Les Marianistes

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  • Опубліковано 15 тра 2021
  • « Tout dans l'action des Marianistes se fait au nom de Marie, sous la protection de Marie, pour la gloire de Marie », disait le père Guillaume-Joseph Chaminade, « le Vincent de Paul bordelais », dont la dévotion à la sainte Vierge était, dit-on, « en-dessous de toute expression ».
    Aussi palpitant qu'un film d'aventures, dont il serait le héros, ce programme nous conduit à marcher sur les pas du père Chaminade, fondateur en octobre 1817, de la Société de Marie, plus connue sous le nom de « Les Marianistes ». De Périgueux, où il naquit le 8 avril 1761, à Bordeaux où, le 22 janvier 1850, il rendit son âme à Dieu, respirant en Marie jusqu'à son dernier souffle.
    Un document exceptionnel qui nous amène à bien cerner et partager la passion d'éduquer Jésus propre aux Marianistes.
    Un film passionnant dont l'action se situe sous la Révolution, puis sous la terreur, qui nous réserve bien des surprises. L'une d'elles a pour nom Adèle de Batz de Trenquelléon, fondatrice, le 25 mai 1816, au côté du père Chaminade, des Filles de Marie Immaculée, la branche féminine des Marianistes, laquelle, forte de 400 religieuses est aujourd'hui présente dans 14 pays. Adèle, à qui le seigneur avait demandé « de fixer son coeur au ciel ».
    Enfin, un film consacré aux Marianistes et à ces deux grands missionnaires de Marie que furent le père Chaminade et Adèle de Batz de Trenquelléon, jusqu'à nos jours modestement restés dans l'ombre. Le curé d'Ars dirait : « creusant la terre comme des taupes sans se soucier de s'élever jusqu'à la lumière du jour ».
    Réalisateur : Armand Isnard
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КОМЕНТАРІ • 10

  • @Antifapourtoujours
    @Antifapourtoujours 3 роки тому +12

    Trop chou le début 😇💓

  • @helenemlumiac1196
    @helenemlumiac1196 2 роки тому

    Les Marianistes : une très belle histoire, qui m'inspire pour se préparer aux temps futurs, merci !
    Hélène

  • @luciennesokpawo7324
    @luciennesokpawo7324 3 роки тому

    Merci pour les témoignages

  • @vonMohl
    @vonMohl 3 роки тому +7

    Je suis marial jusqu'au bout des os.

    • @Alexis_Abraham06
      @Alexis_Abraham06 2 роки тому +2

      Il faut pas adorer marie c’est pas ce quel veut mais de l’aimer

    • @lordLotard
      @lordLotard Рік тому

      Tu es donc idolâtre...

  • @pierrek.5199
    @pierrek.5199 5 місяців тому

    Le culte à une reine du ciel date de très longtemps. Déjà à l’époque de Nimrod (3000 ans av. J.C) le culte dédié à Sémiramis a pris des dimensions significatives à travers les siècles. Elle conserve ce rôle jusque sous le règne d’Hammourabi (environ 1700 avant J.C). Admise au panthéon des divinités babyloniennes à l’époque de Nébucadnetsar (au 7ème et 6ème avant J.C), cette reine toujours vierge est cependant représentée tenant dans ses bras Thammuz, un fils qui n’a pas de père. A cette époque, on célébrait annuellement la résurrection de Thammuz, miracle suprême que l’on attribuait à Sémiramis, la reine du ciel, qui aurait joué le rôle de médiatrice auprès des dieux. C’est donc à elle que les monarques chaldéens vouaient leur culte et prétendaient devoir leurs succès politiques et militaires.
    Le culte de la Mère et de l’Enfant est toujours directement ou indirectement associé à l’exercice du pouvoir temporel. La plupart des mythologies de l’antiquité en font état, par le biais d’une légende qui ne varie jamais, et exalte une vierge divinisée qui donne le jour à un fils destiné à régner sur le monde. Seuls varient les noms attribués à la Mère et à l’Enfant :
    -en Égypte, Isis et son fils Osiris;
    -en Inde, Isi et son fils Iswara;
    -en Asie Mineur, Cybèle et son fils Plutus;
    -à Rome, la Fortune et son fils Jupiter Puer (Jupiter enfant)
    Plus tard, et pour ne pas heurter les populations idolâtres qu’elle désirait christianiser, la Rome catholique emprunta certains éléments de son culte aux mythologies de la Rome païenne des premiers siècles. L’on comprend mieux pourquoi elle fit de Marie la médiatrice et la reine du ciel. Le magistère de l’Église reprenait à son compte une très ancienne tradition païenne, à seule fin de se rendre populaire auprès des peuples qu’il désirait dominer. Mais, ce faisant, il s’éloignait du texte biblique qui aurait dû servir de critère, et édifiait un système religieux que plusieurs on qualifié de babylonien. Comment s’étonner alors, si les exégètes biblique on souvent identifié Babylone à l’Église romaine.
    Texte tiré du livre l’Apocalypse de John H.Alexander.