Très bonne chronique. Victime des thérapies tous styles confondus qui s'inspirent des courants de pensées psychanalytiques à la sauce New Age sans résultats probants pour oser demander de l'aide à une neuropsychologue qui m'a fait passé un WAIS et a constaté pendant l'entretien des comportements et réponses très "asperger" et me voilà aujourd'hui diagnostiquée. Maintenant j'ose dire que la psychanalyse a fait caca dans ma tête. Un numéro spécial L'Express dont le titre "faut-il en finir avec la psychanalyse ?" est bien fait.
Bonjour. Je l'ai déjà dit sous un autre épisode mais attention avec Sophie Robert qui, même si le documentaire Le Mur était intéressant, a plus récemment sorti un autre documentaire bourré de fausses informations sur les personnes trans 😣 (Je le dis surtout pour les gens qui liront les commentaires) En dehors de ça je continue mon écoute de vos podcasts. Celui sur Comment arrêter de se faire bouffer m'a énormément appris et j'ai pris quelques notes pour faire face à de potentielles futures situations. Merci pour votre travail 💖
Merci pour ce commentaire. Je suis heureuse que mes chroniques puissent vous apporter quelques éléments. Pour ma part j’ai beaucoup de bonheur à travailler dessus💖 D’une façon générale je suis très loin de tout connaitre sur tous les sujets, et j’ai bon espoir qu’ensemble, avec des échanges sincères, on puisse avancer. Finalement personne n’est vraiment statique, on avance, on se renseigne et la plupart d’entre nous éclaire ses opinions et évolue, doucement. Les choses bougent. Sur la question du genre ( et le respect qui s’impose!) je complète votre commentaire en recommandant pour ma part les excellents séries de META DE CHOC et le travail d’Elisabeth Feytit ua-cam.com/users/results?search_query=meta+de+choc+transidentité, ainsi que la chaîne Alisair www.youtube.com/@HParadoxa qui parle beaucoup d’autisme et de genre, en tant que personne concernée. J’en profite aussi pour placer ce live de 2h qui est précieux ua-cam.com/video/IlYqkbcwJbc/v-deo.html
S'il y a bien un domaine où la psychanalyse est vaine voire mauvaise ,c'est celui-ci .Les irm cerebrales commencent un peu mieux à comprendre ainsi que la neurobiologie ( serotonine ,dopamine etc.. ) ce qui se passe et peut être plus ou moins régulier.Les irm cerebrales ont ainsi montré des choses en ce qui concerne les hpi ( épaisseur de la myéline etc.. ).
Je suis une personne autiste sans défiance intellectuelle, maman d'une jeune fille autiste sans défiance intellectuelle . Puis je écouter les podcast pour les jeunes afin de mieux comprendre ma vie passée d'un côté, et apporter l'aide utile pour ma fille 🤔😊
Si je résume bien: oui à l'analyse mais pas à la psychanalyse ? Et donc la question que je me pose depuis des années : les TSA sont ils analysables ou peuvent ils en tirer profit ? Je veux dire nos cerveaux sont si différents même si nous restons humains. J'aimerais vraiment discuter de ça
ça dépend de ce que vous mettez derrière le mot " analyse". Si vous entendez par là réflexion, metacognition, essayer de comprendre comment vous fonctionnez, recherche, etc. Oui Si vous entendez par là " être en analyse" c'est le terme employé en psychanalyse pour " être en thérapie avec un psychanalyse". Et c'est là que la HAS ne recommande pas, et que l'approche psychanalyste de l'autisme peut-être dangereuse. A nuancer par le fait qu'en france presque tous les psychologues et psychiatres ont aussi étudié la psychanalyse. Mais certains en ont pris de la distance ou font la part des choses lorsqu'il sont avec un autiste. A discuter donc avec le psy. Qu'il soit " chologue" " cothérapeuthe" ou "chiatre". Par contre s'il n'a que la formation de " chanaliste" il peut probable qu'il ait une approche bénéfique pour un profil TSA
J’ ai subi deux psychanalyses . Une freudienne et une jungienne. Ma détresse était telle qu’ une analyste a voulu absolument me faire admettre un inceste refoulé ce qui était complètement faux . Une perte de temps et d’ argent considérable . A 50 ans mon diagnostic d’ autisme est venu confirmer que mes 25 années d’ errance diagnostique à cause de l obédience psychanalytique qui infeste le milieu psychiatrie et la majorité de la sphère psychothérapeutique . Un carnage. Je ne dirai pas moins. Mais au moins je peux en témoigner.
Le terme " subir" est lourd de sens ! Oui, combien de retard de diagnostic ou accompagnement adapté, ou simplement de prise en compte de cette façon d'être?
![[ENTRETIEN] MIKAËL CADIOU - Ce que la danse révèle de nous](http://i.ytimg.com/vi/ZbCclD3tQt4/mqdefault.jpg)
Merci Maya ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Très bonne chronique. Victime des thérapies tous styles confondus qui s'inspirent des courants de pensées psychanalytiques à la sauce New Age sans résultats probants pour oser demander de l'aide à une neuropsychologue qui m'a fait passé un WAIS et a constaté pendant l'entretien des comportements et réponses très "asperger" et me voilà aujourd'hui diagnostiquée. Maintenant j'ose dire que la psychanalyse a fait caca dans ma tête.
Un numéro spécial L'Express dont le titre "faut-il en finir avec la psychanalyse ?" est bien fait.
Bonjour. Je l'ai déjà dit sous un autre épisode mais attention avec Sophie Robert qui, même si le documentaire Le Mur était intéressant, a plus récemment sorti un autre documentaire bourré de fausses informations sur les personnes trans 😣
(Je le dis surtout pour les gens qui liront les commentaires)
En dehors de ça je continue mon écoute de vos podcasts. Celui sur Comment arrêter de se faire bouffer m'a énormément appris et j'ai pris quelques notes pour faire face à de potentielles futures situations. Merci pour votre travail 💖
Merci pour ce commentaire. Je suis heureuse que mes chroniques puissent vous apporter quelques éléments. Pour ma part j’ai beaucoup de bonheur à travailler dessus💖
D’une façon générale je suis très loin de tout connaitre sur tous les sujets, et j’ai bon espoir qu’ensemble, avec des échanges sincères, on puisse avancer. Finalement personne n’est vraiment statique, on avance, on se renseigne et la plupart d’entre nous éclaire ses opinions et évolue, doucement. Les choses bougent.
Sur la question du genre ( et le respect qui s’impose!) je complète votre commentaire en recommandant pour ma part les excellents séries de META DE CHOC et le travail d’Elisabeth Feytit ua-cam.com/users/results?search_query=meta+de+choc+transidentité, ainsi que la chaîne Alisair www.youtube.com/@HParadoxa qui parle beaucoup d’autisme et de genre, en tant que personne concernée.
J’en profite aussi pour placer ce live de 2h qui est précieux ua-cam.com/video/IlYqkbcwJbc/v-deo.html
S'il y a bien un domaine où la psychanalyse est vaine voire mauvaise ,c'est celui-ci .Les irm cerebrales commencent un peu mieux à comprendre ainsi que la neurobiologie ( serotonine ,dopamine etc.. ) ce qui se passe et peut être plus ou moins régulier.Les irm cerebrales ont ainsi montré des choses en ce qui concerne les hpi ( épaisseur de la myéline etc.. ).
Je suis une personne autiste sans défiance intellectuelle, maman d'une jeune fille autiste sans défiance intellectuelle . Puis je écouter les podcast pour les jeunes afin de mieux comprendre ma vie passée d'un côté, et apporter l'aide utile pour ma fille 🤔😊
Oui bien sûr ;)
Il sort samedi prochain
Si je résume bien: oui à l'analyse mais pas à la psychanalyse ?
Et donc la question que je me pose depuis des années : les TSA sont ils analysables ou peuvent ils en tirer profit ? Je veux dire nos cerveaux sont si différents même si nous restons humains.
J'aimerais vraiment discuter de ça
ça dépend de ce que vous mettez derrière le mot " analyse".
Si vous entendez par là réflexion, metacognition, essayer de comprendre comment vous fonctionnez, recherche, etc. Oui
Si vous entendez par là " être en analyse" c'est le terme employé en psychanalyse pour " être en thérapie avec un psychanalyse". Et c'est là que la HAS ne recommande pas, et que l'approche psychanalyste de l'autisme peut-être dangereuse.
A nuancer par le fait qu'en france presque tous les psychologues et psychiatres ont aussi étudié la psychanalyse. Mais certains en ont pris de la distance ou font la part des choses lorsqu'il sont avec un autiste. A discuter donc avec le psy. Qu'il soit " chologue" " cothérapeuthe" ou "chiatre". Par contre s'il n'a que la formation de " chanaliste" il peut probable qu'il ait une approche bénéfique pour un profil TSA
J’ ai subi deux psychanalyses . Une freudienne et une jungienne. Ma détresse était telle qu’ une analyste a voulu absolument me faire admettre un inceste refoulé ce qui était complètement faux . Une perte de temps et d’ argent considérable . A 50 ans mon diagnostic d’ autisme est venu confirmer que mes 25 années d’ errance diagnostique à cause de l obédience psychanalytique qui infeste le milieu psychiatrie et la majorité de la sphère psychothérapeutique . Un carnage. Je ne dirai pas moins. Mais au moins je peux en témoigner.
Le terme " subir" est lourd de sens !
Oui, combien de retard de diagnostic ou accompagnement adapté, ou simplement de prise en compte de cette façon d'être?