M. Mohammad Ali Amir-Moezzi à la librairie Le Tiers Mythe

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  • Опубліковано 9 лют 2023
  • M. Mohammad Ali Amir-Moezzi à la librairie Le Tiers Mythe pour présenter son livre "Histoire du Coran Contexte, origine, rédaction"

КОМЕНТАРІ • 34

  • @Nico-84
    @Nico-84 Рік тому +14

    Un Monsieur brillant , clair calme et serein ,on pourrait l'écouter pendant des heures nous parler des débuts de l'islam.

  • @chrisfrexit1987
    @chrisfrexit1987 Рік тому +6

    Excellente distinction entre foi et croyance !
    Merci pour ce gros travail scientifique.

  • @sobrikey
    @sobrikey Рік тому +12

    Quel plaisir de pouvoir réentendre à nouveau Mohammad Ali Amir-Moezzi pour de nouvelles aventures historiques, tout cela grâce à vous Le Tiers Mythe

  • @ericc4888
    @ericc4888 10 місяців тому +1

    Excellent !

  • @joewinston4760
    @joewinston4760 Рік тому +1

    Comment assister aux conférences de Mohamed Ali Amir Moezzi?

  • @AhAh-mh3lo
    @AhAh-mh3lo Рік тому

    Je pense qu'il y a cette source à voir en complément de cet vidéo : ua-cam.com/video/2jKExP6RfYo/v-deo.html et aussi la ua-cam.com/video/8cPw8iMft4A/v-deo.html

    • @zouzazouzou1402
      @zouzazouzou1402 11 місяців тому

      C'est juste une réponse idéologique

    • @AhAh-mh3lo
      @AhAh-mh3lo 11 місяців тому

      @@zouzazouzou1402 Ben une réponse idéologique a une une autre idéologique. Qui dis vrai ?

  • @damienducoint7799
    @damienducoint7799 11 місяців тому

    « Les sources sont d'accord pour dire que toutes les fois qu'un fragment du Coran était révélé, le Prophète sws appelait un de ses compagnons lettrés, et le lui dictait, tout en précisant la place exacte du nouveau fragment dans l'ensemble déjà reçu. Les récits précisent qu'après la dictée, Le Prophète Muhammad sws demandait au scribe de lui lire ce qu'il avait noté, pour pouvoir corriger les déficiences s'il y en avait... Un autre célèbre récit nous dit que le Prophète sws récitait chaque année au mois de Ramadan, devant Gabriel, tout le Coran (révélé jusqu'alors), que le Ramadân qui précéda sa mort, Gabriel le lui fit réciter par deux fois... On sait que dès l'époque du Prophète sws, les musulmans prirent l'habitude de veiller, le mois de Ramadan, par des offices surérogatoires en récitant le Coran tout entier. Plusieurs sources ajoutent que lors de cette dernière collation, son scribe Zaid était présent. D'autres parlent de nombreux autres personnages aussi. »
    On se servit, pour ce premier enregistrement, d'objets très variés : parchemin, cuir, tablettes de bois, omoplates de chameau, pierres tendres pour graver, etc.
    Mais, en même temps, Le Prophète Muhammad sws recommanda que les fidèles apprissent par cœur le Coran, ce qu'ils firent pour tout ou partie du texte qui était récité lors des prières. C'est ainsi qu'il y eut des Hafizûn qui connaissaient tout le Coran par cœur et le propageaient.
    *La double méthode de conservation du texte par l'écriture et par la mémoire se révéla très précieuse.*
    Peu de temps après la mort du Prophète (632), son successeur Abu Bakr, premier calife de l'Islam, demanda à l'ancien premier scribe, du Prophète Muhammad sws, Zaid Ibn Thâbit de préparer une copie, ce qu'il fit. Sur l'initiative de Omar (futur deuxième calife), Zaid consulta toute la documentation qu'il pouvait collecter à Médine : témoignages des Hafiwn, copies du Livre faites sur divers objets et appartenant à des particuliers, tout cela pour éviter toute erreur possible de transcription. On obtint ainsi une copie très fidèle du Livre.
    *Les sources nous apprennent qu'ensuite le calife Omar, successeur d'Abu Bakr en 634, en fit un seul volume (mushaf) qu'il conserva et donna à sa mort à sa fille Hafsa, veuve du Prophète.*
    Le troisième calife de l'Islam, *Uthman,* qui exerça son califat de 644 à 655, *chargea une commission d'experts de pratiquer la grande recension qui porte son nom.* Elle contrôla l'authenticité du document établi sous Abu Bakr et en possession jusqu'alors de Hafsa. La commission consulta des musulmans qui connaissaient le texte par cœur. *La critique de l'authenticité du texte s'opéra d'une manière extrêmement rigoureuse.* *La concordance des témoignages fut jugée nécessaire pour retenir le moindre verset qui pût prêter à discussion* ; on sait, en effet, que certains versets du Coran peuvent corriger certains autres pour ce qui concerne les prescriptions, ce qui s'explique parfaitement quand on se rappelle que l'apostolat du Prophète porte sur vingt années en chiffres ronds.
    On aboutit ainsi à un texte où l'ordre des sourates reflétait celui - on le pense aujourd'hui qu'avait suivi le Prophète sws dans sa récitation complète du Coran durant le mois de Ramadan, comme on l'a vu plus haut.
    On sent là, le plein pouvoir de Uthman RA qui impose seul et avec force sa version du Coran à tous.
    Où pourrait s'interroger sur les motifs qui conduisirent les trois premiers califes, Uthman en particulier, à opérer des collections et recensions du texte. Ils sont simples : l'expansion de l'Islam fut d'une extrême rapidité dans les toutes premières décennies qui suivirent la mort du Prophète Muhammad sws et cette expansion se fit au milieu de peuples dont beaucoup possédaient des langues qui n'étaient pas l'arabe. Il fallut prendre des précautions indispensables pour assurer la propagation du texte dans sa pureté originelle : la recension d'Uthman eut cet objectif.
    Othman envoya des exemplaires du texte de cette recension dans les centres de l'Empire islamique et c'est ainsi que, de nos jours, il existe, selon le professeur Hamidullah, des copies que l'on attribue à Othman, à Tachkent et à Istanbul. *Mis à part quelques éventuelles fautes de copie, les pièces les plus anciennes connues de nos jours et retrouvées dans tout le monde islamique sont identiques* ; il en va de même pour les pièces que l'on possède en Europe (à la Bibliothèque nationale de Paris, il y a des fragments datant, selon les experts, des VIII -ème et IXème siècles de l'ère chrétienne, soit les IIème et IIIème siècles de l'Hégire). *La multitude des textes anciens connus concorde à de très minimes variantes près, qui ne changent rien au sens général du texte,* si le contexte admet parfois plusieurs possibilités de lecture en relation avec le fait que l'écriture ancienne était plus simple que l'actuelle '.
    Extrait du livre "La Bible, le Coran et la science : Les Écritures saintes examinées à la lumière des connaissances modernes." de Maurice BUCAILLE

  • @mahdibenali6769
    @mahdibenali6769 Рік тому +4

    J'ai vraiment essayé d'écouter et de comprendre votre raisonnement mais vous avez une haine de l'islam bien camoufler, vous n'avez aucun respect pour les musulmans. Vous êtes en totale adoration devant les chrétiens et juifs, certainement vos investisseurs. Vous sortez les choses de leur contextes. Le coran est la parole d'allah. Cherchez bien il y'a un verset qui concerne les gens comme vous. Pour finir, en ce qui concerne le passage sur le vin, il avait été interdit petit à petit car pas besoin de vous rappeler la dépendance de l'alcool.
    Allah okbar

    • @adrieen9301
      @adrieen9301 Рік тому +14

      Toujours un plaisir de voir les musulmans comme toi complétement ignare et culte critiquer un simple chercheur uniquement parceque ses recherches historiques ne vont pas dans le sens de l'islam traditionnel.

    • @joewinston4760
      @joewinston4760 Рік тому

      Abruti

    • @malek0255
      @malek0255 Рік тому +1

      Vous êtes un musulman inculte qui ne croit que par la violence et la haine

    • @patlog1346
      @patlog1346 Рік тому +12

      C'est toujours pareil dès que quelqu'un contredit la version officielle de l'origine de l'islam ou du Coran, en se basant sur de solides travaux, il y a toujours des fanatiques qui crient à "haine" envers l'islam et autres sottises.
      En réalité la "haine" elle est chez les gens qui sont incapables de faire valoir des arguments et n'ont que l'invective à la bouche et qui croient qu'Allah se soucie de la taille de leur barbe ou du morceau de tissu sur la tête des femmes ;à ce sujet rappelons qu'il n'est nulle part question dans le Coran de voiler les femmes, car le Hijab mentionné dans le texte était seulement le rideau séparant les tentes de l'époque entre espace public et privé. Ces gens-là ont vraiment une médiocre opinion de Dieu car Dieu est infiniment parfait et bienheureux en lui-même, immanent et transcendant et par conséquent porter une barbe ou pas ou mettre un voile ou pas, boire du vin ou pas ne le touche en aucune façon...
      « Que de saints bien-aimés d'Allah dans les synagogues et les églises ! Que de gens haineux dans les rangs des mosquées. » Ibn Arabi.
      Voyez les chrétiens et les juifs : ils ont intégré les travaux scientifiques de philologie et d'histoire depuis assez longtemps et cela ne les empêchent pas d'être toujours juifs ou chrétiens. Qu'est-ce qui vous fait si peur dans les recherche érudites sur l'islam ?
      La Coran est le fruit d'un contexte, d'une culture au confluent de religions pré existantes : on retrouve d'ailleurs dans le Coran des termes d'origine hébraïque, grecques, latines etc...
      On y retrouve aussi des récits déjà présents au moyen-orient à l'époque comme par exemple l'épisode de Jésus enfant donnant vie à des oiseaux d'argiles, épisode qui se trouvait déjà dans un évangile apocryphe gnostique, on y trouve aussi des passages similaires à des écrits du judaïsme.
      La prophétie muhammadienne n'est pas née dans un milieu païen mais au contraire irrigué d'influences juives, chrétiennes, souvent hétérodoxes ou mal comprises d'où par exemple la Trinité chrétienne mentionnée par le Coran composée d'"Allah, Aissa et...Marie !" et qui n'a bien sûr rien à voir avec la réelle Trinité du christianisme qui est composée du "Père, du Fils et du Saint Esprit".
      Si le Coran est intégralement descendu du ciel alors il faut en déduire qu'Allah lui-même ne savait pas quelle était la Trinité chrétienne !
      www.ipfi.be/wp-content/uploads/2020/08/Le-Coran-sous-la-loupe-des-savants-Marie-Cecile-Royen.pdf

    • @lash8482
      @lash8482 Рік тому

      Les travaux de Moezzi sont tellement « solides » que même son Coran des historiens le contredit. Ou quand il prétend que le Coran plagie des textes trinitaires (???) syriaques. Moezzi est comme Chabbi : il n’y a que les athées français qui les prennent au sérieux. Aucun étranger (quelque soit sa foi), aucun musulman ne les écoute. En plus de ça Moezzi a la base est plutôt spécialiste des mouvements ghulat, ce qui est pas une tare en tant que chercheur,’mais il leur donne une place exagérée, et en plus, ça montre que le son domaine de compétence c’est pas le Coran, mais comme il pense révolutionner l’histoire de l’islam en mettant sa focalisation sur les Ghulat, il pense faire de même avec des théories fumeuses sur le
      Coran, ou en cherchant des problèmes ou il n’y en a pas

  • @damienducoint7799
    @damienducoint7799 11 місяців тому

    *Pourquoi le Coran est inimitable*
    Le prophète Mohammed était…
    - un être humain ordinaire ;
    - une personne illettrée : il ne savait ni lire ni écrire.
    Il avait plus de quarante ans lorsqu’il reçut la toute première révélation. Avant ce moment, on ne le connaissait ni comme orateur, ni comme poète, ni comme homme de lettres ; il était un simple marchand. Avant d’être choisi comme prophète, il n’avait, de sa vie, jamais composé un seul poème ni prononcé de discours.
    Il a transmis un livre provenant de Dieu que tous les Arabes de son époque furent bien obligés de reconnaître comme inimitable.
    *Le défi posé par le Coran*
    Le défi posé par Dieu à travers le Coran Dieu lance un défi à tous ceux qui s’opposent au Prophète et à l’islam. Ce défi consiste à produire ne serait-ce qu’une sourate similaire à celles du Coran, même si les gens doivent se mettre à plusieurs pour le faire, et même faire appel aux djinns s’ils le souhaitent.
    *Pourquoi ce défi ?*
    Premièrement, parce que les Arabes étaient de grands poètes. Ils étaient très versés dans cet art et ils étaient connus pour cela. La poésie arabe était bien enracinée dans la vie quotidienne des gens ; elle existait d’ailleurs à l’oral bien avant qu’on ne la couche sur papier. Les poètes pouvaient composer de façon spontanée des poèmes très élaborés et mémoriser des milliers de vers. Les Arabes avaient développé un système complexe pour évaluer les poètes et leurs poèmes, lesquels devaient répondre à des critères très sévères. Ils organisaient des compétitions annuelles et les poèmes des gagnants étaient gravés dans l’or et suspendus à l’intérieur de la Ka’aba, aux côtés des idoles qu’ils adoraient. Les plus talentueux tenaient le rôle de juges. Les poètes pouvaient, simplement par leurs vers, déclencher une guerre ou favoriser une trêve entre tribus ennemies. Les descriptions qu’ils faisaient des femmes, du vin et de la guerre étaient sans égal.
    Deuxièmement, les ennemis du prophète Mohammed étaient fortement déterminés à faire obstacle à sa mission en utilisant tous les moyens à leur disposition. Dieu leur donna donc la possibilité de réfuter les paroles de Mohammed par un moyen non-violent.
    *L’incapacité à relever le défi et ses conséquences*
    L’histoire est témoin du fait que les Arabes de l’époque du Prophète ont été incapables de relever le défi de produire une seule sourate semblable à celles du Coran.[1] Plutôt que de relever le défi, ils choisirent d’utiliser la violence et de mener une guerre contre l’islam. Pourtant, de tous les peuples de l’époque, c’étaient eux qui avaient le plus de talent et de motivation pour prétendre relever ce défi, mais ils ne le firent pas. S’ils l’avaient fait, ils auraient pu prouver que le Coran n’était pas d’origine divine et que l’homme qui l’avait fait connaître à l’humanité était un faux prophète. Le fait qu’ils ne soient pas arrivés à le faire est la preuve du caractère divin du Coran. Leur exemple est à l’image d’un homme qui meurt de soif alors qu’il se tient près d’un puits, et la seule raison pour laquelle il est mort, c’est qu’il n’arrivait pas à atteindre l’eau !
    Par ailleurs, l’incapacité des Arabes de l’époque du Prophète à relever le défi posé par le Coran sous-entend que les Arabes des générations suivantes étaient encore moins susceptibles de le relever, car ils ne maîtrisaient plus la langue arabe aussi bien que leurs prédécesseurs. Selon certains linguistes arabes, les Arabes ayant vécu avant la venue du Prophète et ceux qui lui étaient contemporains sont ceux qui ont joui de la plus grande maîtrise de la langue arabe, de ses règles, de ses mesures et de ses rimes. Les générations suivantes n’ont jamais pu atteindre cette maîtrise.
    Enfin, le défi s’adressait à la fois aux Arabes et au non-Arabes. Mais si les Arabes ont été incapables de le relever, ceux qui ne parlent pas cette langue ne peuvent prétendre le relever non plus.