Mais les gens et le gouvernement croient vraiment que ces infirmières vont retourner dans le privé???! 😂 jamais au grand jamais !! Elles vont faire comme celles qui ont quitté le réseau pendant la pandémie: quitter la province ou changer de métier et ça sera bien mérité pour la CAQ et ses électeurs 🎉
Demissionner tous en bloc afin de bloquer le système complètement, une fois pour toute. De toute façon le système complet est a revoir et a re-designer…..faut arrêter de « patcher” un système désuet qui ne repond plus aux besoins depuis belle lurette!
Tout ce monde privé ne voudront pas travailler au public si les conditions ne se sont pas améliorées. Résultat: plus de bris de services, plus d'attentes.
Il faut trouver des solutions pour satisfaire ces agences et intégrer leur expertise au publique. La privatisation de la santé est à éviter, on a qu’à voir aux States la cruauté de la privatisation de la santé: le profit avant la vie du patient.
C'est tout de même bizarre comme situation, comme l'école publique vs privée. Ça donne l'impression que le gouvernementa, à la fois, du mépris pour le secteur public et un besoin de prétendre le contraire. Voyons une solution simple, arrêtez de surpayer les institutions privées et inversez la situation. Meilleur salaire au public et TSO obligatoire aux agences de placement. Voici quelques autres pistes pour M. Dubé. 1. reconnaissance des diplomes étrangers. 2. Subventionner les produits maraichers 3. taxer davantage les produits ultra transformés 4. Encourager l'activité physique/subventionner/crédit d'impot L'équation est assez simple, si tu ne peux pas augmenter l'offre de service, le gvt doit faire en sorte que la demande de service diminue par la prévention. Mais au Québec, on fait tout sauf de la prévention.
Il faut donner plus de pouvoir aux Préposés aux Bénéficiaires pour changer le système de façon durable et équitable. Il faut les considérer, car c'est sur eux principalement qui retombe le chaos et stress d'un système disfonctionnel. On aurait pas le langage technique d'un gestionnaire ou d'une infirmière, mais on sait ce quoi le vécu et l'expérience des résidents dans leur intimité la plus intime et on sait quoi faire dans les situations les plus intenses. Mais bravo aussi pour les infirmières qui font leur travail avec passion . Les gestionnaires ont oublié c'était quoi travailler sur le terrain...
Je suis très d'accord avec vous! Cependant, avec le manque criant de PAB il faut être prudent si l'on veut ajouter des tâches aux PABs. On sous estime beaucoup dans le réseau les compétences des PABs ainsi que des infirmières auxiliaires.
@@julie.lallier.doucet tout à fait d'accord ! Je crois qu'on néglige le potentiel des PABs, qui font le travail sale et qui supportent le dégâts d'un système disfonctionnel en étant tout en bas des hiérarchies sans voix et sans pouvoir de décision sur aspects de leur propre travail (leurs tâches propres aux PABs). Souvent on se trouve avec de PABs immigrants qui possèdent de diplômes universitaires (je le suis, et j'ai encore de collègues étant architectes, médecins de familles, ingénieurs...). Donc, il faut pas sous-estimer le potentiel créatif de PABs qu'on pense souvent comme du monde sans ambition (je me l'ai déjà fait dire). A mon avis, il faut changer le système de santé à partir de la base, en instrumentant les PABs dans la prise de décision au sein des structures des CHSLD. Mais le Québec est pas prêt pour ça dira-t-on.
Ça coûte une fortune pour engager les infirmières des agences et en même temps, il manque de main d'oeuvre dans le système. La solution est évidente ! Supprimer les agences de placement, engagé direct, augmenter le salaire et les conditions de travail !
@@user-jg3il7no8k et alors... Mettons que je ne décide pas de faire un infarctus à midi le mardi, que junior ne fait pas toujours de fièvre le vendredi matin. Choisir cette profession en refusant ce qui y est inhérent et qui ne pourra jamais être changer relève d'un manque de vision évident, voir d'une limitation intellectuelle...
Les besoins a comblés sont 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24! Les infirmières aux privés s'accaparent les meilleures conditions de travail ce qui laisse moins de libre choix pour celles travaillant au public! Lorsqu'on choisi ce métier faut s'attendre à faire des compromis! 🙄 Toutes avec les mêmes conditions de travail et aux salaires équivalents!
Ça va brasser quand ça va passer, mais au final, ces infirmiers privés travaillent déjà dans le milieu hospitalier. Ils se sont juste trouvé un syndicat privé, au détriment des autres. On peut pas blâmer ces travailleurs d'essayer d'améliorer leur situation personnelle, mais un gouvernement doit penser à la situation de toute la population, des patients, des autres infirmiers, de la viabilité du système à long terme. Et un système public ne pourra pas toujours ignorer la sangsue qui sape ses ressources et l'affaiblit.
C'est justement cela quelles vont faire. Si le but était des les forcer à revenir dans le public c'est manqué. Ont dirait qu'on oublie que les infirmières ont un libre arbitre et quelles peuvent très bien choisir de ne pas revenir...
La seule vraie solution est d'augmenter l'offre. Former plus d'infirmières et de les payer avec le budget énorme des heures supplémentaires et des surfacturations des agences privées, ou laisser des infirmières d'autres pays travailler après un stage d'un ou deux ans et de les payer un peu moins que celles formées au Canada (ça se fait en Europe, des médecins et infirmiers de l'Europe de l'Est et d'Afrique travaillent en France, en Suisse, etc.). Les infirmières ne seront plus obligées de faire des heures supplémentaires et seront moins stressées. Et puis, ce président de la EPPSQ qui dit que 1900 infirmières de moins dans les agences privées, ça montre à quel point le gouvernement est surfacturé avec ces agences, elles n'auront pas le choix que de retourner au réseau de santé publique. Reste à espérer que plus d'infirmières vont améliorer les conditions de travail dans le secteur public.
@le ratel La pénurie est fabriquée, en limitant le nombre d'infirmières formées chaque année et en interdisant de travailler pour des infirmières d'autres pays qui ont déjà plusieurs années d'expérience pourtant qui sont acceptées en Europe comme la France et la Suisse. Le système de santé est pourtant bien meilleur en France et la Suisse que le Québec, alors ne trouvez pas d'excuse de compétence.
@@adamplayo8913 niveau formation, on manque d'étudiants. 2011 il y avait eu 11400 inscriptions en au Québec en soins infirmiers. L'an passé 9700. Il y a de la place mais pas d'étudiants. L'immigration pourrait aider, mais on est pas les seuls a les vouloirs. La demande est forte partout dans les pays riches. On frappe tous le mur démographique en même temps.
Et si ils se taisaient ou présentaient une fausse image de la réalité en louant le système public, d'autres crieraient que R.-C. sont à la solde du gouvernement.
Mais les gens et le gouvernement croient vraiment que ces infirmières vont retourner dans le privé???! 😂 jamais au grand jamais !! Elles vont faire comme celles qui ont quitté le réseau pendant la pandémie: quitter la province ou changer de métier et ça sera bien mérité pour la CAQ et ses électeurs 🎉
Demissionner tous en bloc afin de bloquer le système complètement, une fois pour toute. De toute façon le système complet est a revoir et a re-designer…..faut arrêter de « patcher” un système désuet qui ne repond plus aux besoins depuis belle lurette!
Bonne chose! Le moins de privée dans les branches essentielles de la société on voix ce que ça fait au State.
Tout ce monde privé ne voudront pas travailler au public si les conditions ne se sont pas améliorées. Résultat: plus de bris de services, plus d'attentes.
Il faut trouver des solutions pour satisfaire ces agences et intégrer leur expertise au publique. La privatisation de la santé est à éviter, on a qu’à voir aux States la cruauté de la privatisation de la santé: le profit avant la vie du patient.
C'est tout de même bizarre comme situation, comme l'école publique vs privée. Ça donne l'impression que le gouvernementa, à la fois, du mépris pour le secteur public et un besoin de prétendre le contraire. Voyons une solution simple, arrêtez de surpayer les institutions privées et inversez la situation. Meilleur salaire au public et TSO obligatoire aux agences de placement.
Voici quelques autres pistes pour M. Dubé.
1. reconnaissance des diplomes étrangers.
2. Subventionner les produits maraichers
3. taxer davantage les produits ultra transformés
4. Encourager l'activité physique/subventionner/crédit d'impot
L'équation est assez simple, si tu ne peux pas augmenter l'offre de service, le gvt doit faire en sorte que la demande de service diminue par la prévention. Mais au Québec, on fait tout sauf de la prévention.
Il faut donner plus de pouvoir aux Préposés aux Bénéficiaires pour changer le système de façon durable et équitable. Il faut les considérer, car c'est sur eux principalement qui retombe le chaos et stress d'un système disfonctionnel. On aurait pas le langage technique d'un gestionnaire ou d'une infirmière, mais on sait ce quoi le vécu et l'expérience des résidents dans leur intimité la plus intime et on sait quoi faire dans les situations les plus intenses. Mais bravo aussi pour les infirmières qui font leur travail avec passion . Les gestionnaires ont oublié c'était quoi travailler sur le terrain...
Je suis très d'accord avec vous! Cependant, avec le manque criant de PAB il faut être prudent si l'on veut ajouter des tâches aux PABs. On sous estime beaucoup dans le réseau les compétences des PABs ainsi que des infirmières auxiliaires.
@@julie.lallier.doucet tout à fait d'accord ! Je crois qu'on néglige le potentiel des PABs, qui font le travail sale et qui supportent le dégâts d'un système disfonctionnel en étant tout en bas des hiérarchies sans voix et sans pouvoir de décision sur aspects de leur propre travail (leurs tâches propres aux PABs). Souvent on se trouve avec de PABs immigrants qui possèdent de diplômes universitaires (je le suis, et j'ai encore de collègues étant architectes, médecins de familles, ingénieurs...). Donc, il faut pas sous-estimer le potentiel créatif de PABs qu'on pense souvent comme du monde sans ambition (je me l'ai déjà fait dire). A mon avis, il faut changer le système de santé à partir de la base, en instrumentant les PABs dans la prise de décision au sein des structures des CHSLD. Mais le Québec est pas prêt pour ça dira-t-on.
Une grande décentralisation du système de santé serait la meilleure solution. Et aussi d’abolir le temps supplémentaire obligatoire.
Ça coûte une fortune pour engager les infirmières des agences et en même temps, il manque de main d'oeuvre dans le système. La solution est évidente ! Supprimer les agences de placement, engagé direct, augmenter le salaire et les conditions de travail !
En même temps les infirmières veulent travailler de 9h à 17h pas la fds ni les soirs.
@@user-jg3il7no8k et alors...
Mettons que je ne décide pas de faire un infarctus à midi le mardi, que junior ne fait pas toujours de fièvre le vendredi matin.
Choisir cette profession en refusant ce qui y est inhérent et qui ne pourra jamais être changer relève d'un manque de vision évident, voir d'une limitation intellectuelle...
Les besoins a comblés sont 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24! Les infirmières aux privés s'accaparent les meilleures conditions de travail ce qui laisse moins de libre choix pour celles travaillant au public! Lorsqu'on choisi ce métier faut s'attendre à faire des compromis! 🙄 Toutes avec les mêmes conditions de travail et aux salaires équivalents!
Legault fait n'importe quoi...
Ça va brasser quand ça va passer, mais au final, ces infirmiers privés travaillent déjà dans le milieu hospitalier. Ils se sont juste trouvé un syndicat privé, au détriment des autres. On peut pas blâmer ces travailleurs d'essayer d'améliorer leur situation personnelle, mais un gouvernement doit penser à la situation de toute la population, des patients, des autres infirmiers, de la viabilité du système à long terme. Et un système public ne pourra pas toujours ignorer la sangsue qui sape ses ressources et l'affaiblit.
Leurs salaires sont déjà payer le gouvernement du Québec en ce moment même.
Faudrait faire la meme chose avec les médecins.......
Si elles sont pas contente, qu’elle décâlice. Je parle des infirmières dans le privé bien sûr.
C'est justement cela quelles vont faire. Si le but était des les forcer à revenir dans le public c'est manqué. Ont dirait qu'on oublie que les infirmières ont un libre arbitre et quelles peuvent très bien choisir de ne pas revenir...
@@TheButtonSmasherElles n'ont qu'à aller ailleurs! Ça fera de la place pour celles qui terminent leurs études!
@@jewelv Comme si les gens s'arrachait les postes d'infirmière....
La seule vraie solution est d'augmenter l'offre. Former plus d'infirmières et de les payer avec le budget énorme des heures supplémentaires et des surfacturations des agences privées, ou laisser des infirmières d'autres pays travailler après un stage d'un ou deux ans et de les payer un peu moins que celles formées au Canada (ça se fait en Europe, des médecins et infirmiers de l'Europe de l'Est et d'Afrique travaillent en France, en Suisse, etc.). Les infirmières ne seront plus obligées de faire des heures supplémentaires et seront moins stressées. Et puis, ce président de la EPPSQ qui dit que 1900 infirmières de moins dans les agences privées, ça montre à quel point le gouvernement est surfacturé avec ces agences, elles n'auront pas le choix que de retourner au réseau de santé publique. Reste à espérer que plus d'infirmières vont améliorer les conditions de travail dans le secteur public.
@le ratel La pénurie est fabriquée, en limitant le nombre d'infirmières formées chaque année et en interdisant de travailler pour des infirmières d'autres pays qui ont déjà plusieurs années d'expérience pourtant qui sont acceptées en Europe comme la France et la Suisse. Le système de santé est pourtant bien meilleur en France et la Suisse que le Québec, alors ne trouvez pas d'excuse de compétence.
@@adamplayo8913 niveau formation, on manque d'étudiants. 2011 il y avait eu 11400 inscriptions en au Québec en soins infirmiers. L'an passé 9700. Il y a de la place mais pas d'étudiants.
L'immigration pourrait aider, mais on est pas les seuls a les vouloirs. La demande est forte partout dans les pays riches. On frappe tous le mur démographique en même temps.
Bravo R.-C. ! Jolie pub pour le privé, payé par bibbi...
Et si ils se taisaient ou présentaient une fausse image de la réalité en louant le système public, d'autres crieraient que R.-C. sont à la solde du gouvernement.
Elles ont tellement fourrée le Québec en chevauchant le public et le privé!....