Philippe Collin et "Le barman du Ritz"
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- Опубліковано 12 вер 2024
- Dans son nouveau roman "Le barman du Ritz", l’homme de radio, Philippe Collin, nous plonge dans la période de l’Occupation française. Imaginez un rendez-vous de hauts dignitaires nazis, de personnalités à la mode, de collabo et de résistants qui se croisent autour d’un verre sous l’œil d’un barman virtuose, Frank Meier, un agent double à ses heures perdues. Dans le bar du grand palace de la place Vendôme, qui bénéficiait d’un statut spécial lui permettant de rester ouvert, on y croisait entre autres, Jean Coctzau, Gabrielle Chanel, Sacha Guitry, Barbara Hutton, Ernst Jünger ou Hermann Göring. Pendant ces années sombres, l’élite parisienne se retrouve donc à trinquer avec les SS. Et pour servir ce petit monde, Frank Meier, un fils de prolétaire juif, né en 1884 et issu du Tyrol autrichien. Expatrié aux Etats-Unis, il va rejoindre un hôtel de luxe de New-York et gravir les échelons jusqu’à devenir l’un des papes des barmen, avant de finalement rentrer en France. Naturalisé Français grâce à sa participation à la Première Guerre mondiale, il atterrit ensuite au Ritz en 1921. Derrière son bar, métaphore d’une ligne de front, il voit alors l’arrivée des Allemands dès 1940. Dans ce palace, véritable modèle réduit de la France occupée, il assiste en tant que spectateur, puis acteur de cette partie sombre de l’Histoire. Une question se pose alors : comment réagir ?
Retrouvez l'intégralité de l'interview ci-dessous : www.france.tv/...
Quelle belle écriture, Collin a pu nous prendre par la main et nous faire voyager dans Paris des années 40
Collin, le véritable historien révisionniste.
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@@Anikamism plus fort que faurisson!😇
@@Brigittetouquet Je n'ai pas lu le bouquin (cela m'intéresse et je viens de l'acheter, mais pas encore ouvert…), et je ne vois pas le rapport. Des tas de gens non soupçonnables de révisionnisme (ou plutôt de négationnisme) qui l'ont lu ne semblent pas le voir non plus. On va voir… De toute façon, ce sujet est très délicat à aborder. Il y a un certain nombre d'années, un journaliste de France Inter avait invité dans son émission un jeune auteur qui venait de publier un ouvrage sur le négationnisme (je trouve, donc, que ce terme convient mieux.) Il avait jugé bon, prudent, nécessaire de préciser très clairement dès le début de l'émission qu'il s'agissait BIEN ENTENDU dans cet ouvrage de tenter de comprendre les négationnistes, leurs idées, leur fonctionnement et non de dire qu'on pouvait penser comme eux. Qu'eût-ce été s'il n'avait pas apporté une telle précision ! Il déclara en effet, vers la fin de l'émission, que tout au long de celle-ci, des auditeurs horrifiés, interprétant ce qui était analysé en sens contraire, avaient téléphoné (hors antenne) pour exprimer leur révolte et leur colère ! Lui et son invité s'en étonnaient naturellement, persuadés que la mise au point du début avait été d'une très grande clarté. Détail important : l'émission a été supprimée peu après. Aucune raison, à ma connaissance, n'en a été donnée. Des années après, je demeure convaincue que le sujet traité cette fois-là et ces réactions des auditeurs n'ont pas été étrangers à cette décision. Encore une fois, je n'ai pas lu le bouquin, mais l'interprétation et les réactions (comme les vôtres et l'autre plus haut) suscitées peuvent participer du même ordre.Un sujet plein de risques, tout de suite mal compris même si on s'est donné la peine de clarifier l'intention dès le départ. C'est peu de dire qu'on marche sur des oeufs…
je les commender hate de le lire
Heureux les simples d’esprit…🫶🏼😎
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