C est quelqu'un qui a quand même un sacré culot !! Il dénonce certaines personnes auprès du cnaps pour non respect de certaines règles déontologiques alors qu'il est loin d'être clean
En 2018, j'ai été évalué par ce monsieur à la soutenance orale de mon stage; Il n'a pas tenu compte que je n'avais pas à faire mon stage tout seul et a pris la défense de son neveu : l'IFAR. D'ailleurs je souligne que plusieurs plaintes ont été déposées contre cette école. Je me souviens de cette phrase qu'il m'a dit à la fin : "De toute façon la pression vous l'aviez tous". Eh bien non cher Monsieur, le stage ça sert à apprendre et non a nous évaluer en tant qu'employé ou d'apporter de la main d'œuvre gratuite ! Il a aussi mis un terme à la soutenance d'une stagiaire au bout de deux minutes, car elle avait fait une infiltration et que c'est "illégal". Par contre, pour tous les autres, faire son stage tout seul c'est normal puisque qu'ils pu passé la soutenance! Et autoriser un candidat à passer son examen de filature alors qu'il s'est fait retiré le permis de conduire juste avant, aussi !
L’IFAR vient d’être condamnée. Je vous explique ce qu’il s’est passé : en 2018, un stagiaire n’avait pas été autorisé à terminer son stage, pour la raison qu’il n’avait pas de véhicule. Afin qu’il puisse terminer la formation ultérieurement, on lui a demandé 1000 euros supplémentaires qu’il a payé. Véhiculé quelques mois plus tard , malgré toutes ses démarches pour réintégrer l’école, il n’a pu finir son stage. Il n’a donc pas pu passer l’examen final. Ceci est d’autant plus troublant qu’une candidate qui n’avait pas encore le permis a été acceptée à entrer en formation et un autre qui s’était fait retirer le permis pour conduite en état d’ivresse, a été autorisé à passer l’épreuve de filature lors de la journée d’examen. Cependant cette condamnation ne représente que la petite partie visible de l’iceberg. D’autres faits sont largement susceptibles d’accabler le cas de cette école. Trois plaintes (au minimum) ont été déposées au TGI de Montpellier plus une autre assignation au civil, pour les raisons suivantes. Durant la même session que le stagiaire ayant eu gain de cause ( 2017-2018), deux autres élèves ont également rencontrés des difficultés : -Lors de son stage, une jeune marseillaise s’est faite infiltrée dans une entreprise à l’aide d’un faux CV dans le but d’élucider une affaire de vol. Elle s’est faite agressée et a eu le pouce cassé. Malgré un arrêt maladie prescrit, ses maîtres de stage l’ont obligé à continuer. Ils ont même essayé de lui extorquer son salaire. Suite à cette expérience, elle est tombée en dépression. Elle n’a pas obtenu son diplôme. -Pressée par son maître de stage, une trentenaire a failli perdre la vie dans un accident de voiture. Fort heureusement, seul des dégâts matériels ont été à déplorer. Mais elle a eu à changer de véhicule. On retient aussi qu’elle a été utilisée pour faire les missions les plus pénibles, au lieu de travailler en binôme pour apprendre. Très sérieuse, assidue et motivée, contre toute attente, elle n’a pas eu son diplôme. En 2016-2017, un montpelliérain a passé une nuit en garde à vue, à la suite d’une filature. Son maître de stage, lui a reproché d’avoir dévoilé aux gendarmes l’objet de la mission mais aussi d’avoir dénoncé l’un de ses collaborateurs qui avait posé un traceur GPS sur le véhicule filé (procédé interdit). On avait enseigné dans cette école que le secret professionnel c’est de ne rien dévoiler sur la mission même aux forces de l’ordre. A cause de ça, ce stagiaire a eu des notes de stage insuffisantes, ce qui lui a privé du diplôme auquel il aspirait. Malgré son sérieux, son assiduité et ses bonnes notes aux contrôles continus. En 2015, un élève a également eu des soucis avec ce centre de formation. Pour être bref, il n’a pas été autorisé à terminer son stage. Il a pourtant déboursé prés de 15 000 euros . Aujourd’hui, Il continue toujours son combat afin d’obtenir gain de cause. En Octobre 2016, il avait distribué des tracts mettant en garde les stagiaires sur la fiabilité de la formation. Il a également assigné cette structure (jugement à venir). Il faut savoir que la grande majorité des stagiaires avait fait leur stage seuls, comme des employés mais sans carte professionnelle ni salaire et ont souvent été évalués selon leurs résultats. Alors que le stage a pour but de faire découvrir le métier et surtout d’apprendre. En outre, il a été noté : -Dans la partie théorique : des retards fréquents et volontaires du directeur-intervenant, beaucoup de cours légers voire annulés au dernier moment, des copies jamais rendues, des méthodes d’admission mais aussi de notations incohérentes et douteuses, l’enseignement de procédés illicites comme la pose d’une balise de géolocalisation sous un véhicule… -Dans la partie examen : des coefficients (et barèmes?)décidés selon les résultats des épreuves finales, des ordres d’évaluations incohérents, une candidate évaluée à sa soutenance orale par son propre maître de stage, une autre à qui son maître de stage lui a laissé le choix de sa note … Il a également été constaté un grand nombre d’écarts déontologiques, notamment au sein des plusieurs agences de détectives en lien avec cette école, que je ne citerai pas. Tout ceci, à l’exception du cas que j’ai précité ci-dessus, ne concerne que les années scolaires 2016-2017 et 2017-2018 ! Pour information ce centre de formation est toujours en activité. Les trois plaintes ayant été déposées au TGI de Montpellier datent de septembre 2019. Et d’autre(s) devraient se rajouter.
Je connais sa société France detective ou pupet, basée à Nimes. Il a 7 agences. Je sais qu'il accepte des mission non légitimes comme etre mandaté par un homme parce qu'il est interessé par une nana et qu'il veut en savoir plus sur elle. Ayant vu quelque uns de ses rapports de vacation et de synthése, ça se voit qu'il pratique la pose du traceur, alors que c'est illégal
J’aime bien ce métier je pense que je serai l’un des meilleures mais si sa ne gagne pas sa ne m’intéresse pas j’ai jamai été fort a l’école donc ce métier ne peut malencontreusement pas m’accueillir..
J aimerais tout simplement comprendre pourquoi ce monsieur, on le laisse continuer à exercer la profession malgré ses nombreux écarts déontologique ? Que fait le cnpas ????
@@zoattrinity4185 pour commencer il n'est pas du tout sérieux car il a au moins 10-15 activités différentes mais il ne dit pas qu'il y a conflit d'intérêt entre être jury, partie, régulateur au CNAPS. Sans compter qu'il ne respecte pas son code de déontologie et qu'en plus il donne des leçons, vue qu'il se sent fort et puissant. ce n'est qu'un rigolo.
C est quelqu'un qui a quand même un sacré culot !! Il dénonce certaines personnes auprès du cnaps pour non respect de certaines règles déontologiques alors qu'il est loin d'être clean
En 2018, j'ai été évalué par ce monsieur à la soutenance orale de mon stage; Il n'a pas tenu compte que je n'avais pas à faire mon stage tout seul et a pris la défense de son neveu : l'IFAR. D'ailleurs je souligne que plusieurs plaintes ont été déposées contre cette école.
Je me souviens de cette phrase qu'il m'a dit à la fin : "De toute façon la pression vous l'aviez tous". Eh bien non cher Monsieur, le stage ça sert à apprendre et non a nous évaluer en tant qu'employé ou d'apporter de la main d'œuvre gratuite !
Il a aussi mis un terme à la soutenance d'une stagiaire au bout de deux minutes, car elle avait fait une infiltration et que c'est "illégal". Par contre, pour tous les autres, faire son stage tout seul c'est normal puisque qu'ils pu passé la soutenance! Et autoriser un candidat à passer son examen de filature alors qu'il s'est fait retiré le permis de conduire juste avant, aussi !
L’IFAR vient d’être condamnée. Je vous explique ce qu’il s’est passé : en 2018, un stagiaire n’avait pas été autorisé à terminer son stage, pour la raison qu’il n’avait pas de véhicule. Afin qu’il puisse terminer la formation ultérieurement, on lui a demandé 1000 euros supplémentaires qu’il a payé. Véhiculé quelques mois plus tard , malgré toutes ses démarches pour réintégrer l’école, il n’a pu finir son stage. Il n’a donc pas pu passer l’examen final. Ceci est d’autant plus troublant qu’une candidate qui n’avait pas encore le permis a été acceptée à entrer en formation et un autre qui s’était fait retirer le permis pour conduite en état d’ivresse, a été autorisé à passer l’épreuve de filature lors de la journée d’examen.
Cependant cette condamnation ne représente que la petite partie visible de l’iceberg. D’autres faits sont largement susceptibles d’accabler le cas de cette école. Trois plaintes (au minimum) ont été déposées au TGI de Montpellier plus une autre assignation au civil, pour les raisons suivantes.
Durant la même session que le stagiaire ayant eu gain de cause ( 2017-2018), deux autres élèves ont également rencontrés des difficultés :
-Lors de son stage, une jeune marseillaise s’est faite infiltrée dans une entreprise à l’aide d’un faux CV dans le but d’élucider une affaire de vol. Elle s’est faite agressée et a eu le pouce cassé. Malgré un arrêt maladie prescrit, ses maîtres de stage l’ont obligé à continuer. Ils ont même essayé de lui extorquer son salaire. Suite à cette expérience, elle est tombée en dépression. Elle n’a pas obtenu son diplôme.
-Pressée par son maître de stage, une trentenaire a failli perdre la vie dans un accident de voiture. Fort heureusement, seul des dégâts matériels ont été à déplorer. Mais elle a eu à changer de véhicule. On retient aussi qu’elle a été utilisée pour faire les missions les plus pénibles, au lieu de travailler en binôme pour apprendre. Très sérieuse, assidue et motivée, contre toute attente, elle n’a pas eu son diplôme.
En 2016-2017, un montpelliérain a passé une nuit en garde à vue, à la suite d’une filature. Son maître de stage, lui a reproché d’avoir dévoilé aux gendarmes l’objet de la mission mais aussi d’avoir dénoncé l’un de ses collaborateurs qui avait posé un traceur GPS sur le véhicule filé (procédé interdit). On avait enseigné dans cette école que le secret professionnel c’est de ne rien dévoiler sur la mission même aux forces de l’ordre. A cause de ça, ce stagiaire a eu des notes de stage insuffisantes, ce qui lui a privé du diplôme auquel il aspirait. Malgré son sérieux, son assiduité et ses bonnes notes aux contrôles continus.
En 2015, un élève a également eu des soucis avec ce centre de formation. Pour être bref, il n’a pas été autorisé à terminer son stage. Il a pourtant déboursé prés de 15 000 euros . Aujourd’hui, Il continue toujours son combat afin d’obtenir gain de cause. En Octobre 2016, il avait distribué des tracts mettant en garde les stagiaires sur la fiabilité de la formation. Il a également assigné cette structure (jugement à venir).
Il faut savoir que la grande majorité des stagiaires avait fait leur stage seuls, comme des employés mais sans carte professionnelle ni salaire et ont souvent été évalués selon leurs résultats. Alors que le stage a pour but de faire découvrir le métier et surtout d’apprendre.
En outre, il a été noté :
-Dans la partie théorique : des retards fréquents et volontaires du directeur-intervenant, beaucoup de cours légers voire annulés au dernier moment, des copies jamais rendues, des méthodes d’admission mais aussi de notations incohérentes et douteuses, l’enseignement de procédés illicites comme la pose d’une balise de géolocalisation sous un véhicule…
-Dans la partie examen : des coefficients (et barèmes?)décidés selon les résultats des épreuves finales, des ordres d’évaluations incohérents, une candidate évaluée à sa soutenance orale par son propre maître de stage, une autre à qui son maître de stage lui a laissé le choix de sa note …
Il a également été constaté un grand nombre d’écarts déontologiques, notamment au sein des plusieurs agences de détectives en lien avec cette école, que je ne citerai pas.
Tout ceci, à l’exception du cas que j’ai précité ci-dessus, ne concerne que les années scolaires 2016-2017 et 2017-2018 ! Pour information ce centre de formation est toujours en activité.
Les trois plaintes ayant été déposées au TGI de Montpellier datent de septembre 2019. Et d’autre(s) devraient se rajouter.
Je connais sa société France detective ou pupet, basée à Nimes. Il a 7 agences. Je sais qu'il accepte des mission non légitimes comme etre mandaté par un homme parce qu'il est interessé par une nana et qu'il veut en savoir plus sur elle. Ayant vu quelque uns de ses rapports de vacation et de synthése, ça se voit qu'il pratique la pose du traceur, alors que c'est illégal
J’aime bien ce métier je pense que je serai l’un des meilleures mais si sa ne gagne pas sa ne m’intéresse pas j’ai jamai été fort a l’école donc ce métier ne peut malencontreusement pas m’accueillir..
Tiens, l'ange gardien de Yves Conversano et de l'IFAR !
Jaim bien se métier
Il sait danser la salsa brésilienne lui en tout cas
Vous pouvez vous faire immatriculé au luxembourg pour etre arp. L'esarp est facultatif
J aimerais tout simplement comprendre pourquoi ce monsieur, on le laisse continuer à exercer la profession malgré ses nombreux écarts déontologique ? Que fait le cnpas ????
Il ne merite pas qu'on lui renouvelle pas son agrement. Si il existait un ordre des detectives, cela fait longtemps qu'il n'y serait plus
Je trouve assez bizarre que ce monsieur puisse toujours exercer la profession de détective. Que fait le CNAPS?
Pk tu dit sa ?
@@zoattrinity4185 pour commencer il n'est pas du tout sérieux car il a au moins 10-15 activités différentes mais il ne dit pas qu'il y a conflit d'intérêt entre être jury, partie, régulateur au CNAPS. Sans compter qu'il ne respecte pas son code de déontologie et qu'en plus il donne des leçons, vue qu'il se sent fort et puissant. ce n'est qu'un rigolo.
@@estelledeplagne5795 ta trop la rage
Nice
Il joue à Pong pendant l'interview? bip bip lol
Monsieur conflits d'interet. C'est comme ça qu'il assouvie ses envies monopollistiques
nice
l'esarp je ne connais pas par contre l'ifar, c'est une formation vraiment inutile ou vous perdrez votre argent
good
👍
nice