Conférence "A quoi je dis oui V2.0" - Bernard Friot - Partie 2/2

Поділитися
Вставка
  • Опубліковано 12 тра 2017
  • Nouvelle mouture de la conférence "A quoi je dis oui" de Bernard Friot.
    Partie 2/2

КОМЕНТАРІ • 38

  • @yolaineriviere9032
    @yolaineriviere9032 2 роки тому +3

    Brillant. Je suis stupéfaite.

  • @yolaineriviere9032
    @yolaineriviere9032 2 роки тому +3

    Les deux fois, j'ai pleuré aux derniers mots. Merci. Un infini merci.

  • @norbertcastan8928
    @norbertcastan8928 6 років тому +7

    Merci Monsieur Bernard Friot pour cette illumination des acquis qu’il nous faut revendiquer comme le point de départ des actualisations nécessaires à l’amélioration réelle du sort des 90% « ceux d’en bas ».
    Perso je m’en fous de labelliser « communiste » ce programme, ce qui m’importe c’est de conquérir de nouveaux droits au détriment du cercle infernal profit=>crédit.
    Et merci pour la poésie, l’enthousiasme et l’amour qui baignent votre action.
    🌈☀️❤️

    •  4 роки тому +1

      Communiste est devenu par la propagande capitaliste une insulte. Je me revendique de ce mouvement, sans honte surtout face à celles et ceux dont la culture politique les réduit à une collaboration de bon ton.

  • @joachinlin5630
    @joachinlin5630 4 роки тому +3

    sublime, sublime ,sublime...

  • @Samuel-ei3oh
    @Samuel-ei3oh 7 років тому +14

    C'est vraiment dommage qu'une conférence d'une telle qualité ai que 1000 vues et quelque !

    • @Antoine-D
      @Antoine-D 6 років тому +2

      Ya la même conférence plus ancienne qui a fait 90 000 vues.

    • @danielewolff5054
      @danielewolff5054 6 місяців тому

      13000 vues aujourd'hui

  • @user-nu4sf8kc3x
    @user-nu4sf8kc3x 7 років тому +5

    Merci !

  • @esclavecapitaliste5055
    @esclavecapitaliste5055 7 років тому +7

    Le revenu universel c'est la sécurité sociale de la consommation, qui assure la rente de la bourgeoisie.
    Dans une époque où la bourgeoisie à de moins en moins besoin des travailleurs, mais est toujours autant DANS LE BESOIN des consommateurs... la pauvre :)

  • @bgdu92ivic49
    @bgdu92ivic49 7 років тому +7

    Subversif comme toujours avec Friot ;)

  •  4 роки тому +3

    Toujours pareil avec Bernard Friot, moins à commenter qu'à mettre en œuvre!

  • @nathinathi5382
    @nathinathi5382 7 років тому +4

    merci

  • @christopherelion5540
    @christopherelion5540 6 років тому +2

    Merci ...

  • @lounissartedan0628
    @lounissartedan0628 6 років тому +2

    oui lantier je suis bien d accord faudrait voir avec "le mediat"

  • @celiarostand
    @celiarostand 2 роки тому +2

    Mériterais d'être plus vu et partagée

  • @lest7522
    @lest7522 Рік тому +1

    Merci Bernard
    A quand un partie communiste qui reprend cette ligne

  • @esclavecapitaliste5055
    @esclavecapitaliste5055 7 років тому +2

    Quelqu'un aurait une source ou un lien vers l'étude qui montre que le salaire à 25 ans a été divisé par 2 entre 68 et 98? ça contredit tout le discours officiel.

    • @arthurbianchi9769
      @arthurbianchi9769 7 років тому +5

      Avoir 30 ans en 1968 et en 1998
      Christian Baudelot et Roger Establet
      Coll. L'épreuve des faits, éd. Le Seuil, 217 p.,

    • @esclavecapitaliste5055
      @esclavecapitaliste5055 7 років тому +1

      Merci.
      Tiré du livre: "Il ne fait pas bon avoir 30 ans dans la France d'aujourd'hui. A cet âge, les salariés ont gagné (en franc de 1999) en moyenne 114 200 francs en 1977, contre seulement 103 100 francs en 1993."
      Donc c'est plutôt 10% de moins que 50%, sans compter la pertinence de raisonner en salaire moyen plutôt qu'en salaire médian :)
      Après je suis d'accord que toutes les lois des dernières décennies sont faites pour désavantager les travailleurs et avantager les héritiers rentiers, ce qui entraine notre société vers l'esclavage. Pour lutter contre, à mon niveau, je fais de mon mieux pour travailler le moins possible, ou saboter le travail quant on m'y force :)

    • @hddune786
      @hddune786 6 років тому +3

      C'est en Franc constant ? Peut-être que Bernard Friot a calculé l'inflation ? (je chercherai plus tard si personne n'a trouvé la réponse avant).

    • @oretika
      @oretika 6 років тому +4

      M. Friot mentionne cette étude dans d'autres conférences (trouvables sur youtube), il précise que c'est bien en franc constant.

    • @-----________-----
      @-----________----- 5 років тому +2

      @@hddune786 Oui oui, c'est en Francs constants !

  • @lemoinemichel5199
    @lemoinemichel5199 6 років тому +2

    Dire, comme je viens de l’entendre, que le salaire est une institution communiste me parait exagéré. C’est passer d’un excès à l’excès inverse.
    Une institution est une forme sociale d’organisation par laquelle est stabilisé un moment de la confrontation sociale autour de l’enjeu constitutif du rapport social (voir Danielle Kergoat). C’est ce qui noue le rapport social dans un de ses moments pour stabiliser les acquis des uns comme des autres.
    L'enjeu constitutif du rapport social est celui de production pour le rapport social de production et l’institution qui le stabilise ou voudrait le stabiliser est le marchandage quand la classe ouvrière est naissante et inorganisée, cela devient le salaire et le contrat de travail quand la classe ouvrière s’organise.
    De même l’enjeu constitutif du rapport social de sexe est la reproduction. La famille est l’institution qui stabilise le rapport entre les sexes et entre les générations. Cette institution essentielle dans toute société évolue quand la place des femmes s’affirme.
    Il me parait bien présomptueux de dire ce que seront les institutions correspondantes dans une société communiste.
    Lire par exemple : lemoine001.com/2015/05/07/proletariat-et-lumpenproletariat/
    et aussi : lemoine001.com/2014/03/21/rapports-sociaux/
    PS : dans la suite de la conférence B Friot semble réduire la qualification de communiste au "salaire à vie" c'est-à-dire si j'ai bien compris au salaire non marchandé et non assorti d'une condition de temps de travail. Cette forme de rémunération me parait moins être celle des fonctionnaires que celle des énarques (maitres des requêtes au conseil d'Etat) ou des pensionnés en tout genre y compris ceux d'ancien régime.

    • @danielewolff5054
      @danielewolff5054 6 місяців тому

      Communiste chez Bernard Friot est ce qui s'oppose à capitaliste, comme la bourgeoisie s'oppose à l'aristocratie en temps que classe. Personnellement j'entends communiste comme non-capitaliste

  • @lemoinemichel5199
    @lemoinemichel5199 6 років тому +1

    Oh là ! Si le salaire n’est pas lié à la valeur de la force de travail (soit la capacité à produire de la valeur économique dans une période donnée(= selon une certaine intensité)) quid de la plus-value qui est la part non payée de la valeur économique produite ? N'est-ce pas la théorie de la plus-value qui tombe et avec elle le marxisme ?
    Et si la valeur de la qualification n'est pas le total des valeurs nécessaires à la production et à la reproduction de la force de travail du travailleur (= ses besoins ) comment s'évalue la qualification ? De quoi est composée sa valeur ? Quelle est son unité de mesure ? (rappelons que nous sommes dans un monde (capitaliste) où la valeur des biens s'évalue au temps de travail socialement nécessaire à leur production - comment la "qualification" peut-elle y faire exception et être pourtant une valeur économique ?)
    En bonne logique si la valeur d'une marchandise s'évalue selon le temps de travail socialement nécessaire à sa production, il ne peut pas entrer dans sa composition une partie d'une autre nature, sans relation avec le temps de travail. On additionne pas des chèvres et des choux, des qualités et un temps de travail.
    L'idée de qualification se saisit intuitivement beaucoup plus facilement que celle de travail social (abstraction unifiant les divers travaux). Il en est tout autrement quand on veut lui donner un contenu et en faire un concept économique.

    • @hddune786
      @hddune786 6 років тому +6

      Pour Friot, il s'agit de changer la manière dont est calculé ce qui vaut (en fait, les mouvements ouvriers l'ont déjà fait pour un tière du PIB). Passer de l'évaluation en temps par l'évaluation en qualification (car le choisir quoi évaluer n'a rien objectivable, sinon son essence cachée par le capitalisme, qui est politique). De cette dernière façon, le salaire qualifié à vie est vraiment l'expression de la force de travail, comme la chose la plus personnelle qui soit. Comme caisse de salaire et caisse d'investissement sont séparés en nature de cotisation et de subvention, la valeur ajoutée devient l'expression de la part des richesses consacrés à la non-consommation, l'investissement. La valeur salaire est donc l''expression d'un rapport de force et est détaché à cour terme des productions de richesse (jusqu'à la commission de qualification) ; la valeur investissement est entièrement l'expression de production de richesse. C'est un renversement de la logique du capitalisme (chiffre INSEE à la louche : 40% du PIB va au profit. 5 à 8 % hors création de logement et génie civil est investi (~15-20% va dans la construction et 20% dans les dépenses somptuaires et se perdent en bourse).

    • @danielewolff5054
      @danielewolff5054 6 місяців тому

      ​@@hddune786donc il y a de la marge !

  • @fredericroche
    @fredericroche 5 років тому +1

    Si j'ai bien compris il n'appelle pas à voter UPR parti anti système de Mr Asselineau

    • @crollalanza6476
      @crollalanza6476 4 роки тому +2

      Il est singulièrement inefficient, anachronique et erroné d'opposer "Croizat" et "Asselineau" (à 14'). Cette conférence très intéressante et de qualité n'aura donc évoqué qu'une seule fois l'UE : on pourrait parier sans mal que cette unique allusion a eu lieu précisément grâce au combat d'"Asselineau", n'est-ce pas... Il suffit, par ailleurs, de citer le conférencier lui-même (à 1h13) : "La référence à l'identité nationale... Ça s'appuie sur quelque chose d'important : l'aspiration populaire à ce que notre histoire soit assumée. Il faut que nous l'assumions... Notre histoire populaire, elle est glorieuse, elle est révolutionnaire." A la condition expresse que les Français le comprennent et le veuillent, Croizat et Asselineau ne disent rien d'autre : seul le peuple est souverain et il fait corps dans la nation (hors "nationalisme" polémique dont l'étiquette "rouge-brune" est un des outils commode de propagande). Et puisque Friot reprend, -avec amour, les accents nietzschéens du "Oui", nous dirons avec lui et à l’insu de son plein-gré : Oui à l'Europe ! Non à l'UE !

  • @lemoinemichel5199
    @lemoinemichel5199 6 років тому +1

    Il n’y a de crédit que parce qu’il y a eu prédation !!! Le capitalisme en trente secondes c’est : je te pique, je te prête ce que je t’ai piqué, tu me rembourses !!!
    Oh là là ! Quid de la création monétaire ? Il y a crédit parce qu’il y a monopole de la création monétaire.
    Non ! Pas plus que la propriété n’est le vol, le crédit n’est pas une prédation. C’est la forme de la création monétaire en régime capitaliste et cela contribue à l’extraordinaire vivacité de ce régime (qui a été capable de dématérialiser la monnaie). La capacité de créer de la monnaie est celle de se donner un pouvoir et la classe capitaliste en a et en garde le monopole (ex.la BCE)
    Voir : lemoine001.com/2014/06/11/quest-ce-que-la-monnaie-1/ et les trois suivants

    • @hddune786
      @hddune786 6 років тому +2

      Il y a 3 lieux de crédits : le monde "réel" où grosso modo en France la création monétaire ne va qu'à l'achat de logement et la dette publique, et où le prêt des établissements financiers (pas de création monétaire) sert à """financer""" les entreprises ; le monde des marchés financiers des prêts interbancaires et des titrisations où n'existent que le crédit sans création monétaire ; le monde banque centrale - banques privés où n'existe que la création monétaire. Il s'avère qu'on peut tout à fait désigner les 3 mondes comme 3 monnaies différentes avec des taux de change entre elles. Il y a donc 3 monnaies communes en Europe (rires). 1ier constat : lorsque la monnaie bourse veut se convertir en monnaie réelle, il s'avère qu'elle ne vaut plus rien tellement il y a eu d'inflation (un CAC40 à 5500 signifie que sa valeur a été augmenté de 5500 points depuis les 80', là où le PIB FR a augmenté par 7 depuis 1945) alors qu'on parle de subprimes, titres sur logement (!). 2ème constat : Malgré les injections incalculables de la BCE, il existe(ra) toujours un problème de liquidité parce que l'argent BCE est convertible à un taux ridiculement faible en titre boursier (hors prêt de rééquilibrage interbanque). Conclusion : l'austérité pour piquer de l'argent "monde réel" permet de rééquilibrer le ratio avec "l'argent bourse", et celle-ci se fait en petite partie via les intérêts (pour les prêts de logement) de la création monétaire, et en plus grosses parties via les intérêts hors création et via les dividendes (qui servent à financer les prêts hors création). On peut donc résumer très rapidement, comme le fait Friot, par "je te pique, je te prête", sans que ce soit incorrecte =).

    • @multi6364
      @multi6364 2 роки тому

      Si la propriété lucrative c'est le vol. Et le crédit la prédation

  • @TheGreatNidhogg
    @TheGreatNidhogg 3 роки тому

    Il a dit "fermez les yeux et dites emplois homosexuels" ?

    • @Vexalord
      @Vexalord 2 роки тому +2

      Oui parce qu'il trouve que c'est répugnant d'assigner des emplois à des catégories de populations, d'enfermer des personnes dans un travail défini à l'avance, et il a bien raison.