérité !!! quant au livre de Edouard LOUIS ,il s agit de : QUI a tué mon pere et non ,Mais qui à tué mon pere . La journaliste a mal prononcé 2 fois sans se corriger !! le QUI ,pas interrogatif a une grande importance
On peut avoir quitté un milieu où il y avait peu de culture, mais continuer à avoir de la sympathie, voire de la compassion pour ce milieu. Je n'ai pas senti cette compassion dann les livres d'Annie Ernaux. Cela en dit long sur sa personnalité et je trouve cela très triste. De plus, ne plus se reconnaître dans le milieu d'où on est sorti, n'empêche pas ce milieu d'avoir ses propres valeurs... et même sa propre culture ! ce
@@MinaCharni Non, ce n'est pas le mot. Mais elle aime son milieu d'origine, les opprimés, sa classe sociale. Ses livres ne cessent de le défendre contre le mépris, l'incompréhension des bourgeois et de certains des membres de l'enseignement qu'elle a rencontrés. C'est bizarre que des lecteurs y voient le contraire. Je ne m'explique pas ce malentendu. Un exemple : "Regarde les lumières mon amour". Elle y dépeint une grande surface de sa ville, s'inquiète des conditions dans lesquelles y travaillent les vendeurs et vendeuses, de leur salaire (elle ne le dit pas clairement, mais elle doit se souvenir de ses parents dans leur petite épicerie, faire des comparaisons…) Or, j'ai lu un commentaire sur ce livre qui évoquait son dédain pour ces gens. "Elle a une façon de parler d'eux ! Et elle leur demande combien ils gagnent. Pour qui se prend-elle, madame la baronne (sic) ?" J'étais estomaquée. Comment peut-on la percevoir comme ça ?! C'est tout le contraire, là aussi… Il me semble qu'elle est tout simplement solidaire de ces gens, qu'elle se sent de leur côté, même si elle vit désormais à l'aise grâce à ses livres ! "Madame la baronne" (?!), ça lui ferait plaisir…
@@Anikamism Je suis, mais tout à fait d'accord avec vous ! Que puis-je ajouter à votre commentaire ? J'ai mis un peu de temps à pouvoir la lire (il y a bien longtemps), cela résonnait trop en moi alors je me réfugiais ailleurs...Mais forcément, j'y suis revenue ! Cette femme est profondément engagée, d'une grande humanité... Elle est indispensable ! Je pense avoir une petite idée, pour ce malentendu : force est de constater que les personnes '' qui passent à côté '' sont un peu à l'opposé de son engagement... politique ! Bonne journée à vous Annick !
Ce n'est pas "gnan gnan " comme vous dîtes. C'est un échange très agréable entre deux personnes qui s'écoutent! Comme c'est agréable et tellement rare maintenant. C'est sûr, ça change d'avec les interwiew vides de sens et inintéressantes guidées par des journalistes imbus d'eux mêmes qui ne laissent pas parler les invités...
Malheureusement, si le monde pouvait changer cela se saurait depuis bien longtemps. Seuls changent avec le temps tous ceux qui ont voulu exprimer leur pensée de pouvoir justement changer ce monde. Ils ont tous essayé, ils ont tous échoué, bien malin celui qui réussira, la vérité est simple : personne n’y arrivera ! Cela ne devrait pas nous empêcher d’aimer notre Terre et, peut-être “de nous aimer les uns les autres ! “.
I am. What am I, when I am? It is water, and water I am not, warm, yet fresh, dark, but with light, liquid, but on shapes I move, and have to make a way. I start, but I am already here, I go, and the path looks good, all that I feel, do fallow also, but something different is the contact, something more of the light, something still water but very dry, warm, fresh, and cold, liquid but as a shape, I will have to stand, where the start will be a constant, and the direction towards all, the contact with all. Where I will die, and live, time after time, where I will drown, burn, and freeze, at the same time, where I will make me, and me will make me, where I will see colour, and of colour I will live. I will support, and on others I will hold, I will be pushed, but they will not let me fall, and for the hold of others, I will not fail to be strong. I will listen, and to me they will talk, they will have to listen while a break they take. I will shelter, and of many I will ask for shelter, for my many directions, of theirs, they have to meet, alone I can stand, but together if fall, we all fall. I hear these letters, and sounds, and words, and freely flowing thoughts, on everything, and everything hears it from me, and none of it is the same, nor the light, the shape, or the declared state, as for the direction, that is of everything, to recognise it on each other, as a witness of all existence. What is that? Light! All of the light! No is the light of the light, because there is more light, there is light where I started, but where I started, I am still starting, and where I am starting, I have to start, I cannot let go, there, or here, for to do so, one start has to be, but such a start never begun, and here it is not. Yes it is constant, in all directions, but what is better, can I say, or what is better, can! If it has too, let it say, for me, and everything to hear, and objected by the better, in all directions, it shall be. Colours it is, and colours I am, and because of it, colour I was, but the light was different, and colour's were not, making one colour, very hard to spot. I have to grow, but where do I go? What is the strength, and what is the weight? And for all of it, what is the wait? If I never started, but I am always starting! Where is the wait, and what is departing? Of shapes I cannot feel, as a shape all can feel me, the words I say, I can hear, but not from me, are they said. Strong I am, and support I give, wait of weight, on me it holds, many detached through me connect, and I through them, to what I cannot touch, I am. I am there, and they are here, through what is moving, we speak, and one another hear. In the middle I am worded, to be different I am noted, in the middle of where it said, for once you are there, it is your end, it is the end, of where you started, it is the beginning from where you departed. Yet in the middle, I do not stay, as the middle, is not today, today stronger I stand, words I do not speak all have to understand, to understand, and speak them back to me, for me to hear, and them not to see. As detached I could have never been, yet I am, and I am touched, and seen. To be frozen, to change shape, to be burned, and life to take, of water I have little, I still support, and protection to me is given, for my colour is back to one, through what I support, of their colours I become, together with all, I am back to middle, sperate I am, the end of the riddle. Words I would never say, I just said, for me to hear, and you to be condemned, or to be free, as there I am, and you are here, and all that look, are different within me, to cry, or be, and of themselves a story to tell, a lie, a song, and in speak, they have to dwell. In the middle where it was your end I stand, yet from here the words to this end, I rest, I rest them on me, you, and them, for all to make it a strength. I support you on your death, and your death gave me life, what is better as witness, a choice that is not given, to all that is, to you, or me, for in all directions, a start, always has to be. Of water I did not have, but on me it is shed, of the colours that make us, it will be, to be said what it is, and no one to see, what you are all is, we are as the truth, and the lie that said for you kill kill. I continue as this, and that, for a choice at any start I never had, neither you, me, or this, and that, a start to point we will not have. For to point is to shame, to shame is nowhere, except the separation from all starts, towards all directions, as shame to bare, and if you are selected for that, something all together has taken you hold, a hold that you cannot escape, nor like me, us, or all, and our pain cannot relent at all, it will be as I am, you are, all is, not here, not there, only sperate for you to stare, as shame you choose, and shame shall be your only dare. You are selected to be no more, by the very word that talks to all, the word I speak, you hear, the word you speak, I hear, and by shame you pointed, in you the word to disappear. Now the time for me to burn has come, should I avenge all that has been done, of all the colours I will take, everything, of only one, I will make, as revenge, or as a start, to begin, or to depart. Is that the same as the point you have shamed, or the end of all directions, as starts that have to be, to be here, to be there, as all the colours, in one have a final lay. Could you be saved, and I just be, in the middle we have to see, speak, hear, hold, and let go, without any senses only as a thought. Do you still need to be told, what I am by me, in turn to be punished, as you to be, in a shame that you did not know, but from it, all your thoughts, and all you bore have flowed. A shame that separated you from me, making me you, and you me, in all that is, I have to do, and all that is, as me you must, making me as you, and you as me, yet for one of us, at all the starts, no more to be. You can make of me what you want, I will still support, hold, and your protection will have, the colours, all the same, the word you say, I will say, and directions of all, I will attend. But once all colours are in one, you is not, but I still am, then you would hear me ask you! Did you eat me as life, or knowledge, was your approach as light as all your folly, did you really think before you started, did you know that no start never really departed. What is next for me, and you, can you hear me, can I still hear you, can you now see the good, and bad, can you point it, can you make it amend. I am still in the middle, and you are not, I am you, and you are not. Can you finally see, what you are ment to be, me is you, and you is me.
Ayant écrit trois romans dont je conçois qu'ils puissent être d'une qualité insuffisante pour l'édition, j'ai été contraint, a contrario de ce qu'affirme Mme Ernaux, d'admettre qu'on puisse écrire seulement pour soi.
Je l'aime beaucoup, mais on ne peut pas être d'accord sur tout. Je pense personnellement qu'il y a des tas de choses qu'on peut faire pour soi : chanter (dans sa baignoire, sa cuisine ou ailleurs…), jouer d'un instrument, être coquette (ou coquet), c'est ce qui me vient à l'instant à l'esprit, mais on pourrait poursuivre l'énumération… Ecrire aussi, je pense. D'une manière générale, je ne considère pas qu'on existe essentiellement dans la relation à l'autre, sous son regard. Et… heureusement !
france culture est de gauche et cette femme est l'exemplification de la gauche wokiste, il faut revoir toute votre histoire des dictatures, il vous manque la gauche!
@Patrice Toutes cette semaine des émission sur le fascisme sur f...rance culture, tout ce que l'on peut reprocher aux dictatures fascistes on peut le reprocher aux dictatures communistes, le fascisme est de gauche et de droite, le pire étant peut-être au ....................centre! Le syndicat sud finit de pourrir f.....rance culture!
@@juliet178 Pour une fois (concernant ce que je lis depuis quelque temps sur Annie Ernaux, depuis la sortie du film réalisé avec son fils, puis de son obtention du prix Nobel) que ce sont des gens de gauche qui sont intolérants ! Il est évident que tous ces commentaires méchants, méprisants, moqueurs, rabaissants, et en plus souvent grossiers que l'on lit sur ces pages qui lui sont consacrées ont pour la plupart une raison politique. Elle dérange les bourgeois conservateurs et coincés (et l'extrême droite ?) Comme je ne comprends pas toujours très vite, je me suis dit tout d'abord : "Mais c'est quoi, cette haine, ces injustices, ces exagérations ?" Et puis, j'ai pensé que ce ne pouvait être que ça. Moi qui ne suis pas très engagée politiquement et ne viens pas d'un milieu très prolétaire ou très modeste, je trouve qu'elle écrit très bien, qu'elle est à la fois juste et émouvante, et que c'est évident. En un mot, c'est très bon, même si ça ne me donne pas envie d'aller brandir des pancartes.
Bourdieu avait forgé le concept d'habitus, que les gauchistes en majorité d'habitus favorable se gardent de mettre en avant... Venir du peuple sera toujours une croix
D'accord faut il pas que le français soit cosmolite et accessible pour tous les linguistes sinon l'académie française vient d'admettre naguère ce mot. On est vexé vis-à-vis au changement et au pollinisation or c'est le but de toute langue.
Remarque ce qui est cool c est que qd tu viens du smic en etant passé par le Bresil et qu tu deviens patron.... t as pas besoin qu un patron t explique pourquoi faire une creperie bio , ecoutez Mau Mau et votez Melanchon vu que tu le savais deja qd tu etais au smic....dc le retour en bas moi ca me derangera pas c est juste que vous aurez remplacé la payz par.... Donc je leur laisserai le soin de communiquer leurs valeurs vu qu ils seront chez eux!
25:59 La première émission de télé que j'ai faitE !!! madame Nobel... on rêve ... 29:34 IL y a des lieux comme ça qui vous ont construitE !!! madame la journaliste... Mais où étiez-vous du CE2 au CM2 ???????????
Je suis comme vous. J'aime que l'on observe cette règle d'accord du participe passé. Il est vrai que nombre de gens cultivés ne le font pas, et cela me peine (et m'irrite !) Cela ne diminue en rien mon amour pour les livres d'Annie Arnaud, et je trouve que la journaliste est sympathique. C'est tout de même dommage…
Annie Ernaux: « Pour moi écrire c ‘est le sentiment d ‘être traversée par quelque chose et que je ne suis pas seule à l être mais qu’il y en à d’autres » j ‘ai bien peur que le problème soit précisément là. Les grands noms de l ‘art y compris dans la littérature sont par nature des solitaires extremes et ils sont traversés par quelque chose qui n ‘existait pas avant eux et qui ensuite seulement existe pour tous ceux qui vont découvrir et sentir ce qu’ils ont découvert : c ‘est à l’opposé de ce que dit Ernaux non ? Imaginez la même phrase prononcée par Kafka , Proust (cher à Ernaux ;-) ou même Kundera , Echenoz pour ne parler que de sa génération à elle. Je pense que c ‘est tout simplement inimaginable. Les nobel c ‘est un peu comme les oscars pour le cinéma académie à la folie de la à l’académisme il n y a qu’un pas et le Clezio et Modiano me tombent des mains. Le transfuge de classe n’est pas une matière artistique: on le saurait depuis le temps!
Votre commentaire est tellement abstrait qu'il en est insignifiant. Précisez par quoi sont traversés les grands noms de littérature qui n'existait pas avant ?
La question d'être traversé est centrale dans le travail d'écriture. Sommes-nous des espaces béants et vides afin de recevoir et transmettre ? Ou alors sommes-nous si pleins, si remplis qu'il nous incombe de faire des choix, un tri, en prenant notre place pour mieux laisser passer ?
@@delismarc193 je ne suis pas là pour expliquer les fondamentaux de l’art mais vous pouvez lire Deleuze vous allez tout comprendre ( il parle du délire sur le monde dont seuls les génies sont capables et il parle aussi du concept proustien de « langue étrangère » par essence ce que Proust nomme langue étrangère c ‘est justement cette invention dans la langue qui permet d’ecrire ce qui n’avait jamais été écrit auparavant.les grands noms de la création artistique ne se contentent pas d’exploiter une matière personnelle, ils inventent ou réinventent l’outil nécessaire à leur esthétique contrairement aux artisans qui se servent de l’outil tel qu’il existe ce qui anéantit d ‘emblée toute création véritable. Ernaux nous dit qu’elle aime Proust mais qu’elle est du côté de Céleste : on entend bien que cette formule a quelque chose d essentiellement publicitaire pour vendre son œuvre or on peut affirmer à titre posthume que Céleste n’est pas du côté d’Ernaux mais au contraire du côté de Proust pour l’éternité.
@@audepons8801 il me semble que le plein et le vide ce n ‘est pas là l affaire. On sait en peinture que le détail vaut tout autant que l’ensemble, le lointain que la figure principale. Je crois comme Barthes à la mort de l’auteur ( par conséquent qu’il soit plein ou vide n’a pas d’importance ) et à la créativité du Neutre (Barthes encore). C’est l’écriture qui écrit ce n’est pas juste les tribulations du « moi »
@@fverrieres Annie Ernaux à cette question de plein de l'intérieur pour écrire disait qu'elle se ressentait vide, que tout n'était que relations, interactions avec l'extérieur. Ce n'est pas ce que je pense, bien au contraire. Comme vous le dites il y a toujours une forme au-delà de la forme en art plastique ou littéraire. Mais cette conscience d'être, en profondeur, unique, et par conséquent légitime sans vanité est souvent un travail d'une vie, écrivain ou pas. Ne trouvez-vous pas ?
etudiantes bourgeois all’università, parlare delle razze ci fa eliminare le ingiustizie, questione del corpo-> si vedeva dal corpo dei suoi familiari che erano lavoratori, lei voleva distinguersi, mani= quando si scrive non si lavora con le mani ma con la testa con la memoria e il corpo, 82 anni= è sopresa dalla semplicità dell’invecchiare e dei cambiamenti, cambiamenti anche nel guardare il proprio passato, lei non ha paura-> etonnement, essere libere= desiderio, non è autorizzato nella società che le donne scrivano, lo sente molto vivo soprattutto d’ala parte della sua belle/familie sembra una cosa anomala, secondo lei sua mamma era più libera di suo papà, differenze uomo donna ci sono ancora bisogna rendersi conto patriarcato femmine conoscono gli uomini, loro no e dovrebbero farlo,
Transfuge de classe! Le baron Ernest Antoine doit bien rire. Milieu modeste...études de lettres..capes.. agrégation. La réussite au mérite..bravo...ah sans l école ! On connaît la chanson. Bienfaits de l'.ascenseur social qui aujourd'hui ne marche plus..(Ernest Antoine est plié de rire). .Ecrivaine à succès...prix littéraires et puis soudain la chute de l ascenseur: prix Nobel de littérature !. Jean Paul n'est pas allé chercher le sien lui au moins. Jules Verne. Victor Hugo. Zola ne l' ont pas eu ...ça n'existait pas encore. Tant mieux...mais quelles oeuvres! Quels génies! L' île mystérieuse, Notre Dame de Paris. Germinal! Nobel: un chimiste spécialiste notamment en armement..les explosifs, la poudre à canon...quel service a t'il rendu à l humanité ? Grande boucherie de 14-18, deuxième guerre mondiale, shoah, guerres de décolonisation etc etc... Quels services aura rendu Annie Ernaux pour l humanité qui continue à crever de faim, de misère, à se noyer dans la Manche, la Méditerranée etc etc. Là le baron Ernest Antoine s'en fout carrement. Il bâille. J'ai écris pour venger ma race! Que ne faut-il pas entendre! Ah tous ces bobos qui descernent le prix Nobel ! Les cons!
Merci de ne pas vouloir mettre sur un plan de similitude l'œuvre d'AE et celle d'Edouard Louis. Autant la première est géniale autant la seconde n'en est qu'une minable tentative d'imitation, un déversement de pleurnicheries.
Je viens de finir "en finir avec Eddy Bellegueule", de Edouard Louis. Je vous trouve injuste, et très dur. C'est un bon livre, avec quelques maladresses, mais d'une sincérité bouleversante. Je trouve ça bien que quelqu'un le dise, sous votre commentaire méchant. C'est un bon livre. C'est un bon livre.
Ooohhh...la pleurniche de n'être pas née bourgeoise et de l'être juste devenue. Comment peut-on se dire de gauche et avoir honte de son milieu social d'origine?J'ai lu le livre, insipide.
L'adoration actuelle de l'oeuvre d'Annie Ernaux dit beaucoup de choses de notre époque - le refus du style (en somme d'une réelle singularité), la recherche de la clarté en toutes choses (alors que le réel est confus, complexe), du plat, etc. Un Proust ne serait plus publié aujourd'hui, tant notre époque hait la littérature et lui préfère les formes dégradées du journalisme ou d'un vague sociologisme. Tout ça manque de pensée et de puissance affective. Mais bon...
Oui franchement c'est mieux quand la littérature se réserve à un public bourgeois lettré élitiste et cultivé, y'en a marre que les pauvres puissent y avoir accès !!!!!
La littérature, ce ne sont pas des bons sentiments ou de l'idéologie. Cette dame n'a aucun intérêt en tant qu'écrivain. Pas plus qu'une Christine Angot ou qu'une Coffin. Allez, ouste. Quant au Nobel, c'est fini. Mais France culture, bon petit soldat du wokisme et du gauchisme est toujours là..hélas.
Je l'ai beaucoup lue aussi et apprécié la plupart de ses livres mais franchement elle me fatigue un peu dans cette posture un brin égérique où elle se sent obligée d'avoir un avis sur tout et d'incarner à la fois une génération et un milieu social... Ses livres suffisent sans en faire une "maîtresse d'école" surtout si ses rejetons sont de la trempe navrante, réellement affligeante même, d'un Édouard LOUIS...
Ce concept de transfuge de classe sociale m'échappe totalement, désolée !l'idée de classe sociale ne m'a jamais effleurée.Nous sommes tous différents avec des aspirations différentes...mais avoir envie,ou s'ebahir du fait qu'on a "évolué "ou non...parler de classe supérieure ou non...personne n'est supérieur...
Ah, parce que vous croyez être habité par une critique objective ! Vous feriez mieux de dire le fond de votre pensée - VOUS ne l'aimez pas -, au lieu de portez VOTRE jugement 'universel' et sa vacuité dont ses INNOMBRABLES lecteurs de par le monde n'ont vraiment que faire.
@@alexandrebidaud3289 , si j'écris un commentaire avec mon blaze, c'est par pure subjectivité. Quant aux INNOMBRABLES (vous écrivez en majuscule, vous avez visiblement la délicatesse littéraire de votre héroïne) lecteurs de la Madone des essoufflés du style, ils sont moins nombreux que ceux de Paulo Coelho. Cela ne prouve donc rien. Bonne nuit.
@@lilialessandra4963, le mépris social dont vous faites preuve (j'ai quitté l'école à seize ans, cela ne m'empêche pas d'être sensible à la littérature) montre que vous avez lu Annie Ernaux sans rien comprendre de ce qu'elle écrivait si mal. C'est honteux.
Je suis fasciné par la journaliste. Quel talent!!!
Journaliste !!!vraiment
juste! mais pas ecrivain !
@La Part des Choses Ya des gens au QI de 35 capables de réciter le nombre Pi en entier.
@La Part des Choses tu connais pas le syndrome du savant?
Derrière la douceur , une volonté tenace pour témoigner. Annie Ernaux n'avait sans doute pas besoin de ce Nobel pour connaître la notoriété , mais c'est un hommage mérité à l'ecrivaine , à cette oeuvre qui parle de son temps , des humbles , des femmes mais aussi des hommes... Elle a mis au coeur de ses livres la place de chacun , déterminée par la classe sociale . Son engagement est un signe de fidélité à ses origines et son discours sur le changement d'etat social a quelque chose d'emouvant. A voir les mines éloquentes des éditorialistes de la cinq le soir de la proclamation du prix on se disait qu'Annie Ernaux n'avait toujours pas intégré cette classe bourgeoise , et on s'en réjouissait ! Son oeuvre précieuse continuera à temoigner longtemps...
Très bon d'écouter Annie Ernaux comme toujours. Je ne suis pas pourtant vraiment d'accord que les femmes comprennent les hommes mieux que les hommes les femmes ... Certainement les femmes le croient :) Mais il est vrai qu'elles cherchent plus sincèrement à nous comprendre que nous ne le font pour elles. Qu'elles réussissent ou non, ça dépend tellement de l'homme. La difficulté c'est que ce que montre un homme au monde, ce qu'il met en évidence, c'est souvent très bien compris par une femme, mais qu'il y a des choses non montrées, et que lui-même ne se connaît pas, ne sait pas qu'il y a plus à trouver s'il puisait plus profondément ... Souvent les femmes sont plus prêtes à croire qu'il y a toujours qqch sous la surface, ce qui les pousse à le trouver ... tandis que les hommes se contentent de se croire simples. Du moins c'est ce que je pense.
Quelle femme incroyable, merci pour ce beau partage. Je vais a aller chercher un de ces livres;Quelle bonne nouvelle ... ce Nobel
Bravo p/ le prix Nobel et votre capacité de toucher au coeur de bp de monde. J’ai bp apprecié la journaliste aussi. Un style enveloppant, fin, simple. 👏
ça pour petrte simple c'est simple, c'est même simplet. C'est zéro littérature.
une femme tellement intelligente, que j'aime écouter !
Félicitations pour avoir gagné le prix Nobel de littérature 2022 !
Elle a fait toutes les bassesses nécessaires pour l'obtenir!
C'est sans doute l'écrivaine qui a le moins de vocabulaire dans son français, en ça elle est très actuelle!
Ce fut - il y a quarante déjà - une révélation !
Je l'ai beaucoup lue et ce fut, chaque fois, un grand plaisir de découvrir chacun de ses romans.
Merci, Madame !
🌹💐🌹💐🌹💐🌹
Salut je voudrais commencer à lire cette autrice éminente sinon pourriez vous me conseiller de lire l'un des plus beaux roman dans carrière de lettre
@@aymen_zrii Personnellement, je recommanderais "Les Années", car c'est mon préféré.
Incroyable
Un classique
Propos touchant, parcours intéressant, un plaisir que de l’entendre pour tout ceux qui aiment la littérature. Pour les autres, espérons que cela leur donne des raisons pour l’aimer et pour s’y intéresser...
Vive l'humanité, Bravo Annie Ernaux 💐
Oui, vous avez change quelque chose dans ma vie, Annie. Merci ! 😊
Salut je voudrais commencer à lire cette autrice éminente sinon pourriez vous me conseiller de lire l'un des plus beaux roman dans carrière de lettre
@@aymen_zrii er
Ezeezzeezez22e
Vous devez avoir une vie bien médiocre et surtout vide!
Avec de jeunes hommes espérés sans doute aussi?
On ne peut que lui laisser/reconnaitre, ........................."l'obstination du rien"!
Il n'y a rien, et elle va nous pondre 42 pages sur ce rien, qui n'a aucun intérêt pour la postérité!
@@adda7256 ah, non, tout va tres bien, merci de vous en preoccuper... 😊 Annie va tres bien aussi d’ailleurs.
Quelles voix, quels talents !❤
La voix simple des plus modestes, afin que rien de ce qui se vit ne s'efface...
Merci.
Superbe interview. Journaliste extraordinaire. Moment délicieux d échange en calme et douceur
Bravo! Pour le prix Nobel de la Literature .
Le prix Nobel m'a donné l'occasion de découvrir les livres d'Annie Ernaux. Je ne peux que regretter d'être resté aussi longtemps ignorant de son œuvre et de son engagement.
Franchement, vous n'avez pas raté grand chose. Fade et plat.
@@khunlucie
C'est fou ce que les gens peuvent critiquer ! Le jour où nous aurons l'honneur de lire vos livres Nessun Dorma , nous serons enchantés de faire des louanges sur votre prose.
@@dancap6670 Chacun est libre de penser ce qu'il veut, d'aimer ce qu'il veut et de critiquer un ouvrage s'il le souhaite. Quant à mes livres (sociologie) vous ne les lirez jamais, étant donné qu'ils ne sont pas écrits en français et que je doute que vous parliez ma langue. Vous ne pensez tout de même pas que Nessun Dorma soit mon nom, si ? Où est votre culture musicale ? Sans doute dans les poubelles où traînent les livres d'Ernaux.
@@khunlucie
Waouh ! C'est immonde, ce que vous osez écrire. 🤮
Le tréfonds des commentaires YT, quoi.
@@MinaCharni Problème de sémantique ? Bas-fonds, si vous voulez, mais pas tréfonds. Merci de m'avoir fait rire, j'adore !!
Bravo Madame pour gagner le Prix Nobel de la Litterature❤
J’ai aimé tous vos livres
Le premier que j’ai lu c’était la « La place «
Félicitations pour votre Prix je suis heureuse pour vous .
@La Part des Choses Pendant une seconde, je me suis demandé : "Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?" Puis, j'ai vu votre nom. Je l'avais repéré ailleurs, à la suite des contenus méchants et méprisants de vos commentaires concernant cette autrice que beaucoup apprécient, dont moi (ce qui ne saurait empêcher de lire aussi Léon Bloy et d'autres…) Bon. C'est votre problème et on sait bien qu'on ne plaira jamais à tout le monde même avec un réel talent…
Moi j'ai lu Léon Bloy et maintenant je m'apprête à passer à "Bibi Fricotin", qu'est-ce que tu en penses ? Je suis sûr que Léautaud m'aurait approuvé.
bravo pour un prix Nobel ,bien mérité !!! quant au livre de Edouard LOUIS ,il s agit de : QUI a tué mon pere et non ,Mais qui à tué mon pere . La journaliste a mal prononcé 2 fois sans se corriger !! le QUI ,pas interrogatif a une grande importance
Une humaine d'exception dans la "normalité" revendiqué. Merci
Quel plaisir d'écouter cet interview !
Merci Mme Trierweller
Platitude et insignifiance ! Ce qui prime aujourd'hui... dans nos sociétés en plein décadence
On peut avoir quitté un milieu où il y avait peu de culture, mais continuer à avoir de la sympathie, voire de la compassion pour ce milieu. Je n'ai pas senti cette compassion dann les livres d'Annie Ernaux. Cela en dit long sur sa personnalité et je trouve cela très triste.
De plus, ne plus se reconnaître dans le milieu d'où on est sorti, n'empêche pas ce milieu d'avoir ses propres valeurs... et même sa propre culture !
ce
Tiens, moi, je n'ai vu que ça ! Bon, j'exagère, mais je l'ai vu.
@@Anikamism
Moi aussi !
Et c'est sûr, je ne parlerais certainement pas de '' compassion '' .
@@MinaCharni Non, ce n'est pas le mot. Mais elle aime son milieu d'origine, les opprimés, sa classe sociale. Ses livres ne cessent de le défendre contre le mépris, l'incompréhension des bourgeois et de certains des membres de l'enseignement qu'elle a rencontrés. C'est bizarre que des lecteurs y voient le contraire. Je ne m'explique pas ce malentendu. Un exemple : "Regarde les lumières mon amour". Elle y dépeint une grande surface de sa ville, s'inquiète des conditions dans lesquelles y travaillent les vendeurs et vendeuses, de leur salaire (elle ne le dit pas clairement, mais elle doit se souvenir de ses parents dans leur petite épicerie, faire des comparaisons…) Or, j'ai lu un commentaire sur ce livre qui évoquait son dédain pour ces gens. "Elle a une façon de parler d'eux ! Et elle leur demande combien ils gagnent. Pour qui se prend-elle, madame la baronne (sic) ?" J'étais estomaquée. Comment peut-on la percevoir comme ça ?! C'est tout le contraire, là aussi… Il me semble qu'elle est tout simplement solidaire de ces gens, qu'elle se sent de leur côté, même si elle vit désormais à l'aise grâce à ses livres ! "Madame la baronne" (?!), ça lui ferait plaisir…
@@Anikamism
Je suis, mais tout à fait d'accord avec vous !
Que puis-je ajouter à votre commentaire ?
J'ai mis un peu de temps à pouvoir la lire (il y a bien longtemps), cela résonnait trop en moi alors je me réfugiais ailleurs...Mais forcément, j'y suis revenue ! Cette femme est profondément engagée, d'une grande humanité... Elle est indispensable !
Je pense avoir une petite idée, pour ce malentendu : force est de constater que les personnes '' qui passent à côté '' sont un peu à l'opposé de son engagement... politique !
Bonne journée à vous Annick !
@@MinaCharni Merci, Mina. Très bonne journée à vous aussi:)
Trop cool🎉🎉🎉🎉🎉🎉
Cette interview m'a donné envie de découvrir son oeuvre....! Quelle belle personne!
« La place » que vous avez dans mon cœur ne sera jamais arraché 🍁🌼
Oui, exactement. Cette capacité pour dire
Oooooooooooh! Cœur, quelle voix !
un discours gnan gnan
Oui le discours ne vaut pas du tout l'écriture. Certainement vous n'avez rien lu.
Ce n'est pas "gnan gnan " comme vous dîtes.
C'est un échange très agréable entre deux personnes qui s'écoutent!
Comme c'est agréable et tellement rare maintenant.
C'est sûr, ça change d'avec les interwiew vides de sens et inintéressantes guidées par des journalistes imbus d'eux mêmes qui ne laissent pas parler les invités...
Master class
incroyable femme
Félicitations pour le Novel de litterature.
Malheureusement, si le monde pouvait changer cela se saurait depuis bien longtemps. Seuls changent avec le temps tous ceux qui ont voulu exprimer leur pensée de pouvoir justement changer ce monde. Ils ont tous essayé, ils ont tous échoué, bien malin celui qui réussira, la vérité est simple : personne n’y arrivera ! Cela ne devrait pas nous empêcher d’aimer notre Terre et, peut-être “de nous aimer les uns les autres ! “.
Décevant ce prix Nobel
Congrats
81 ans🤔incroyable. Congratulations Mme.💫💥💐
Hélas !
Quel est le nom de la journaliste s.v.p
Puedo oírlo en español?
è stata anche professoressa, pensa che la scuola sia il fattore più grande di trasformazione
Annie, grand merci. Je lis et relis « la place ». L’un des livres essentiels dans ma vie.
Salut je voudrais commencer à lire cette autrice éminente sinon pourriez vous me conseiller de lire l'un des plus beaux roman dans carrière de lettre
Allez marcher dans la foret ça vous sera plus utile!
I am. What am I, when I am?
It is water, and water I am not, warm, yet fresh, dark, but with light, liquid, but on shapes I move, and have to make a way. I start, but I am already here, I go, and the path looks good, all that I feel, do fallow also, but something different is the contact, something more of the light, something still water but very dry, warm, fresh, and cold, liquid but as a shape, I will have to stand, where the start will be a constant, and the direction towards all, the contact with all. Where I will die, and live, time after time, where I will drown, burn, and freeze, at the same time, where I will make me, and me will make me, where I will see colour, and of colour I will live. I will support, and on others I will hold, I will be pushed, but they will not let me fall, and for the hold of others, I will not fail to be strong. I will listen, and to me they will talk, they will have to listen while a break they take. I will shelter, and of many I will ask for shelter, for my many directions, of theirs, they have to meet, alone I can stand, but together if fall, we all fall. I hear these letters, and sounds, and words, and freely flowing thoughts, on everything, and everything hears it from me, and none of it is the same, nor the light, the shape, or the declared state, as for the direction, that is of everything, to recognise it on each other, as a witness of all existence. What is that? Light! All of the light! No is the light of the light, because there is more light, there is light where I started, but where I started, I am still starting, and where I am starting, I have to start, I cannot let go, there, or here, for to do so, one start has to be, but such a start never begun, and here it is not. Yes it is constant, in all directions, but what is better, can I say, or what is better, can! If it has too, let it say, for me, and everything to hear, and objected by the better, in all directions, it shall be. Colours it is, and colours I am, and because of it, colour I was, but the light was different, and colour's were not, making one colour, very hard to spot. I have to grow, but where do I go? What is the strength, and what is the weight? And for all of it, what is the wait? If I never started, but I am always starting! Where is the wait, and what is departing? Of shapes I cannot feel, as a shape all can feel me, the words I say, I can hear, but not from me, are they said. Strong I am, and support I give, wait of weight, on me it holds, many detached through me connect, and I through them, to what I cannot touch, I am. I am there, and they are here, through what is moving, we speak, and one another hear. In the middle I am worded, to be different I am noted, in the middle of where it said, for once you are there, it is your end, it is the end, of where you started, it is the beginning from where you departed. Yet in the middle, I do not stay, as the middle, is not today, today stronger I stand, words I do not speak all have to understand, to understand, and speak them back to me, for me to hear, and them not to see. As detached I could have never been, yet I am, and I am touched, and seen. To be frozen, to change shape, to be burned, and life to take, of water I have little, I still support, and protection to me is given, for my colour is back to one, through what I support, of their colours I become, together with all, I am back to middle, sperate I am, the end of the riddle. Words I would never say, I just said, for me to hear, and you to be condemned, or to be free, as there I am, and you are here, and all that look, are different within me, to cry, or be, and of themselves a story to tell, a lie, a song, and in speak, they have to dwell. In the middle where it was your end I stand, yet from here the words to this end, I rest, I rest them on me, you, and them, for all to make it a strength. I support you on your death, and your death gave me life, what is better as witness, a choice that is not given, to all that is, to you, or me, for in all directions, a start, always has to be. Of water I did not have, but on me it is shed, of the colours that make us, it will be, to be said what it is, and no one to see, what you are all is, we are as the truth, and the lie that said for you kill kill. I continue as this, and that, for a choice at any start I never had, neither you, me, or this, and that, a start to point we will not have. For to point is to shame, to shame is nowhere, except the separation from all starts, towards all directions, as shame to bare, and if you are selected for that, something all together has taken you hold, a hold that you cannot escape, nor like me, us, or all, and our pain cannot relent at all, it will be as I am, you are, all is, not here, not there, only sperate for you to stare, as shame you choose, and shame shall be your only dare. You are selected to be no more, by the very word that talks to all, the word I speak, you hear, the word you speak, I hear, and by shame you pointed, in you the word to disappear. Now the time for me to burn has come, should I avenge all that has been done, of all the colours I will take, everything, of only one, I will make, as revenge, or as a start, to begin, or to depart. Is that the same as the point you have shamed, or the end of all directions, as starts that have to be, to be here, to be there, as all the colours, in one have a final lay. Could you be saved, and I just be, in the middle we have to see, speak, hear, hold, and let go, without any senses only as a thought. Do you still need to be told, what I am by me, in turn to be punished, as you to be, in a shame that you did not know, but from it, all your thoughts, and all you bore have flowed. A shame that separated you from me, making me you, and you me, in all that is, I have to do, and all that is, as me you must, making me as you, and you as me, yet for one of us, at all the starts, no more to be. You can make of me what you want, I will still support, hold, and your protection will have, the colours, all the same, the word you say, I will say, and directions of all, I will attend. But once all colours are in one, you is not, but I still am, then you would hear me ask you! Did you eat me as life, or knowledge, was your approach as light as all your folly, did you really think before you started, did you know that no start never really departed. What is next for me, and you, can you hear me, can I still hear you, can you now see the good, and bad, can you point it, can you make it amend. I am still in the middle, and you are not, I am you, and you are not. Can you finally see, what you are ment to be, me is you, and you is me.
❤️💜🌹🌹
Ayant écrit trois romans dont je conçois qu'ils puissent être d'une qualité insuffisante pour l'édition, j'ai été contraint, a contrario de ce qu'affirme Mme Ernaux, d'admettre qu'on puisse écrire seulement pour soi.
N'est ce pas plutôt un début qu'une fin que d'être le ou la première concernée par nos écrits ?
Je l'aime beaucoup, mais on ne peut pas être d'accord sur tout. Je pense personnellement qu'il y a des tas de choses qu'on peut faire pour soi : chanter (dans sa baignoire, sa cuisine ou ailleurs…), jouer d'un instrument, être coquette (ou coquet), c'est ce qui me vient à l'instant à l'esprit, mais on pourrait poursuivre l'énumération… Ecrire aussi, je pense. D'une manière générale, je ne considère pas qu'on existe essentiellement dans la relation à l'autre, sous son regard. Et… heureusement !
Vous pouvez toujours les mettre quelque part sur internet. On sait jamais.
❤❤❤
ideale= reussit economique
Il ne faut pas exagérer . Tout le monde est transfuge. C'est plutôt l'ascenseur social...
J’adore les réponses d’A.E… Excellente malgré les questions orientées de cette journaliste de droite!
On en lit des conneries sur youtube mais là, ça dépasse l'entendement.
Ah bon, c’est disqualifiant d’avoir des idées de droite ? Quelle intolérance ! En plus, ce n’est pas du tout flagrant !
france culture est de gauche et cette femme est l'exemplification de la gauche wokiste, il faut revoir toute votre histoire des dictatures, il vous manque la gauche!
@Patrice Toutes cette semaine des émission sur le fascisme sur f...rance culture, tout ce que l'on peut reprocher aux dictatures fascistes on peut le reprocher aux dictatures communistes, le fascisme est de gauche et de droite, le pire étant peut-être au ....................centre!
Le syndicat sud finit de pourrir f.....rance culture!
@@juliet178 Pour une fois (concernant ce que je lis depuis quelque temps sur Annie Ernaux, depuis la sortie du film réalisé avec son fils, puis de son obtention du prix Nobel) que ce sont des gens de gauche qui sont intolérants ! Il est évident que tous ces commentaires méchants, méprisants, moqueurs, rabaissants, et en plus souvent grossiers que l'on lit sur ces pages qui lui sont consacrées ont pour la plupart une raison politique. Elle dérange les bourgeois conservateurs et coincés (et l'extrême droite ?) Comme je ne comprends pas toujours très vite, je me suis dit tout d'abord : "Mais c'est quoi, cette haine, ces injustices, ces exagérations ?" Et puis, j'ai pensé que ce ne pouvait être que ça. Moi qui ne suis pas très engagée politiquement et ne viens pas d'un milieu très prolétaire ou très modeste, je trouve qu'elle écrit très bien, qu'elle est à la fois juste et émouvante, et que c'est évident. En un mot, c'est très bon, même si ça ne me donne pas envie d'aller brandir des pancartes.
Je préfère le concept de transclasse de Chantal Jacquet pour son efficacité mais bon…on est en littérature ! J’écoute donc…😊
❤
Bourdieu avait forgé le concept d'habitus, que les gauchistes en majorité d'habitus favorable se gardent de mettre en avant... Venir du peuple sera toujours une croix
Salut je voudrais commencer à lire cette autrice éminente sinon pourriez vous me conseiller de lire l'un des plus beaux roman dans carrière de lettre
@@aymen_zrii ta gueule un peu !
@@aymen_zrii "Autrice" ? La deconstruction de la langue précède celle d'une civilisation quelles que soient nos origines.
D'accord faut il pas que le français soit cosmolite et accessible pour tous les linguistes sinon l'académie française vient d'admettre naguère ce mot. On est vexé vis-à-vis au changement et au pollinisation or c'est le but de toute langue.
@ Jop Le Coz
Venir d'ailleurs me semble également être la même chose.
C'est peut-être moins visible.
Remarque ce qui est cool c est que qd tu viens du smic en etant passé par le Bresil et qu tu deviens patron.... t as pas besoin qu un patron t explique pourquoi faire une creperie bio , ecoutez Mau Mau et votez Melanchon vu que tu le savais deja qd tu etais au smic....dc le retour en bas moi ca me derangera pas c est juste que vous aurez remplacé la payz par....
Donc je leur laisserai le soin de communiquer leurs valeurs vu qu ils seront chez eux!
Je parle du spot de la creperie!
SHEEEESH
25:59 La première émission de télé que j'ai faitE !!! madame Nobel... on rêve ...
29:34 IL y a des lieux comme ça qui vous ont construitE !!! madame la journaliste...
Mais où étiez-vous du CE2 au CM2 ???????????
Je suis comme vous. J'aime que l'on observe cette règle d'accord du participe passé. Il est vrai que nombre de gens cultivés ne le font pas, et cela me peine (et m'irrite !) Cela ne diminue en rien mon amour pour les livres d'Annie Arnaud, et je trouve que la journaliste est sympathique. C'est tout de même dommage…
Où l'un ne peut s'exprimer
l'autre doit se taire
💜
Le Néo libéralisme met en avant des gens comme Zemmour...un changement est possible, merci Annie Ernaux.
luoghi-> nel film si mostra bene la ragazza che accoglie popolazioni straniere e offre delle possibilità di vita di studi, sogno che non crediamo vero
Annie Ernaux: « Pour moi écrire c ‘est le sentiment d ‘être traversée par quelque chose et que je ne suis pas seule à l être mais qu’il y en à d’autres » j ‘ai bien peur que le problème soit précisément là. Les grands noms de l ‘art y compris dans la littérature sont par nature des solitaires extremes et ils sont traversés par quelque chose qui n ‘existait pas avant eux et qui ensuite seulement existe pour tous ceux qui vont découvrir et sentir ce qu’ils ont découvert : c ‘est à l’opposé de ce que dit Ernaux non ? Imaginez la même phrase prononcée par Kafka , Proust (cher à Ernaux ;-) ou même Kundera , Echenoz pour ne parler que de sa génération à elle. Je pense que c ‘est tout simplement inimaginable. Les nobel c ‘est un peu comme les oscars pour le cinéma académie à la folie de la à l’académisme il n y a qu’un pas et le Clezio et Modiano me tombent des mains. Le transfuge de classe n’est pas une matière artistique: on le saurait depuis le temps!
Votre commentaire est tellement abstrait qu'il en est insignifiant. Précisez par quoi sont traversés les grands noms de littérature qui n'existait pas avant ?
La question d'être traversé est centrale dans le travail d'écriture. Sommes-nous des espaces béants et vides afin de recevoir et transmettre ? Ou alors sommes-nous si pleins, si remplis qu'il nous incombe de faire des choix, un tri, en prenant notre place pour mieux laisser passer ?
@@delismarc193 je ne suis pas là pour expliquer les fondamentaux de l’art mais vous pouvez lire Deleuze vous allez tout comprendre ( il parle du délire sur le monde dont seuls les génies sont capables et il parle aussi du concept proustien de « langue étrangère » par essence ce que Proust nomme langue étrangère c ‘est justement cette invention dans la langue qui permet d’ecrire ce qui n’avait jamais été écrit auparavant.les grands noms de la création artistique ne se contentent pas d’exploiter une matière personnelle, ils inventent ou réinventent l’outil nécessaire à leur esthétique contrairement aux artisans qui se servent de l’outil tel qu’il existe ce qui anéantit d ‘emblée toute création véritable. Ernaux nous dit qu’elle aime Proust mais qu’elle est du côté de Céleste : on entend bien que cette formule a quelque chose d essentiellement publicitaire pour vendre son œuvre or on peut affirmer à titre posthume que Céleste n’est pas du côté d’Ernaux mais au contraire du côté de Proust pour l’éternité.
@@audepons8801 il me semble que le plein et le vide ce n ‘est pas là l affaire. On sait en peinture que le détail vaut tout autant que l’ensemble, le lointain que la figure principale. Je crois comme Barthes à la mort de l’auteur ( par conséquent qu’il soit plein ou vide n’a pas d’importance ) et à la créativité du Neutre (Barthes encore). C’est l’écriture qui écrit ce n’est pas juste les tribulations du « moi »
@@fverrieres Annie Ernaux à cette question de plein de l'intérieur pour écrire disait qu'elle se ressentait vide, que tout n'était que relations, interactions avec l'extérieur.
Ce n'est pas ce que je pense, bien au contraire. Comme vous le dites il y a toujours une forme au-delà de la forme en art plastique ou littéraire. Mais cette conscience d'être, en profondeur, unique, et par conséquent légitime sans vanité est souvent un travail d'une vie, écrivain ou pas. Ne trouvez-vous pas ?
etudiantes bourgeois all’università, parlare delle razze ci fa eliminare le ingiustizie, questione del corpo-> si vedeva dal corpo dei suoi familiari che erano lavoratori, lei voleva distinguersi, mani= quando si scrive non si lavora con le mani ma con la testa con la memoria e il corpo, 82 anni= è sopresa dalla semplicità dell’invecchiare e dei cambiamenti, cambiamenti anche nel guardare il proprio passato, lei non ha paura-> etonnement, essere libere= desiderio, non è autorizzato nella società che le donne scrivano, lo sente molto vivo soprattutto d’ala parte della sua belle/familie sembra una cosa anomala, secondo lei sua mamma era più libera di suo papà, differenze uomo donna ci sono ancora bisogna rendersi conto patriarcato femmine conoscono gli uomini, loro no e dovrebbero farlo,
Transfuge de classe! Le baron Ernest Antoine doit bien rire.
Milieu modeste...études de lettres..capes.. agrégation.
La réussite au mérite..bravo...ah sans l école ! On connaît la chanson.
Bienfaits de l'.ascenseur social qui aujourd'hui ne marche plus..(Ernest Antoine est plié de rire).
.Ecrivaine à succès...prix littéraires et puis soudain la chute de l ascenseur: prix Nobel de littérature !.
Jean Paul n'est pas allé chercher le sien lui au moins.
Jules Verne. Victor Hugo. Zola ne l' ont pas eu ...ça n'existait pas encore. Tant mieux...mais quelles oeuvres! Quels génies! L' île mystérieuse, Notre Dame de Paris. Germinal!
Nobel: un chimiste spécialiste notamment en armement..les explosifs, la poudre à canon...quel service a t'il rendu à l humanité ? Grande boucherie de 14-18, deuxième guerre mondiale, shoah, guerres de décolonisation etc etc...
Quels services aura rendu Annie Ernaux pour l humanité qui continue à crever de faim, de misère, à se noyer dans la Manche, la Méditerranée etc etc.
Là le baron Ernest Antoine s'en fout carrement. Il bâille.
J'ai écris pour venger ma race! Que ne faut-il pas entendre!
Ah tous ces bobos qui descernent le prix Nobel !
Les cons!
Elle n'a rien de passionnant.
19:51
Entretien pénible à suivre
Merci de ne pas vouloir mettre sur un plan de similitude l'œuvre d'AE et celle d'Edouard Louis. Autant la première est géniale autant la seconde n'en est qu'une minable tentative d'imitation, un déversement de pleurnicheries.
Salut je voudrais commencer à lire cette autrice éminente sinon pourriez vous me conseiller de lire l'un des plus beaux roman dans carrière de lettre
@@aymen_zrii à lire absolument La place (sur son père) Une femme (sur sa mère) et Les années.
@@gerardderwael6002 mercii je vais les dévorer vivement
Je viens de finir "en finir avec Eddy Bellegueule", de Edouard Louis. Je vous trouve injuste, et très dur. C'est un bon livre, avec quelques maladresses, mais d'une sincérité bouleversante. Je trouve ça bien que quelqu'un le dise, sous votre commentaire méchant. C'est un bon livre. C'est un bon livre.
J’ai bien aimé son roman D’Eddy
attraverso la scuola, a scuola
Quelle horrible contrainte que de devoir constamment s'occuper de soi et de sa propre histoire - comme si l'on était l'axe du monde.
Vratya de Léon
Apparemment vous critiquez cette écrivaine, MAIS occupez.vous donc de vous, et après vous nous montrerez votre oeuvre.
Le neutre, c'est pas la solution ??????
N'importe quoi !
Ooohhh...la pleurniche de n'être pas née bourgeoise et de l'être juste devenue. Comment peut-on se dire de gauche et avoir honte de son milieu social d'origine?J'ai lu le livre, insipide.
L'adoration actuelle de l'oeuvre d'Annie Ernaux dit beaucoup de choses de notre époque - le refus du style (en somme d'une réelle singularité), la recherche de la clarté en toutes choses (alors que le réel est confus, complexe), du plat, etc. Un Proust ne serait plus publié aujourd'hui, tant notre époque hait la littérature et lui préfère les formes dégradées du journalisme ou d'un vague sociologisme. Tout ça manque de pensée et de puissance affective. Mais bon...
Oui franchement c'est mieux quand la littérature se réserve à un public bourgeois lettré élitiste et cultivé, y'en a marre que les pauvres puissent y avoir accès !!!!!
Salut je voudrais commencer à lire cette autrice éminente sinon pourriez vous me conseiller de lire l'un des plus beaux roman dans carrière de lettre
@@aymen_zrii La Place est un incontournable, je vous conseillerais La Honte ou Les Années également :)
Aver vous deja entendu le best-seller son auto socio graphie l'événement avez vous deja eu l'occasion de le lire.
Vous avez vraiment une conception de la littérature singulière.
La littérature, ce ne sont pas des bons sentiments ou de l'idéologie. Cette dame n'a aucun intérêt en tant qu'écrivain. Pas plus qu'une Christine Angot ou qu'une Coffin. Allez, ouste. Quant au Nobel, c'est fini. Mais France culture, bon petit soldat du wokisme et du gauchisme est toujours là..hélas.
Quand tu n'a pas de talent mais que tu as avorté alors on te file le prix Nobel par copinage et propagande
Tu es débile, cordialement.
francia più forte disuguaglianza sociale
Pub pour le foot au Qatar...même pas la honte...
Se reconnaitre en votre écriture est plus qu'utile, VITAL
Je déteste ce concept de transfuge de classe... Nous sommes tous des hommes et femmes libres et égaux
Non...
.. des banalités ..
Je l'ai beaucoup lue aussi et apprécié la plupart de ses livres mais franchement elle me fatigue un peu dans cette posture un brin égérique où elle se sent obligée d'avoir un avis sur tout et d'incarner à la fois une génération et un milieu social... Ses livres suffisent sans en faire une "maîtresse d'école" surtout si ses rejetons sont de la trempe navrante, réellement affligeante même, d'un Édouard LOUIS...
Et les masques c'est que pour les pauvres du métro et les profs dans leur classe ...
C'est surtout pour les musulmanes du Golf et les cons, mais ce sont les mêmes!
france culture et la sous culture!
Il y a de la mesquinerie chez cette femme
Les questions de cette journaliste… Elle a sa place sur BFMTV….
Et vous, vous redoublez encore votre CE2, cette année ?
@@tveye9616 pourquoi ?
@@tveye9616 ?
@@tveye9616 commentaire idiot! Cette femmes est totalement nulle c''est pour ça qu'elle plait tant!
Vous vous répétez = votre niveau de sous-culture est en dessous des Catacombes.
Ce concept de transfuge de classe sociale m'échappe totalement, désolée !l'idée de classe sociale ne m'a jamais effleurée.Nous sommes tous différents avec des aspirations différentes...mais avoir envie,ou s'ebahir du fait qu'on a "évolué "ou non...parler de classe supérieure ou non...personne n'est supérieur...
mdr
Félicitation vous êtes une bourgeoise
si on est tous égaux pourquoi les richesses ne sont pas partagées ?
C’est touchant tant de naïveté
Ben lisez La Place d'Annie Ernaux. Mes collégiens comprennent parfaitement toutes ces choses grâce à elle, ça devrait marcher aussi pour vous
Une chose est certaine, Annie Ernaux ne sera jamais une transfuge de la bonne littérature, elle ne l'a jamais habité.
Ah, parce que vous croyez être habité par une critique objective !
Vous feriez mieux de dire le fond de votre pensée - VOUS ne l'aimez pas -, au lieu de portez VOTRE jugement 'universel' et sa vacuité dont ses INNOMBRABLES lecteurs de par le monde n'ont vraiment que faire.
@@alexandrebidaud3289 , si j'écris un commentaire avec mon blaze, c'est par pure subjectivité. Quant aux INNOMBRABLES (vous écrivez en majuscule, vous avez visiblement la délicatesse littéraire de votre héroïne) lecteurs de la Madone des essoufflés du style, ils sont moins nombreux que ceux de Paulo Coelho. Cela ne prouve donc rien. Bonne nuit.
Vous n'avez jamais été traversé.e par la langue française. Corrigez vos fautes et ensuite on parlera littérature
@@lilialessandra4963, le mépris social dont vous faites preuve (j'ai quitté l'école à seize ans, cela ne m'empêche pas d'être sensible à la littérature) montre que vous avez lu Annie Ernaux sans rien comprendre de ce qu'elle écrivait si mal. C'est honteux.
@@tveye9616 ouin ouin j'ai quitté l école à 16 ans et je me demande pourquoi Annie Ernaux a le prix Nobel de littérature .
😁
SHEEEEEEEEESH