Bonjour, pas tout à fait d'accord avec vous. Un travail du sol bien placé pour sécuriser le système c'est tout fait ce qu'il doit être fait avec un accompagnement des couverts, mais au bout d'un moment le sol et sa vie créé une porosite de surface et une verticalité de sol qui permet de ne plus travailler le sol, bien sûr vous parlez de machines de 50t types arracheuse de betterave ou autres où la un travail est nécessaire pour déjà remettre à plat le sol, mais le faite d'avoir un système en sd à 80% permet de limiter les problèmes de compaction, car ce qui constaté sur le terrain c'est que les problèmes sont tjs sur la profondeur de travail Pour ma part et dans ma clientèle en Seine Maritime avec des terres qui vont des limons profond au argile blanche, je constate une amélioration des rendements mais avec des points techniques comme vous le cité qui n'est pas tjs dans la réglementation mais apporte des gains environnementale et surtout économique, mais c'est un travail de fond qu'il faut faire, càd de mettre nos pratiques conventionnelle de côté et appliquer l'agriculture de conservation et de ne surtout pas vouloir faire un mixte car c'est là que sont les échecs
Je ne vois pas trop où est ce que nous ne sommes pas d'accord mais ce n'est pas le plus important. En effet, pour nous c'est le sol qui indique si il a besoin d'être aidé ou pas et non pas une idée qui "obligerait" à ne pas y toucher. J'ai donné des éléments pour cette réflexion, j'ai argumenté mon avis vis à vis des changements climatiques qui influaient sur les durées d'activité. En Seine maritime , le climat ouvre déjà plus de périodes actives malgré tout. Ensuite, le semis direct, comme je l'ai expliqué peut se faire en opportunité lorsque cela est donné comme possibilité par le sol. Encore fait il aller voir régulièrement les sols pour constater. Un agriculteur qui constate , réagit souvent davantage que par les discours. c'est ce que nous faisons tout l'hiver et c'est passionnant. Merci à vous et bonne continuation !
Bonjour Sam tout à fait d accord avec toi , mais, pour être en semi direct avec travail du sol depuis 2003, un autre problème nous arrive depuis environ 5 ans, c’ est le RAY GRASS et la , un labour occasionnel nous aide, mais pas l idéal non plus . Bref toujours des remises en cause permanente, c est le quotidien des aigris . Merci à toi pour le temps passé à faire tes vidéos. Ça change des autres bonne journée Jérome
Bonjour Sam, étant en semis direct total depuis plusieurs années, je me rends compte qu'auparavant, les travaux de sol légers (outils à disques ou à dents) n'étaient pas forcément faits dans les meilleurs conditions et que bien souvent, la nature se charge de faire ce travail à notre place. Je m'explique, l'alternance de pluies, de sécheresse et de gel contribue à structurer le sol et bien souvent un travail est fait au mauvais moment car on a peur de ne pas réussir à le faire. je pense que bien souvent, il faut savoir rester tranquille et ne rien faire plutôt que de mal faire. Le plus dur dans cette technique et de réussir à ne rien faire, car l'adn de l'agriculteur est depuis de décennies de travailler le sol avec aujourd'hui des engins de plus en plus gros et qui tassent de plus en plus les sols. En tout cas, vos réflexions sont néanmoins très intéressantes. Plus intéressantes que de montrer des engins derniers cris qui coutent plusieurs centaines de milliers d'euros et qui au final fragilisent les trésoreries des exploitations plutôt qu'autres chose.
Bonjour Vincent, ce n'est pas vraiment le climat qui est capable de "réparer" un sol mais davantage la faune , la flore et les plantes. Beaucoup d'idées reçues sur le sujet font croire qu'un sol argileux qui a des fentes de retrait se répare, ce qui est totalement faux et même complètement l'inverse. Je ne rentrerai pas dans les détails. C'est sûr que certaines machines ne permettent plus que le sol ait la résilience pour compenser les masses de plus en plus importantes. Même si le sol qui s'améliore "encaisse" de mieux en mieux. Ne pas sous estimer les engrais, les phytos, les outils à disques (leur impact est souvent catastrophique...) sur le fait que le sol ne peut compenser sans une légère dilution ces attaques à sa surface. C'est tout l'art de l'approche globale et du compromis d'une "aide" intelligente", de temps en temps, pour activer, aider, stimuler le sol. C'est ce que nous défendons et partageons chaque jour et qui semble donner de vrais résultats à nos partenaires dans toutes les régions et quelque soit les types de sols. Ce compromis est économiquement performant et surtout, les résultats sur les sols sont très encourageants. Pour le matériel, en effet , nous ne sommes pas de fanas de l'outil à tout prix, même si il faut de bons outils pour bien avancer. C'est sans doute dans les semoirs où les dérives sont les plus délirantes pour nous. Pour avoir connu les débuts des TCS....
Il est certain que les couverts, la fertilisation et les phytos ont toutes leurs importances de ce système. Je suis un adepte convaincu de l'ACS et c'est ce que je pratique. Sauf effectivement pour certaines cultures que je fais tel que le tournesol, où un léger travail su sol (à quelques centimètres) aide bien. @@samagriculteurindependant1490
Bonsoir à tous, Je ne comprends pas, chacun porte sa croix, ce que je ne comprends pas, c'est que la nature structure depuis la nuit des temps le sol sans l'aide de l'homme, soit l'homme à déréglé son habitat et doit sûrement compenser. Ne voyez pas mes propos comme de la défiance ou autre, il y a pleins de discours différents, plusieurs chapelles, pour quelqu'un comme moi qui veut prendre soin de son sol et sans trop d'expériences il y a quoi s'y perdre. Pourquoi est ce nécessaire de travailler son, sol, pourquoi ne pas le faire,... Je regarde des vidéos, en ACS, en ABC, avec semis sous couvert... Et pourtant personnes n'est d'accord... Bref c'est dur de s'y retrouver
Bonjour , l'important c'est de comprendre. C'est l'objet de cette chaine que d'aider à comprendre et ce n'est pas une chapelle où un endroit où l'on trouve des modes d'emplois. Bienvenu !😀
Je suis d'accord avec vous, je fais du semis direct mais j'ai toujours des outils de travail de sol et quand a mon gout la structure ou les conditions ne sont pas bonnes je passe un outil. Il est très vrai aussi que les années précédentes les conditions pour implanter des couverts c'était plutôt voué a l'échec sauf dans l'aspect réglementaires. Je crois au semis direct mais je crois a surtout faire attention a ce que l'on fait
Salut Sam il a toujours des gens pour critiquer mes c est gens connaissent rien agriculture j ai le cas l année dernière j ai arraché des souches au bord de route il avait des personnes qui marchait sur bord delà route c'est personnes a dit à cet amies ci il pouvait labouré dans la rigole il le ferait la personne était mal renseigné c est unidis qui obliger arracher l année dernière j ai fait un fongicide a six du matin j ai été agressée c'est personne content de nous trouver pendant le confinement il oublie vite
Bonjour, pas tout à fait d'accord avec vous.
Un travail du sol bien placé pour sécuriser le système c'est tout fait ce qu'il doit être fait avec un accompagnement des couverts, mais au bout d'un moment le sol et sa vie créé une porosite de surface et une verticalité de sol qui permet de ne plus travailler le sol, bien sûr vous parlez de machines de 50t types arracheuse de betterave ou autres où la un travail est nécessaire pour déjà remettre à plat le sol, mais le faite d'avoir un système en sd à 80% permet de limiter les problèmes de compaction, car ce qui constaté sur le terrain c'est que les problèmes sont tjs sur la profondeur de travail
Pour ma part et dans ma clientèle en Seine Maritime avec des terres qui vont des limons profond au argile blanche, je constate une amélioration des rendements mais avec des points techniques comme vous le cité qui n'est pas tjs dans la réglementation mais apporte des gains environnementale et surtout économique, mais c'est un travail de fond qu'il faut faire, càd de mettre nos pratiques conventionnelle de côté et appliquer l'agriculture de conservation et de ne surtout pas vouloir faire un mixte car c'est là que sont les échecs
Je ne vois pas trop où est ce que nous ne sommes pas d'accord mais ce n'est pas le plus important. En effet, pour nous c'est le sol qui indique si il a besoin d'être aidé ou pas et non pas une idée qui "obligerait" à ne pas y toucher. J'ai donné des éléments pour cette réflexion, j'ai argumenté mon avis vis à vis des changements climatiques qui influaient sur les durées d'activité. En Seine maritime , le climat ouvre déjà plus de périodes actives malgré tout. Ensuite, le semis direct, comme je l'ai expliqué peut se faire en opportunité lorsque cela est donné comme possibilité par le sol. Encore fait il aller voir régulièrement les sols pour constater. Un agriculteur qui constate , réagit souvent davantage que par les discours. c'est ce que nous faisons tout l'hiver et c'est passionnant. Merci à vous et bonne continuation !
Bonjour Sam tout à fait d accord avec toi , mais, pour être en semi direct avec travail du sol depuis 2003, un autre problème nous arrive depuis environ 5 ans, c’ est le RAY GRASS et la , un labour occasionnel nous aide, mais pas l idéal non plus . Bref toujours des remises en cause permanente, c est le quotidien des aigris . Merci à toi pour le temps passé à faire tes vidéos. Ça change des autres bonne journée
Jérome
Bonjour Sam, étant en semis direct total depuis plusieurs années, je me rends compte qu'auparavant, les travaux de sol légers (outils à disques ou à dents) n'étaient pas forcément faits dans les meilleurs conditions et que bien souvent, la nature se charge de faire ce travail à notre place. Je m'explique, l'alternance de pluies, de sécheresse et de gel contribue à structurer le sol et bien souvent un travail est fait au mauvais moment car on a peur de ne pas réussir à le faire. je pense que bien souvent, il faut savoir rester tranquille et ne rien faire plutôt que de mal faire. Le plus dur dans cette technique et de réussir à ne rien faire, car l'adn de l'agriculteur est depuis de décennies de travailler le sol avec aujourd'hui des engins de plus en plus gros et qui tassent de plus en plus les sols. En tout cas, vos réflexions sont néanmoins très intéressantes. Plus intéressantes que de montrer des engins derniers cris qui coutent plusieurs centaines de milliers d'euros et qui au final fragilisent les trésoreries des exploitations plutôt qu'autres chose.
Bonjour Vincent, ce n'est pas vraiment le climat qui est capable de "réparer" un sol mais davantage la faune , la flore et les plantes. Beaucoup d'idées reçues sur le sujet font croire qu'un sol argileux qui a des fentes de retrait se répare, ce qui est totalement faux et même complètement l'inverse. Je ne rentrerai pas dans les détails.
C'est sûr que certaines machines ne permettent plus que le sol ait la résilience pour compenser les masses de plus en plus importantes. Même si le sol qui s'améliore "encaisse" de mieux en mieux.
Ne pas sous estimer les engrais, les phytos, les outils à disques (leur impact est souvent catastrophique...) sur le fait que le sol ne peut compenser sans une légère dilution ces attaques à sa surface. C'est tout l'art de l'approche globale et du compromis d'une "aide" intelligente", de temps en temps, pour activer, aider, stimuler le sol. C'est ce que nous défendons et partageons chaque jour et qui semble donner de vrais résultats à nos partenaires dans toutes les régions et quelque soit les types de sols. Ce compromis est économiquement performant et surtout, les résultats sur les sols sont très encourageants. Pour le matériel, en effet , nous ne sommes pas de fanas de l'outil à tout prix, même si il faut de bons outils pour bien avancer. C'est sans doute dans les semoirs où les dérives sont les plus délirantes pour nous. Pour avoir connu les débuts des TCS....
Il est certain que les couverts, la fertilisation et les phytos ont toutes leurs importances de ce système. Je suis un adepte convaincu de l'ACS et c'est ce que je pratique. Sauf effectivement pour certaines cultures que je fais tel que le tournesol, où un léger travail su sol (à quelques centimètres) aide bien. @@samagriculteurindependant1490
Bonsoir à tous,
Je ne comprends pas, chacun porte sa croix, ce que je ne comprends pas, c'est que la nature structure depuis la nuit des temps le sol sans l'aide de l'homme, soit l'homme à déréglé son habitat et doit sûrement compenser. Ne voyez pas mes propos comme de la défiance ou autre, il y a pleins de discours différents, plusieurs chapelles, pour quelqu'un comme moi qui veut prendre soin de son sol et sans trop d'expériences il y a quoi s'y perdre. Pourquoi est ce nécessaire de travailler son, sol, pourquoi ne pas le faire,... Je regarde des vidéos, en ACS, en ABC, avec semis sous couvert... Et pourtant personnes n'est d'accord... Bref c'est dur de s'y retrouver
Bonjour , l'important c'est de comprendre. C'est l'objet de cette chaine que d'aider à comprendre et ce n'est pas une chapelle où un endroit où l'on trouve des modes d'emplois. Bienvenu !😀
Comment on fait pour s'abonner à tes tes commentaires intéressants vu de bretagne
Py
Je suis d'accord avec vous, je fais du semis direct mais j'ai toujours des outils de travail de sol et quand a mon gout la structure ou les conditions ne sont pas bonnes je passe un outil.
Il est très vrai aussi que les années précédentes les conditions pour implanter des couverts c'était plutôt voué a l'échec sauf dans l'aspect réglementaires.
Je crois au semis direct mais je crois a surtout faire attention a ce que l'on fait
Merci
Salut Sam il a toujours des gens pour critiquer mes c est gens connaissent rien agriculture j ai le cas l année dernière j ai arraché des souches au bord de route il avait des personnes qui marchait sur bord delà route c'est personnes a dit à cet amies ci il pouvait labouré dans la rigole il le ferait la personne était mal renseigné c est unidis qui obliger arracher l année dernière j ai fait un fongicide a six du matin j ai été agressée c'est personne content de nous trouver pendant le confinement il oublie vite
Guili guili
Ben t'es pas une flèche en fait sam...mon dieu