Quel plaisir de vous entendre ! et merci pour l'hommage à Cosma et aux autres grands musiciens de film : aucune erreur dans la liste ! ( et ouf, pas de Zimmer ! 😁).
Je l'avais écouté en podcast, mais la video rajoute vraiment un plus, introduction est très drôle , merci à tous pour ce beau travail sur un classique de la comédie française
Merci a francis veber. Enfant je revais de connaitre le responsable de la trilogie depardieu richard. Ces podcast sont tres instructifs. Et divertissants. Merci ca fait du bien et ca change des plateaux t.v insipides
@Alister : point intéressant soulevé ici vers 40:00", j'ai même souvent pensé que Toulouse était en couple avec Perrache. En revanche, quand il observe les joggeurs depuis son balcon, il remarque surtout que l'un d'eux s'essouffle, quitte le peloton, et s'écroule au sol d'épuisement, et cela illustrant son propos à ce moment-là sur "les arrivistes qui ne vont jamais bien loin". Faut-il y voir une allégorie (mais c'est un peu hasardeux), toujours est-il que le choix de ce contre-champ est plutôt déroutant.
Encore un podcast qui fait du bien, merci ! Juste un petit commentaire au sujet de la musique, qui semble tant être étrangère à votre papa et qui se rapproche pourtant beaucoup, il me semble, de l'écriture d'un scénario. Leur point commun ? L'architecture. La musique est en effet structurée comme l'est un scénario. Le grand saxophoniste et compositeur Wayne Shorter disait d'ailleurs qu'il composait sa musique comme un film. La musique raconte aussi une histoire. Mais bref, merci encore pour toutes ces truculentes anecdotes.
40:13 C'est l'un des points les plus intriguant du film car il s'agit vraisemblablement du plot point: si l'on regarde bien, le gros plan sur Toulouse/Rochefort, qui regarde les coureurs en contre-bas, semble avoir l'idée de son plan précisément à ce moment-là. Mais en quoi ce qu'il voit vient susciter en lui l'idée du plan ? C'est une question que j'aurais aimé poser à FV (il dit que c'est une idée d'Yves Robert, cela sous-entendrait-il que Toulouse a déjà l'idée de son plan avant d'aller sur le bacon ?)
37:37 Colette Castel n’a rien à voir avec Robert Castel. C’était la femme de José Artur (et la mère de Sophie Artur). Vous confondez avec Lucette Sahuquet 😉
Bonjour Jean, merci pour vos podcast , mention spéciale à celui d’Amicalement Votre , qui me tue de rire à chaque écoute. J’ai une question Weberienne à vous poser : il paraît que votre père Francis a tout fait pour ne pas valider la musique de Vladimir Cosma , car il pensait que cela allait « tuer » le ressort comique du film. Pouvez vous lui poser la question et nous répondre ? Longue vie à votre producteur belge une fois !
La séquence des "petits vélos" n'est pas drôle, mais elle permet aux spectateurs d'anticiper l'absurde règlement de compte entre les agents initié par l'explosion du cigare posé sur le cendrier à la fin du film , elle est donc nécessaire même si elle aurait pu être plus subtile
C'est un cas typique de ce que l'on appelle en scénario "préparation/paiement" (un peu comme le "fusil de Tchekov") : on introduit tôt dans l'intrigue (préparation) un objet ou élément narratif qui est réutilisé plus tard (paiement). Et ici il est vrai que l'humour et le dispositif de cette scène semblent un peu archaïques.
Formidable épisode sur un de mes films cultes ! Merci beaucoup !!!
Bravo ! Passionnant !
génial !! bravo et merci jean veber pour vos émissions
Quel plaisir de vous entendre ! et merci pour l'hommage à Cosma et aux autres grands musiciens de film : aucune erreur dans la liste ! ( et ouf, pas de Zimmer ! 😁).
Oui, et merci pour la présence de François de Roubaix dans cette liste.
Merci à nouveau les Cinebuddies pour cet excellent Kinopod nourri abondamment d'anecdotes qui donnent le sourire !!l 😊
Excellent, comme d’hab !
Super, merci à toute l'équipe, du coup, je me le suis re regardé 👍👍👍👍
Je l'avais écouté en podcast, mais la video rajoute vraiment un plus, introduction est très drôle , merci à tous pour ce beau travail sur un classique de la comédie française
Un film incroyable.... 🥰🤩😛🙃
Un de mes préféré comme film français. Des répliques totalement cultes servies par des acteurs totalement doués.
Merci a francis veber. Enfant je revais de connaitre le responsable de la trilogie depardieu richard. Ces podcast sont tres instructifs. Et divertissants. Merci ca fait du bien et ca change des plateaux t.v insipides
Merci une fois de plus pour un nouvel épisode fascinant.
@Alister : point intéressant soulevé ici vers 40:00", j'ai même souvent pensé que Toulouse était en couple avec Perrache. En revanche, quand il observe les joggeurs depuis son balcon, il remarque surtout que l'un d'eux s'essouffle, quitte le peloton, et s'écroule au sol d'épuisement, et cela illustrant son propos à ce moment-là sur "les arrivistes qui ne vont jamais bien loin". Faut-il y voir une allégorie (mais c'est un peu hasardeux), toujours est-il que le choix de ce contre-champ est plutôt déroutant.
Superbe
❤❤❤ Merci
Encore un podcast qui fait du bien, merci !
Juste un petit commentaire au sujet de la musique, qui semble tant être étrangère à votre papa et qui se rapproche pourtant beaucoup, il me semble, de l'écriture d'un scénario.
Leur point commun ? L'architecture.
La musique est en effet structurée comme l'est un scénario.
Le grand saxophoniste et compositeur Wayne Shorter disait d'ailleurs qu'il composait sa musique comme un film.
La musique raconte aussi une histoire.
Mais bref, merci encore pour toutes ces truculentes anecdotes.
40:13 C'est l'un des points les plus intriguant du film car il s'agit vraisemblablement du plot point: si l'on regarde bien, le gros plan sur Toulouse/Rochefort, qui regarde les coureurs en contre-bas, semble avoir l'idée de son plan précisément à ce moment-là. Mais en quoi ce qu'il voit vient susciter en lui l'idée du plan ? C'est une question que j'aurais aimé poser à FV (il dit que c'est une idée d'Yves Robert, cela sous-entendrait-il que Toulouse a déjà l'idée de son plan avant d'aller sur le bacon ?)
37:37 Colette Castel n’a rien à voir avec Robert Castel. C’était la femme de José Artur (et la mère de Sophie Artur).
Vous confondez avec Lucette Sahuquet 😉
Jose Luis de Vilallonga était un noble pour de vrai, de là sa distinction.
Bonjour Jean, merci pour vos podcast , mention spéciale à celui d’Amicalement Votre , qui me tue de rire à chaque écoute. J’ai une question Weberienne à vous poser : il paraît que votre père Francis a tout fait pour ne pas valider la musique de Vladimir Cosma , car il pensait que cela allait « tuer » le ressort comique du film. Pouvez vous lui poser la question et nous répondre ? Longue vie à votre producteur belge une fois !
le chauve c'est Roger Caccia et la dame Arlette Balkis
La séquence des "petits vélos" n'est pas drôle, mais elle permet aux spectateurs d'anticiper l'absurde règlement de compte entre les agents initié par l'explosion du cigare posé sur le cendrier à la fin du film , elle est donc nécessaire même si elle aurait pu être plus subtile
C'est un cas typique de ce que l'on appelle en scénario "préparation/paiement" (un peu comme le "fusil de Tchekov") : on introduit tôt dans l'intrigue (préparation) un objet ou élément narratif qui est réutilisé plus tard (paiement). Et ici il est vrai que l'humour et le dispositif de cette scène semblent un peu archaïques.
Extrait
Non
Film entier..oui
Jean Veber a plus l'air du fils de Jean Carmet, non ? 😂
Haha! Merci?
Robert dalban aurait fait un excellent mr magoo je trouve