Alfred Deller sings Couperin: "Deuxième leçon"
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- Опубліковано 15 чер 2011
- Here is the "Second Lesson" from Couperin's magnificent "Leçons de ténèbres" with countertenor Alfred Deller. Desmond Dupré, viola da gamba, and Harry Gabb, organ. Recorded in 1960.
Deller made a later recording of this work on Harmonia Mundi (with tenor Philip Todd) in 1967. That recording is still in print.
Link to My Alfred Deller playlist:
• Alfred Deller (1912-1979)
From the liner notes to the 1967 recording:
"There are few works which, with such deliberately limited means, are so full of pathos. The melancholic genius of Couperin was fully in tune with a text of lamentations. The composer who, shortly before the end of his life, was to write a Pompe funèbre in his Suites for viols, found his natural expression in the Jeremiah text. His music, dramatic and pliable like that of Monteverdi, full of intimate and lyrical fervor, was an ideal vehicle to express the anguish of mortal man and the faith of the Christian soul in eternal life."
- Vau - "Et egressus est"
- Zain - "Recordata est"
- Het - "Peccatum peccavit"
- Tet - "Sordes ejust"
Composed in 1714 for the Abbaye royale de Longchamp.
Alfred Deller , éternellement regretté, a accompagné la redécouverte du répertoire baroque. Il a une place dans notre coeur .
Un document historique très précieux. Exceptionnel !
Deller pour l'éternité, définitivement unique.
Spectacular!!!!
Música metafísica, cantada pelo seu melhor intérprete.
This is one of my favourite pieces of music.
la plus belle version
C'est absolument fabuleux. Quelle voix surnaturelle. Admirable modulation de la mélodie si prenante. Je ne connais pas de contre-ténor qui m'émeuve autant que l'immortel Alfred Deller. Aucun qui ne sache comme lui "vivre" le livret tout comme la mélodie. Et je me dis aussi que François Couperin est bien trop méconnu. Bach le connaissait et l'admirait. Bach demeura longtemps méconnu après sa mort, surtout en France. Couperin reviendra-t-il à la juste place qui lui revient: l'une des premières. Je découvre seulement, à 76 ans ! ses Leçons de Ténèbres. Que ne les ai-je découvertes plus tôt. Je les crois supérieures à celles de Thomas Tallis.
+François Lebedel Merci ! Voir un nouveau commentaire apres l'avoir reecouter.
j'admire beaucoup les passages où sa voix est "retenue", pianissimo
de lo mejorcito de A Deller... tranquilo, nada forzado, perfecto
sublime!!!!!
fazem 54 anos que escutei Deller pela 1a vez , mas continua me emocionando até hoje pela sua delicadeza e presença musical
This was the first version of the Leçons de Ténèbres that I heard when I was about 18 (more than 40 years ago), and it still stuns me. Alfred Deller, while surpassed in clarion technique by artists like Scholl, remains one of the most refined, passionate and delicate interpreters of this music.
C’est méchant!...
He is unique!
@@Archangina Pourquoi méchant? Je ne fais que dire l’évident: d’autres l’ont surpassé « téchniquement, » ce qui n’enlève rien à son génie, sa musicalité sublime-exactement ce que j’ai dit. Il faut lire plus attentivement.
quelle voix , un don du ciel
🌷 Maître!!!!!!!!! 🌷
So tief hat mich noch keine andere Stimme berührt. Einfach göttlich.
Lovely. The earlier recording by the exceptional counter tenor Hughes Cuenod is also wonderful but very hard to find I'm afraid. Worth searching for. He is accompanied by a harpsichord and the piece is very intimate and moving. I think the Cuenod is the best rendering of these pieces ever.
C'est un Maître ....................
incredible!
👏👏👏👏👏👏
Que dire de ou sur Alfred Deller ? Toutes les verites memes les plus ordinaires ne pouraient qu’etre en dessous de cet homme qui a la musicalite et le climat musical dans un profound interieur, un sens du “donner” de la musique d’une portee extraordinaire avec tous les elements: faire de la musique de facon intellectuelle mais “d’une facon immediate” pour acueillir l’auditeur dans ce monde comme “une replique” de theatre. Il “invente” puisque qu’il remet au repertoire des oeuvres souvent oubliees avec l’instinct d’une route unique et d’une volonte d’expression et d’imagination sans pareil. Les lecons de Couperin et particulierement la 2eme sont de couleurs si variees avec Deller comme si un maitre ancien peint un modele austere “touche par touche” et le met en lumiere (ex. Georges de La Tour). Merci pour posting ce document.
Vous avez tout à fait raison en évoquant l'art de Georges de la Tour. Précisément, c'est la voix profonde de l'âme que ces deux génies expriment. Alfred Deller se glisse dans la pensée de Couperin, ne fait qu'un avec cette musique sublime, toute en nuances. Il était un grand amateur de poésie. La poésie n'est-elle pas aussi une forme d'expression musicale ? Ce qui jaillit de l'oeuvre de Couperin, comme la lumière de la bougie entre les doigts de la fillette du tableau de Georges de la Tour, c'est sa foi intense, sa religiosité.
Combien est-ce émouvant. Peu de musiques génèrent autant d'émotion. Pourtant, je suis agnostique mais convaincu que l'Esprit habite l'âme de tout être qui accepte de le découvrir. C'est ce qu'expriment à la fois Couperin et Alfred Deller que j'admire depuis le début des années 70.
Cher Monsieur: Merci pour cette reponse pleines de justesses et d'intelligence !!! Meilleures salutations. PS Les lecons des tenebres de Carlo Gesualdo da Venosa sont sublimes egalement avec le Deller Consort (et Alfred Deller). Malheureusement, elles ne sont reeditees que partiellement en CD. La version complete est uniquement en LP. Cette musique sublique, louee par Stravinsky, est d'une telle interiorite que c'est la seule version qui rend ses lecons eternelles. Cette musique lue par Deller va directement a la genese du compositeur et a la genese de l'interpretation. Le Deller consort etablit des rapports interieurs musicaux entre le texte, la musique et son execution de sons premiers, presque atonals, accentues a certaines syllabes (en rapport avec la propre vie de Gesualdo, qui ne va pas sans rappeler celle du Carravagio) sont d'une liberte instinctive infinie mais reste rigoureuse et d'une immense fidelite aux intentions du compositeur (entendre la 1ere lecon en particulier). Merci encore pour votre reponse.
Oui, la voix d'Alfred Deller est la plus belle voix de Haute contre qui m'est jamais été donnée d'entendre
C'est tout à fait mon avis et ce depuis le début des années 1970. Rien à voir avec ces voix forcées, voix de tête, qu'on nous inflige trop souvent. J'aurais aimé l'entendre dans le Stabat Mater de Pergolèse. Peut-être l'a-t-il enregistré ? Qui me le dira ?
Merci pour votre aimable reponse et sur votre avis concernant les voix de tetes ou forcees. Vous avez tout a fait raison. ! Pour le Stabat Mater de Pergolesi, Deller ne l'a pas enreggistre a ma connaissance, sans doute a cause des voix de femmes qui a cette epoque chantaient cette oeuvre (dont Kathleen Ferrier !)
It must be quite clear in our minds that if we refuse work, we refuse help. We must understand that it is sleep which is our enemy, not those who prepare us for evolution.
je cherche aussi la version de Cuenod si sensible et ne la trouve pas sur youtube. celle ci est très belle aussi.
I 🌒
divin
the terrible adverts
The sound of a man singing like this creeps me out to the marrow of my bones….unnatural, false to the nth degree, and therefore not art.