"Ah ben moi je connais bien le problème, je regarde 90 minutes enquêtes ! Et c’est toujours les mêmes hein !" Conclusion: éteignez vos télés dans le Berry, et allez à la rencontre des gens !
3:43 par contre le shabbat des muslmans est très discret je trouve, moi même étant de confession de musulmane, je vous jure sur la Thora que c'est vrai 😂
Elle n'a même pas dit: "Shabbat", elle a carrément dit: "Sabbat" 😂 (définition de Wikipédia : Le sabbat est une assemblée nocturne de sorcières souvent associée à des rituels démoniaques. Historiquement rapproché du Shabbat par confusion et antisémitisme, il ne correspond pas à un culte avéré, mais plutôt à un ensemble de croyances dont l'origine remonte à plusieurs religions païennes et se cristallise dans la littérature démonologique et inquisitoriale à l’époque moderne. Par la suite, il devient un motif fantastique dans la littérature et l’art." ... Le lapsus est criant d'amalgames, et triste.
Juste histoire de rerereconfirmer que les votants RN ne savent pas de quoi ils parlent, et que ce parti surfe sur la peur et l'inculture, d'abord la sienne.
À chaque fois que je traverse Saint-Amand c'est avec la boule au ventre et la chair de poule. Je compatis avec ses habitants. Dur dur d'habiter une ville où l'on croise un péquin tous les 100 mètres et l'on peut apercevoir de temps à autre, rarement heureusement, des groupes de 3 voire 4 individus d'une moyenne d'âge parfois inférieure à 60 ans. Je ne souhaite à personne de vivre cette expérience à haut risque.
Sans parler de l'epad du coin ou d'où les vieux sans aucune honte s'échappent pour aller boire un canon au seul troquet du coin et vous refilent joyeusement leur covid! Tout fout le camp mon bon monsieur cest l'apocalypse je tremble aussi!
@@Comprends-ton-Dim oh le boulet. T en as pas marre d etre un looser ? Tu oosais à l école, tu loosais à la fac (heu a ton bep pardon) et tu looses encore. Respecte toi, tais toi ;-)
Le vote RN est un vote d’ignorance, car dans "extrême droite" il y a droite, et la droite ne sert que les intérêts du libéralisme et du capital. Juste un petit peu (beaucoup ?) de racisme en plus pour faire oublier le seule combat à mener: la lutte des classes. Ouais non en fait il a raison, c’est un vote technique.
@@leonSK2236 en même temps, j'suis pas certain qu'en ville, la culture soit nettement plus présente. Par contre concernant la tolérance, je pense que c'est sans doute un peu mieux.
@@leonSK2236 si vous vivez en campagne et que vous pensez ce que vous ecrivez, cela doit être dur à vivre pour vous ! . Et si vous vivez en ville, vous êtes vraiment prétentieux ! . En fait vous devez être trop limité dans vos moyens pour pouvoir vivre dans une grande ville et pas assez réactif ni creatif pour quitter cette campagne ou vous vous sentez si mal. Heureusement vous avez guigui Maurice pour vous défouler par procuration. Triste 😥.
Et toi, tu devrais tenter la vie "chez eux", dans des pays tels l'Arabie Saoudite, le Qatar... où l' on massacre vigoureusement les gays, où les femmes sont reines... Je ne sais pas si les sympathiques nababs du pétrole apprécient leurs lointains cousins des cités. Mais ça doit être du racisme de mon côté, non du leur.
😶🌫 Tien !? Algérien c'est une race ? Puisque : "c'est triste le racisme". Ne serait-ce pas plutôt du nationalisme primaire, anti-Algérien, et pro-France ? J'dis ça, j'dis rien.🤔
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
@@jeromefleury7479 En effet, on nous oblige à passer un examen pour conduire (théorique et pratique) mais aucun examen n'est requis pour voter et choisir ceux et celui peuvent lancer des missiles nucléaires et déclencher des guerres...
@@fa5234 Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Nan mais, stop la, aller faire des centaines de bornes, pour interviewer les pekins d'un village qui a un pedigre de racisme long comme le bras, je dis, il y a dopage la. C'est trop facile. :)
n'essayez pas reproduire cela dans votre salon surtout, hein, c'est un boulot de professionnel, Guillaume a l'expertise d'un Bob Denard en la matière. toujours cette sensation entre rire et envie de vomir. Et ce sont mes propres concitoyens qui pensent que nous, enfants d'immigrés, on est des Français mais en moins bien....et que ça serait en fait vachement mieux si on restait à la maison. Mieux, retournait au pays des parents (à 10 000 km, sur un continent et dans un pays que j'adore, mais où je n'ai jamais vécu). Au fait, le 31 octobre on fête le sabbat de Samhain! So mote it be!
La cité/pyramide de l'or, La Rotonde, Le Paddock, les balades sur le canal, tt le monde qui apprend à conduire chez Blasquez, les foires d'Orval, Le lac de Virlay Ecole primaire Marceau --> Collège Jean Valette --> Lycée Jean Moulin. La bonne époque :D
Merci à toi, Guillaume, de rappeler que, ce qui continue de motiver en grande partie le vote FN, c'est toujours le racisme systémique de ses électeurs.
Pas que le racisme, la bêtise et surtout l'inculture. Il n'y a qu'à les entendre parler. À mon avis les "Arabes" parlent mieux français que ces "ploucs" d'extrême droite...
Tu dois être un bon privilégié du système pour faire de si gros raccourcis ! Et pour un premier candidat, Zemmour a fait un très bon score même s'il n'a pas tenu la distance. Tu m'as l'air cultivé et intelligent de part ton orthographe et ta syntaxe, mais tu t'es fait fourré profond le cerveau par une protubérance sexuelle hallal, réveille-toi bonhomme et arrête de te faire violer en disant "merci Monsieur barbu avec une robe !".
Je suis un étranger d'extrême-droite... 😅😜 C'est la seule place dont personne ne veut... Faut bien que j'me trouve une place dans cette société... 😂🤣🤪😝
Après honnêtement il a depuis longtemps fait le tour de l'intérêt de sa chronique je trouve, donc une baisse de cadence ça fait pas de mal; j'aime bien les nouveaux humoristes, Aymeric Lompret, Waly Dia
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Là on a un spécimen d'exception mais les populistes de droite et d'extrême droite savent bien que globalement la majorité de leurs potentiels électeurs ont des capacités d'analyse au ras des pâquerettes. Plutôt que d'essayer de faire grandir les gens, ils exploitent leur ignorance. C'est ce qui marche le mieux en politique.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Ah oui les bouseux carrément. Les pauvres qui ne pensent pas comme vous, les sans dents quoi 🙂 ne venez pas chialer que l'extrême droite monte partout en Europe avec ce comportement ignoble.
Dans la Creuse ils votent pas mal RN et pourtant ils n'ont jamais vu un arabe ou un noir. Il y a surtout des italiens et des portugais, cherchez l'erreur.
Dans le village où je suis 500 habitants dans l'arrière pays 34 ils votent 50 pourcent RN quand j'ai demandé la raison du vote vu qu'il n'y a pas de migrants on me répond Mais c'est pour pas qu'ils viennent.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
on se moque des "bouseux" qui ont eu papon comme maire...ahaah Mais vous oubliez que vos parents et grands parents avaient Pétain pour président et venez pas me sortir qu'ils étaient tous résistants!
Oui bon anniv, tu préfères BARNAC ? Mon choupi, où vis tu ? Paris intra-muros et tu ne passes pas le périphérique ? Teste Château Rouge , qques stations de métro ! Évites, montre, portable, vêtements dits corrects,...
Perso je vais à château rouge très souvent et on y mange très bien, les bars sont tops, on trouve toujours quelque chose à faire et les gens sont toujours très sympa ;)
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Il faut quand même reconnaître un grand sens de l’égalité chez Maurice Papon : il massacrait indifféremment juifs et musulmans. Cela se ressent chez ses anciens administrés sont totalement respectueux du droit des musulmans à pratiquer le sabbat!
bon ben, au moins la dame se pose des questions. Puis "à quoi peut bien servir l'indépendance ?" Pourrait très bien dans une conversation, servir de porte d'accès vers la connaissance et la compréhension, par de la dialectique, de quelques représentations du post colonialisme et de ses différentes formes d'emprises que se paradigme a sur nos modèles sociaux,. Poursuivre par l'histoire du colonialisme, de l'exploitation à l'esclavage jusqu'aux prémices du servage,. Finir par faire le lien, avec ses autres expressions les plus sinistres, représenter par l'extractivisme ou l'asservissement de toute vie. Pour conclure sur l'influence et les impactes direct, que ce modèle a sur les contraintes et les difficultés, rencontrer dans sa vie. Puis c'est souvent à ce moment là que l'on se réveille, vers un des millier de St Armand existant ou pire encore., à coté d'un certain Damien, sans aucun autres souvenir, qu'un sombre parking de zone industrielle ou se trouver une enseigne lumineuse, sur laquelle était inscrit au GHBeach. Pas évident ces chroniques comme exercice d'empathie, d'autant que la plus par des personnes citées, apparaissent comme en prise avec un syndrome de Stockholm, notamment avec ce coté très paradoxal du "je le dis et je le pense, mais ça reste à l'insu de mon plein gré et bien malgré moi, car ils l'ont tous bien chercher".
Il y a un truc qui commence à être encore plus redondant que les thématiques de G Meurice c’est les commentaires qui disent s’en lasser… Si vous en avez réellement marre d’entendre des racistes et des petits bourgeois se ridiculiser à son micro, c’est peut être que vous en faites un peu partie. Surtout, surtout.. ceux qui disent qu’il va « chercher les mêmes caricatures », il est temps d’admettre votre déni ! Ces gens sont d’une banalité dans notre pays. Ce qui est caricatural c’est d’en faire des marginaux.
@@Wondad82 "je Cite" c'est mieux.. sinon pour en revenir à mon propos, tendre le micro à n'importe quel couillon dans la rue j'appelle pas ça "chercher" tant ce genre de personnes est commun. Ce qui n'empêche pour autant pas d'en sélectionner les meilleurs moments. Voila voila
Vous pouvez également profiter du discours inverse, chaque jour, sur l'ensemble des chaînes TV et stations de radio. Et cela ne se compte plus en centaine cette fois mais en milliers si ce n'est plus. Mais sur une chronique de Meurice ne vous attendez pas à entendre un discours de "Droitards", ça n'est effectivement pas son truc.
@@Irving22pac Ce n'est pas ce que je voulais dire, mon commentaire n'était pas clair : je parlais bien des horreurs proférées par les gens que Guillaume Meurice interroge..... je suis effrayé d'entendre de tels fachos à chacune de ces chroniques - racistes, misogynes, .... et d'après ce qu'il dit ce ne sont pas des exceptions, il lui suffit de quelques minutes de discussion avec une poignée de personnes !! D'où mon angoisse de vivre dans le même pays que tous ces gens.....
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Le véritable danger à Saint Amand ici c’est plutôt le niveau intellectuel des gens interviewés sans blague vous les avez trouvé devant le centre de travail pour handicapés là c’est pas possible.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs. Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire. Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ? Laurent Obertone.
@@nicolasvanhorton5043 ta finis ? Vous êtes comme les complotiste extrêmes, vous mélanger tous les sujets, vous sortez des infos chocs, vous pointer du doigt un ennemis commun, une cible a abattre, responsable de tous vos maux et vous attendez ! Ton copier coller me fais rire, dans le sens où le sujet y est TATATATATA l'immigration.... Les gars sérieux... C'est lourd à force... Une algérienne a tué une enfant ? Et ? Tuons les algériens ? Non Condamnons cette dame, prenons soin de nos enfants et accueillons de manière qualitative et descente les personnes qui sont dans le besoin (guerres, climat, et j'en passe). Ne pas boulot la peine de mort a tout bout de champ ne signifie pas que nous sommes d'accord avec les violences. Qui sont d'ailleurs, pas aussi présentes que vous ne l'avancé ;) Les voleurs/violeurs qui nous dirigent ne méritent t'il pas d'être eux aussi condamné ? Bref répondre à toutes les questions par : IMMIGRATION Est le meilleur moyen de se mettre des oeillères et de louper des trucs un peu plus alarmant
Vous en faites pas notre gouvernement avec borne en tête arrive d Algérie , c est pas pour amitié, on voudrait bien les connaître les accords, pas ceux pour les médias, ceux qui faut pas dire .
La bien-pensance qui vient nous faire la morale en prenant des gens bien caricaturaux pour pouvoir s'en moquer! j'aimerai bien savoir ou ils habitent tous ces journalistes de france inter?! ceci dit , je suis pour que les humoristes se moquent de tout le monde y compris le RN!
@@marywings6870 cnews est peut-etre la seule chaine qui a un discours qui va à l'encontre de toutes les autres chaines, en particulier le service public! et ça fait du bien! ceci dit j'ecoute aussi france inter et je ne mets pas tout à la poubelle!
@UCiIu7myvyLsYQwR7af0lG8A J'ai pas eu la chance d'en croiser. Mais t'en que tu parles d'aider ton prochain, c'est quand la dernière fois que tu as donné quelque chose à un sdf? Arf, j'oubliais que l'altruisme c'est haram à l'extrême droite...
Vous savez Guillaume, plus ça va....plus elle m'inquiète votre chronique 🤔 Ça ressemble de plus en plus à des parodies du caviar des clichés des documentaires légèrement orientés...
Dans les boulangeries, j’aime la tête des pâtisseries pour les enfants : Hitler au chocolat Face de Booba bamboula fondant etc. etc.… et on fait tourner les serviettes, c’est la fête !😂🎉😅
@Hala Salamé Ton petit smiley tout sourire après "un jour ça va tomber sur eux", en dit long sur ce que tu aimerais. On n'est pas loin de l'appel au meurtre. Estime-toi heureux d'avoir le droit de déblatérer publiquement ton ignorance à longueur de journée parce que tu ne vaut pas beaucoup mieux que les terroristes islamistes.
@@ronald5204 Rance Inter : " Ici Radio Paris ...les petits bourgeois gauchistes des beaux quartiers parisiens parlent aux petits bourgeois gauchistes des beaux quartiers de province "
@@mimilagrayloise7980un conseil : alors, changez de fréquence🤪, et ne perdez pas vote temps à écouter France-Inter , la Radio la plus écoutée de France !!! 🤣🤣🤣 Bon vent !!!!!!!!!!!!!😂😂
"Ah ben moi je connais bien le problème, je regarde 90 minutes enquêtes ! Et c’est toujours les mêmes hein !"
Conclusion: éteignez vos télés dans le Berry, et allez à la rencontre des gens !
3:43 par contre le shabbat des muslmans est très discret je trouve, moi même étant de confession de musulmane, je vous jure sur la Thora que c'est vrai 😂
Un peu comme le ramadan des juifs. Je me suis toujours demandée pourquoi, d'ailleurs.... /i
Elle n'a même pas dit: "Shabbat", elle a carrément dit: "Sabbat" 😂 (définition de Wikipédia : Le sabbat est une assemblée nocturne de sorcières souvent associée à des rituels démoniaques. Historiquement rapproché du Shabbat par confusion et antisémitisme, il ne correspond pas à un culte avéré, mais plutôt à un ensemble de croyances dont l'origine remonte à plusieurs religions païennes et se cristallise dans la littérature démonologique et inquisitoriale à l’époque moderne. Par la suite, il devient un motif fantastique dans la littérature et l’art."
... Le lapsus est criant d'amalgames, et triste.
Euh, musulman, shabbat ???
Pour moi pas de souci, mais antinomie
@@gwaenardel mon ange souviens toi de Lilith 😂😂😂
Juste histoire de rerereconfirmer que les votants RN ne savent pas de quoi ils parlent, et que ce parti surfe sur la peur et l'inculture, d'abord la sienne.
Les soirées de Damien Abad au GHBeach 😂😂 il m'a tué
c'est clair!!!! où va t il trouver tout ça?🤣
GHBitch plutôt
Je viens du Cher, ce reportage m'a rappelé des souvenirs d'enfance 🤣je vois que ça n'a pas beaucoup changé !
Elle a du mal à assumer la dame..
À chaque fois que je traverse Saint-Amand c'est avec la boule au ventre et la chair de poule.
Je compatis avec ses habitants.
Dur dur d'habiter une ville où l'on croise un péquin tous les 100 mètres et l'on peut apercevoir de temps à autre, rarement heureusement, des groupes de 3 voire 4 individus d'une moyenne d'âge parfois inférieure à 60 ans.
Je ne souhaite à personne de vivre cette expérience à haut risque.
Effectivement c'est calme, jusqu'à que Macron leurs envoye des migrants. C'est pour bientôt.
LA FRANCE A PEUUUUUUUUUUUUR !!!! XD
😂
Ce témoignage me glace le sang.
Sans parler de l'epad du coin ou d'où les vieux sans aucune honte s'échappent pour aller boire un canon au seul troquet du coin et vous refilent joyeusement leur covid! Tout fout le camp mon bon monsieur cest l'apocalypse je tremble aussi!
C’est grave et inquiétant , Guillaume tu le fais avec humour mais ça fait flipper
Ça fais flipper on peux plus être islamiste et délinquants en paix dans ce pays 😭😭
@@Comprends-ton-Dim Alors que troll analphabète... oui!
Tsss, mais où va le monde?
@@michaelmaterne ouin ouin mes amis islamistes vont être renvoyés et je vais perdre le RSA 😭
@@Comprends-ton-Dim Euuuh... OK.
Allez, au lit sans BFMTV maint'nant!!!
@@Comprends-ton-Dim oh le boulet. T en as pas marre d etre un looser ? Tu oosais à l école, tu loosais à la fac (heu a ton bep pardon) et tu looses encore. Respecte toi, tais toi ;-)
J'ai entendu les habitants du département du Cher j'en ai eu des frissons d'angoisse (et je suis du Loir-et-Cher, c'est vous dire)
enfin qqchose vous est arrivé !
@@georgesdubuis6833 entre ça et les combats de faisants...c'est vertigineux le 41
le vote rn c'est un vote technique ahahah
Le vote RN est un vote d’ignorance, car dans "extrême droite" il y a droite, et la droite ne sert que les intérêts du libéralisme et du capital. Juste un petit peu (beaucoup ?) de racisme en plus pour faire oublier le seule combat à mener: la lutte des classes.
Ouais non en fait il a raison, c’est un vote technique.
C'est fou comme indépendamment des propos, même leur voix est caricaturale
alors peut etre que Maurice ne prend pas les interviewés au hasard 🤣
Certains ont même la peau verte !
venez à la campagne vous verrez qu'on les entend avec leur accent et leur inculture ils sont très nombreux
@@leonSK2236 en même temps, j'suis pas certain qu'en ville, la culture soit nettement plus présente.
Par contre concernant la tolérance, je pense que c'est sans doute un peu mieux.
@@leonSK2236 si vous vivez en campagne et que vous pensez ce que vous ecrivez, cela doit être dur à vivre pour vous ! . Et si vous vivez en ville, vous êtes vraiment prétentieux ! .
En fait vous devez être trop limité dans vos moyens pour pouvoir vivre dans une grande ville et pas assez réactif ni creatif pour quitter cette campagne ou vous vous sentez si mal. Heureusement vous avez guigui Maurice pour vous défouler par procuration. Triste 😥.
Heureusement qu’a Saint-amand il y a aussi des citoyens modérés, qui ont apprécié votre intervention sous les pyramides 👍😅
Tu leur a rappelé que l'essence il vient de chez eux aussi.. Et que si pas content ils on cas mettre du rouge dans le reservoir..
Et toi, tu devrais tenter la vie "chez eux", dans des pays tels l'Arabie Saoudite, le Qatar... où l' on massacre vigoureusement les gays, où les femmes sont reines... Je ne sais pas si les sympathiques nababs du pétrole apprécient leurs lointains cousins des cités. Mais ça doit être du racisme de mon côté, non du leur.
Cette dame a visiblement un problème avec les algériens. C'est triste le racisme.
😶🌫 Tien !? Algérien c'est une race ? Puisque : "c'est triste le racisme". Ne serait-ce pas plutôt du nationalisme primaire, anti-Algérien, et pro-France ? J'dis ça, j'dis rien.🤔
Elle a surtout un problème avec la pensée.
C'est une nationalité pas une race
@@stephandy314 Y a rien qui vas, vas falloir réviser monsieur.
@@athom-gamer C'est vrai qu'on oublie tout le temps que vous êtes "pro-France". Celle de Pétain, quand même.
Le vendredi, le sabbat.....😶
🙊🙈🙉
Le manque de culture l’ignorance et la peur… un bon cocktail de tristesse 😔
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
@@nicolasvanhorton5043 Quel blabla. Si tu tries les faits-divers en fonction de ta haine au faciès, t'as pas fini de faire des ulcères. 😂
Dis-moi, Guillaume, tu n’en as pas marre de jouer aux échecs avec des pigeons ?
si je comprends bien votre commentaire , je le trouve génial !
Des pigeons peut-être... Mais qui ont tout de même le droit de vote.
@@fa5234 Il est des moments où l’on se sent moins démocrate
@@jeromefleury7479 En effet, on nous oblige à passer un examen pour conduire (théorique et pratique) mais aucun examen n'est requis pour voter et choisir ceux et celui peuvent lancer des missiles nucléaires et déclencher des guerres...
@@fa5234 Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
Joyeux Naziversaire !
Bien vu
Zoli!
excellent !
Je peut te traiter de staliniste alors
@@raphzaynon1021 oui, je suis fan de Sylvester Staline
Nan mais, stop la, aller faire des centaines de bornes, pour interviewer les pekins d'un village qui a un pedigre de racisme long comme le bras, je dis, il y a dopage la.
C'est trop facile. :)
Ca doit être compliqué pour la dame d'aller au boulot et de voir quotidiennement son collègue algerien..... Et jusqu'à 65 ans.... La pauvre...
Le premier interviewé c'est pas le frère caché de Roger
ou le père d'Edith... ;-)
Ou le père de Guillaume meurice
n'essayez pas reproduire cela dans votre salon surtout, hein, c'est un boulot de professionnel, Guillaume a l'expertise d'un Bob Denard en la matière.
toujours cette sensation entre rire et envie de vomir. Et ce sont mes propres concitoyens qui pensent que nous, enfants d'immigrés, on est des Français mais en moins bien....et que ça serait en fait vachement mieux si on restait à la maison. Mieux, retournait au pays des parents (à 10 000 km, sur un continent et dans un pays que j'adore, mais où je n'ai jamais vécu).
Au fait, le 31 octobre on fête le sabbat de Samhain! So mote it be!
Je suis née à Saint Amand Montrond, très fière de mon Berry natal… mais mon Dieu j’ai mal quand j’entends ça 🥲
La cité/pyramide de l'or, La Rotonde, Le Paddock, les balades sur le canal, tt le monde qui apprend à conduire chez Blasquez, les foires d'Orval, Le lac de Virlay
Ecole primaire Marceau --> Collège Jean Valette --> Lycée Jean Moulin.
La bonne époque :D
Je reviens m installer chez maurice la malice...🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣avec vous Guillaume Meurisse🤣🤣🤣🤣
Merci à toi, Guillaume, de rappeler que, ce qui continue de motiver en grande partie le vote FN, c'est toujours le racisme systémique de ses électeurs.
Ben voyons 😀
@@Comprends-ton-Dim zemmour a perdu.
Tournez la page.
Pas que le racisme, la bêtise et surtout l'inculture. Il n'y a qu'à les entendre parler. À mon avis les "Arabes" parlent mieux français que ces "ploucs" d'extrême droite...
Tu dois être un bon privilégié du système pour faire de si gros raccourcis ! Et pour un premier candidat, Zemmour a fait un très bon score même s'il n'a pas tenu la distance. Tu m'as l'air cultivé et intelligent de part ton orthographe et ta syntaxe, mais tu t'es fait fourré profond le cerveau par une protubérance sexuelle hallal, réveille-toi bonhomme et arrête de te faire violer en disant "merci Monsieur barbu avec une robe !".
@@Shuyin781 Mdr parce que vous croyez qu'on vas arrêter ? On sera toujours là 🙂 désolé les collabo, la France ne sera jamais islamistes
Une enquète dans un "bled" "ravitaillé par les corbeaux". J'étais déjà au courant, sauf pour Papon.
Excellent !
je suis déçu que le RN n'ait pas invité Kanye West pour donner un concert pour leur anniversaire.
La prochaine fois faudra aller aux Mureaux pour interroger les gens 🤣🤣
Non car mes mureaux c'est géré avec le cul donc ça pourrait les conforter dans leur jugement
Trop trouillard pour ça
Pas sûr que Guillaume ait les c...lles de le faire.
@@maxluc8415 Pas sûr en effet 🙃
Allez voir les dernières vidéos de Mari s'infiltre les frelos. La troisième va vous étonner.
Bien content de plus payer la taxe audiovisuel pour contribuer à leur propagande.
Je suis un étranger d'extrême-droite... 😅😜
C'est la seule place dont personne ne veut... Faut bien que j'me trouve une place dans cette société... 😂🤣🤪😝
Pourquoi Guillaume ne fait il plus sa chronique les jeudis et vendredis ? Il est en RTT (imposé) à la recherche de pots de moutarde et d’essence ?
Et quelle tristesse de ne plus entendre la rediffusion le matin vers 5h50 😭
Et aussi pourquoi Mathieu Noël ? 😡
Après honnêtement il a depuis longtemps fait le tour de l'intérêt de sa chronique je trouve, donc une baisse de cadence ça fait pas de mal; j'aime bien les nouveaux humoristes, Aymeric Lompret, Waly Dia
@@proovemewrong d'autres projets ? tenter d'apprendre à devenir drôle, par exemple ?
2 jours c est très suffisant. Avec ses éternels retraités ça gave.
@@mimilagrayloise7980 Il l'est déjà pour beaucoup. Et si ça n'est pas votre cas, il est quand même curieux que vous veniez vous perdre ici.
"Les musulmans font le Sabbat le vendredi" .
mais les ruraux il y connaissent rien, ils en voit peu ou jamais dans leurs village, c'est uniquement à la TV
@@AymericBVideo ils ont bien de la chance ! hélas ça risque de ne plus durer, vu le programme Macron !
walla que non hhh
je t'aime Guillaume mais s'il te plaît fais la même chose à Noailles
Terrifiant
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
Non mais aussi St Amand quoi 😭Guillaume tu as choisi la pire ville du Berry pour faire ton interview jpp 🤣
C'est encore bien gratiné !
Il y en a trop🤣🤣🤣🤣
Comme quoi ça fait peur quant on entend la réaction de ses personnes et peut importe l'endroit.
Triste réalité ...
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
Le sabbat musulman? Elle confondait avec le shabbat ou le sabbat des sorcières à votre avis?
Quoiqu'il en soit, le spectacle a St Amand était top !
aaaah oui. La belle région Centre qui m'a appris le racisme en primaire dans les années 90...
(Eure et Loir pour moi)
Machin vrai on démarre sur un argumentaire en béton 😅😅😂
Là on a un spécimen d'exception mais les populistes de droite et d'extrême droite savent bien que globalement la majorité de leurs potentiels électeurs ont des capacités d'analyse au ras des pâquerettes. Plutôt que d'essayer de faire grandir les gens, ils exploitent leur ignorance. C'est ce qui marche le mieux en politique.
trop fort Guillaume 👍🏻😉
50 ans de F.Haine......un point de détail !
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
===>>> Oui il l'a très bien dit, c'est technique :)
Ouais c'est ça on l'a reconnue Nicole Ferroni qui fait un sketch sur l'algérien 🤣
Yosh mina !!!
Quelle tristesse ! (Christiane Hopkinson)
les médias instrumentalisent cela , dans mon village ( sans émigrés) le pen 40% , les bouseux sont quand même bas du plafond ........ désolé !!! bizh
Ah oui les bouseux carrément. Les pauvres qui ne pensent pas comme vous, les sans dents quoi 🙂 ne venez pas chialer que l'extrême droite monte partout en Europe avec ce comportement ignoble.
Dans la Creuse ils votent pas mal RN et pourtant ils n'ont jamais vu un arabe ou un noir. Il y a surtout des italiens et des portugais, cherchez l'erreur.
@@jamesmarrel8087 Ils regardent trop la télé...
@@jamesmarrel8087 peut-etre qu'ils pensent plus loin que leur "patlin" et qu'ils ont une certaine idée de la france!
Dans le village où je suis 500 habitants dans l'arrière pays 34 ils votent 50 pourcent RN quand j'ai demandé la raison du vote vu qu'il n'y a pas de migrants on me répond Mais c'est pour pas qu'ils viennent.
Ces types n'ont jamais croisé un seul étranger et ils viennent t'expliquer qu'il y en a trop!
Joyeux Naziversaire🎉😅
Ils n ont pas changé de nom pour rien...un retour aux sources. "Rassemblement national" et bientôt "populaire" ? 😆
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
MAURICE LA MALICE 😂
Je suis né en 1972 , l'année de la création du FN , et j'en suis pas fier ,je prefere me dire qu'en 72 Claude François chantait le lundi au soleil
OK boomer.
La dame qui parle de "sabbat" à très précisément l'accent de Fernand Raynaud...
je suis originaire d'un petit bled de beauce, ils votent à 70 % FN, ils n'ont jamais vu un étranger mais ils ont peur !!!
Il ne faut pas dire du mal des berrichons. ;)
Vous savez que qu'en dit un diction morvandiaux ? ;)
@@camilledefleurville2939 non ?
EMB zaza il ne faut pas dire du mal des Berrichons... et encore moins des Bonnychons ! 😊😊
@@embzaza4243 Un berrichons, 12 moutons, 13...vous allez trouver la rime !
Le chat, d'après certains, aurait goût de lapin
on se moque des "bouseux" qui ont eu papon comme maire...ahaah Mais vous oubliez que vos parents et grands parents avaient Pétain pour président et venez pas me sortir qu'ils étaient tous résistants!
"a la redac de France inter" Merci pour celle là ... les vertueux en sueur
Oooooouuu Alles Gute zum Geburtstag! 50 ans de ban (boche) !!!
Ça vallait la Pen!
(Jeux de mots calembours !)
Il y aura des petits fours, ouuuuu Jean Roucassss.SS
j'ai tellement mal a mon berry .....
Oui bon anniv, tu préfères BARNAC ?
Mon choupi, où vis tu ? Paris intra-muros et tu ne passes pas le périphérique ?
Teste Château Rouge , qques stations de métro !
Évites, montre, portable, vêtements dits corrects,...
Perso je vais à château rouge très souvent et on y mange très bien, les bars sont tops, on trouve toujours quelque chose à faire et les gens sont toujours très sympa ;)
Genie
J'arrive plus à en rire, tellement c'est désolant,
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
Cette chronique est absolument effrayante
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
Oh mon dieu le cher je savais pas que ça votait autant RN... À Bourges ça va on tend plus vers la gauche maintenant...
Bravo Guillaume 😂😂😂😂😂👍🏼👏👏
Il faut quand même reconnaître un grand sens de l’égalité chez Maurice Papon : il massacrait indifféremment juifs et musulmans.
Cela se ressent chez ses anciens administrés sont totalement respectueux du droit des musulmans à pratiquer le sabbat!
Excellent, Poutou !
RN 🇫🇷🇫🇷🇫🇷💪👊👍
Mais heu...
Les musulmans qui font shabbat le vendredi 😂😂😂😂
Ce week end dans le cher ? À bicyclette j’espère !
Je pense que ces contrée, quoique lointaines, sont également accessible en train.
bon ben, au moins la dame se pose des questions.
Puis "à quoi peut bien servir l'indépendance ?"
Pourrait très bien dans une conversation,
servir de porte d'accès vers la connaissance et la compréhension,
par de la dialectique,
de quelques représentations du post colonialisme et de ses différentes formes d'emprises que se paradigme a sur nos modèles sociaux,.
Poursuivre par l'histoire du colonialisme, de l'exploitation à l'esclavage jusqu'aux prémices du servage,.
Finir par faire le lien,
avec ses autres expressions les plus sinistres,
représenter par l'extractivisme ou l'asservissement de toute vie.
Pour conclure sur l'influence et les impactes direct,
que ce modèle a sur les contraintes et les difficultés,
rencontrer dans sa vie.
Puis c'est souvent à ce moment là que l'on se réveille,
vers un des millier de St Armand existant ou pire encore.,
à coté d'un certain Damien,
sans aucun autres souvenir,
qu'un sombre parking de zone industrielle
ou se trouver une enseigne lumineuse,
sur laquelle était inscrit au GHBeach.
Pas évident ces chroniques comme exercice d'empathie,
d'autant que la plus par des personnes citées,
apparaissent comme en prise avec un syndrome de Stockholm,
notamment avec ce coté très paradoxal du
"je le dis et je le pense, mais ça reste à l'insu de mon plein gré et bien malgré moi,
car ils l'ont tous bien chercher".
Il y a un truc qui commence à être encore plus redondant que les thématiques de G Meurice c’est les commentaires qui disent s’en lasser…
Si vous en avez réellement marre d’entendre des racistes et des petits bourgeois se ridiculiser à son micro, c’est peut être que vous en faites un peu partie.
Surtout, surtout.. ceux qui disent qu’il va « chercher les mêmes caricatures », il est temps d’admettre votre déni ! Ces gens sont d’une banalité dans notre pays. Ce qui est caricatural c’est d’en faire des marginaux.
Bah en fait, il diffuse ce qu'il veut comme personne, c'est toujours choisi. Ne soyez pas naïf
@@Wondad82 où et quand j'ai dit le contraire ? soit vous déformez mon propos, soit vous l'avez mal compris.
Je site : "Surtout, surtout... ceux qui disent qu'il va 《 chercher les mêmes caricatures》, il est temps d'admettre votre déni!"
Voilà voilà
@@Wondad82 "je Cite" c'est mieux.. sinon pour en revenir à mon propos, tendre le micro à n'importe quel couillon dans la rue j'appelle pas ça "chercher" tant ce genre de personnes est commun. Ce qui n'empêche pour autant pas d'en sélectionner les meilleurs moments. Voila voila
Eux aussi ils ne changeront jamais
Quelle angoisse d'entendre des horreurs pareilles, dans des centaines de chroniques, tous les jours, depuis des années.......
Vous pouvez également profiter du discours inverse, chaque jour, sur l'ensemble des chaînes TV et stations de radio. Et cela ne se compte plus en centaine cette fois mais en milliers si ce n'est plus.
Mais sur une chronique de Meurice ne vous attendez pas à entendre un discours de "Droitards", ça n'est effectivement pas son truc.
@@Irving22pac Ce n'est pas ce que je voulais dire, mon commentaire n'était pas clair : je parlais bien des horreurs proférées par les gens que Guillaume Meurice interroge..... je suis effrayé d'entendre de tels fachos à chacune de ces chroniques - racistes, misogynes, .... et d'après ce qu'il dit ce ne sont pas des exceptions, il lui suffit de quelques minutes de discussion avec une poignée de personnes !!
D'où mon angoisse de vivre dans le même pays que tous ces gens.....
@@rosiagro64 OK. Désolé. Alors nous sommes complètement d'accords.
Guillaume, je t'adore 🤣🤣🤣🤣🤣
Leurs shaba?'? C est Quoi
C'est une marque de barquettes pour chats.
Et ben on est pas rendu !
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
C'est l'anniversaire des gâteux qui ne partage pas le gâteau.
Le véritable danger à Saint Amand ici c’est plutôt le niveau intellectuel des gens interviewés sans blague vous les avez trouvé devant le centre de travail pour handicapés là c’est pas possible.
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
Non pas besoin de 90 min enquête moi je regarde par la fenêtre pour m'écrire en terre islamique.
Ça fait tellement pitié ... Ils ont tellement aucun argument (y en a pas cherchez pas) que ça en devient malaisant....
Nous sommes en France, rien n’aurait dû troubler l’actualité « sociale » habituelle de cette rentrée. Pas même ce lycée de Nanterre qui mène depuis une semaine une guérilla ouverte pour imposer le port de vêtements islamiques - mouvement qui semble devoir se propager. Pas même la libération anticipée de l’agresseur du jeune Marin, handicapé à vie. Pas même cette Nantaise poignardée à mort, en partant au travail. Pas même ce « voisin vigilant » voulant empêcher un cambriolage, à Pornic, massacré à coups de couteau et de marteau par deux voyous « déjà connus », « impulsifs et très violents » (Le Parisien, le 17 octobre). Surtout pas les chiffres calamiteux du ministère de l’Intérieur. Record absolu et historique des coups et blessures, record absolu et historique des violences sexuelles. Ici la tranquille indifférence, l’ensauvagement banalisé. Et puis il y a eu Lola. Une jeune fille de douze ans, enlevée, violée, torturée et massacrée par une ressortissante algérienne, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. « Je l’ai attrapée par les cheveux, dit-elle en garde à vue. J’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orgasme. » Elle raconte ensuite avoir bu un café puis écouté de la musique, avant de larder le corps de coups de couteau, de boire son sang, puis de l’abandonner dans une malle en plastique, avec l’aide d’un complice déjà remis en liberté. Ce déni dure depuis trop longtemps. Cent-vingt coups de couteau par jour, et sur les écrans et aux manettes du pays les mêmes forcenés du vivre ensemble. Préférant voir s’empiler les victimes. Ou plutôt ne pas les voir. « Fait divers », rubrique des chiens écrasés, etc. Surtout « pas stigmatiser ». « Pas faire le jeu de ». Indifférence massive. Mépris idéologique si loin de l’insurrection victimaire habituelle, quand tel testing nous apprend par exemple qu’il est plus facile sur les plages privées « d’obtenir un transat quand on est Blanc ». Torsion complète du réel. Voilà l’interdit antiraciste, pourchassant de son infamie quiconque dit les faits et ne se prosterne pas devant le dogme. Lynchage social, chantage à l’extrême droite, principal complice organisé du crime. Avec notre fatalisme et notre passivité, face à cet État en dessous de tout, face aux chiens de garde de l’insécurité. Le procès en “récupération”, qui nous est dressé par des complices et des salauds, est là pour nous faire taire. Pour oublier cette malheureuse qui vient contrarier leur délire à plusieurs.
Lola est morte bâillonnée. Le moindre de nos devoirs est de ne plus nous taire.
Les salauds ne sont pas ceux qui veulent appliquer la loi, dénoncer les crimes et mettre hors d’état de nuire les barbares. Les salauds sont ceux qui ont permis ça, et qui continuent de le permettre en cherchant à nous empêcher de le dire. Bien planqués dans leur indifférence et leurs menaces qu’ils appellent bonté, en se lavant les mains de ces victimes vouées à l’oubli, sacrifiées à leur culte - qui est avant tout celui d’eux-mêmes. Leur déni seul est une indécence. Où sont les genoux à terre, les marches blanches, les bougies, les performances, les lâchers de ballons ? Où sont les photos pleine Une avec les grands mots qui culpabilisent ? Où sont les tribunes et les pétitions, les projets de loi, les discours graves et compassés ? Où sont les célébrités engagées et les mèches coupées ? Lola est morte, comme tant d’autres, et des vérités restent : des millions d’immigrés se trouvent sur notre sol - contre la volonté du peuple français. Parmi eux des centaines de milliers de clandestins. Pourquoi ? Des dizaines de milliers d’entre eux sont visés par des obligations de quitter le territoire (OQTF). Près de trois cents par jour sont prononcées. Moins de 10 % sont exécutées. Comme tout le reste, « Darmanin dit », prétend la presse, « Darmanin veut », et rien ne se passe. Les “pouvoirs publics”, cette impuissance privée, et autres “responsables” - que ce mot leur va mal -, restent lâches, bien dans leur com et leur inertie, puisque pas d’explosion, pas de peuple dans les rues, ce qui est le baromètre du politicien moderne, ainsi que l’a si bien expliqué Édouard Philippe. Et s’il est question d’une « déséquilibrée », alors nous aurions aussi de quoi discuter. La prévalence des « troubles psychiques » est trois fois plus élevée chez les migrants, et c’est encore plus spectaculaire chez les populations maghrébines et subsahariennes. Pourquoi personne n’en parle ? Des dizaines de milliers de cinglés errent dans nos rues, plus ou moins livrés à eux-mêmes. Quel est le projet ?
Laurent Obertone.
@@nicolasvanhorton5043 ta finis ? Vous êtes comme les complotiste extrêmes, vous mélanger tous les sujets, vous sortez des infos chocs, vous pointer du doigt un ennemis commun, une cible a abattre, responsable de tous vos maux et vous attendez !
Ton copier coller me fais rire, dans le sens où le sujet y est TATATATATA l'immigration.... Les gars sérieux... C'est lourd à force... Une algérienne a tué une enfant ? Et ? Tuons les algériens ? Non
Condamnons cette dame, prenons soin de nos enfants et accueillons de manière qualitative et descente les personnes qui sont dans le besoin (guerres, climat, et j'en passe). Ne pas boulot la peine de mort a tout bout de champ ne signifie pas que nous sommes d'accord avec les violences.
Qui sont d'ailleurs, pas aussi présentes que vous ne l'avancé ;)
Les voleurs/violeurs qui nous dirigent ne méritent t'il pas d'être eux aussi condamné ?
Bref répondre à toutes les questions par : IMMIGRATION
Est le meilleur moyen de se mettre des oeillères et de louper des trucs un peu plus alarmant
Et personne parle des 40 affaires pénale autour de Macron ??
OUFTI VOUS M'AVEZ PRESQUE MANQUé...Love les amiches!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ils disent ce qui pensent beaucoup (beaucoup, beaucoup) de monde dans le pays de la liberté, égalité et (surtout!) fraternité !
Magnifique Guillaume ! Comme toujours ! 👏
j'aime bien il dise que le problème ces les arabe mais il ont on jamais vu
Et ils ne veulent pas en voir...
mais tu comprends ils sont sur 90 ' enquète ... la tv c'est le réel.
La TV propagande leur dit quoi penser
Vous en faites pas notre gouvernement avec borne en tête arrive d Algérie , c est pas pour amitié, on voudrait bien les connaître les accords, pas ceux pour les médias, ceux qui faut pas dire .
Comme d habitude vs etes tranchant ds vos chroniques..vs ns montré l absurdité de l humainité...
🥴
La bien-pensance qui vient nous faire la morale en prenant des gens bien caricaturaux pour pouvoir s'en moquer! j'aimerai bien savoir ou ils habitent tous ces journalistes de france inter?! ceci dit , je suis pour que les humoristes se moquent de tout le monde y compris le RN!
La mal-pensance n'a pas de morale, et ça n'en fait pas une caricature, mais une caractéristique majeur.
@@marywings6870 plus tot que de se moquer de ces gens, ils feraient mieux de s'interroger pourquoi ils votent marine ! il y a surement des raisons!
@@marywings6870 cnews est peut-etre la seule chaine qui a un discours qui va à l'encontre de toutes les autres chaines, en particulier le service public! et ça fait du bien! ceci dit j'ecoute aussi france inter et je ne mets pas tout à la poubelle!
@@Napoléon-d5j "CnEwS cé dé rebels sa fé du bien" on t'a reconnu Vincent "bip bip" Boloré ; au bûché.
@UCiIu7myvyLsYQwR7af0lG8A J'ai pas eu la chance d'en croiser. Mais t'en que tu parles d'aider ton prochain, c'est quand la dernière fois que tu as donné quelque chose à un sdf? Arf, j'oubliais que l'altruisme c'est haram à l'extrême droite...
Vous savez Guillaume, plus ça va....plus elle m'inquiète votre chronique 🤔 Ça ressemble de plus en plus à des parodies du caviar des clichés des documentaires légèrement orientés...
En même temps, les documentaires habituels sont plutôt orientés de l'autre côté du spectre politique Français.
Ça change.
Guigui Maurice le bobeauf est de gôôôche, la " gôôôche redevance "
Guigui Maurice le bobeauf est de gôôôche, la " gôôôche redevance "
St Amand : pays de mes ancêtres...J'ai honte que Papon en eût été maire.............................
J'ai une solution aux problèmes d'insécurité, éteignez la télé !! ✊️
😶🌫C'est une impression ; ou ça rigole de façon très modéré, pour un parti immodéré... 🤨
Dans les boulangeries, j’aime la tête des pâtisseries pour les enfants : Hitler au chocolat Face de Booba bamboula fondant etc. etc.… et on fait tourner les serviettes, c’est la fête !😂🎉😅
comme on dit Maurice la malice,...Maurice la milice
Le "Prisme déformant" de France Inter, on en parle quand ?
quand vous voulez !! on vous écoute !!!🤣🤣🤣🤣🤣
@Hala Salamé Ton petit smiley tout sourire après "un jour ça va tomber sur eux", en dit long sur ce que tu aimerais. On n'est pas loin de l'appel au meurtre. Estime-toi heureux d'avoir le droit de déblatérer publiquement ton ignorance à longueur de journée parce que tu ne vaut pas beaucoup mieux que les terroristes islamistes.
Paul Emmanuel THORE 👍👍👍👍👍👍
@@ronald5204 Rance Inter : " Ici Radio Paris ...les petits bourgeois gauchistes des beaux quartiers parisiens parlent aux petits bourgeois gauchistes des beaux quartiers de province "
@@mimilagrayloise7980un conseil : alors, changez de fréquence🤪, et ne perdez pas vote temps à écouter France-Inter , la Radio la plus écoutée de France !!! 🤣🤣🤣
Bon vent !!!!!!!!!!!!!😂😂