HOMÉLIE - Apprenez à vous engager !

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  • Опубліковано 16 січ 2025

КОМЕНТАРІ • 5

  • @MrPuff08
    @MrPuff08 2 роки тому +1

    merci mon père ..🙏🏾je coupe les liens qui m’entrave dans mon chemin vers Jesus
    Amen 🙏🏾🕯

  • @carolelapaix3439
    @carolelapaix3439 3 місяці тому

    Excellente homélie ,merci Père !

  • @delphinetrojani7707
    @delphinetrojani7707 2 роки тому

    Amen !
    Merci ! 🙏🏼

  • @Nina-jn2jb
    @Nina-jn2jb 5 років тому +1

    Dommage que vous ayez coupé un passage au montage

  • @RemiDem496
    @RemiDem496 3 роки тому

    Bonjour et merci, je suis assez peu d'accord avec un point central de cette homélie : on ne quitte pas un age pour un autre, on cumule les âge et il ne faut pas que l'un entrave les autres peu importe lequel d'ailleurs. Heureusement qu'on ne détruit pas l'un pour avoir l'autre, la condition fétale est un cas un peu particulier et caricature un peu le sujet, il reste que l'on cumule adolescence et age adulte et heureusement, d'autant plus que l'on associe de manière abusive jeunesse et immaturité mais combien de jeunes sont infiniment plus enclins à l'engagement que des cinquantenaires qui veulent toujours être dans le "satisfait ou remboursé" et dans le "30 jours pour changer d'avis".
    La société actuelle fait des enfances perverties et décadentes (oui décadences dès l'enfance) comme des adolescents, comme des adultes et même des adulescents qui tous sont des gens à la limite du pathologique car le système en a besoin. Passer sur une autre étape aussi pathologique n'y changera rien le diable vous attend à tous les étages et si vous passez de manière "discutable" de l'un vers l'autre vous risquez une sale situation lors de ce même passage. Le grand relâchement de la fin de vie c'est le "Jackpot" de Satan il vous fait tomber au moment final, pour lui c'est la fête en enfer avec musique et cotillons... (d'ailleurs certains qui sont persuadés que la fête et pour eux croient parfois quelques instants qu'ils peuvent s'en réjouir, la seconde d'après peut faire TRÈS mal). (Ce n'est pas un procès car vous parlez à ce sujet "d'accomplissement"). Le fait de mourir à des parts de soi même ou faire le tri sur des morceaux de soi même ou sur des influences cela est un travail de chaque instant (à mon sens tout l'amour du Christ n'y change rien si ce n'est qu'il nous aide à faire ce travail mais ne nous ne décharge pas). Il serait possible de débattre entre le mourir ou le retirer ce qui nous empêche de rester vivant (les fils dont vous parlez mais aussi les "taches" et les influences néfastes, les regrets qui nécessitent réparation... ) mais il est vrai que la notion de vie et de vie, de mort et de mort varient au gré du contexte, il reste que mourir à soi même est un grand sujet vis à vis de dieu qui nous aime vivant donc un travail de purification de soi même semble plus adapté qu'un travail qui vise à mourir à soi même sinon on se perd pour avoir dieu... dieu n'est pas un chemin de perdition pour soi même ni de mise à mort. C'est un purification et une sortie du monde pour imposer autant que possible dès ici bas le royaume de dieu qui semble plus adaptée, ce qu'il y a de mauvais en nous n'est pas forcément "nous" et mourir a ce mauvais c'est un peu inversé les rôles, c'est lui qui doit mourir.... et dieu nous y aide car lui seul est le référent suprême (surtout pas l'avis des autres qui ne veulent que vous empêcher de réussir pour s'éviter un inconfort psychique ou qui seront de toute façon entraver par leur condition humaine qui fait qu'il ne seront de toute façon jamais à la hauteur du sujet quoiqu'ils en pensent, autrui ne peut être utile au salut que dans l'exemple qu'il donne et l'inspiration possible qui en résulte tout le reste est perversion et ingérence, nuisances même).
    Pour ce qui est de "mourir à l'amour pourri du début", il existe des gens en ce bas monde qui n'ont jamais autant aimé leur femme qu'à un stade avancé de leur relation et cet amour plus fort n'a en rien exclut celui du début. On peut donc aimer mieux qu'au début ça se fait très bien, pour cela il existe une façon extrêmement simple de procéder : il faut faire un choix adapté, dès le début et par la suite se préserver des embuches qui font ressortir sur le couple des problèmes qui sont extérieur à lui. C'est pareil avec dieu si vous l'accusez de vos malheur plutôt que de vous demander les fautes qui vous y ont mené vous altérez votre relation à lui et les humain capables d'autant de pardon que dieu sont assez "rares" pour que la même situation au niveau du couple soit désastreuses et porteuses de lourdes conséquences. Aucun rêve n'est trop grand ici bas mais ceux qui s'en donnent les moyens sont d'un nombre misérable. Jésus nous a dit que ceux qui avaient la foi comme une graine de moutarde pouvaient déplacer les montagnes et planter des arbres dans la mer, avoir un amour qui ne cesse de s'affiner c'est relativement "réaliste" pour un chrétien peu importe qu'il s'agisse d'un amour à dieu ou à une femme mais de toute façon les deux sont forcément liés.
    Cordialement, Soyez béni