A.P.A.H.S. │ l'Histoire à Sciences Po
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Angéline Escafré-Dublet - Politiques culturelles et immigration en perspective historique
Angéline Escafré-Dublet, Maître de conférences à l'Université Lumière Lyon 2, revient sur la question "les politiques culturelles doivent-elles être multiculturelles" par l'angle des politiques publiques relatives aux cultures des immigrés.
16 avril 2015
Conférence tenue au ministère des Outremer, en collaboration avec le Comité d'histoire du ministère de la Culture et de la Communication et la Commission française pour l'Unesco.
Captation : Alisa Russanova et Clément Lefebvre.
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КОМЕНТАРІ

  • @ameliecarre4783
    @ameliecarre4783 Місяць тому

    Succinct et efficace.

  • @sylidebreizh007
    @sylidebreizh007 5 місяців тому

    Siwazh n'eo ket studiet a-walc'h ar sujed...

  • @Melvorgazh
    @Melvorgazh 9 місяців тому

    Brezhnev atao! Bevet Breizg dizalc'h! Amen.

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 Рік тому

    LES VIOLS, LES VIOLENCES, LES MEURTRES PERPETRES PAR LES SOLDATS DES ARMEES FRANCAISES, sur les femmes, les enfants, les jeunes filles, les religieuses …. Les viols se font sur une grande échelle. Ils touchent un très grand nombre de femmes : les mères, les filles, les femmes âgées, les enfants, les religieuses. Les conditions en sont ignobles : le viol se fait en public, chaque fois que cela est possible : les femmes sont souillées devant leurs maris et leurs enfants; les jeunes filles sont violées devant leurs parents, leurs frères, leurs soeurs. Certaines femmes ou jeunes filles s’offrent à leurs bourreaux, pour tenter d’échapper à la mort : elles sont violées, puis tuées, parfois pendant l’exécution même de l’acte. Pire : certaines femmes « patriotes », acquises à la France, sont violées également, pour le plaisir, ou parce qu’il n’y en a pas d’autres à proximité, ou parce que le « contingent » disponible de femmes à violer est épuisé. On a signalé des cas de viols sur des cadavres encore chauds, ou sur des femmes en train d’expirer. « Si toutes les femmes prises ne sont pas brûlées, elles trouvent, en tous cas, un emploi : les plus vulgaires appartiennent aux soldats, les plus belles aux officiers; moins raffiné, le général Commaire marque une préférence pour les vivandières … Dans les métairies, les femmes sont prises devant leurs maris expirants … Une citoyenne est la conquête commune de l’état-major de l’armée; une autre appartient à trente soldats ….. Des malheureuses, qui espèrent par le déshonneur subi avoir évité la mort, sont fusillées nues … Des femmes sont souillées dans leurs cadavres… Le viol est la récompense du soldat » (Gabory, pages 350 et 351). « Le général Huché, monomane du crime, toujours à demi ivre, se repaît des spasmes d’agonie … Il se donne le passe temps » de voir rouler jusqu’au bas d’une côte escarpée des femmes fusillées sur la pente, pour rire des accidents de leur chute « . Ses soldats portent des enfants embrochés sur leurs baïonnettes; ils en brûlent d’autres dans leurs berceaux « (Gabory, pages 350 et 351). LE VIOL DES FEMMES, LE MASSACRE DES ENFANTS. » Un délire de et de sadisme s’empare des soldats : ils se réservent comme butin de guerre les femmes les plus distinguées et les religieuses. Ils dépouillent les cadavres de leurs vêtements, et les alignent sur le dos …. Ils appellent cette opération : » mettre en batterie … » » Ils vont, raconte Béjary, jusqu’à introduire dans le corps des victimes des cartouches auxquelles ils mettent le feu « . (Gabory, page …) » Le soussigné déclare qu’en suivant l’armée dont je fais partie, j’ai vu entre Venansault et Ayzenay, au moins cent personnes, toutes femmes et enfants, massacrés et coupés en morceaux ; dans le nombre était un enfant, qui palpitait encore auprès de sa mère … » (Témoignage du gendarme Charrier, de la brigade de Palluau; contresigné par le juge Rouvière, du tribunal de Challans; cité in Les colonnes infernales, page 202). » Le jour qu’on mit le feu à Venansault, il vit tuer sept femmes, seules trouvées dans la commune, que l’une d’elle tenait son nourrisson dans les bras, et qu’on eut le raffinement et la barbarie de percer du même coup de sabre la mère et l’enfant … cette infâme action reçut les applaudissements du commandant » (Témoignage du 14 février, 26 pluviôse, cité dans Les colonnes infernales, page 202). » Cinq cents brigands ont été taillés en pièces, parmi lesquels un grand nombre de femmes, car les femmes s’en mêlent plus que jamais … » (lettre du général Huché, A.G., liasse B5 8 des Archives de guerre, in les colonnes infernales, page 205). » Le viol et la barbarie la plus outrée sont représentés dans tous les coins. On a vu des militaires républicains violer des femmes rebelles sur les pierres amoncelées le long des grandes routes, ET LES FUSILLER OU LES POIGNARDER EN SORTANT DE LEURS BRAS » (Témoignage du commissaire LEQUINIO, in Graccchus BABEUF, page 61). » J’ai vu brûler vifs des femmes et des hommes …. J’ai vu cent cinquante soldats maltraiter et violer des femmes, des filles de quatorze et quinze ans, les massacrer ensuite et jeter de baïonette en baïonnette de tendres enfants restés à côté de leurs mères étendues sur le carreau …. » (Témoignage du chirurgien Thomas, in la Vendée-Vengé, page 164). » On n’a conservé dans la Vendée que les généraux qui ont commis le plus de scélératesses, ceux QUI ABUSAIENT DES FEMMES APRES QU’ELLES ETAIENT MORTES, ceux QUI LES ENVOYAIENT A LA MORT APRES EN AVOIR JOUI, ceux qui faisaient fusiller les citoyens qui venaient demander justice « … (Le Moniteur, 11 vendémiaire 1794, in Gracchus BABEUF, page 69). » Il n’ y a plus de Vendée. Elle est morte avec ses femmes et ses enfants dans les marais et dans les bois de Savenay. J’AI ECRASE LES LES ENFANTS SOUS LES SABOTS DES CHEVAUX, massacré les femmes qui, au moins, pour celles-là, N’ENFANTERONT PLUS DE BRIGANDS ». (Général Westermann, lettre au Comité de salut public, après la boucherie de Savenay). Ces témoignages seront complétés ultérieurement. Il en existe des dizaines d’autres.

  • @raymondpierre-o5c
    @raymondpierre-o5c Рік тому

    Très bien, excellent, ce monsieur a très bien parlé.

  • @seanlughaidh9036
    @seanlughaidh9036 Рік тому

    Peogwir ar gallek a zo o pifoniñ ar brezhoneg ur gwerzh repu a yelo d'am soñj...

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 Рік тому

    aa

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 Рік тому

    aa

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 Рік тому

    aa

  • @gluon_force_nucleaire_forte

    Multiculturalism is another way to speak about the neoliberalism. This is only a way for these elite to make come poor people in France to use them as a serving work force ! A way to liberalize the modern slavery…

  • @jennyfercarlisle5126
    @jennyfercarlisle5126 2 роки тому

    DIVIN...EXCELLENT...je ne connaissais pas ce Monsieur! Je suis de nationalité britannique mais ma mère a exigé une éducation en français car elle connaissait VOLKOF, j'ai autour de moi des amis authentiquement brittophone et se FOUTENT DE LA GUEULE DES ROAZHONEGERIEN! Ils baragouinent avec une langue appauvrie accentuée à la française! IGNOBLE...DES CLOWNS. Peuvent-ils compter à la mode bretonne? NON! Donc ce ne sont que des bâtards de Français! Des clowns méprisables!

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 2 роки тому

    LE MALHEUR D’ÊTRE JUIF (Albert Memmi). La HONTE D’ÊTRE BRETON (Louis Mélennec). LA NEVROSE BRETONNE D’ACCULTURATION. L’oeuvre civilisatrice de la France, pays des droits de l’homme, en Bretagne. (Extraits du livre : Comment les Bretons sont devenus français). L'étude des névroses collectives a été induite, en particulier, par les sociologues et les historiens qui se sont penchés sur les dégâts mentaux induits par l'acculturation forcée des populations Amérindiennes par les Espagnols. On a également exhumé les atrocités commises par les américains, les canadiens, les anglais en Australie …. Les Bretons sont maintenant célèbres dans le monde entier, en raison des abominations dont ils ont été victimes. Cette pathologie particulière concerne un grand nombre de nations, jadis libres. Sous l'effet de la pression colossale qui est exercée par l'entourage, l'école, les livres, la radio, les instituteurs, les professeurs, les parents eux-mêmes, tant par le non-dit que par ce qui est suggéré ou explicitement exprimé, l'enfant des écoles de la république se met à détester tout ce qui lui rappelle l'infériorité de sa condition : ce patois hideux que parlent ses parents et son entourage, ces costumes de ploucs et ces coiffes d'un autre âge, ces mœurs résolument vulgaires, les tournures bretonnisantes qui infectent le beau langage français, qu'on lui présente comme étant le modèle universel. Il n'est rien, qu’un sous-petit-homme, il le sait, il intériorise le modèle mauvais forgé de toutes pièces par le colonisateur. La névrose d'acculturation est à base de honte de soi. Le phénomène diffuse, et gagne tout l'entourage. Les grands-parents, qui ne parlent ni ne comprennent le français - dans les campagnes en tout cas -, sont mis à l'écart, on ne leur adresse pas la parole : ce sont des ploucs, on se gausse de leur maladresse et de leur timidité, on ne voudrait certes pas leur ressembler. Un fossé culturel se crée entre les générations : les jeunes, élevés dans la civilisation qu'on croit belle du colonisateur ; les vieux, qui paraissent pitoyables et arriérés. Cela peut aller très loin : on a vu, dans les lycées et collèges, des enfants avoir honte de rencontrer au parloir leur propre mère, à cause de son accent rocailleux, de sa coiffe en dentelles, de son habitus de femme plouque, et prétexter l'étude ou le travail pour ne pas montrer ce spectacle à ses camarades. Au niveau individuel, les dégâts sont considérables. Les Bretons de ces générations sont à l'image de ce qu'ont été les Juifs pendant des millénaires, les colonisés, les esclaves : timides, honteux d'eux-mêmes, des êtres convaincus de leur infériorité native. (Lire absolument : Albert Memmi : Portrait d’un juif, le malheur d’être Juif). Les Bretons qui n’ont pas encore compris, vont se découvrir dans ce texte poignant. Au niveau de la nation, c'est pire : celle-ci, jadis conquérante et glorieuse, est désormais honteuse d'elle-même. Elle va jusqu'à collaborer - en toute bonne foi - avec l'occupant pour « désincruster » ce qui reste des mœurs dont elle a été convaincue qu'elles sont préhistoriques, voir anté-diluviennes.. La créativité s'étiole au niveau collectif, la nation ne produit plus rien : la « ploukistation » devient effective ; les natifs, guère en situation de comprendre ni d'analyser ce qui leur arrive, comme les esclaves élevés dans une situation qu'on leur a appris à accepter, accompagnent ou précèdent le mouvement sans le critiquer. Honte suprême : il en est même qui acceptent de faire partie de ce qu'on dénomme le « gouvernement » du pays colonial (!) L’un d’eux, agrégé en « hystoyre », est resté en fonction plusieurs années, et n’a jamais ouvert la bouche. Il a même vendu des armes, destinées à tuer des femmes, des enfants, des innocents. Il croyait avoir été engagé à cause de ce ses talents. Il n’était qu’esclave : il a été viré. Mais tout le pays est maintenant informé LOUIS MELENNEC. L’auteur de ce texte est exclu de tous les merdias français et bretons, sans aucune exception. Son livre, menacé par le pays des doigts de l’homme, est sécurisé dans plusieurs pays. De nombreux Bretons ont collaboré à ces ignominies, et continuent à le faire. L’un de ces merdias « bretons » perçoit 12 millions d’euros par an pour mentir. LIRE ABSOLUMENT. Memmi Albert, Portrait d’un Juif, Paris 1962, Collection Idées. Mélennec Louis, Comment les Bretons sont devenus Français. Mélennec Louis. Quarante articles sur la destruction de la langue bretonne sont publiées dans le site de AR GEDOUR.

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 2 роки тому

    LE MALHEUR D’ÊTRE JUIF (Albert Memmi). La HONTE D’ÊTRE BRETON (Louis Mélennec). LA NEVROSE BRETONNE D’ACCULTURATION. L’oeuvre civilisatrice de la France, pays des droits de l’homme, en Bretagne. (Extraits du livre : Comment les Bretons sont devenus français). L'étude des névroses collectives a été induite, en particulier, par les sociologues et les historiens qui se sont penchés sur les dégâts mentaux induits par l'acculturation forcée des populations Amérindiennes par les Espagnols. On a également exhumé les atrocités commises par les américains, les canadiens, les anglais en Australie …. Les Bretons sont maintenant célèbres dans le monde entier, en raison des abominations dont ils ont été victimes. Cette pathologie particulière concerne un grand nombre de nations, jadis libres. Sous l'effet de la pression colossale qui est exercée par l'entourage, l'école, les livres, la radio, les instituteurs, les professeurs, les parents eux-mêmes, tant par le non-dit que par ce qui est suggéré ou explicitement exprimé, l'enfant des écoles de la république se met à détester tout ce qui lui rappelle l'infériorité de sa condition : ce patois hideux que parlent ses parents et son entourage, ces costumes de ploucs et ces coiffes d'un autre âge, ces mœurs résolument vulgaires, les tournures bretonnisantes qui infectent le beau langage français, qu'on lui présente comme étant le modèle universel. Il n'est rien, qu’un sous-petit-homme, il le sait, il intériorise le modèle mauvais forgé de toutes pièces par le colonisateur. La névrose d'acculturation est à base de honte de soi. Le phénomène diffuse, et gagne tout l'entourage. Les grands-parents, qui ne parlent ni ne comprennent le français - dans les campagnes en tout cas -, sont mis à l'écart, on ne leur adresse pas la parole : ce sont des ploucs, on se gausse de leur maladresse et de leur timidité, on ne voudrait certes pas leur ressembler. Un fossé culturel se crée entre les générations : les jeunes, élevés dans la civilisation qu'on croit belle du colonisateur ; les vieux, qui paraissent pitoyables et arriérés. Cela peut aller très loin : on a vu, dans les lycées et collèges, des enfants avoir honte de rencontrer au parloir leur propre mère, à cause de son accent rocailleux, de sa coiffe en dentelles, de son habitus de femme plouque, et prétexter l'étude ou le travail pour ne pas montrer ce spectacle à ses camarades. Au niveau individuel, les dégâts sont considérables. Les Bretons de ces générations sont à l'image de ce qu'ont été les Juifs pendant des millénaires, les colonisés, les esclaves : timides, honteux d'eux-mêmes, des êtres convaincus de leur infériorité native. (Lire absolument : Albert Memmi : Portrait d’un juif, le malheur d’être Juif). Les Bretons qui n’ont pas encore compris, vont se découvrir dans ce texte poignant. Au niveau de la nation, c'est pire : celle-ci, jadis conquérante et glorieuse, est désormais honteuse d'elle-même. Elle va jusqu'à collaborer - en toute bonne foi - avec l'occupant pour « désincruster » ce qui reste des mœurs dont elle a été convaincue qu'elles sont préhistoriques, voir anté-diluviennes.. La créativité s'étiole au niveau collectif, la nation ne produit plus rien : la « ploukistation » devient effective ; les natifs, guère en situation de comprendre ni d'analyser ce qui leur arrive, comme les esclaves élevés dans une situation qu'on leur a appris à accepter, accompagnent ou précèdent le mouvement sans le critiquer. Honte suprême : il en est même qui acceptent de faire partie de ce qu'on dénomme le « gouvernement » du pays colonial (!) L’un d’eux, agrégé en « hystoyre », est resté en fonction plusieurs années, et n’a jamais ouvert la bouche. Il a même vendu des armes, destinées à tuer des femmes, des enfants, des innocents. Il croyait avoir été engagé à cause de ce ses talents. Il n’était qu’esclave : il a été viré. Mais tout le pays est maintenant informé LOUIS MELENNEC. L’auteur de ce texte est exclu de tous les merdias français et bretons, sans aucune exception. Son livre, menacé par le pays des doigts de l’homme, est sécurisé dans plusieurs pays. De nombreux Bretons ont collaboré à ces ignominies, et continuent à le faire. L’un de ces merdias « bretons » perçoit 12 millions d’euros par an pour mentir. LIRE ABSOLUMENT. Memmi Albert, Portrait d’un Juif, Paris 1962, Collection Idées. Mélennec Louis, Comment les Bretons sont devenus Français. Mélennec Louis. Quarante articles sur la destruction de la langue bretonne sont publiées dans le site de AR GEDOUR.

  • @liamsirap5170
    @liamsirap5170 2 роки тому

    Vidéo très pénible à écouter. TNbrx parasites.

  • @sape1312
    @sape1312 2 роки тому

    Le communautarisme,le multiculturalisme,la diversité,la créolisation.sont les terminaisons correctes pour décrire la batardisation du peuple Français..sans race,sans culture,sans traditions,sans ancêtres...On veut faire de cette jeunesse un mélange hétéroclite ou chacun a le droit d'être n'importe qui et de dire n'importe quoi. C'est l'effondrement des valeurs de courage, d'honnêteté,d'abnegation,de dévouement,de volonté et de solidarité qui fédère un peuple....La France est piétinée,condamnée, insultée humiliée par ces batards qu'elle nourrit...avec l'approbation et la couardise de ceux qui nous gouvernent...

  • @jacksonjulien5384
    @jacksonjulien5384 2 роки тому

    On va assister à une transmutation de toutes les valeurs par interprétation(peut-être c'est ce que Éric Zemmour nomme un peu bêtement:le choc des civilisations.Les valeurs de l'homme blanc ne vont pas disparaître,mais elles vont s'accommoder à d'autres valeurs qui vont les renforcer et les permettre de traverser le temps;mais vouloir les faire perdurer de façon intégrale est une ambition absurde parce l'histoire nous a toujours enseigné que cette interprétation des valeurs pour se renforcer et accoucher d'une humanité plus résistante et plus accomplie a toujours été le cas pour toutes les époques et pour toutes les civilisations dont certaines comme la civilisation européenne qui fait semblant de l'oublier juste pour justifier sa suprématie en la représentant intacte et pure.

  • @marie-francoiselambot5750
    @marie-francoiselambot5750 2 роки тому

    bien vu et donc ferme la. prends ton blabla et va évangéliser l Afrique pour qu elle renonce à lexcision, a l esclavage et a l exploitation des faibles des vieux, des femmes et des enfants, plutôt que de nous emmerder a nous qui n avons jamais voté pour le multiculturalisme contrairement à ce que prétend le capital dont tu es le valet

  • @hervethibaut201
    @hervethibaut201 2 роки тому

    Un pays qui reproduit pour la 3ème fois le résultat de 2002 est une république bananière. Chacun sait que la France est dirigée par AL CAPONE et ses clones.

  • @hervethibaut201
    @hervethibaut201 2 роки тому

    Le multiculturalisme est une escroquerie. Demences orwelliennes au service de l'oligarchie orwellienne. Le nouveau ministre de l'éducation est un imposteur et un médiocre. Il est l'ennemi de la République, l'ennemi de l'honnêteté, l'ennemi de l'intelligence, l'ennemi de la France. Un laquais au service de l'oligarchie. QUEL CRÉTINISME ! CHACUN SAIT QUE LA FRANCE EST DIRIGÉE PAR AL CAPONE ET SES CLONES

  • @Cesc8170
    @Cesc8170 2 роки тому

    C'est l'un des cas de substitution linguistique que nous avons étudié en sociolinguistique, moi et mes camarades de Philologie catalane: l'histoire de la décadence de la langue bretonne, telle que racontée par cet académicien.

  • @timdubotin6371
    @timdubotin6371 2 роки тому

    Le bouquet.es prit contre.de ua-cam.com/video/K6l2VCyyOhY/v-deo.html

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    DROITS DE L'HOMME EN FRANCE ? ARRÊTEZ CES STUPIDITES ! LES DROITS DE L’HOMME INVENTES PAR LA FRANCE : UNE STUPIDITE RIDICULE. Extraits du Livre Bleu de la Bretagne. Par quelle aberration parvient-on à convaincre une partie du monde que cette imposture est la vérité ? Tous savent que les droits de l’homme n’ont pas été créés par un coup de baguette magique, ex nihilo, encore moins par des mains tâchées de sang : elles sont le fruit d’une très longue évolution de l’humanité. Les premières traces écrites se trouvent dans le Code d’Hammurabi, probablement avant, qui condamne les puissants qui abusent les faibles. Les philosophes Grecs traitent largement de la dignité de l’homme dans leurs œuvres. La phase majeure de l’évolution des droits de l’homme est le message délivré au monde par le Christianisme, qui enseigne, pour la première fois, que les hommes sont frères, que l’humanité est une, que les hommes doivent s’aimer et se respecter, qu’ils ne doivent pas distinguer entre les nations, car toutes doivent obéir aux mêmes principes (« Il n’y a plus de Juifs, il n’y a plus de Romains, il n’y a plus de Gentils ; tous les hommes sont frères », disent en substance Saint Paul et les pères de l’Église). Dans l’histoire de l’Europe, l’Angleterre est l’un des premiers pays, à avoir accordé d’une manière solennelle, par des textes de lois, des garanties politiques et judiciaires à ses citoyens (la Grande Charte date de 1215 ; l’habeas corpus de 1679 ; le bill of rights de 1689 ...). Tandis que les libertés de pensée, de croyance et de parole sont interdites en France, les protestants, sous Louis XIV, vont exprimer la liberté de pratiquer leur religion aux Pays-Bas et dans les Principautés allemandes ; les écrivains et philosophes publient leurs ouvrages à la Haye... La déclaration d’indépendance des Etats-Unis, texte fondamental, publiée en 1776, treize ans avant la révolution française, énonce précisément les principes que la France prétend avoir inventés. Le fameux article premier de la déclaration française, entre autres est un copier-coller de la déclaration américaine de 1776, qui énonce : « tous les hommes sont créés égaux... les gouvernements sont établis par les hommes pour garantir ces droits, et leur juste gouvernement émane du consentement des gouvernés ». Le plus invraisemblable, après la prétendue révolution des droits de l’homme se situe ici. La France organise le mensonge, la manipulation des cerveaux sur une grande échelle. Non seulement elle réussit à scotomiser les crimes commis pendant la révolution, - en particulier à Nantes et en Vendée -, à les faire passer pour négligeables, voire pour des actes glorieux, qui vont lui servir à justifier son roman national, mais elle entreprend de faire accroire que c’est elle qui a inventé les Droits de l’Homme. Des dizaines de millions d’enfants ont appris cela à l’école : je fais partie de ceux dont le cerveau a été lavé et délavé, au point de n’avoir jamais remis en question cette invraisemblance, avant ma vingtième année. L’égalité des citoyens devant la loi, la souveraineté du peuple ne sont donc en rien une invention de la France. Plus important, pour nous Bretons, qui avons été si malmenés par ce pays : nos juristes, éminents, dans leurs remontrances aux rois de France, puis dans leurs cahiers de doléances ont exprimé, bien avant la déclaration de 1789, ce que sont les droits des êtres humains, d’une manière fort claire. Mieux : la très ancienne coutume de Bretagne, composée au moyen-âge, contient déjà en germe ce qu’on appellera plus tard les droits humains (Marcel Planiol). En réalité, lorsqu’il s’agit de consacrer dans les lois les libertés fondamentales, davantage encore lorsqu’il s’agit de les appliquer, la France est largement en retard sur les autres pays. Il est aisé de dresser la liste comparative du vote des lois consacrant juridiquement les droits de l’homme dans les différents pays d’Europe et d’Amérique. La Hollande abolit l’esclavage en 1792, la France en 1853 ; le droit de vote est accordé aux femmes en 1917 au Canada, en 1918 en Allemagne, en 1920 en Islande, en 1930 en Turquie ; en France les femmes acquièrent ce droit... en 1944 ! Il en est de même pour toutes les autres libertés (de s’associer, de former des syndicats, de publier ou de diffuser librement, etc.). Dans tous les cas, à de rares exceptions près, la «patrie des droits de l’homme» est largement devancée par au moins plusieurs pays : l’imposture est manifeste. On invente des slogans : l’œuvre de la révolution en faveur des libertés est tellement importante, qu’il est normal de passer sous silence ces « bavures » de la révolution, qui ne sont que bagatelles. «La révolution est un bloc», affirme Clémenceau : le passif doit être négligé, compte tenu de l’immensité de l’actif. L’actif prétendu : l’héritage de la France est un enrichissement incommensurable pour l’univers : la France «a enseigné la Liberté aux Nations» (!) ; en jetant à bas l’arbitraire des rois, elle a apporté le message universel des lumières, et a sorti l’humanité de l’ombre et de l’obscurité : voilà pourquoi elle a le droit de se proclamer le phare du monde. Le pays des droits de l’homme, par dérision, est devenu LE PAYS DES DOIGTS DE L’HOMME. C’est ainsi qu’on punit les mensonges. Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, Des de droit public, de droit privé, de droit criminel, DEA d’histoire. (Extraits du LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, téléchargé 300 000 fois). Ce texte est publié dans plusieurs pays.

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    LA DESTRUCTION DE LA NATION BRETONNE par la France . Les identitaires. Les Bretons sont-ils une nation ? La France mérite-t-elle le nom de nation ? Nations bretonne, basque, corse, savoisienne, niçoise, alsacienne …. La chute définitive d’un concept faux de fausseté absolue : la république française n’est ni Une ni Indivisible (Louis Mélennec). Réflexions brèves sur ceux qui veulent la mort des « identitaires ». Qu’est-ce qu’une nation ? Je vais vous le dire très simplement. Nos historiens bretons (les autres historiens aussi, de même que les politologues, jusqu’à notre époque) ont prétendu que les Nations sont une création des temps modernes, et que la Bretagne ne peut revendiquer cette qualité, puisqu’elle a été engloutie - ou presque - par la France, à la fin du 15ème siècle, alors que les nations, croient-ils, n’existent pas encore. Voici une image, qui va vous permettre de comprendre ce dont il s’agit : Lorsque vous jetez de l’eau dans une casserole, puis des poireaux, puis des pommes de terre ou d’autres légumes, et que vous mettez le tout sur le feu, qu’arrive-t-il ? Tout simplement, au bout d’un temps, une soupe de légumes. La nation, c’est cela : un groupe humain vivant ensemble, sur le même territoire, partageant les mêmes valeurs, les mêmes joies, les mêmes épreuves, parlant ou non la même langue, sous un gouvernement commun. Au bout d’un temps, ces hommes et ces femmes se lient ensemble par ce que nous appelons un sentiment d’identité commune - ou sentiment national -, distinct de celui des peuples voisins, qui ont subi leur propre évolution, et qui sont vécus, à raison de leurs propres particularités, originales et distinctes, comme des étrangers, souvent même comme des ennemis. Point n’est besoin de connaître à fond l’histoire des sociétés anciennes ni modernes pour comprendre ce phénomène : il est lié consubstanciellement à l’espèce humaine : les peuples - ou nations - ont existé de tous temps, de même que le droit international, au moins sous une forme rudimentaire. L’existence d’une nation ne dépend ni de son étendue, ni du nombre des hommes qui la constituent. Les cités de Mésopotamie, les cités grecques, quoique de petites dimensions (quelques dizaines de kilomètres carrés pour certaines d’entre elles), quoique peu peuplées (plusieurs milliers d’habitants pour les plus petites, plusieurs dizaines de milliers pour d’autres), sont d’authentiques nations, parce qu’elles en ont tous les caractères : le territoire, la population, la langue, les valeurs, lois, coutumes et religion, enfin, le sentiment d’appartenir à une même communauté, et non à celles qui les jouxtent ou les entourent. La nation antique, écrit un auteur, est souvent si petite, qu’en se plaçant sur son point le plus escarpé, on peut l’embrasser d’un seul coup d’oeil. Le motif tiré des petites dimensions de la Bretagne, du Val d’Aran, du Pays de Galles, de Monaco, pour nier leur qualité de nations, est une stupidité. C’est une absurdité de dire qu’il n’y a dans l’espace hexagonal dénommé « La France » qu’une seule nation. La nation française existe, c’est vrai, elle est au centre de ce qu’on dénomme assez ridiculement « l’hexagone ». Mais à la périphérie, il y a d’autres nations : les Basques, les Bretons, les Corses, les Flamands, les Alsaciens, les Savoyards et les Niçois …. La liste n’est pas close. Les Bretons et les Basques sont identifiés avant les Francs et les Français, leur histoire est beaucoup plus ancienne, leur langue aussi. Les Corses, pas davantage que les Bretons, les Savoisiens ne sont pas ce qu’on a appelé absurdement des « composantes du peuple français », ce sont des Nations à part entière, au même titre que les Ecossais, les Gallois, les Catalans , les Kabyles….Le petit Béarn fut une nation authentique avant sa liquéfaction par la France. La négation des nations périphériques dans l’espace « hexagonal », comme ont prétendu les « révolutionnaires » français, est une stupidité, fruit des cogitations idéologiques de théoriciens à l’esprit parfois dérangé, dont certains ont été raccourcis par le rasoir national, la guillotine. Les peuples, comme les individus, ont chacun leur identité ; cette identité mérite le plus grand respect, comme celle qui est due à chaque personne humaine. Le peuple breton, même divisé en petits royaumes dans le sud de l’Angleterre au temps de Jules César, avant le Christ, existe depuis l’antiquité. La nation française n’existe qu’à partir des 12ème ou 13ème siècles : plus de mille ans font une très grande différence dans l’analyse des subtilités. La nation française, si respectable qu’elle soit, n’est ni Hune ni Hindivisible : elle est et reste diverse, c’est très bien ainsi. En matière de « nation », en raison de leur extrême ancienneté, les Bretons sont professeurs, les Français sont élèves. Ce qui n’empêche nullement les peuples, chacun ayant ses particularités, ses qualités et ses défauts, d’oeuvrer ensemble à se approcher, et à élaborer un code de valeurs communes, et de règles de bonne conduite réciproque, si tant est que dans sa folie, l’espèce humaine soit capable de réaliser un tel projet, là où les preuves s’accumulent qu’avant peu, elle se détruira totalement, et disparaîtra de la planète terre, à cause de sa sottise. Ceux qui prétendent que ni les individus ni les peuples n’ont aucun droit à leur identité - qualifiés par eux d’identitaires, formulation aussi bête que possible -, appartiennent à la catégorie dite des imbéciles. Louis Mélennec (Extraits d’une conférence faite à Paris par Louis Mélennec sur l’IDENTITE DES NATIONS. Les pires censeurs de Louis MELENNEC ont été les Bretons !). Bibliographie : se reporter aux références figurant sous l’article de Louis Mélennec, intitulé « Qu’est-ce qu’une Nation ? ».

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    AU MAIRE DE PONT-L'ABBE. COMMENT LA FRANCE A ASSASSINE LA LANGUE BRETONNE. CHRONIQUE D’UN LINGUICIDE : la mise à mort de la langue bretonne par le pays des doigts de l'homme. Comment les grammairiens et hommes de lettres de 1900 à 1960 l'ont sauvée.(LOUIS MELENNEC).J’ai écrit des tonnes de littérature sur les langues, non en qualité de linguiste, mais d’historien.Sous l’ancien régime, la langue littéraire et administrative, dénommée « langue française », n’était parlée que par quinze pour cent de la population. Il y avait en France plus de trente langues locales, certaines authentiques langues nationales, méprisées par les cinglés de Paris sous des noms divers : jargons, patois, résidus de la féodalité, séquelles de la langue de Cro-Magnon, borborygmes animaux, etc.Une normalisation douce était en cours depuis la création de l’Académie française en 1635, par Richelieu. Mais à partir de 1789, le pays des doigts de l'homme procède à un assassinat de ces langues : un vrai carnage. L’élaboration de la langue française n’est pas un phénomène spontané, mais une construction laborieuse et autoritaire, imposée par un pouvoir central punitif et répressif, au prix d’un authentique lavage des cerveaux, et d’une lutte effrénée contre les identités locales, et de la personnalité des régions multiples du royaume de France. François Mitterrand - de triste mémoire, que Dieu lui pardonne -, fait panthéoniser l’abbé Grégoire, en 1989. Cet homme est l’auteur de l’assassinat des langues du royaume. Les jeunes Bretons veulent extraire le cadavre de l’abbé Grégoire de ce lieu auguste, comme le fut celui de Marat. Ils le dénomment aujourd’hui l’assassin des langues.Notre langue bretonne était parlée dans l'antiquité - sous une forme évidemment très différente de celle d’aujourd’hui. A partir de 1650, et de l’abbé Maunoir, elle a, génération après génération, été épurée, enrichie, modernisée - comme bien d’autres langues, d’ailleurs, par l’utilisation des mêmes procédés que les linguistes des autres pays : élimination de mots étrangers, création de néologismes, introduction de mots empruntés aux langues sœurs (le cornouaillais, le gallois, pour les Bretons …), simplification et unification de l’orthographe, suppression des différences entre la langue parlée et la langue écrite, etc.. Le premier dictionnaire tri-lingue (breton, français, latin) a été imprimé non en France, mais en Bretagne, sous le nom de Catholicon, en 1499. Les contributions de Le Gonidec, La Villemarqué, Roparz Hémon, ont été majeures. Interdite d’être parlée dans les écoles, Persécutée, humiliée, elle a été modernisée, à partir du 18ème siècle, par des gens de très haut niveau, linguistes réputés, en rapport avec les grands esprits de leur temps, est devenue une langue littéraire sous l'effet des grammairiens et des agrégés, à partir de 1900. Cette langue, qui comportait plusieurs dialectes - quatre selon les uns, cinq selon les autres, a été unifiée au vingtième siècle par des hommes de lettre éminents, des grammairiens, des agrégés de l’université, en dépit des oppositions de la France, dont le but - qui n’a pas varié depuis lors - est la destruction programmée de ce qu’elle dénomme les langues régionales. Aux dires des spécialistes de cette langue - ce que je ne suis pas, car dans mon enfance elle était interdite - , et je n’ai parlé qu’une seule langue, celle du colonisateur, les chefs d'oeuvre abondent; d’aucuns comparent Malmanche à Shakespeare - ce qui est sans doute excessif. Youenn Drézen, bigouden de Pont l’Abbé, est l’auteur de plusieurs chefs-d’oeuvre, et est l’un des auteurs, liés avec Roparz Hémon - dont il fut le professeur de breton ! -, qui a contribué à sauver la langue de la disparition totale. En revanche, s’il n’y avait eu sur terre que des communistes - comme madame Morvan -, la langue bretonne serait morte et enterrée depuis longtemps. D’authentiques débiles mentaux - dont certains de l’académie française , ont prétendu que la langue bretonne ne comporte ni vocabulaire, ni grammaire, ni poésie, ni aucun ouvrage qui mérite de retenir l’attention. Ainsi Jean Dutourd, lorsque les Bretons ont arraché aux Français l’instauration d’un CAPES de breton : « pourquoi pas, pendant qu’on y est, un CAPES de mendicité ? ». Et cet autre : « Il y avait déjà les putes bretonnes ; ne voila-t-il pas qu’ils veulent maintenant une littérature ? » En réalité, nous possédons des ouvrages nombreux et très savants de linguistique, de grammaire, de théories des langues. Ces deux phrases démontrent ce qu’est la subtilité française.La langue bretonne est plus fine que le français, elle exprime toutes les nuances de la pensée. La littérature bretonne est si vaste (des milliers d’oeuvre), qu’aucun auteur n’a pu la lire en entier. Elle a produit des ouvrages magnifiques dans tous les genres : la prose, la poésie, le théâtre, les contes, les légendes, les chansons, les ouvrages lyriques religieux surtout ... Nos poètes sont infiniment plus sensibles que les poètes français, qui souvent ne sont que des versificateurs. Malheureusement, sa faible extension limite son usage, ce qui est dommage pour tous. Ceux qui ont, comme moi, subi les persécutions qui nous ont été infligées par le pays des doigts de l’homme, ne peuvent s’empêcher de reproduire ici deux citations qui réjouiront le coeur de ces victimes de l’ignorance et de la sottise.La première est d’Henriette Walter, la grande linguiste, qui fut l’une de mes correspondantes : « le français n'est jamais qu'un patois qui a réussi ».L’un de nos plus grands linguistes, Goulven Pennoad, exclu de l’université à cause de son savoir, et surtout de ses opinions politiques, non conformes à la doxa (il n’était pas de gôche) a écrit, arguments à l’appui : « Le français est l’un des idiomes le plus minable d’Europe ; ceci ne tient pas à la richesse du breton, mais à la pauvreté intrinsèque de la langue française, et de toutes les règles qui ont brimé sa spontanéité ». La France fait semblant d'autoriser quelques classes bilingues : elle joue la montre, car nous perdons 2000 locuteurs chaque année. Son but n’a jamais varié : c’est la mise à mort de la langue bretonne.Nos pauvres parents complices ? HELAS, on les a tellement humiliés d'être des PLOUCS, qu'ils n'ont pas osé nous enseigner leur langue bi-millénaire ! Nous connaissons les coupables, tôt ou tard il y aura un châtiment.Par bonheur, nous avons des HEROS : DES VRAIS : LE DRIAN, AYRAULT, RICHARD FERRAND, URVOAS, de RUGY ..... Tous bretons en or !

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    COMMENT LE PAYS DES DOIGTS DE L'HOMME A INVENTE LA DESTRUCTION DE L'IDENTITE BRETONNE, DE LA LANGUE, DE LA CULTURE. Louis Mélennec, historien de la Bretagne, à M. le maire de Pont l'Abbé (Cornouaille en Bretagne). Avant qu'il ne soit trop tard, il est indispensable de rendre obligatoire l'enseignement de notre histoire dans les écoles bigoudènes. Au lycée de Pont l'Abbé, pendant plusieurs générations, on a falsifié les cerveaux des enfants bigoudens sous la férule de la France, qui nous a imposé son histoire - d'ailleurs manipulée à sa gloire -, et interdit l'enseignement de notre histoire nationale. J'ai été moi-même victime de cette meurtrissure, et n'ai retrouvé ma vraie identité qu'après mes trente ans. Notre pays bigouden garde visibles les traces des atrocités commises par les hordes françaises : les clochers de Pont l'Abbé, de Lambour, de Tréméoc, de Languivoa, de Plovan ont été abattus. Gardez vous de les faire restaurer : ils sont la signature des abominations commises dans notre pays. Un Code Paysan, pacifique, fut acclamé dans la chapelle de Tréminou, qui préfigurait la prétendue déclaration universelle de droits de l'homme, publiée en 1789 par le pays des DOIGTS DE L'HOMME, mais jamais appliquée, surtout pas en 2021, le beau pays de France étant en voie de dislocation, et ses habitants humiliés par des incompétents et des corrompus. Notre Code, à nous, prônait l'égalité des hommes, mais savez vous comment ?Pas comme les coupeurs de tête et les éventreurs de Paris, en 1789, mais en mariant les nobles et les paysans : il en serait sorti des hommes nouveaux, ce qui était dans notre vocation naturelle : déjà, en 1400, notre coutume de Bretagne contenait en germe, imprégnée de valeurs de charité et de justice, ce qu'on a appelé plus tard les droits de l'homme (Marcel PLANIOL). Le monde entier est maintenant informé de cette situation. Des centaines d'innocents ont été torturés en pays Bigouden, et pendus. Certains ont eu les os brisés sur la roue, par des barres de fer. Ils n'avaient rien fait d'autre que leur devoir : se révolter contre la tyrannie du pays occupant. Madame de Sévigné écrit à sa fille des phrases horribles :"ils ont besoin d'être pendus pour leur apprendre à parler"; "la penderie me parait maintenant un rafraichissement"; "A force d'en avoir pendu, on n'en pendit plus". Notre magnifique patrimoine historique a été détruit, massacré, incendié, par les armées d'invasion. Les photos de ces églises détruites, mais dont les murs sont restés debout, sont visibles dans tous les sites internet. Surtout, monsieur le Maire, remplacez les noms des criminels par ceux de nos héros nationaux. On dit que vous avez fait débaptiser la rue Youenn Drézen, l'un de ces écrivains qui a sauvé le peu qui reste de la langue bretonne, mais que votre grande artère et votre grande place portent encore les noms de Jaurès, célèbre anti-sémite, et de Gambetta, le grand responsable des horreurs du camp de Conlie. Dans mon travail de restauration de notre histoire nationale, mes pires ennemis ont été les collabos qui ont vendu Nantes en 2014, bretonne depuis l'an 851, soit 33 pour 100 de notre richesse nationale. Ils courent encore en liberté. Notre langue est quasi morte : la France joue la montre, nous perdons 2000 locuteurs chaque année. En 1950, tous les habitants du pays bigouden parlaient notre langue bi-millénaire : VOYEZ LE DESASTRE !!!! Recevez, monsieur le maire, ETC. LOUIS MELENNEC, Breton, Bigouden, Citoyen du monde. LIRE : la shoah de 1675, et la Shoah bretonne : louis-melennec.fr/2016/03/18/1675-la-shoah-de-la-revolte-des-bonnets-rouge-la-mission-civilisatrice-de-la-france-en-bretagne/

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    COMMENT LES BRETONS, MARTYRISES PENDANT CINQ SIECLES, PREPARENT LEUR EMANCIPATION DU PAYS QUI LES A COLONISES ! DU TRAVAIL COUSU MAIN ! Docteur Carrer, psychiatre : "Le "mouvement" breton est celui dans lequel il y a le plus de cinglés au mètre carré".Michel Quéré, un ami socialiste : "Vous n'avez pas compris, docteur Mélennec : le docteur Carrer a dit : au centimètre carré, pas au mètre carré" !Visant ar Floch ; "Vous n'avez pas compris : il faut comprendre : au millimètre carré !". Louis Mélennec : "Mouvement ???? De quel mouvement parlez vous ? Cela existe-t-il ?" ____________________________________ LETTRE DE LOUIS MELENNEC A M. JACQUES D. CRITIQUE MUSICAL, breton d'adoption : De l'esprit de dialogue en Bretagne : sauve qui peut ! Les bretons sont esclaves de la France par leur faute, surtout par les fautes des collabos. Contexte explicatif : un "Breton" - d'adoption, il est vrai -, me demande mon aide pour publier ses recherches sur le poète russe Essenine. Bien sûr, je lui propose aussitôt mon appui. Exclu de tous les merdias français et "bretons" subventionnés - c'est-à-dire vendus et achetés -, j'ai de bonnes relations avec un certain nombre de médias étrangers, en particulier en Russie et en Suisse. Mais ce monsieur m'apprend qu'il est de "gôche". Comme madame MORVAN et son ami le sympathique et talentueux Markowicz, lesquels sont des champions de l'ouverture d'esprit, et du dialogue, et qui, à ce titre, reçoivent la présente. Voici ma réponse.(Extraits d'une lettre de Louis Mélennec, mars 2017). "Je vous ai, spontanément, sachant que vous avez consacré de longues recherches au poète russe Essenine, et que ces recherches n'ont été ni publiées, ni diffusées par aucun média français, proposé de vous mettre en rapport dans les jours qui ont suivi, avec un important média russe, qui a accepté, à ma demande, de vous recevoir. Vous avez refusé le dialogue, au seul motif que ce média n'appartient pas "à votre famille spirituelle" (!) Mon interlocuteur, de Moscou, vous l'aurez remarqué, a rendu, de Russie, d'immenses services à notre pays, la Bretagne, en consacrant de nombreuses émissions à son histoire. J'ai été exclu de tous les merdias français, depuis vingt ans ! Quel honneur : vous le savez aussi sans doute. Voici pourquoi : je suis honnête, je ne mens JAMAIS, je suis un défenseur acharné des droits de l'homme, de la dignité de l'être humain et des nations. Toutes choses interdites en France, encore plus en Bretagne, ce que vous avez "expérimenté" dans ce pays, pendant plusieurs dizaines d'années, à ce que vous m'avez dit. Mon Livre bleu, fort heureusement recommandé et mis en ligne par plus de VINGT médias bretons internet indépendants des circuits « contrôlés », c'est à dire vampirisés par les collabos, est exclu péremptoirement de la presse dite « subventionnée », de MÊME QUE MON NOM, par les merdias de ladite collaboration (entretenus putassièrement avec notre argent). ENCONSEQUENCE : en ce qui me concerne, dès que mes interlocuteurs se comportent normalement avec moi, je suis tout à fait apte à leur adresser la parole, le plus normalement du monde, et sans aucune réticence. J'apprécie chez mes interlocuteurs essentiellement les valeurs humaines, c'est à dire ce qu'ils ont dans le "buffet". Ce qui élimine les fachos de tous bords, les abstrus, les confus, les menteurs, ceux qui sont payés avec notre argent pour nous mentir et nous trahir. En conséquence, bien qu'athée, je donne ou donnerai avec plaisir des conférences ou concerts religieux, dans les églises (ou les temples protestants, ou synagogues - qui m'invitent très rarement - voire même dans les mosquées, ce qui n'est jamais arrivé); je remercie les curés de vouloir bien m'accueillir dans leurs églises, lorsque cela arrive; j' ai collaboré, dans des émissions, avec Radio courtoisie, qui représente un courant catholique et cathodique très conservateur. (A ce titre, j'ai même été accusé d'être un facho (par les fachos de gôche, bien entendu). On m'a même dit : "Vous allez vous brûler, avant qu'il soit peu, docteur Mélennec ! N'y allez pas ! J'y suis allé, et ai été très respecté, pendant dix ans. Puis est arrivé un "de Lesquen", qui se dit "breton". Etc !) Je leur ai dit : "Invitez moi dans vos journaux "socyalystes", nous ferons le bilan chaque année : JE N'AI JAMAIS ETE INVITE !!!!! Mon grand honneur est d'avoir été invité à donner des concerts de musique religieuse dans la Cathédrale de Saint-Denis, dans les églises Saint-Germain des Prés, Saint Roch, et la Sainte Chapelle. J'ai même publié parfois des commentaires dans le site de Breizh Atao, site dont je ne partage pas les idées. J'ai même tenté de raisonner Boris Le Lay, célèbre pour avoir été condamné à dix ans de prison ferme; sa réponse a été quasi injurieuse ! De l'autre côté, je passe mes vacances tous les ans depuis vingt ans chez des amis communistes, avec beaucoup de plaisir. Leurs idées politiques sont à l'opposé des miennes. Quelle importance ? Nous ne parlons jamais politique. Mais nos valeurs humaines sont les mêmes : aucun doute à cet égard. Je suis au plus haut point un homme de dialogue, je n'exclus et ne discrimine personne. Lorsque quelqu'un veut me parler, je commence par l'écouter. Je ne demande pas à cette personne si elle est blanche, noire, verte, bleue, rouge, violette, socialiste, capitaliste, communiste, inscrite au parti de Pierre, Paul, ou Jacques ...Les partis communistes, socialistes, trotskystes, ne m'ont jamais écrit ni répondu : sans doute rêvent-ils avec nostalgie aux cent millions de victimes qu'ils laissent au monde ? La kermesse de l'Humanité ne m'a pas encore invité !!! Voila leur vrai problème, je crois : Je ne mange pas de ce pain-là. Voyez ma lettre à Jean-Luc Mélenchon, publiée avec beaucoup de succès sur la toile (taper dans Google : Mélennec mélenchon : cette lettre circule, y compris en Kabylie .... et même au Sahara : vérifiez vous-même !). C'est après avoir dialogué avec les gens, que je distingue les salauds des autres. Cela n'a rien à voir avec ce que vous appelez votre " famille spirituelle". C'est en appliquant des idées de cette nature, que les Bretons se frappent sur la gueule, s'injurient, s'insultent, s'arrachent leurs chignons respectifs. Vous savez qu'on a tenté à Nantes une étrange expérience : faire défiler ensemble des manifestants appartenant à deux "familles" "spirituelles" différentes : avant que cent mètres soient parcourus, ils s'étaient déjà frappés sur la figure. Et c'est pourquoi ils sont et restent fondamentalement ESCLAVES du pays qui les a colonisés. Vous êtes un vieux rigide : voila la vérité. Dommage, vous êtes un excellent critique musical, et, maintes fois, ayant assisté à plusieurs de mesconcerts, vous m'avez encensé. Ce dont je vous remercie. Pour pénitence, comme le curé de mon village, vous chanterez matin et soir le BRO GOZH MAZADOU. Version Mélennec, bien sûr. Du haut de votre balcon, bien entendu, face à l'église : succès garanti ! ua-cam.com/video/VQF14ncSqo0/v-deo.html&ab_channel=melenneclouis Ah ! De l'héroïsme à l'Etat pur : M.M. MOLAC et LEFUR ont prononcé, savez vous quoi ? DEUX PHRASES en breton à l'Assemblée nationale.On me dit qu'ils se préparent à lancer la troisième !!! Une vraie bombe ! Mais dame, pour cela, il faut prendre un sacré élan !Les Normands, des gens particulièrement futés nous décrivent ainsi : "Les Bretons ? Des gens qui croient tout ce qu'on leur raconte !" (Cinq siècles de mensonges !) LOUIS MELENNEC dit « le bon docteur ». DEVISE D'ANNE DE BRETAGNE : "Plutôt la mort que la souillure".DEPUIS LA REVOLUTION DES DOIGTS DE L'HOMME : "ESCLAVES ET FIERS DE L'ÊTRE !". Voyez l'état d'avancement où nous sommes en Bretagne ! La liberté est pour demain, donc. Heureusement que nous avons M. LE DRIAN ! Et M. AYRAULT, donc ! Là, ce fut un feu d'artifice ! M. Hollande battu par son généralisssime !

  • @Anosaan
    @Anosaan 3 роки тому

    Ah les commentaires et leurs nostalgiques de la monarchie de droit divin... peut-être devraient-ils aller s'installer au Qatar ou en Arabie saoudite, histoire de goûter un peu à ce qu'ils prêchent, puisque les pauvres ont eu la malchance de naître au XXè siècle en France (ou dans une démocratie occidentale) et de s'en plaindre.

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    LA GUERRE CONTRE LA LANGUE BRETONNE AU PAYS DES DOIGTS DE L’HOMME : les gendarmes payés par les impôts bretons pour interdire aux enfants de parler la langue bi-millénaire de leurs ancêtres. Il n’est pas de cochonneries que le GOUVERNEMENT français n’ait faites pour massacrer la langue bretonne : interdiction de parler la langue, punitions de toutes natures, humiliations, interdiction d’accéder à de nombreuses professions sans la langue française - c’est-à-dire de gagner sa vie -, insultes (jusqu’à aujourd’hui : voyez Mélenchon), manœuvres d’un racisme écoeurant, dénigrement de la langue bimillénaire, privations de salaires pour les prêtres ... Emile Combes, précédemment « ministre » des cultes, étant arrivé au pouvoir en 1902, invente le concept d’ « usage abusif » du breton, pour interdire aux prêtres de s’adresser à leurs fidèles dans la seule langue qu’ils comprennent. Répugnant, mais dans les habitudes des « inventeurs » des droits de l’homme, noble conquête - selon eux - de la révolution universelle. ARTICLE PARU DANS LE JOURNAL LA CROIX, EN 1902 « A la suite de nouveaux ordres, les brigades de gendarmerie du Finistère sont allées procéder à des enquêtes à Hanvec, Rumengol, Milizac, L’Hôpital-Camfront, Tréouergat, Plouider, Goulven, Coat-Méal, Guipronvel, Bourg-Blanc, et Loc-Eguiner, pour s’assurer si les curés et les desservants font le catéchisme en français ou en breton, aux enfants de la première communion. Les gendarmes ont interrogé les curés et les desservants, qui leur ont déclaré qu’aux enfants qui comprenaient le français, ils faisaient le catéchisme en Français, mais qu’à ceux qui ne comprenaient que le breton, ils le faisaient en breton. Voilà M. COMBES, président du conseil, renseigné une fois de plus ! « NOTA. On croyait que le temps avait effacé ces crimes. Ils n’ont jamais fait partie des discours de M. M. Le Drian, Ayrault, Poignant et autres, pas davantage de ceux de madame Johanna Rolland, maire de Nantes - y compris M.M. Molac et le Fur, qui ont disposé de la tribune de l’assemblée nationale depuis de longues années …. et qui, héroïquement, ont poussé leur audace guerrière à prononcer … deux phrases en breton, du haut de leur perchoir ! Ils avaient tous les moyens de dire simplement la vérité, ce qui aurait cloué au sol définitivement les menteurs et les ignares. C'est la triste image de la courageuse Bretagne. Deux anecdotes effrayantes : En cette époque, dans un village du nord de la Bretagne, au début de l’année scolaire, on attachait les jeunes bretons inscrits dans les écoles locales - ceux qui ne parlaient pas encore le français - à des licous, ceux qui servaient aux bœufs, aux ânes et aux mules pout trainer les charrues dans les champs, ou les charriots sur les routes. On les promenait ainsi jusqu’au bout du village, sous les quolibets des habitants, pour les préparer aux généreuses méthodes par lesquelles la république des droits de l’homme se préparait à leur enseigner la langue des langues, l’universelle, la seule, la merveilleuse, l’unique, celle qui avait apporté, par son génie la Liberté à l’espèce humaine. Or cette année là, un homme du village vit son propre fils attaché à ce troupeau de bestiaux. Furibond, il se précipita sur cet attelage et libéra tout le monde. Et il hurla à la cantonade : " si c’est cela que vous voulez apprendre à nos enfants dans vos écoles : ALLEZ VOUS EN, VOUS N’AVEZ RIEN A FAIRE CHEZ NOUS ! "Tous les enfants furent délivrés ; aucun de cette fournée ne fréquenta l’école des droits de l’homme, tous restèrent bretonnants. Cette sinistre affaire a été publiée sur la toile par le petit fils de l'un d'eux. En voici une autre, terrible. La France réussit, sans trop de difficultés, à faire des instituteurs bretons des complices, malgré eux. Ces braves gens n’étaient pas coupables. Ils avaient tellement souffert d’humiliations et de coups, du temps qu’ils fréquentaient l’école, qu’ils voulaient éviter à leurs élèves le même triste sort, les persuadant que c’était pour leur bien qu’on les traitait ainsi : vérifiez vous même par les films UA-cam, nombreux sur la toile, ceux qui ont vécu cette époque vous le confirmeront. Cette année là se produisit un drame affreux. Un de ces petits malheureux ayant prononcé quelque phrases en breton, le « maître » lui administra une taloche, si forte qu’il le projeta sur le poêle de la classe. Il eu un traumatisme crânien, et mourut deux jours plus tard. Il n’y eut pas de poursuites, les parents s’écrasèrent : l’enfant avait été frappé pour son bien; le maître avait cru bien faire : il avait agi au service de la république ! Il paraît que les mœurs des droits de l’homme n’ont pas évolué : il y a peu de temps, dans des manifestations, quelques mains ont été arrachées, quelques yeux ont été crevés. Des mensonges, bien entendu ! Les Bretons sont un peuple d'esclaves : à ce stade, on ne peut rien pour eux.

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    LE ROMAN D'AMOUR DE LA FRANCE ET DE LA BRETAGNE : POURQUOI IL Y A EU DES YOUEN DREZEN, DES ROPARTZ HEMON, DES OLIER MORDREL ....... ET DES LOUIS MELENNEC ..... Les insultes anti-bretonnes et le racisme anti-breton : l’homme breton ramené au rang de la bête. Comment les Bretons sont passés de l'espèce humaine à l'espèce animale. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ Les insultes anti-bretonnes sont présentes dès la fin du cinquième siècle. Elles subissent une recrudescence incroyable avec l'invention - par la France, des droits de l'homme, en 1789. MIRABEAU et les pygmées bretons. "Eh ! Que sont tous ces efforts de pygmées ? Vous êtes Bretons ? Les Français commandent ! " Camille DESMOULINS, le doux révolutionnaire français, décrivant les Bretons, particulièrement ceux de Quimper-Corentin : « De tels hommes déshonorent la guillotine, comme autrefois la potence était déshonorée par ces chiens qui étaient pendus avec leurs maîtres. Je ne conçois pas comment on peut condamner à mort sérieusement ces animaux à face humaine : on ne peut que leur courir dessus, non pas comme dans une guerre, mais comme dans une chasse « . (Histoire des Brissotins, page 72, cité par Reynald SECHER, La guerre de la Vendée, et la système de la dépopulation, Editions du Cerf, Paris 2008). FOUCHé, en 1794 : » Il ne s’agit pas de faire le tri des bons et des méchants : dans ce pays maudit , il ne peut y avoir que des coupables «. CARRIER, 1793, dit « le boucher de Nantes » : » C’est par principe d’humanité que je purge la terre de la liberté DE CES MONSTRES « . (Reynald Sécher, in Gracchus BABEUF, page 189). MALTE BRUN, 1831 : » Le paysan est d’une malpropreté dégoûtante; son habitation peut presque se comparer à celle des Hottentots … les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois « . PROSPER MERIMEE, lettre à Jubert de Passa, 1835 : » On voit dans les villages les enfants et les cochons se roulant pêle-mêle sur le fumier; la pâtée que mangent les premiers serait probablement refusée par les cochons du Canigou «. VICTOR HUGO, Quatre-vingts treize, 1874 : » D’un côté la Révolution française, de l’autre le paysan breton. En face de ces évènements incomparables … » Qu’on place ce sauvage, parlant une langue morte, ce qui est faire habiter une tombe à sa pensée ……. vénérant sa charrue d'abord, sa grand-mère ensuite, …….. On se demande si cet aveugle peut accepter cette clarté « . POITRINEAU, inspecteur d’académie à Vannes, Instruction, 1897 : » Le petit breton ……. dès qu’il peut marcher, à peine vêtu, malpropre, il patauge toute la journée par les chemins, mange à l’écart un morceau de pain noir, joue peu, ne parle pas ….; s’il a huit ans d’âge physiquement, il en a trois à peine pour le développement intellectuel « . M. BUSSON, Manuel de géographie à l’usage des lycéens, 1929 : » Les principaux traits de la race bretonne sont la malpropreté, la superstition, et l’ivrognerie « . Raymond CARTIER, Les 19 Europes, Plon, Paris, 1960 : » Ils vivaient dans leur langue pataude et leurs vêtements grossiers, comme des espèces de Bas-Bretons » . Laurent TAILHADE, chroniqueur du journal » L’assiette au beurre « , 3 octobre 1903 : » Il n’est pas de meilleur chrétien que cette crapule de Bretagne; il n’en est pas de plus réfractaire à la civilisation. Idolâtre, lâche, sournois, alcoolique et patriote, le cagot armoricain ne mange pas : il se repaît; il ne boit pas : il se saoule; il ne se lave pas : il se frotte de graisse; il ne raisonne pas : il prie (!); et, porté par la prière, il tombe au dernier degré de l’abjection. » C'est le nègre de la France, cher aux noirs ensoutanés, qui dépouille à son bénéfice de véritables miséreux « . PASQUA Charles, condamné par le justice, en 1992, à la suite du traité de Maestricht : » Les Bretons, c'est comme les cochons ; plus ça devient vieux, plus ça devient con». BERROYER Jacky, chanteur sans talent : » Connaissez-vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants sont hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales …. » De Quimper à Concarneau, on voit passer des femmes promenant des porcs dans des landaus, pendant que leurs maris se soulagent dans les flots, et refusent de signer le protocole de Kyoto. » Ah ! Les Bretons sont vraiment immondes : ils mangent leurs enfants au lieu de se fournir au Tiers Monde. Si on leur reproche ça, ça les fait marrer, c’est leur humour moche noir comme leur marée « . Une plainte a été déposée contre l’ auteur de ces insultes, signée par Angèle Jacq-Gouerou, présidente du collectif breton pour la démocratie et les droits de l’homme. Cette plainte visant ces insultes contre les Bretons et la Bretagne, a été ……. classée ! On a peine à seulement imaginer une pareille monstruosité : c’est la France des droits de l’homme dans toute sa honte. MELENCHON Jean-Luc, et la langue bretonne. Aussi stupéfiant que cela paraisse, ces injures se poursuivent encore. On en trouve des centaines sur la toile. En 2007, allié mental des Chinois au Tibet, auteur de théories laudatives sur l'action « civilisatrice » de la Chine au Tibet, vieil empire multinational envahi par les communistes chinois, qui représentent désormais plus de la moitié de la population. S'attribuant à lui-même la qualité de « penseur socialiste », fustigeant ceux qu'il dénomme répétitivement des « identitaires ethnicistes sournois », des « gens d'extrême droite », tout juste bons à être manipulés - en esclaves qu'ils sont, car "il n'y a pas de nationalisme spontané, seulement des constructions idéologiques élaborées par des « nationalistes qui font campagne ». Voici une citation de ce grand penseur socialiste : » Le vocabulaire et la grammaire de la » pseudo-langue bretonne, nommée de cette façon, n'est aucune des cinq langues parlées historiquement, mais une langue unifiée, dont la grammaire et le vocabulaire furent fixés à la demande de l'occupant nazi en 1941 par une plume ensuite condamnée à mort par contumace pour sa collaboration avec les tortionnaires de la Gestapo » (sic!) «. Jean-Luc Mélenchon fait-il allusion au brillantissime linguiste - grammairien breton, Roparz Hémon, l’une de nos gloires nationales, dont le seul crime fut de consacrer sa vie entière à sauver de la destruction programmée par le pays des droits de l’homme, depuis la géniale révolution universelle de 1789 ? Hémon est sorti libre du tribunal qui voulait le condamner, et a poursuivi son oeuvre à Dublin. Il a fait du breton une très belle langue littéraire, qui a produit des chefs-d'oeuvre, dont plusieurs de Youenn Drézen. comme un demi-siècle plus tôt, Ben Yehoudah, réussit à créer une nouvelle langue à partir de l'hébreu ancien. Je répète souvent cette phrase admirable de Herbert Pagani : "Les Bretons sont les Juifs de la France". Une autre « pensée » de M. Mélenchon, qui, ennemi des nations, semble avoir changé d ‘avis ; ayant lu de meilleurs livres d’histoire que ceux dans lesquels il puisait son inspiration autrefois, il a reconnu dans l’un de ses prêches - il aime parler en public -, que les Bretons ont joué un rôle essentiel lors de l’abolition des privilèges de la noblesse et du clergé, et que la célébrissime nuit du 4 août 1789, préparée au club breton, fut présidée par l’avocat rennais Le Chapelier. Ce qui est vrai. Plus douteuse est son affirmation que, lors de la bataille de Valmy, au cours de laquelle les armées françaises repoussèrent leurs ennemis venus de l'EST, les Bretons jouèrent aussi un rôle essentiel. Jean-Luc Mélenchon a appris, depuis lors, que la langue bretonne commence à exister plusieurs siècles avant le Christ, et que, selon les éminents linguistes que sont Walter et Cerquiglini, la langue française n’est qu’un « patois » qui a réussi, et une langue créole. (Ce qui ne lui enlève pas ses mérites). Pire : selon le linguiste breton Goulven Pennoad, le français est l'idiome le plus minable de toute l'Europe ! Jean-Luc ne soupçonnait pas que la langue « unifiée » et trafiquée par excellence est le français : cette langue n'existe pas encore au douzième siècle, si ce n'est à l'état de fantôme ; elle est normalisée seulement au 17ème siècle, notamment par la création de l'Académie française, en 1635, par le cardinal de Richelieu, et par les écrivains qui ont reçu la consigne de la domestiquer, c’est-à-dire de l’appauvrir ; ni qu'en 1789, alors que la France n'est qu'un amas « de peuples inconstitués » (Mirabeau), elle possède au moins trente langues, dont certaines très anciennes et très riches - dont le basque et le breton -, dont les révolutionnaires inaugurent la destruction systématique. Deux autres pensées socialistes de ce génial auteur : - Le breton est la langue de la collaboration (!!!!); -Les écoles Diwan sont une secte (!!!)

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    LA MORT ANNONCEE DE LA LANGUE NATIONALE DES BRETONS. Un crime parfait. Les statistiques dont on dispose sont encore incomplètes. Mais suffisantes pour voir parfaitement clair dans le jeu machiavélique que joue le pays d’à côté. En 1863, on estimait le nombre de locuteurs bretons à 1,6 million d’habitants. Le nombre de locuteurs unilingues était à l’époque supérieur au nombre des bilingues. Le drame se manifeste un siècle après la révolution dite "des droits de l’homme", à la suite de l’enseignement obligatoire instauré par Jules Ferry, en 1881 et en1882. Dans sa proposition de 1933, Yann Sohier, sympathisant communiste - mais Breton convaincu - affirme que le breton est parlé par un million de personnes. Ce chiffre ne paraît pas exagéré. Il réclame un enseignement bilingue, et invite les Bretons à signer une pétition. Cette tentative échoue, bien entendu : l'impérialisme français est absolu. En 1940, survit encore un nombre élevé de personnes âgées, la langue se maintient à des taux élevés jusqu’en 1945-1950. Entre les deux guerres, est intervenu un autre mécanisme. Les parents - les mères spécialement, celles qui ont été martyrisées par leurs instituteurs pour avoir commis le crime de parler leur langue maternelle, réalisent que leurs enfants seront avantagés dans leur avenir professionnel, s’ils parlent le français, et s'ils renoncent à parler la langue nationale ; ils auront sans doute du mal à trouver du travail s’ils ne parlent pas le langage de l’occupant. Les élèves les plus doués n’aspirent guère, à cette époque, qu’à des postes modestes, mais qui leur assurent un travail sûr, même peu rémunéré : devenir instituteur, agent des postes, sont considérés comme des promotions sociales. En 1955, l’un de mes camarades de lycée, habitant au Guivinec, très brillant élève, est reçu au concours de l’Ecole Normale de Quimper. Fonctions fort modestes que celles d’instituteur. Mais pas à l’époque : dans ce pays pauvre et déshérité, c’est une promotion. Je suis le témoin des pleurs de la mère lorsqu'elle apprend le succès de son fils. Des auteurs mal informés - ou surtout de mauvaise foi - veulent faire accroire que c’est là la cause de la désaffection pour la langue bretonne. Broudic, dans un film UA-cam et dans ses écrits, laisse entendre que ce sont les familles qui ont poussé à l’abandon du breton. C’EST FAUX. C’est la politique de persécution de l’État français qui a poussé les parents à mettre leurs enfants à l’abri des horreurs qu’ils ont subies du temps qu’ils fréquentaient l’école de la prétendue république. L’abandon de la langue est la conséquence de la politique de la France, non de la libre décision des familles. Je suis né en pays bretonnant, jusqu'en 1959, j’ai donc vécu sur le terrain cette abomination. Il y a actuellement 180 000 locuteurs bretonnants. La perte, chaque année, est de 5000 locuteurs. Il n’y a plus un seul locuteur unilingue. Et il est impossible de vivre sa vie en parlant exclusivement la langue bretonne, contrairement au pays de Galles - qui compte 500 000 locuteurs -, car la Bretagne toute entière parle français. Seul le renvoi de l’administration coloniale hors de nos frontières peut nous donner de l’espoir. La France a commis un crime parfait : la plupart des Bretons ignorent ce crime dont ils ont été victimes, à cause de leur naïveté exceptionnelle : dans leur innocence, ils ne peuvent même pas imaginer que la politique linguistique de la France ne vise qu’à faire disparaître la langue bretonne. Les écoles Diwan, les plaques minéralogiques en breton, les examens scolaires que l’on autorise à passer en langue bretonne, les prétendus diplômes de breton, sont du vent : la France joue la montre, et sait très bien que dans peu d’années la langue aura disparu. Tous pleureront dans leur chaumière, et refuseront de reconnaître leur complicité. Il est d’une évidence absolue que les enfants auraient tout aussi bien pu apprendre deux langues simultanément, voire trois. C’est pour cette raison que Sohier, Roparz Hémon, Youenn Drézen et leurs disciples, hyperconscients du jeu mortifère de la « république », se sont battus : ils voulaient sauver non pas seulement la langue, mais aussi la Bretagne. En 1950, les parents arrivés à la cinquantaine sont parfaitement bilingues. Les Bretons coulent, parce qu’on les entraine vers le fond, et qu'ils refusent de comprendre. On ne les sauvera pas malgré eux.

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    11 janvier 2021 à 11 h 45 min

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 3 роки тому

    11 janvier 2021 à 11 h 45 min

  • @onauratouvu7
    @onauratouvu7 4 роки тому

    Il n'en reste pas moins que les USA sont constitués de "communautes" juxtaposées et qui ne s'intègrent pas les unes aux autres, même entre celles dont la peau est blanche. Pas plus que ne s'integraient les unes aux autres les populations d'autres grands empires, empire romain, de Charlemagne ou même d'URSS. Pourquoi part on toujours du principe que le multiculturalisme devrait être le nec plus ultra de sociétés d'aujourd'hui, alors que ça ne fonctionne jamais dans les faits ?

  • @rabbinchanel4504
    @rabbinchanel4504 4 роки тому

    N'eo ket ar memes galleg 😂

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 4 роки тому

    LE PRIX NOBEL DE LA PAIX POUR LA BRETAGNE, à raison des crimes commis par l’Etat colonisateur, et leur dissimulation pendant plusieurs siècles. @@@@@@@@@@@ Les horreurs commises en Bretagne de 1487 à aujourd’hui, parmi les plus cruelles de l’histoire de l’humanité, surtout celles de 1675, de 1789, de 1793, de 1794, déterminent la volonté de jeunes Bretons à les faire connaître au monde entier. Ces crimes contre l’humanité, perpétrés par le pays qui a prétendu avoir inventé les droits de l’homme ne sont pas prescriptibles, et ne seront jamais prescrits. AUCUN de ceux qui osent se présenter comme l’élite bretonne n’en ont jamais parlé. HONTE A CES LÂCHES. Livre bleu de la Bretagne : www.google.fr/search?sxsrf=ACYBGNQtq5DYHcyNlZbB_zgUO8Dh75F6fQ%3A1580310477035&ei=zZ8xXoXoAY27gwf8xY_4Bg&q=livre+bleu+de+la+Bretagne&oq= Noyades de Nantes : www.google.fr/search?sxsrf=ACYBGNSFyGYH4hEWg91YNOvs1_OXSwBdPw:1580310670951&q=noyade+de+Nantes+images&tbm=isch&source=univ&sa=X&ved= Génocide breton et vendéen : le pays qui a inventé les droits de l’homme : www.google.fr/search?sxsrf=ACYBGNRdD88D8V9CQL7ILwOw_ISEEUFD8w:1580311065708&q=g%C3%A9nocide+breton+images&tbm=isch&source=univ&sa=X&ved=2a La SHOAH BRETONNE : louis-melennec.fr/2014/12/23/la-shoah-bretonne-un-nouveau-concept-vient-de-naitre-le-drame-breton-sexprime-enfin-par-des-mots-appr

  • @louismelennec7958
    @louismelennec7958 5 років тому

    Mélennec / Pennaod : « La survie de la langue bretonne dépend des Bretons », en aucun cas de ceux qu'on dénomme "les élus". Par Louis Mélennec (26/03/2017) Quelle que soit l’appartenance politique de ceux qui émettent des idées, et ont le courage de les exprimer, on doit les écouter. Il y a toujours à prendre quelque chose d’une idée, qu’elle vienne de droite, de gauche, ou d’ailleurs. Ne serait-ce, si l’idée en cause est absurde, que de l’ analyser comme telle, de la décortiquer, de la détruire, de renforcer ses propres convictions, ou, au contraire, de se donner des arguments pour enrichir nos raisonnements, à partir de ceux des autres. A plus forte raison si nous nous sommes trompés, auquel cas nous ne devons pas hésiter à l’admettre; davantage, le cas échéant : de remercier ceux qui nous ont éclairés par leur sagesse. J’ai toujours agi ainsi au cours de mes différentes carrières, et m’en suis bien porté. Les Bretons sont très doués pour l’injure, leur spécialité nationale, bien avant le far et le kouing amann. Ils ne le sont pas pour le dialogue, ce qui explique qu’ils sont encore esclaves, incapables qu’ils sont de comprendre que notre avenir ne se fera que dans l’Union Nationale, et qu’au lieu de se diviser et de se frapper dessus, ils doivent s’écouter, et admettre leurs divergences, sauf à les concilier, au moins dans la mesure du possible. Je suis, en ce qui me concerne, à l’écoute de tout. L’exercice du dialogue ne me coûte personnellement aucun effort, dès lors que mes interlocuteurs s’expriment avec courtoisie. Je dois cette aptitude à mes parents bretonnants, l’un et l’autre pleins de sagesse, et d’avoir beaucoup appris dans la vie, simplement en m’ouvrant aux autres. C’est ainsi que, pendant sept années, de 1998 à 2005, j’ai été l’invité le plus fréquemment sollicité par Radio courtoisie, dont je ne partage pas nombre d’idées, sans jamais aucune difficulté, jusqu’à la disparition de Jean Ferré, son précédent directeur. Mes échanges les plus fructueux, dans le domaine de la linguistique, l’ont été avec Goulven Pennoad. Une sorte de génie, très supérieur à ce pauvre type, nommé Claude Hagège, professeur au collège de France,- qui a osé dire à la télévision, en 2011 : « Les Bretons étaient des sauvages; la France en a fait des hommes civilisés », de Henriette Walter, et bien d’autres. J’avais fait la connaissance de ce linguiste éminent à l’issue d’un colloque, dans lequel je fus invité comme orateur. Il s’était présenté à moi, et le plus simplement du monde, et m’avait tout de suite mis en garde contre sa propre réputation, très mauvaise en Bretagne, ajoutant qu’il pouvait être compromettant, pour moi, si l’on me voyait seulement lui adresser la parole. Bien sûr, j’ai écouté avec la plus grande attention ce qu’il avait à me dire; ces échanges ont duré plusieurs années, pour mon plus grand profit dans la connaissance des langues. PENNOAD pensait que la langue bretonne sera morte avant quelques dizaines d’années; si les Bretons sont incapables de restaurer un Etat à part entière, ils doivent dès maintenant faire le deuil de leur langue bimillénaire. Je partage totalement cette opinion, et rends responsable de cette mort annoncée nos « députés » et nos « sénateurs ». Je publierai plus tard des extraits de mon abondante correspondance avec cet éminent linguiste, rejeté par tous à cause de ses antécédents politiques. Je m’honore d’avoir dialogué avec lui, sans aucun parti pris, et d’avoir bénéficié de son savoir. Lorsque j’avais à traiter en public de sujets pointus de linguistique, je l’interrogeais longuement ; il arrivait qu’il rédige à mon intention ce qu’il appelait des « notules », en réalité de véritables dissertations très argumentées. C’est lui qui a écrit, dans l’une de ses lettres, cette phrase magnifique, largement diffusée depuis en Bretagne, dans de nombreux sites : « LE FRANÇAIS EST L’UN DES IDIOMES LES PLUS MINABLES D’EUROPE ». (Henriette Walter, l’une de mes interlocutrices, a écrit de son côté : » le français n’est qu’un patois qui a réussi »). Après le décès de Pennoad, son épouse et son fils m’ont témoigné leur reconnaissance : ils ne me devaient rien, car je me suis comporté en homme, rien de plus. Mais ces deux témoignages m’ont beaucoup touché : ils émanaient de deux personnes de cœur, et délicates. Rien à voir avec les insulteurs qui pullulent sur les sites bretons, ni avec les ignares « experts », « surexperts », « contre-experts » de WIKIPEDIA, parmi les plus bêtes du genre. (Lire : Mélennec Wikipédia). Voici un passage de cette correspondance de 2001 de Goulven Pennoad : « Les cas du Cornwall et de la Bretagne sont les mêmes. Le loyalisme à l’égard d’un État étranger ne paye pas. Le cornique décéda vers 1800. Le breton (natif) le fera, selon toute probabilité, vers 2025 Les deux courbes dressées par le docteur Ken GEORGE (cornique), dans sa thèse (Brest 1984) ne sont que trop éloquentes. Villemarqué eut quelques velléités d’irrédentisme politique. L’admission à l’Institut gomma tout cela. (On pense ici à nos héros nationaux, députés et sénateurs, payés pour se taire sur l’avenir de la Bretagne). C’était sans doute une des dernières chances. Lorsque nous eûmes un semblant d’autonomie administrative régionale (grâce aux autorités allemandes, et à la défaite de la France), il était déjà trop tard, malgré un réveil culturel incontestable qui, malheureusement, ne put durer que quatre ans … (Ne m’invitez pas, docteur Mélennec, à radio courtoisie ; malgré toute leur bénévolence, ces braves gens attraperaient une apoplexie, et je ne leur veux aucun mal !). » Je publierai en temps opportun l'argumentation sur laquelle se fonde Goulven Pennoad pour justifier son jugement sur la pauvreté de la langue française. D'ores et déjà, je sais qu'elle fera plaisir à un grand nombre de Bretons, eux dont les ancêtres ont été si cruellement humiliés par la France dite "des droits de l'homme". Hagège, Mélenchon, Asselineau et d'autres liront la présente : ils font partie de nos insulteurs. Honte à eux. Je lègue les lettres de Pennoad à un éditeur breton qui a consacré sa vie à tenter de sauver notre langue. Combat perdu, A CAUSE DES BRETONS. Ils sont punis, il fallait y penser en temps utile. Un monument de l'humanité va disparaître. Il ne sert à rien de pleurnicher : c'est trop tard

  • @portunamnetu2450
    @portunamnetu2450 5 років тому

    Bonne analyse sur l abandon du breton en Basse Bretagne précisons le ,concequence de la modernisation après les Années 50 et non suite a la seul influence jacobine qui n'a jamais réussi a l' éradiquer cette évolutions sociétal n'est pas propre a la basse Bretagne mais concerne l'ensemble de la France et le même phénomène est observable ailleurs .En territoire de Bretagne romanophone d'oil dit Bretagne gallo le même phénomène existe mais le patois est souvent considéré comme un français mal parlé alors qu'il est une forme de l ancien français.

    • @louismelennec7958
      @louismelennec7958 2 роки тому

      LE MALHEUR D’ÊTRE JUIF (Albert Memmi). La HONTE D’ÊTRE BRETON (Louis Mélennec). LA NEVROSE BRETONNE D’ACCULTURATION. L’oeuvre civilisatrice de la France, pays des droits de l’homme, en Bretagne. (Extraits du livre : Comment les Bretons sont devenus français). L'étude des névroses collectives a été induite, en particulier, par les sociologues et les historiens qui se sont penchés sur les dégâts mentaux induits par l'acculturation forcée des populations Amérindiennes par les Espagnols. On a également exhumé les atrocités commises par les américains, les canadiens, les anglais en Australie …. Les Bretons sont maintenant célèbres dans le monde entier, en raison des abominations dont ils ont été victimes. Cette pathologie particulière concerne un grand nombre de nations, jadis libres. Sous l'effet de la pression colossale qui est exercée par l'entourage, l'école, les livres, la radio, les instituteurs, les professeurs, les parents eux-mêmes, tant par le non-dit que par ce qui est suggéré ou explicitement exprimé, l'enfant des écoles de la république se met à détester tout ce qui lui rappelle l'infériorité de sa condition : ce patois hideux que parlent ses parents et son entourage, ces costumes de ploucs et ces coiffes d'un autre âge, ces mœurs résolument vulgaires, les tournures bretonnisantes qui infectent le beau langage français, qu'on lui présente comme étant le modèle universel. Il n'est rien, qu’un sous-petit-homme, il le sait, il intériorise le modèle mauvais forgé de toutes pièces par le colonisateur. La névrose d'acculturation est à base de honte de soi. Le phénomène diffuse, et gagne tout l'entourage. Les grands-parents, qui ne parlent ni ne comprennent le français - dans les campagnes en tout cas -, sont mis à l'écart, on ne leur adresse pas la parole : ce sont des ploucs, on se gausse de leur maladresse et de leur timidité, on ne voudrait certes pas leur ressembler. Un fossé culturel se crée entre les générations : les jeunes, élevés dans la civilisation qu'on croit belle du colonisateur ; les vieux, qui paraissent pitoyables et arriérés. Cela peut aller très loin : on a vu, dans les lycées et collèges, des enfants avoir honte de rencontrer au parloir leur propre mère, à cause de son accent rocailleux, de sa coiffe en dentelles, de son habitus de femme plouque, et prétexter l'étude ou le travail pour ne pas montrer ce spectacle à ses camarades. Au niveau individuel, les dégâts sont considérables. Les Bretons de ces générations sont à l'image de ce qu'ont été les Juifs pendant des millénaires, les colonisés, les esclaves : timides, honteux d'eux-mêmes, des êtres convaincus de leur infériorité native. (Lire absolument : Albert Memmi : Portrait d’un juif, le malheur d’être Juif). Les Bretons qui n’ont pas encore compris, vont se découvrir dans ce texte poignant. Au niveau de la nation, c'est pire : celle-ci, jadis conquérante et glorieuse, est désormais honteuse d'elle-même. Elle va jusqu'à collaborer - en toute bonne foi - avec l'occupant pour « désincruster » ce qui reste des mœurs dont elle a été convaincue qu'elles sont préhistoriques, voir anté-diluviennes.. La créativité s'étiole au niveau collectif, la nation ne produit plus rien : la « ploukistation » devient effective ; les natifs, guère en situation de comprendre ni d'analyser ce qui leur arrive, comme les esclaves élevés dans une situation qu'on leur a appris à accepter, accompagnent ou précèdent le mouvement sans le critiquer. Honte suprême : il en est même qui acceptent de faire partie de ce qu'on dénomme le « gouvernement » du pays colonial (!) L’un d’eux, agrégé en « hystoyre », est resté en fonction plusieurs années, et n’a jamais ouvert la bouche. Il a même vendu des armes, destinées à tuer des femmes, des enfants, des innocents. Il croyait avoir été engagé à cause de ce ses talents. Il n’était qu’esclave : il a été viré. Mais tout le pays est maintenant informé LOUIS MELENNEC. L’auteur de ce texte est exclu de tous les merdias français et bretons, sans aucune exception. Son livre, menacé par le pays des doigts de l’homme, est sécurisé dans plusieurs pays. De nombreux Bretons ont collaboré à ces ignominies, et continuent à le faire. L’un de ces merdias « bretons » perçoit 12 millions d’euros par an pour mentir. LIRE ABSOLUMENT. Memmi Albert, Portrait d’un Juif, Paris 1962, Collection Idées. Mélennec Louis, Comment les Bretons sont devenus Français. Mélennec Louis. Quarante articles sur la destruction de la langue bretonne sont publiées dans le site de AR GEDOUR.

    • @GabinNicolas-n3h
      @GabinNicolas-n3h 6 місяців тому

      C'est bien le jacobinisme qui a tué le breton avec la méthode du "symbole" à l'école et non pas la modernisation Et le gallo c'est une langue proche du français mais bien une autre langue, et pas un ancêtre du français puisque il a évolué en même temps (et différemment)

  • @oktavemarimaro138
    @oktavemarimaro138 5 років тому

    RIP

  • @Isalys555
    @Isalys555 5 років тому

    Quand enfant, j'avais demandé à ma grand mère d'Elven si elle avait appris le breton, elle s'est énervée et ma répondu "tu crois qu'on était des arriérés ?" Cette réponse m'avait frustrée à l'époque, ce que je voyais comme quelque chose d'intéressant et de valorisant, elle, on lui avait appris que c'était indésirable. Du coup, j'ai envie d'apprendre le breton 😃

    • @argroazvrezhon7656
      @argroazvrezhon7656 4 роки тому

      De nombreuses formules différentes existent : cours par correspondance (Skol Ober), cours du soir (voir le bagad ou cercle celtique le plus proche), formation longue 6/9 mois (Skol an Esmsav, Stumdi, Roudour, Kelenn, Mervent) et d'autres méthodes pour apprendre seul (Ni a gomz brezhoneg de Mark Kerrain), il ne suffit que de se lancer. Ce fut la plus belle découverte de ma vie, apprendre la langue de mes ancêtre ! Je vous souhaite de la faire vôtre !

    • @gwuirec7294
      @gwuirec7294 3 роки тому

      Mon grand père m'a aussi dit la même chose "pk l'apprendre" de plus il a été marqué par l'alliance des indépendantistes au Nazis

    • @morzhed-hoqh732
      @morzhed-hoqh732 3 роки тому

      À Elven, je crois qu’on n’est pas dans la zone brittophone. C’est plutôt le gallo, là-bas.

    • @morzhed-hoqh732
      @morzhed-hoqh732 3 роки тому

      @@gwuirec7294 Quelle alliance ! Il faut arrêter de raconter des conneries. Et Pétain ? Il n’était pas suédois ! Cette histoire de collaboration, c’est les animaux malades de la peste…

    • @83axelou
      @83axelou 3 роки тому

      Et oui malheureusement, l'ecole de la 3eme republique a bien réussi son coup, pour l'Occitan et le Corse c'est le meme probleme, mes grand parents etaient bilingues mais en avaient honte au fond d'eux meme. C'est d'une tristesse. Avoir honte se sa langue maternelle. Tu leur demandais s'ils preferaient parler occitan ou francais ils repondaient occitan sans hesiter, plus fin pour eux, et tu leur demandais pourquoi ils l'avaient pas appris à leurs enfants ils savaient pas repondre.

  • @chollezjeanjacques2569
    @chollezjeanjacques2569 6 років тому

    Comment enseigner le royalisme qui manque à la France...les voleurs assassins républicains n’ont apporté que malheur.

    • @d.v2711
      @d.v2711 4 роки тому

      "M'ont apporté que malheur" Ah parce que vous avez peut-être connu la monarchie française ? Vous devez être bien vieux.

  • @micheled2069
    @micheled2069 6 років тому

    Outre son talent de pédagogue, Serge Plenier est doté d'une belle voix de chanteur. On avait pu le remarquer comme invité du bagad Elven au championnat de Lorient 2015.

  • @sebastienlaidin894
    @sebastienlaidin894 6 років тому

    Alors j'ai écouté jusqu'à 19:17 ( leçons d'histoire des jeux vidéos). Ayant aussi entendu parler jean clément martin démentir le génocide vendéen, je peux vous assurer par conviction et par déduction l'emplacement de la guillotine devant Notre Dame comme un moyen d'oppression, de répression, de punition et d'extermination, appuyé par la confirmation des saccages des révolutionnaires des lieux de cultes, je vois très bien votre petit jeu de révisionniste, interdit par certains et encouragé par les mêmes ! Enlevé une guillotine par si et/ou dénaturé un propos par là, seulement il y à des choses qui reste à jamais indélébile, la vérité c'est que les Parisiens se sont comporté comme des merdes monstrueuses et qu'en conséquence nous on tous foutue dans la merde, comme accoutumé du-faite vous remettez ça sur le tapis en dénigrant d'un bord les conséquences de tous ce bordel de massacres et en propaguant de l'autre un retour et/ou un passage à tous ce qui permet des massacres. Votre révolution républicaine de 1789 ne vaut pas mieux que votre invasion civilisatrice romaine... Vous me faite penser à des Vampire irresponsable des conséquences que peux avoir leur propre nature sur les autres ! sebizare ledoudingueduroi o+

    • @d.v2711
      @d.v2711 4 роки тому

      Menteur. La vidéo ne dure que 18 : 48, vous n'avez pas pu la regarder jusqu'à 19 : 17. Il me semble que c'est un péché de mentir, mais bon... Et cessez votre charabia, ce n'est pas parce que vous employez des mots soutenus que vous avez raison. Encore, faut-il savoir les employer car vos phrases ne veulent rien dire.

    • @sebastienlaidin894
      @sebastienlaidin894 4 роки тому

      @@d.v2711 il m'arrive de me tromper, mais il se peut que ce sois un remaniement de youtube, hier encore une personne veux quitter youtube par ce qu'ils remanient à leurs guise, pour finir je ne vois pas en quoi cela fais de moi un menteur, sinon pour le timer, qu'avez vous retenu d'autre ?... o+

    • @d.v2711
      @d.v2711 4 роки тому

      @@sebastienlaidin894 J'ai retenu que vous avez posté exactement le même message que celui-ci sous une autre vidéo de Jean-Clément Martin. C'est bien parfois d'écouter ce que dit une personne plutôt que de répéter bêtement quelque chose.

    • @sebastienlaidin894
      @sebastienlaidin894 4 роки тому

      @@d.v2711 je ne vous suis pas (?) !... o+

    • @d.v2711
      @d.v2711 4 роки тому

      @@sebastienlaidin894 Je disais juste que votre 1er commentaire n'ai qu'un copier coller d'un autre commentaire que vous aviez posté sous une autre vidéo de Jean Clément Martin, d'où l'erreur sur le timer. Et j'en ai déduit par-là que vous n'aviez probablement pas regardé la vidéo. Mais qu'il ne s'agissait que d'attaques infondées.

  • @petrocapseisyllt8609
    @petrocapseisyllt8609 6 років тому

    me'm eus komprennet netra!

  • @inribreton8849
    @inribreton8849 6 років тому

    Perak ober gant ar galleg ? Komz a ra ouzh Galloued ???

  • @AMROU76
    @AMROU76 7 років тому

    Quelqu’un peut me dire ce qu'il dit à 9:23 ? Après l'imprimerie Ledan....... Merci

    • @cletgentric
      @cletgentric 3 роки тому

      IL parle de Marie Kastelin de Bannalec

  • @louismelennec2188
    @louismelennec2188 7 років тому

    (Extraits du Livre bleu de la Bretagne, par Louis MELENNEC) LIRE ABSOLUMENT : LA SHOAH BRETONNE. Le Livre Bleu de la Bretagne est téléchargeable gratuitement sur la toile. LA LANGUE ET LA CULTURE SONT L’OBJET D’UN ASSASSINAT ORGANISÉ. LA LANGUE BRETONNE, très subtile, beaucoup plus ancienne que le français, est non seulement dévalorisée d’une manière outrancière, elle est insultée. Ce n’est pas une langue : c’est un jargon, un idiome, un patois, un dialecte corrompu, un baragouin, un charabia, un instrument de dommage et d’erreur. Ceux qui l’utilisent ne parlent pas, ils « patoisent », ils « baragouinent », ils « déblatèrent », ils « parlent vicieusement ». Cet idiome est un reste des cavernes de Cro-magnon, une séquelle de la préhistoire, un « dernier reste de la féodalité », un langage de sorciers, une « relique barbare et arriérée d’un autre âge ». Il obscurcit et engourdit la pensée, prolonge l’enfance de la raison et la vieillesse des préjugés, empêche de raisonner, de comprendre, d’assimiler les idées nouvelles, en particulier les « idéaux » révolutionnaires, la démocratie, la République. C’est, dit Hugo, « une tombe pour la pensée ». Il est d’ailleurs, à l’oreille, hideux, inélégant, grossier, guttural, imprononçable, et ne peut l’être qu’au prix de grimaces, et de contorsions du visage et du corps. Cette «grande vaincue de l’histoire» (sic), selon les « sçavants » français qui n’en comprennent pas le premier mot, décrète qu’elle n’a produit aucune poésie, aucune littérature, aucune œuvre littéraire de valeur. Il serait impossible que cela soit, puisqu’il n’y a pas de grammaire bretonne (!). LES PRÊTRES, qui continuent à l’utiliser pour prêcher (c’est la seule langue parlée et comprise dans les diocèses de l’Ouest), sont particulièrement visés. Ils se servent de ce jargon infâme pour maintenir les Bretons dans leurs « superstitions religieuses », pour les asservir, pour faire entrer dans leurs pauvres crânes de demeurés des idées perverses, pour « les fanatiser », pour « chasser des têtes bretonnes les idées de liberté ». etc. Ils deviennent des « sorciers », des « ratichons », des « calotins bretons ensoutanés ». Ces insultes se prolongent jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. DANS L'ADMINISTRATION, dans les écoles, la langue antique est péremptoirement interdite. La France met en place un système médiéval de persécutions, digne de l’Inquisition, et de sanctions à l’encontre de tous ceux qui entendent perpétuer la culture qui, jusqu’alors, avait été, pour les lettrés, un sujet de fierté. Des escouades d’instituteurs français sont envoyés dans les écoles bretonnes, avec des directives précises réitérées par les préfets et les sous-préfets : « assassiner la langue bretonne », « éradiquer totalement l’idiome local », (de nombreux textes et directives ministérielles accablantes sont conservés, cette politique étant initiée, surveillée, amplifiée depuis Paris) ; « la corrompre, afin qu’on ne le comprenne plus » (sic), interdire, manu militari au besoin, de parler breton (des gendarmes rendent parfois visites aux parents dans les fermes, pour les intimider), infliger des punitions aussi vexantes que possibles aux enfants, sinon aux parents, qu’on culpabilise chaque fois que cela est jugé nécessaire. LES PRÊTRES, curés et religieux, qui prêchent dans la langue nationale bretonne, la seule qui soit comprise, sont privés de leur salaire (la séparation de l’église et de l’État n’intervient qu’en 1905). Dans les écoles, les enfants sont terrorisés. On les montre du doigt, on rit d’eux lorsqu’ils confondent un terme français avec un terme breton ; on les entraîne à se moquer des autres ; on les isole au piquet, on leur donne des coups de règle sur les doigts, des gifles, voire coups de pied ; on les punit lorsqu’on les surprend à parler breton dans la cour ; on accroche à leur cou un objet infamant tel qu’un sabot, une corne de vache, ou tout autre objet ridicule. Dans certaines écoles, fait criminel pour ceux qui s’en sont rendus coupables, on accroche au cou de ces malheureux l’ardoise d’infamie : « Breton = cochon ». (Cette dernière pratique a marqué les esprits, d’une manière définitive, les Bretons ne l’oublieront pas, et ne la pardonneront jamais). Une autre IGNOMINIE est inventée : la culture de la délation. L’enfant surpris à parler le breton, conserve le « symbole » infamant au cou, jusqu’au moment où il réussit à dénoncer à l’instituteur un autre délinquant. Certains n’osant rentrer chez eux, attendent la nuit, et contournent le village. Les parents, conditionnés, infligent de nouvelles punitions à l’enfant, après le coucher du soleil. Ces faits sont attestés par des témoignages accablants. Les prêtres sont l’objet de sanctions graves : avertissements, suspensions, blâmes, privations de salaire (la loi de séparation de l’église et de l’État n’est votée qu’en 1905). Le ministère Combes invente le concept « d’usage abusif du breton », pour empêcher qu’il ne soit utilisé dans les églises : c’est un abus, punis de sanctions sévères, pour un breton, de parler la langue que ses ancêtres utilisent comme seule langue depuis 2000 ans. Le pire, sans doute, dans ce pays traditionnellement très religieux : on prive les enfants de confirmation, et même de communion, s’ils ne connaissent pas suffisamment le Français. LA LANGUE DU COLONISATEUR, dénommée « langue nationale » dans un pays qui en possède une, bien avant les français, autorise les plus zélés à traiter le breton de « langue étrangère », sur leur propre territoire (!). Des journalistes, des hommes politiques connus, que l’on avait cru sains d’esprits, préconisent des mesures extrêmes : « Il faut frapper les curés » ; « tapons dessus, de toute la rigueur des lois, de tous les poings des gendarmes » (La Lan- terne) ; « il faut prendre des mesures énergiques, sans hésiter » ; « il faut utiliser des commissaires de police courageux, des préfets, des magistrats, des fonctionnaires républicains pour entreprendre la colonisation de la Bretagne » (!); « il faut faire totalement disparaître la langue bretonne » (de Monzie, ministre, 1925) ; « la seule réponse, c’est d’emprisonner tous ceux qui formulent les revendications linguistiques bretonnes » (Albert Dalimier, ministre du travail, 1932). DETAIL ABOMINABLE : la « Déclaration Universelle des droits de l’Homme », pendant qu’on procède à un véritable lavage des cerveaux, est enseignée par « la » république, qui détient tous les pouvoirs, dans les écoles. Les enfants n’ont d’autre solution que de croire ce qu’on leur enseigne. On les a tellement infériorisés, tellement convaincus qu’ils appartiennent à une race de sous-débiles, qu’ils regardent la lumière française comme étant leur planche de salut. Le drame qu’ils vivent est affreux. LES RESULTATS de cette politique sont spectaculaires. En 1850, à l’exception des villes, toute la moitié ouest de la Bretagne est encore bretonnante. En 1850, 160 communes du Finistère sur 160 parlent le breton. On dénombre à l’époque 1,6 million de locuteurs. En 1940, la langue de communication, dans les campagnes bretonnes, chez les marins, chez les artisans, les commerçants des villages et des petites villes, est le breton. En 2000, ce chiffre est tombé à zéro. En 2008, les efforts de la France ont abouti à un résultat inespéré pour un colonisateur : il reste 200 000 locuteurs bretons, tous âgés. Pour entretenir l’illusion, et perpétuer l’hypocrisie, la France a « autorisé » la création de quelques classes bilingues, mais freine de toutes ses forces en s’opposant à toute progression de la langue nationale. Après un simulacre de débat au Parlement, elle a fait semblant d’autoriser les langues régionales, ce qui est fermement démenti sur le terrain. La politique de la France est l’éradication totale du breton. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ LOUIS MELENNEC, ex-consultant près le Médiateur de la République.

  • @antonaghesse-berteche1900
    @antonaghesse-berteche1900 9 років тому

    Ar spilhenig 'zo gantañ ! :)

  • @a.p.a.h.s.lhistoireascienc4871
    @a.p.a.h.s.lhistoireascienc4871 9 років тому

    Conférence le 2 avril : pourquoi parler le français en France? (SciencesPo, 19h15, amphi Erignac, 13 rue de l'Université) (apahsasso.wix.com/apahs#!pourquoi-parler-le-franais-en-france/c1aqi)