Je suis un "macroniste" de la première heure et je ne partage pas l'analyse de Brice Teinturier sur la fin du dépassement du clivage gauche-droite.L'origine de ce dépassement vient du constat de l'obsolescence de ce clivage : traditionnellement la droite se chargeait de l'économie et la gauche du partage.C'était possible aussi longtemps que nous avions une place dominante dans l'économie mondiale.Celle-ci étant largement mise en cause par la mondialisation, il nous a fallu réviser complètement nos repères et c'est ce que Macron a fait.Avec il est vrai une compréhension du personnel politique, entraînant les français, bien plus développée à droite qu'à gauche.Le macronisme est d'abord un économisme et la gauche ne comprend quasiment rien - ou bien ne l'assume pas- à l'économie.Cela explique que Macron, pour mener son dépassement, aille chercher ses appuis chez ceux qui entendent quelque chose à l'économie.Tant pis pour la gauche, complètement dépassée pour le coup.
Je suis un "macroniste" de la première heure et je ne partage pas l'analyse de Brice Teinturier sur la fin du dépassement du clivage gauche-droite.L'origine de ce dépassement vient du constat de l'obsolescence de ce clivage : traditionnellement la droite se chargeait de l'économie et la gauche du partage.C'était possible aussi longtemps que nous avions une place dominante dans l'économie mondiale.Celle-ci étant largement mise en cause par la mondialisation, il nous a fallu réviser complètement nos repères et c'est ce que Macron a fait.Avec il est vrai une compréhension du personnel politique, entraînant les français, bien plus développée à droite qu'à gauche.Le macronisme est d'abord un économisme et la gauche ne comprend quasiment rien - ou bien ne l'assume pas- à l'économie.Cela explique que Macron, pour mener son dépassement, aille chercher ses appuis chez ceux qui entendent quelque chose à l'économie.Tant pis pour la gauche, complètement dépassée pour le coup.
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