Відео

Merci beaucoup pour cette capsule,je dit ca parce que depuis que la tite plante verte a tout fait et tout tenter pour effacer la vrais histoire de montreal,

Super, merci pour la richesse, encore une fois, de ta vidéo mais … c'est quand la prochaine fois qu'on aura une vidéo de toi ? T'es parti de Montréal ou… ? 😂

J'ai hâte à la prochaine! 😉

Merci, pour la vidéo et pour ton message face à l'esclavage et la vie à Montréal et ton bris d'un peu de cet anonymat ! 😊

Je viens de connaître ta chaîne merci à toi Joël et à toute l'équipe J'adore nôtre histoire et j'adore Montréal pour y avoir vécue plusieurs décennies Je vais regarder toute çà aujourd'hui Car c'est très intéressant J'adore les historiens j'adore mon Québec bien sur j'aime le Canada et je m'intéresse à toutes les histoires qui les ont vues grandir Merci encore à toute l'équipe ❤ Merci encore

j ai appris que les filles du roi étais des p tes

Les filles du Roy. Marie de l'Incarnation demande au Roy de prendre en charge les orphelins des soldats morts au combat. Plusieurs d'entre elles choisissent de venir se marier aux soldats du Canada. Ce sont de grandes dames, élevées comme des princesses. Des femmes aux grands chapeaux. Le chapeau, à l'époque, indiquait le rang de la dame.

Marie Faucon mon ancêtre était une fille du Roy. Elle a habité à Pointe aux Trembles et selon ce que j'ai trouvé, un de ces fils a été tué par un Iroquois au bout de l'Ile.

Fière descendente des filles du roi : Mes ancêtre François Allard et Jeanne Languille (fille du roi)

Le régiment de Carignan a été créé en 1636 par le prince Tommaso Francesco di Savoia, fils de Charles Emmanuel Ier de Savoie, qui a ainsi reçu le titre de prince de Carignano, donnant naissance à la branche cadette de la maison de Savoie de Savoy-Carignano. Le régiment se compose d'environ 1 200 Piémontais, Savoyards et Liguriens. Le prince Tommaso Francesco, qui avait combattu les Français au service des Habsbourg pendant les guerres de succession, passe au service du royaume de France en 1642 et le régiment prend une part active aux différentes campagnes de la Fronde, combattant les Impériaux au Piémont et en Lombardie et, en alliance avec eux, les Turcs. À la mort du prince Tommaso Francesco (1656), le régiment passe à son fils Emanuele Filiberto, qui nomme le colonel Balthazar, d'origine suisse, commandant du régiment. Mais trois ans plus tard, celui-ci passe au service des Impériaux et Emmanuel Philibert le remplace par Henri de Chastelard, seigneur de Salières. Le régiment prend alors le nom de "Carignano-Salières". Après la paix des Pyrénées, le prince Emmanuel Philibert n'est plus en mesure de maintenir le régiment et le donne à Louis XIV de France. De nombreux régiments sont dissous. Cependant, le prince de Carignan réussit à convaincre le roi de confier à son régiment la mission vers la Nouvelle-France. C'est ainsi qu'au cours de l'été 1665, 20 compagnies sous le commandement de Sallieres partent pour le Nouveau Monde. Avant de partir pour la Nouvelle-France, 200 "Alemanni" (en fait des Suisses ou des Allemands) ont été enrôlés et le régiment, qui avait perdu de nombreux Piémontais d'origine, était également composé de Français, Italiens ( Savoyards, Liguriens, Piémontais), d'Allemands et d'Irlandais. La troupe est envoyée au Canada pour aider les colons. À l'époque, la colonie française est en effet soumise à de fréquents raids de la part de la tribu indienne des Iroquois. Le régiment de Carignan-Salières arrive avec plusieurs navires entre juin et septembre. Il y a deux expéditions du régiment contre les Iroquois en 1666, où ces derniers sont vaincus. La paix est rétablie en 1667. Le commandant du régiment est alors Alexandre de Prouville de Tracy. Une fois la mission accomplie, le roi propose aux soldats de s'établir en Nouvelle-France en leur accordant des terres le long du fleuve Saint-Laurent. Environ 400 d'entre eux acceptent l'offre. La plupart sont célibataires et en âge de se marier et rejoignent par la suite les filles du roi, dotées par le roi pour peupler la Nouvelle-France. De retour en Europe en 1668, le régiment continue à servir Louis XIV, toujours sous le commandement d'Emanuel Philibert et de Salières. Les Iroquois fascinaient les soldats piémontais du régiment de Carignan, tant par leur apparence que par leurs traditions, et bien qu'ils fussent des adversaires au combat, ils éprouvaient une grande estime pour eux, en raison du courage dont ils faisaient preuve sur le terrain. À leur retour en Europe, les soldats piémontais rapportèrent des dessins et des portraits des Amérindiens, dont certains furent offerts à la famille royale du Piémont, qui décida à son tour, d'embellir le palais des princes de Carignan à Turin, avec des frises représentant les Iroquois. Ces frises, que l'on peut encore voir sur la façade du Palais Carignan de Turin, et qui n'ont aucune similitude avec d'autres précédents architecturaux, sont destinées à commémorer la victoire remportée par un régiment de Carignan aux côtés des Français en 1667, contre les Indiens iroquois lors de la colonisation du Canada.

Merci pour cette capsule fort instructive!

Chapeau bas !

André Mignier dit Lagacé et Jacquette Michel, ça vous dit quelque chose ? Mes aïeux !

Excellente vidéo, bravo! Il vente tu Joel? 😂

Lorsque tu montres la maison de Jacques Viger, face à celle de Papineau, je crois qu'il s'agit plutôt de la maison de Louis-Michel Viger, cousin et meilleur ami de Papineau. J'ai travaillé quelques années au restaurant Les filles du Roy qui se trouvait à cette adresse, et c'est ce que j'enseignais au visiteur. Et selon le propriétaire de l'époque, Réjean Ducharme y aurait habité et écrit L'avalée des avalés...

Vous voulez en savoir plus sur ce sujet ? On vous suggère cette petite liste de lectures : - ALLARD, Michel et al., L’Hôtel-Dieu de Montréal, 1642-1973, Montréal, Hurtubise HMH, coll. « Collection Histoire », 1973, 254 p. - CÔTÉ, André, « L’affaire du Canada (1761-1763) » dans Cap-aux-Diamants, (83), 2005, pp. 10-14. - DECHÊNE, Louise, Habitants et marchands de Montréal au XVIIe siècle: essai., Montréal, Boréal, 1988. - DECHÊNE, Louise, Le partage des subsistances au Canada sous le régime français, Montréal, Boréal, 1994, 283 p. - DECHÊNE, Louise et Hélène PARÉ, Le peuple, l’État et la guerre au Canada sous le Régime français, Montréal, Boréal, 2008, 664 p. - DÉPATIE Sylvie, « Jardins et vergers à Montréal au XVIIIe siècle » dans DÉPATIE Sylvie et al., Vingt ans après habitants et marchands: lectures de l’histoire des XVII et XVIII siècles canadiens, Montreal, McGill-Queen’s University Press, coll. « Studies on the history of Quebec », 1998, 297 p. - DESLOGES, Yvon et Michel P. de COURVAL, À table en Nouvelle-France, Québec (Québec), Septentrion, 2020. - DULL, Jonathan R., La guerre de sept ans: histoire navale, politique et diplomatique, Bécherel, Ed. les Perséides, 2009. - FERLAND, Catherine, Bacchus en Canada: boissons, buveurs, et ivresses en Nouvelle-France, Québec, Québec, Septentrion, 2010, 413 p. - TELLIER, Luc-Normand, L’émergence de Montréal dans le système urbain nord-américain: 1642-1776, Québec, Québec, Septentrion, 2017, 521 p. - TURCOT, Laurent, « Mœurs, sociabilités et mentalités montréalaises : la vie quotidienne dans la ville au XVIIIe siècle », dans FOUGÈRES Dany (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Québec, Presses de l’Université Laval, 2012, pp. 268-304. - VIAU, Roland, « Pour qui souffle le vent? Heur et malheur d’une entité coloniale, 1702-1760 », dans FOUGÈRES Dany (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Québec, Presses de l’Université Laval, 2012, pp. 165-220.

Vidéo très intéressante et très agréablement illustré. Merci beaucoup :)

Vous voulez en savoir plus sur ce sujet ? On vous suggère cette petite liste de lectures : - LACHANCE, André, Vivre à la ville en Nouvelle-France, Québec, Stanké, 2010, 288 p. - TELLIER, Luc-Normand, L’émergence de Montréal dans le système urbain nord-américain: 1642-1776, Québec, Septentrion, 2017, 521 p. - VIAU, Roland, « Pour qui souffle le vent? Heur et malheur d’une entité coloniale, 1702-1760 », dans Dany Fougères (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Québec, Presses de l’Université Laval, 2012, pp. 165-220. - TURCOT, Laurent, « Mœurs, sociabilités et mentalités montréalaises : la vie quotidienne dans la ville au XVIIIe siècle », dans Dany Fougères (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Québec, Presses de l’Université Laval, 2012, pp. 268-304.

J’adore tes vidéos!! Merci beaucoup! :) Le seul commentaire que j’ajouterais c’est d’ajouter des sous-titres, car mon youtube a toujours l’option allumé pour bien comprendre, mais ça donne souvent des mots incompréhensibles!! ;(

Comment ça ‘l’Afrique fournit à son corps défendant des esclaves’? Ce sont les Africains eux-même sui réduisaient en esclavage les tribus vaincues et les vendaient aux Européens (et avant eux aux Arabes). Les Européens restaient sur les côtes Africaines et ne pénétraient pas dans le continent. Alors arrêtez de présenter les Africains comme des pauvres victimes des méchants Européens!

Bonsoir La paix véritable se trouve dans le Messie sauveur Jésus de son vrai nom hébreu Yeshoua. Lisez la Bible c est important. Amitié.

La Compagnie des Cent Zassociés?

Bonjour de France, en Bretagne, merci pour ce sujet très intéressant et éclairant, ça donne envie de visiter Montréal avec un guide 😉

Merci pour toutes vos recherches que vous avez la gentillesse de bien vouloir nous les partager! C’est passionnant !!!😊

Vraiment intéressant et très bien vulgarisé merci pour ton temps et pour ton travaille

Pourquoi montrer une personne marcher dans un excrément. Ça ne m'a pas donné envie de poursuivre...

Aveux tirée sous tortire....on sais pas si elle est coupable hum! sous torture on fait tout pour que cesse même si mentir mène à la mort

Non, ce n'est pas cynique du tout, il y a des témoignages des autochtones de l'époque selon lesquels les religieux en charge de la mission menacent les autochtones d'aller en enfer s'ils ne cèdent pas leurs terres aux colons blancs, vendent leurs terres sans leur permission pendant leur absence et biensure, ces blancs installés sur leurs terres, partis eux, se comportent fort mal avec eux et ont des moeurs dissipées. C'est le clash normal entre une population catholique depuis des centaines d'années et des nouveaux convertis, la vision de la morale n'est pas la même. sans compter bien sur le racisme des colons qui est manifeste.

L'importance de Jeanne Mance, Marguerite Bourgeois et Madame de Bulion est évidente pour tout le monde depuis bien longtemps, les status officiels sont des structures patriarcale qui avancent lentement, ça n'a jamais empêché les montréalais qui s'intéressent à leur histoire de reconnaitre leurs fondatrices, leur courage et leur aplomb.

Euh, désolée, Madonna et moi venons en droite matrilinéarité de Anne Cloutier, pas Anne Lemaitre. Anne Cloutier était la fille de Xainte Dupont et Zachary Cloutier qui sont arrivés à Québec en 1632 avec leurs 5 enfants. Anne Cloutier n'est donc pas du tout une fille du Roy et ce sont les descendantes de Xainte Dupont et non d'Anne Lemaïtre qui sont si nombreuses qu'elles balaient largement le nombre des Tremblay. Anne Cloutier est aussi la signataire du premier acte notarié de la nouvelle France. Malheureusement, c'était son acte de mariage. Elle avait 11 ans. Beurk!

Pourquoi sur l'île et pas ailleurs? Parce que Mademoiselle Mance, malgré son côté pragmatique, était effectivement un mystique et qu'elle avait effectivement eu une vision qui concernait cette île et pas un autre endroit. Cette rectification que tu tentes de faire en disant que ce sont pas des héros parfaits est tout-à-fait légitime mais être mystique n'est pas être un super héros, c'est au contraire être un religieux sauté de la cafetière aveuglé par sa vision qui met en danger des vies humaines parce qu'il n'a pas conscience des réalités. Ils étaient un petit groupe de religieux mystique à avoir eu cette vision et ils y tenaient mordicus.

OK, je l'ai laissé passer dans plusieurs vidéos mais là je suis tannée. La nation Aniée que tu appelles sans arrêt mohawk, n'existe pas à l'époque ce sont les kaniaka hanka ou kaniaké haké, tout dépendant qui l'écris. La nomenclature mohawk n'apparait qu'au 19es quand ce peuple a déjà été grandement modifié par son apport de captifs, d'adoptés et d'alliés en tout genres qui se sont greffés avec le temps. La confusion entre les deux est à éviter même s'il y a une filiation indéniable. Merci.

OK. Tu savais pas que "maybe old New York, was once new Amsterdam" je te recommandes chaudement un band génial qui s'appelle they might be giants.😂😂😂

L'Afrique fournis contre son gré? L'Afrique n'est pas une personne avec une volonté unique, l'Afrique c'est des centaines de populations différentes, des nations, des empires millénaires des civilisations des rois dont certains qui vivent grassement du commerce des esclaves. Les Antilles où les populations ont été réduites presque à néant et le territoire occupé par l'industrie du sucre et des métaux précieux les fournis bien plus contre son gré tant qu'à ça...

Ouais, bon, on se calme, les Wet'suwet'en n'ont jamais revendiqués Montréal de près ou de loin et la véritable confédération Odénosauneh, qui devons-nous le rappeler existe toujours et se trouve toujours au même endroit c'est à dire aux états-unis a très clairement déclaré qu'ils ne revendiquent pas Montréal. Juste de même.

C'est un impressionnant travail d'éducation que vous faites là, bravo, continuez.

Les guerres sont les guerres. Elles sont toujours menées par les puissants pour leurs propres comptes, les guerriers y sont toujours manipulés et ce sont toujours les population civiles qui payent. Si la terreur est vécu à parts égales chez les Wendats, les Odenosauneh, les anglais et les français, le massacre de Lachine n'en est pas moins un massacre pour autant. C'est une population civile qui s'est faite massacrer. Rétablir l'équité dans l'histoire, ça ne se fait pas en minimisant les souffrances des populations.

O.K., bizarre, moi je n'ai jamais entendu parler de la grande paix comme d'une victoire coloniale française sur les autochtones bagarreurs. Aussi creux que je me souvienne dans mon enfance, mon historienne blanche Québécoise de mère m'a toujours parlé d'un traité de paix historique obtenu en majeur partie grâce au travail acharné de diplomate du grand Kondiaronk. Faudrait peut-être voir à pas casser de sucre avec trop d'excès sur le dos de vos prédécesseurs jeune homme.

Bravo, continuez votre beau travail.

Pour ce qui est de l'hôpital général, les statistiques sur la survie des nourrissons datent-elles des l'époque des frères Charons, des soeurs de la charité ou sont-elles un mélange des deux? J'ai ouïs dire que les frères chatons n'étaient bons qu'à se saouler avec leur cidre et à abuser des femmes dont ils avaient la garde quand ils étaient responsables de l'hôpital général. Il y a sans doute là dessous un peu de calomnie de la part des soeurs de la charité, elles même largement victimes de calomnie de la part des frères Charons, responsables entre autre de l'apellation "soeur grises" qui se voulait un sobriquet accusant ces dernières d'ivrognerie et de dévoiement. La source de ces accusations vient sans doute du fait qu'après les avoir rasées, les soeurs de la charité accueillaient très fréquemment leurs "bénéficiaires" dans leurs rangs, leur offrant ainsi une vie à l'abri de la famine, de la mendicité, de la prostitution et de la violence quotidienne engendrée par l'itinérance, et gagnait en retours d'un côté, une main d'oeuvre gratuite précieuse pour une communauté qui vivait des fruits de son artisanat et de l'autre, une réputation sulfureuse de "nid de femmes de mauvaise vie".

Agathe De Saint père! Woaw! Comment ça se fait que je ne la connaissais pas elle! Autonomie au niveau de l'étoffe, on en rêve encore aujourd'hui! On a pas vu ça depuis les patriotes, les matriotes devrais-je dire parce que dans cette révolte, le seul acte qui ait vraiment fait du tors à la couronne d'Angleterre, c'est boycottage des produits anglais rendu possible par le travail des femmes! Mais revenons à Agathe. Elle avait des esclaves anglais! Ben ça, ça me fait bander solide!

Mes aïeux : Pierre Chicoine et Madeleine Chretien

Passionnée d'histoire et amoureuse de Montréal, je ne connaissais pas votre chaîne. Bravo! Je viens de m'abonner.

Non, ce qu'il prend pour des diamands c'est du christal de roche. La pirithe, il l'a confondu avec de l'or, il est con Cartier, mais y a des limites quand même.

Cette vidéo est très bien réalisée bien joué, elle mérite plus de visibilité, continuez ça viendra !!

Très intéressant. Merci

Très bonne histoire et bien illustrée. Content de voir de nouvelles vidéos et bon retour!

Un retour bien attendu. La recherche est impeccable et tu livre l'information avec beaucoup de pertinence. Bravo! Très hâte à la prochaine émission

Vous voulez en savoir plus sur ce sujet ? On vous suggère cette petite liste de lectures : - BEAUGRAND-CHAMPAGNE, Denyse, Le procès de Marie-Josèphe-Angélique, Outremont, Québec, Libre Expression, 2004, 295 p. - DARSIGNY, Maryse et al. (éd.), Ces femmes qui ont bâti Montréal, Montréal, Saint-Laurent, Editions du Remue-Ménage, 1994, 627 p. - LACHANCE, André, Vivre à la ville en Nouvelle-France, Québec, Stanké, 2010, 288 p. - PÂQUET, Martin, Tracer les marges de la cité: étranger, immigrant et État au Québec, 1627-1981, Montréal, QC, Boreal, 2005, 317 p. - TELLIER, Luc-Normand, L’émergence de Montréal dans le système urbain nord-américain: 1642-1776, Québec, Québec, Septentrion, 2017, 521 p. - VIAU, Roland, « Pour qui souffle le vent ? Heur et malheur d’une entité coloniale, 1702-1760 », dans FOUGÈRES Dany (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Québec, Presses de l’Université Laval, 2012, pp. 165-220. - TRUDEL, Marcel, D’ALLAIRE, Micheline, Deux siècles d’esclavage au Québec, Montréal, HMH, 2004, 408 p. - TURCOT, Laurent, « Mœurs, sociabilités et mentalités montréalaises : la vie quotidienne dans la ville au XVIIIe siècle », dans FOUGÈRES Dany (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Québec, Presses de l’Université Laval, 2012, pp. 268-304.

Fallacieux. Ce n'était pas une fondation. Ce n'était même pas pemanent, c'était un carrefour commercial.