🖖Ce média dépend de vous! 👉Pour soutenir mon travail linktr.ee/intensementpodcast 👉Vous pouvez aussi souscrire à la chaine pour seulement 1.99/mois directement sur UA-cam en clickant sur le bouton "rejoindre"! Merci intensément 🥰😀😍 Le livre HPI : l'intelligence n'est pas une maladie 👉 amzn.to/4hlx3KY
Le retour des interviews intéressantes 😉 Ça fait plaisir de voir une collègue qui travaille et qui a des réflexions similaires aux miennes. Je ne suis plus la seule chiante de service 😊 Parmi les idées que je partage et que l'on n'entend pas dans les médias y compris réseaux sociaux, il y a cette idée de rareté alors que 2% n'est pas rare. Clobert dit toujours, et c'est repris par Gauvrit, que HPI est une différence rare. Non, ce n'est pas une différence (ce terme induit l'idée d'une qualité différente) et ce n'est pas rare. Si l'on prend en plus en compte l'e fait que ce n'est pas HPI vs le reste du monde, c'est à dire "je suis HPI et le reste de mes proches est dans la norme", il y a autour de nous des gens qui sont proches de nous en terme de QI. Donc non, on n'est pas seul et différent. Il y a aussi cette idée de haute potentialité. Comme Mélanie, je pense que c'est une façon d'intégrer plus de gens dans la catégorie HPI. Comme si on gagnait à (presque) tous les coups. Ce fut d'ailleurs une discussion avec Anthony Beauchet. Alors que d'un point de vue scientifique, lorsque uniquement le verbal est élevé alors que le reste est dans la norme, ce n'est pas parce que le facteur g est élevé mais grâce au facteur de groupe. Le hic, c'est que les promoteuses du concept de haute potentialité (Brasseur et Cuche) mettent en avant le fait qu'elles sont scientifiques, ce qui induit un biais d'autorité. Or, les scientifiques peuvent aussi être biaisés et utiliser des idéologies. Ok aussi avec le concept de sensibilité. Je rajouterai juste que la sensibilité sensorielle et la réactivité émotionnelle sont deux choses distinctes. Ce n'est pas parce que le terme "sensibilité" est polysémique qu'il fait mettre toutes les acceptions du terme au sein d'un même construit.
Sauf que si vous avez un verbal élevé, vous aurez à priori le potentiel d’apprécier aussi bien la langue de Molière ou de Prévert que celle de Renaud de Gainsbourg ou de Kool Shen ou des rappers de qualité . Quant au fait d’utiliser les théories sociologiques de Bourdieu pour les transposer à la psychologie, cela ne permet pas de conclure à quoi que ce soit, et c’est douteux d’un point de vue scientifique. Mais comme vous l’avez préciser, ce ne sont que des idées…(ok pour la partie hypersensibilité qui est un concept fourre-tout).
Je vous ai jamais remercié pour votre travail. C’est grâce à votre chaîne que j’ai mis fin à des années d’errance récemment, comprenant ce qu’il m’arrivait. Ça m’a permis de faire des choix plus conscient (me connaissant davantage) et de cesser de perdre du temps inutilement. D’ailleurs, ce n’est pas plus mal que vous collaboriez avec la chaîne des universités des hauts potentiels, car vos interventions pourraient faire le ménage dans tous ces concepts fourre-tout. Bon les chaînes comme lui on eu une utilité en leur temps en vérité, car il y a encore dix ans on ne parlait pas vraiment des HPI, TDAH, TSA etc mais des gens qui souffraient en silence sans comprendre il y en avait plein, et ils avaient aussi besoin de gens qui s’interrogent sur la question, même s’ils questionnaient mal ces concepts. Disons qu’à présent c’est l’heure du ménage et ce n’est pas plus mal. Un peu comme un brouillon pleins d’idées qu’il faut à présent structurer. Cette dame a raison, éliminons le concept de « zèbres » qui reflètent une époque de tâtonnement pour la vulgarisation de ces concepts.
C’est ça ! Je suis talented ! L’année dernière, j’ai totalisé 52 invitations à dîner le mercredi soir. Je compte battre mon record cette année. J’en suis déjà à 41 ! Merci Maître Facebookez ! #jefaisdestourseiffelenallumettes
Voici quelques repères dans cette vidéo : présentation de l'intervenante ; 5:16 pourquoi nouveau livre ; on lit des bilans avec désinformations ; très vulgarisé ; idées reçues socio- et psychologiques ; 8:28 définition HQI, HPI, hors normes (2 écarts-types) ; EBM et dérives ; 20:45 HPE ? flou ; hypersensible ; toute émotion est justifiée ; empathies ; stimulation perçue ; dysrégulation émotionnelle et TDA ; 31:16 neuro-atypie ? qualitatif, pas pour QI ; 34:40 rare ? ; 36:20 HP : descriptif ; interprétation ; facteur G (résoudre efficacement des problèmes ; utiliser des compétences logiques) ; par plusieurs entrées ; Bourdieu (capital culturel de classe sociale), nécessaire et non suffisant ; 42:45 matrices de Raven ; 44:10 très haut verbal ; pourquoi avoir le score ; 47:55 personnalité, pathologie, ND, style d'attachement ; interactions entre ces sphères ; 51:13 tempérament vs personnalité ; modèles ; prédisposition psycho-pathologique ; 52:38 thérapies ; trouble primaire vs secondaire (compensation, fatigabilité) ; 54:20 HPI + pathologie : aucun rapport ; double exception ; accompagner avec information de qualité.
Madame Dolidon indique, en plus de Gauvrit, le bouquin "Le haut potentiel en questions" comme bouquin fiable. Je recommande également très très fort, une mine d'or, notamment pour exploser, voire confirmer (mais oui !), certains neuromythes. Pour ceusses qui cherchent à se documenter sur le HPI un peu sérieusement, c'est une lecture dont on aurait tort de se priver. (et c'est très accessible, ce qui n'enlève rien).
Bonjour. Je comprends que Mélanie souhaite qu'on fasse la distinction entre HPI et pathologie puisque ce sont 2 choses différentes. Sauf qu'une pathologie TSA ou TDAH est beaucoup plus difficile a détecter chez un HPI adulte car il a développé des moyens de compensation importants qui masquent ses pathologies jusqu'à ce quelles deviennent trop lourdes a gérer. Il est donc essentiel que le thérapeute aie suffisament de connaissance sur les 2 points de la double exceptionnalité de son patient pour proposer une aide qui corresponde à ses besoins (besoins qui sont différents de ceux d'un TDAH ou TSA sans HPI ) Ca revient alors a dire que le facteur "HPI" ne peut pas être dissocié du TND du patient qui se sent en difficulté et qui cherche de l'aide auprès d'un psy. Voila, les 2 points de vue se défendent. L'important n'est pas de jouer sur les mots mais plutot de trouver une solution adéquate pour ceux qui se sentent mal. (Et tant mieux si beaucoup de HPI se sentent bien dans leur peau et n'ont pas de pathologie associée qui les fait souffrir. Ce ne sont pas ceux là que les psy voient en consultation..)
En effet, le Hpi cache souvent les TND dans les tests de qi donc on en ressort sans diagnostic précis. Et inversement les TND, anxiété cachent le HPI donc le test de Qi peut être erroné... que de temps perdu pour comprendre ce qui se passe quand le les neuropsys se basent uniquement sur des chiffres et non sur une analyse clinique pour dénicher des troubles avant de tester le qi
En parlant de la marge d'erreur, ma psy a considéré qu'au vu de mon état de fatigue et de ma déficience visuelle, le score de 125 devait être réévalué à 134 ! On serait pas un peu de dessus du +5 / -5 ? 😁
@@desireetsa elle a peut être comptées le nombre d’erreurs qu’elle a considérées être liées aux deux soucis 🤷🏼. Mais bon il en faut pour augmenter de 9 points le QI… peut être le nombre de sourires ou de clins d’œil 🤔
🖖Ce média dépend de vous! 👉Pour soutenir mon travail linktr.ee/intensementpodcast 👉Vous pouvez aussi souscrire à la chaine pour seulement 1.99/mois directement sur UA-cam en clickant sur le bouton "rejoindre"! Merci intensément 🥰😀😍
Le livre HPI : l'intelligence n'est pas une maladie 👉 amzn.to/4hlx3KY
Le retour des interviews intéressantes 😉
Ça fait plaisir de voir une collègue qui travaille et qui a des réflexions similaires aux miennes. Je ne suis plus la seule chiante de service 😊
Parmi les idées que je partage et que l'on n'entend pas dans les médias y compris réseaux sociaux, il y a cette idée de rareté alors que 2% n'est pas rare. Clobert dit toujours, et c'est repris par Gauvrit, que HPI est une différence rare. Non, ce n'est pas une différence (ce terme induit l'idée d'une qualité différente) et ce n'est pas rare. Si l'on prend en plus en compte l'e fait que ce n'est pas HPI vs le reste du monde, c'est à dire "je suis HPI et le reste de mes proches est dans la norme", il y a autour de nous des gens qui sont proches de nous en terme de QI. Donc non, on n'est pas seul et différent.
Il y a aussi cette idée de haute potentialité. Comme Mélanie, je pense que c'est une façon d'intégrer plus de gens dans la catégorie HPI. Comme si on gagnait à (presque) tous les coups. Ce fut d'ailleurs une discussion avec Anthony Beauchet. Alors que d'un point de vue scientifique, lorsque uniquement le verbal est élevé alors que le reste est dans la norme, ce n'est pas parce que le facteur g est élevé mais grâce au facteur de groupe. Le hic, c'est que les promoteuses du concept de haute potentialité (Brasseur et Cuche) mettent en avant le fait qu'elles sont scientifiques, ce qui induit un biais d'autorité. Or, les scientifiques peuvent aussi être biaisés et utiliser des idéologies.
Ok aussi avec le concept de sensibilité. Je rajouterai juste que la sensibilité sensorielle et la réactivité émotionnelle sont deux choses distinctes. Ce n'est pas parce que le terme "sensibilité" est polysémique qu'il fait mettre toutes les acceptions du terme au sein d'un même construit.
Sauf que si vous avez un verbal élevé, vous aurez à priori le potentiel d’apprécier aussi bien la langue de Molière ou de Prévert que celle de Renaud de Gainsbourg ou de Kool Shen ou des rappers de qualité . Quant au fait d’utiliser les théories sociologiques de Bourdieu pour les transposer à la psychologie, cela ne permet pas de conclure à quoi que ce soit, et c’est douteux d’un point de vue scientifique. Mais comme vous l’avez préciser, ce ne sont que des idées…(ok pour la partie hypersensibilité qui est un concept fourre-tout).
Je vous ai jamais remercié pour votre travail. C’est grâce à votre chaîne que j’ai mis fin à des années d’errance récemment, comprenant ce qu’il m’arrivait. Ça m’a permis de faire des choix plus conscient (me connaissant davantage) et de cesser de perdre du temps inutilement.
D’ailleurs, ce n’est pas plus mal que vous collaboriez avec la chaîne des universités des hauts potentiels, car vos interventions pourraient faire le ménage dans tous ces concepts fourre-tout.
Bon les chaînes comme lui on eu une utilité en leur temps en vérité, car il y a encore dix ans on ne parlait pas vraiment des HPI, TDAH, TSA etc mais des gens qui souffraient en silence sans comprendre il y en avait plein, et ils avaient aussi besoin de gens qui s’interrogent sur la question, même s’ils questionnaient mal ces concepts.
Disons qu’à présent c’est l’heure du ménage et ce n’est pas plus mal. Un peu comme un brouillon pleins d’idées qu’il faut à présent structurer.
Cette dame a raison, éliminons le concept de « zèbres » qui reflètent une époque de tâtonnement pour la vulgarisation de ces concepts.
@@Armanitor merci énormément pour ton commentaire super positif !
C’est ça ! Je suis talented !
L’année dernière, j’ai totalisé 52 invitations à dîner le mercredi soir. Je compte battre mon record cette année. J’en suis déjà à 41 !
Merci Maître Facebookez !
#jefaisdestourseiffelenallumettes
@@StanGrange 😂
super découverte je ne connaissais pas Melanie Dolidon. Merci pour cette vidéo
@@DebbieChPx merci à toi !
Voici quelques repères dans cette vidéo :
présentation de l'intervenante ; 5:16 pourquoi nouveau livre ; on lit des bilans avec désinformations ; très vulgarisé ; idées reçues socio- et psychologiques ;
8:28 définition HQI, HPI, hors normes (2 écarts-types) ; EBM et dérives ; 20:45 HPE ? flou ; hypersensible ; toute émotion est justifiée ; empathies ; stimulation perçue ; dysrégulation émotionnelle et TDA ;
31:16 neuro-atypie ? qualitatif, pas pour QI ; 34:40 rare ? ;
36:20 HP : descriptif ; interprétation ; facteur G (résoudre efficacement des problèmes ; utiliser des compétences logiques) ; par plusieurs entrées ; Bourdieu (capital culturel de classe sociale), nécessaire et non suffisant ; 42:45 matrices de Raven ; 44:10 très haut verbal ; pourquoi avoir le score ;
47:55 personnalité, pathologie, ND, style d'attachement ; interactions entre ces sphères ; 51:13 tempérament vs personnalité ; modèles ; prédisposition psycho-pathologique ; 52:38 thérapies ; trouble primaire vs secondaire (compensation, fatigabilité) ; 54:20 HPI + pathologie : aucun rapport ; double exception ; accompagner avec information de qualité.
Merci beaucoup à vous deux pour cette vidéo très instructive.
@@LaureneGirin merci à toi !
La vidéo de pile 1h00 c'est parfait 👌
Madame Dolidon indique, en plus de Gauvrit, le bouquin "Le haut potentiel en questions" comme bouquin fiable. Je recommande également très très fort, une mine d'or, notamment pour exploser, voire confirmer (mais oui !), certains neuromythes.
Pour ceusses qui cherchent à se documenter sur le HPI un peu sérieusement, c'est une lecture dont on aurait tort de se priver. (et c'est très accessible, ce qui n'enlève rien).
Bonjour. Je comprends que Mélanie souhaite qu'on fasse la distinction entre HPI et pathologie puisque ce sont 2 choses différentes.
Sauf qu'une pathologie TSA ou TDAH est beaucoup plus difficile a détecter chez un HPI adulte car il a développé des moyens de compensation importants qui masquent ses pathologies jusqu'à ce quelles deviennent trop lourdes a gérer.
Il est donc essentiel que le thérapeute aie suffisament de connaissance sur les 2 points de la double exceptionnalité de son patient pour proposer une aide qui corresponde à ses besoins (besoins qui sont différents de ceux d'un TDAH ou TSA sans HPI )
Ca revient alors a dire que le facteur "HPI" ne peut pas être dissocié du TND du patient qui se sent en difficulté et qui cherche de l'aide auprès d'un psy.
Voila, les 2 points de vue se défendent.
L'important n'est pas de jouer sur les mots mais plutot de trouver une solution adéquate pour ceux qui se sentent mal.
(Et tant mieux si beaucoup de HPI se sentent bien dans leur peau et n'ont pas de pathologie associée qui les fait souffrir. Ce ne sont pas ceux là que les psy voient en consultation..)
En effet, le Hpi cache souvent les TND dans les tests de qi donc on en ressort sans diagnostic précis. Et inversement les TND, anxiété cachent le HPI donc le test de Qi peut être erroné... que de temps perdu pour comprendre ce qui se passe quand le les neuropsys se basent uniquement sur des chiffres et non sur une analyse clinique pour dénicher des troubles avant de tester le qi
Merci pour le méchoui de zèbres 😅💙
Merci
Je reformule, merci et BRQVO ( a tous les 2 )
Jamais 2 sans 3 ? (OUHAAA) ?!
Dès qu'on me parle de HPI cela devient de la divination....
En parlant de la marge d'erreur, ma psy a considéré qu'au vu de mon état de fatigue et de ma déficience visuelle, le score de 125 devait être réévalué à 134 ! On serait pas un peu de dessus du +5 / -5 ? 😁
@@desireetsa j'espère qu'elle t'a fait payer plus cher 😂
C’est plutôt -6/+4 vers ces niveaux là, la tolérance n’étant pas centrée.
@@intensementpodcast en vrai, je l'ai pas cru au début 😆 mais elle a insisté... Et puis j'avais déjà payé 😁
@@KVanRoy je cherche encore d'où vient le +9 😁
@@desireetsa elle a peut être comptées le nombre d’erreurs qu’elle a considérées être liées aux deux soucis 🤷🏼. Mais bon il en faut pour augmenter de 9 points le QI… peut être le nombre de sourires ou de clins d’œil 🤔
Pour moi, le zèbre, c'est le symbole du syndrome d'helers danlos 😁
Prem’s 😜
@@StanGrange 🍻
Depuis quand tu piques la place de @roxanne ?😂
@@KVanRoy 😂
@@KVanRoy 😂