Bonjour Je vous répondrai en fonction de mon expérience personnelle et non pas d'une quelconque doxa. La durée de la supervision première est très variable selon le parcours analytique personnel de l'analyste ou du thérapeute. Elle peut s'étendre sur plusieurs années, puis les séances s'espacent et la supervision finit par trouver son terme. Ce qui ne signifie pas qu'elle est terminée ! Car elle reprend dès lors que l'analyste se trouve confronté à une difficulté dans sa pratique.
Hors-sujet pour cette vidéo : Schizophrène stabilisé par un traitement et suivant une psychanalyse, est-ce vraiment une bonne idée de poursuivre ? Pour en revenir à la vidéo, je demanderai à mon analyste s'il a un superviseur. Il me donne parfois son avis. La neutralité est-elle possible avec un psychotique ?
Une bonne idée ?... Il n'y a que vous qui pouvez juger de ce qu'elle vous a apporté et continue de vous apporter. Votre deuxième paragraphe : - lorsque la question est posée à un analyste, la tendance (fâcheuse) est de répondre "quelle est la raison qui vous fait poser cette question ?", ce que je trouve dommage pour la clarté et la confiance entre un analyste et un analysant. Idem pour les questions "avez-vous fait une analyse personnelle ?", "combien de temps a-t-elle duré ?", "qui a été votre analyste ?". Personnellement, j'estime que ces questions sont parfaitement légitimes de la part d'un analysant potentiel. - la conduite d'une analyse avec un névrosé ne saurait évidemment pas être un copier-coller si l'on accompagne un psychotique. Bien à vous.
![[ENTRETIEN] ANDRÉ COMTE-SPONVILLE - Penser mieux pour vivre mieux](http://i.ytimg.com/vi/UBojQFk0Rkw/mqdefault.jpg)
Il était temps d'apporter ces éclaircissements.merciiii
Avec plaisir.
Merci beaucoup
Avec plaisir.
Est-il possible pour l'analyste de cesser la supervision après un certain nombre d'années...
Bonjour
Je vous répondrai en fonction de mon expérience personnelle et non pas d'une quelconque doxa. La durée de la supervision première est très variable selon le parcours analytique personnel de l'analyste ou du thérapeute. Elle peut s'étendre sur plusieurs années, puis les séances s'espacent et la supervision finit par trouver son terme. Ce qui ne signifie pas qu'elle est terminée ! Car elle reprend dès lors que l'analyste se trouve confronté à une difficulté dans sa pratique.
@@JeanCharlesBettan Merci pour votre réponse
Hors-sujet pour cette vidéo : Schizophrène stabilisé par un traitement et suivant une psychanalyse, est-ce vraiment une bonne idée de poursuivre ?
Pour en revenir à la vidéo, je demanderai à mon analyste s'il a un superviseur. Il me donne parfois son avis. La neutralité est-elle possible avec un psychotique ?
Une bonne idée ?... Il n'y a que vous qui pouvez juger de ce qu'elle vous a apporté et continue de vous apporter.
Votre deuxième paragraphe :
- lorsque la question est posée à un analyste, la tendance (fâcheuse) est de répondre "quelle est la raison qui vous fait poser cette question ?", ce que je trouve dommage pour la clarté et la confiance entre un analyste et un analysant. Idem pour les questions "avez-vous fait une analyse personnelle ?", "combien de temps a-t-elle duré ?", "qui a été votre analyste ?". Personnellement, j'estime que ces questions sont parfaitement légitimes de la part d'un analysant potentiel.
- la conduite d'une analyse avec un névrosé ne saurait évidemment pas être un copier-coller si l'on accompagne un psychotique.
Bien à vous.
Merci.