C'est un reportage qui date d'il y a 5 ans aujourd'hui une vache noir de 10an vaut 4,4e soi 27frs et une charolaise 5,6e soi 37frs et je sais de quoi je parle je suis moi même élèveur bravo les journaleux 👍👍👍
Avec le prix de l’aliment et du fourrage qui augmente certains vont se faire « hara kiri » L’engraissement à l’herbe, produits de qualité et la vente directe sont les alternatives les plus intéressantes ou faire des animaux très recherchés… Les parties avant peuvent être valorisées en plats préparés la plus value est intéressante… 150-200 € de gains pour trois ans de finition pour une Charolaise mais 5 ans pour une Parthenaise… C’est triste pour eux!! Bravo et courage à ces artistes qui, comme Van gogh, gauguin, Poe, .. ne seront considérés à leur juste valeur qu’après leur mort (du moins, celle de leur métier)..
@@NK25TRC C'est sûr. Selon leur formation de base, les terres dont ils disposent, parfois de générations en générations, pas facile de se projeter dans autre chose. Mais ça peut être l'opportunité de se découvrir d'autres passions, quitte à juste élargir le champ de compétences en parallèle à cette activité bovine sur le déclin. et de vivre une 2ème vie meilleure,. Sans forcément investir en matériel.
"Y zont cas faire ot' chose" : facile à dire Maud t'assurer vous, bientôt la viande sera remplacée par d'autres protéines : des insectes Le gouvernement a investi des millions f'€ dans une entreprise parisienne a cet effet Donc continuez à bouffer des déchets dans vos burgers
@@lolalafayette4465 Ah oui, et pour le moment, la bouffe des plats avec insectes est un "luxe chichiteux"... Ca ne me tente pas... ni les burgers viandeux d'ailleurs. Comme reconversion tout en conservant leurs terres, je pensais au tourisme à la ferme, par exemple, c'est en vogue... et à l'ère d'Internet, le monde entier peut être client (pas tous en même temps, hein).
"Tire la langue" merde ils sont a l'agonie
C'est un reportage qui date d'il y a 5 ans aujourd'hui une vache noir de 10an vaut 4,4e soi 27frs et une charolaise 5,6e soi 37frs et je sais de quoi je parle je suis moi même élèveur bravo les journaleux 👍👍👍
Avec le prix de l’aliment et du fourrage qui augmente certains vont se faire « hara kiri »
L’engraissement à l’herbe, produits de qualité et la vente directe sont les alternatives les plus intéressantes ou faire des animaux très recherchés…
Les parties avant peuvent être valorisées en plats préparés la plus value est intéressante…
150-200 € de gains pour trois ans de finition pour une Charolaise mais 5 ans pour une Parthenaise…
C’est triste pour eux!!
Bravo et courage à ces artistes qui, comme Van gogh, gauguin, Poe, .. ne seront considérés à leur juste valeur qu’après leur mort (du moins, celle de leur métier)..
On ne les oblige pas de continuer à élever des animaux destinés à la consommation. Il peuvent faire autre chose de plus rentable, après tout.
Quand toute ta vie tournent autour de ce métier, dur de changer
@@NK25TRC C'est sûr. Selon leur formation de base, les terres dont ils disposent, parfois de générations en générations, pas facile de se projeter dans autre chose.
Mais ça peut être l'opportunité de se découvrir d'autres passions, quitte à juste élargir le champ de compétences en parallèle à cette activité bovine sur le déclin. et de vivre une 2ème vie meilleure,. Sans forcément investir en matériel.
"Y zont cas faire ot' chose" : facile à dire
Maud t'assurer vous, bientôt la viande sera remplacée par d'autres protéines : des insectes
Le gouvernement a investi des millions f'€ dans une entreprise parisienne a cet effet
Donc continuez à bouffer des déchets dans vos burgers
@@lolalafayette4465 Ah oui, et pour le moment, la bouffe des plats avec insectes est un "luxe chichiteux"...
Ca ne me tente pas... ni les burgers viandeux d'ailleurs.
Comme reconversion tout en conservant leurs terres, je pensais au tourisme à la ferme, par exemple, c'est en vogue... et à l'ère d'Internet, le monde entier peut être client (pas tous en même temps, hein).
@@fcomme5754 comme qq'un vous l'a déjà fait remarquer, ça demande des investissements qu'ils n'ont pas et que les banques e prêtent plus