Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste (Giorgio Locchi)

[@Winnie67493]

Votre chaîne est un bijoux de culture.
Elle est mon coup de cœur.
Merci pour ce voyage dans le temps...

[@egonon5710]

Merci beaucoup pour votre commentaire !

[@onclebobrobertsteuckers6851]

Merci d'avoir réhabilité avec autant de brio l'oeuvre de Giorgio Locchi. L'essentiel est dit, évidemment, avec cette présentation du wagnéro-nietzschéisme de notre auteur. Cependant, il faudrait que nous discutions de l'impact de la vision de l'histoire de Locchi sur Guillaume Faye.

[@egonon5710]

Merci beaucoup pour votre commentaire ! Très volontiers, je serais très heureux que nous discutions de l'influence de Locchi sur Faye en la matière !

[@jello195]

Tes vidéos ne sont jamais trop longues.

[@egonon5710]

Ne me dites pas ça, je vais faire encore plus long alors ! ;)

[@jello195]

@@egonon5710 Ahah, moi ça me va.

[@Animosusest]

C'est une vidéo exceptionnelle! Mille merci à Ego pour son intelligence, son talent et son dévouement.
Partagez-la, achetez les livres de Locchi et écoutez Wagner!

[@egonon5710]

Merci beaucoup pour ce gentil commentaire et pour votre soutien !

[@nicolasmazeri]

Je suis subjugué par votre travail. Cette vidéo est un chef-d’œuvre de synthèse et de vulgarisation à la fois de l’œuvre de Locchi mais aussi de Wagner et a fortiori de Nietzsche.
J’en ai des frissons.
Merci.

[@egonon5710]

Merci énormément pour votre message ! Je suis heureux que cette vidéo vous ait autant plu !

[@PeterBrandon63]

Desole de ne poster que maintenat, merci pour ce beau cadeau encore une fois !

[@CVB-23]

Cette vidéo m'a beaucoup touché. Grace à vous, je comprends des choses sur la musique que je pressentais sans arriver à les formuler.
Je réécouterai cette vidéo dans quelques jours pour mieux la comprendre.
Merci pour votre travail qui met des pensées complexes à la portée d'un grand nombre de curieux. Votre talent est très grand !

[@egonon5710]

Merci pour votre commentaire, tout le plaisir est pour moi ! Je suis très heureux que cette vidéo nourrisse ainsi vos propres réflexions sur la musique

[@michelgarcia447]

Mais il ne comprend rien à la musique et à Nietzsche. Pensez par vous même.

[@topsicrets4009]

Dire que cet exposé est exceptionnel serait un demi-mensonge, tant vous nous avez accoutumés à un tel niveau d'excellence. Félicitations.
Ps: Votre video ne finit t-elle pas sur une petite note universaliste? :)

[@LoupBlanc1]

Encore un épisode passionnant.

[@egonon5710]

Merci beaucoup !

[@user-sv1gy2ci2q]

Si le but était de nous inciter à acheter ce livre... et bien c'est réussi ! Brillante présentation d'un sujet qui permet de découvrir un auteur et son approche qui renouvelle en grande partie cette problématique. Merci encore.

[@egonon5710]

Merci pour ce message ! Mon but était en effet d'abord de faire découvrir Giorgio Locchi et sa pensée à un public plus large, mais si cette vidéo peut pousser à approfondir la question et à se plonger directement dans son oeuvre, c'est encore mieux !

[@resistancehistorique8559]

Encore du très très bon travail, merci

[@egonon5710]

Merci à vous pour ce commentaire !

[@LaVieForte]

Je m'y attendais pas, quelle surprise.

[@jsb8153]

Passionnant, merci.

[@Bvic3]

Meilleure vidéo de la chaine de très loin !

[@egonon5710]

Merci beaucoup ! Il s'agit en effet d'une de mes vidéos les plus ambitieuses. Je suis très heureux qu'elle vous ait plu !

[@baptistegilbert6421]

@@egonon5710 J'ai vu toutes vos vidéos, certaines plusieurs fois (celle-ci trois fois déjà !). Elle est la plus marquante, en effet, de loin.
Je suis d'un germano-scepticisme tenace, mais il faut que je vous dise qu'il est ébranlé.
Merci !

[@LudwigFantom]

@@baptistegilbert6421oi je suis franco-sceptique ( si ce n’est francophobe ! ) primaire, secondaire, technique et supérieur !
Frouze

[@edmonddeperriac175]

Merci pour cette très bonne vidéo, sur un sujet passionnant !
La musique est un langage, j'en suis convaincu, et c'est encore plus flagrant avec la musique allemande !
Il me reste à lire le livre pour creuser le sujet.
Dans votre exposé, je reste cependant dubitatif quand vous passez rapidement sur la brouille entre Nietzsche et Wagner, comme quelque chose d'assez secondaire au fond. Je ne le crois pas, et je pense qu'au contraire c'est particulièrement significatif et mériterait d'être exploré. Car ce qui diffère entre Nietzsche et Wagner m'intéresse au moins autant que ce qui les rassemble. La jalousie est-elle la seule explication à cette éloignement ? C'est bien possible en effet, du moins ce que je connais de l'oeuvre de Nietzsche et de son orgueil semblent le confirmer. Mais justement n'est-ce pas là un signe de la limite du modèle sur humaniste ? A vouloir se prendre pour Dieu, l'homme n'en devient-il pas égocentrique ?
Et est-ce la seule cause de la brouille ? Votre exposé s'appuie presque exclusivement sur le Ring, mais quid de Parsifal, le testament musical de Wagner ? (que je préfère par ailleurs au Ring, et de loin). Le rapport entre le christianisme et Wagner est très différend de celui de Nietzsche. Il me semble d'ailleurs que le point commun entre toutes les oeuvres de Wagner c'est surtout le thème de la rédemption, qui se conjugue très bien avec le christianisme et dont je n'ai pas souvenir de trouver la trace chez Nietzsche. D'ailleurs les opéras que je préfère sont ceux qui explorent le plus ce thème : Tannhauser et Parsifal ( mon préféré reste les Meistersinger qui ne traite absolument pas des mêmes thèmes mais c'est un autre sujet).
Bref ça n'enlève rien à votre excellent travail, mais ce point particulier mériterait de plus longs développements, mais peut être trouverais-je la réponse à mes questions dans le livre ?

[@luckyluke1756]

Grandiose

[@StefanoVaj]

Une présentation très complète et compétente.

[@egonon5710]

Merci beaucoup, Monsieur, pour ce commentaire !

[@rwa9297]

En connaissant l'institut Illiade, je découvre cotre chaîne. Un grand merci pour cette analyse fine et riche de sens , simplement dit , continuez !
Je vais me procurer ce livre

[@user-kz8wg6gs2i]

Merci pour cette vidéo. Découvert à travers Éléments puis vous, Locchi éveille chez moi des perspectives et des espoirs sur des interrogations quand au rapport au Temps et me semble solide pour aborder l'Homme-Demain et ses problématiques existentielles.

[@farglory7715]

J'ai en recommandation des vidéos de Dominique Pagani sur le même thème maintenant...

[@jonharper2626]

Je lirai ce livre avec intérêt. Néanmoins, je dois admettre que je ne suis guère convaincu: cette laborieuse construction intellectuelle me semble à première vue assez artificielle.
J’ai frémi à l’idée que Wagner (“ces commencements qui ne finissent jamais; ces mélodies qui n’arrivent pas dans l’enchevêtrement de leitmotiv”) puisse être un quelconque “couronnement” du génie de Bach.
En outre, le surhomme nietzschéen n’introduit-il pas lui aussi une hypothèse finaliste que l’auteur critiquait tant chez les darwiniens et dans l’idée de la fin de l’histoire?

[@Wilburo2691]

Il me semble aussi que Wagner a réalisé le vœu de Schopenhauer qui, ce dernier, prétendait que la musique était la révélation métaphysique de la Volonté dans le monde. Ecoutez une musique de Wagner en pleine Nature, devant une étendue d'eau, et c'est comme si sa musique révélait tout à côté de vous, incarnait chaque éléments de la Nature : le vent, les arbres, les feuilles, l'eau. C'est impressionnant.
Wagner était un génie monstrueux qui était en parfaite cohérence avec ce qu'exprimait Schopenhauer sur la musique (sa première philosophie) et qui a vu dans les premiers écrits de Nietzsche (dont le maître était aussi Schopenhauer) la révélation théorique de ses conceptions et actions musicales.

[@radbod7177]

Quel travail exceptionnel! Quelle richesse et précision de pensée dans cette vidéo. Une joie intellectuelle rare! Merci Ego Non. La Nouvelle Librairie a bien de la chance de vous avoir. Une question: quel rapport entre le surhumanisme et le transhumanisme? Aucun, je sais (Harari ne semble même pas connaître Nietzsche), mais j'aimerais vous entendre sur le sujet. Il semble que, parmi les disciples de Faye, certains sont tentés par le transhumanisme, et cela m'inquiète un peu.

[@user-vk5vh6tj5l]

Peut-on connaître la référence de la peinture de Nietzsche à 33min ? Merci !

[@egonon5710]

Bien sûr, il s'agit du portrait de Nietzsche réalisée par le peintre Curt Stoeving (1863-1939). C. Stoeving fut notamment chargé par Elisabeth Förster-Nietzsche de réaliser des portraits de son frère malade. Parmi les portraits qu'il a réalisés, il est à noter qu'il a également dessiné un portrait du poète Stefan George, repris dans le livre de Ludwig Klages consacré au même poète.

[@user-vk5vh6tj5l]

@@egonon5710 merci!

[@AliTounes2011]

Vraiment une mine d’or philosophique et conceptuelle cette chaine ! Excellent travail et merci pour tout ! ( ca peut paraître surprenant mais oui il y a une vraie droite nationale, souverainiste et conservatrice dans les pays arabes et musulmans)

[@Winnie67493]

Surprenant?!

[@bm7285]

Et moi qui croyait être le seul tunisien de la chaîne.
Ego Non > the GOAT. Profond, dense, et rendu honnête intellectuellement. Je n’ai jamais été déçu.

[@AliTounes2011]

@@bm7285 entièrement d’accord, de toute façon nous devons rechercher tous les outils conceptuels pertinents et les adapter a notre pays, en préparation du jour où il faudra faire la Révolution Nationale chez nous, refonder un nouvelle République aussi éloignée du Progressisme Bourguibien, du socialisme et du frerisme anti nationales, et rendre a notre patrie son Honneur, sa Grandeur, et lui permettre de réaliser le Destin qui lui revient.

[@suzypaton1597]

@@AliTounes2011 Je vous souhaite un Gran Succès ! Mais c'est un travail de longue haleine il faut se le rappeler souvent ! Car c'est un escalier de prises de conscience qui peut s'étaler sur plusieurs générations.. La pensée étant plus lente à évoluer que l'esprit, quoiqu'il lui arrive parfois des soubresauts remarquables.. Bon courage

[@topsicrets4009]

Avec vous d'Algérie.

[@micheldutrisac3984]

Merci pour ces lumieres 🙂

[@LucienAmaury]

Très bonne vidéo comme d'habitude. Même si à titre personnel, je suis en désaccord avec le propos du livre.
Question mis à part, étant donné que vous étudiez depuis maintenant plusieurs années les différents courants de pensée de la droite (et même de la gauche) avez vous comme projet de faire des vidéos de synthèse de ses courants qui bien souvent s'oppose sur des points détailles qui sont pour la plupart sans intérêt ?

[@egonon5710]

Merci pour votre commentaire ! Pour répondre à votre question, oui, j'aimerais à l'avenir faire quelques vidéos synthétiques. Le temps me manque ces prochains mois pour faire quelque chose de ce genre, mais il me semble que cela pourrait être intéressant de le faire.

[@leomartinez5193]

Bonjour Antoine, c’est une excellente vidéo. Merci. Je voulais savoir si vous ferais une vidéo sur « l’homme Faustien » et sur le « logos de l’action » ? Ils me semble que ce sont des concepts des plus importants pour notre devenir !

[@SveSamShvatio]

The subtitles on your video do not work so I can activate them in another language or captions are not available. I have problems with spoken French, I can understand to some extent in written form. Try to solve the problem on the article pages: How to Force Closed Captions on UA-cam!

[@pierrecyrc]

Magnifique exposé. Pour le fond, l'héritage wagnero-nietzschéen a donné des fruits magnifiques mais ils étaient empoisonnés et continuent à nous détruire.

[@sgtrecker8061]

mais comment ai-je pu passer à côté d'une telle chaine TOUT CE TEMPS ?
Merci maudin malin, j'ai masse contenu à regarder maintenant :O

[@Wilburo2691]

Je signale ici la récente traduction des écrits de Richard Strauss chez Fayard qui fût un wagnérien convaincu et apporte beaucoup d'idées et d'anecdotes sur Wagner et le wagnérisme. Strauss prisait beaucoup les écrits de Wagner qu'il considérait comme primordiaux.

[@egonon5710]

Merci beaucoup pour cette information ! S'agit-il de l'ouvrage "Moi, je fais l'Histoire de la musique" ?
Concernant les écrits de Wagner, je ne puis que consonner avec R. Strauss et j'espère qu'ils seront bientôt réédités en français.

[@Wilburo2691]

@@egonon5710 oui c'est exact, c'est ce livre-là. D'ailleurs, Strauss considère "L'Art et la Révolution" comme le livre capital de l'histoire humaine, rien que ça, dans les premiers textes du recueil.

[@egonon5710]

@@Wilburo2691 Incroyable ! Je viens justement de réaliser une vidéo sur mon espace privé à propos de cet ouvrage. Je vais essayer de me procurer le livre de Strauss le plus vite possible. Merci beaucoup !

[@pierrell5407]

Je ne connais l’œuvre de Nietzsche que superficiellement et par ce qu’on dit de lui communément à droite. En revanche je suis fan absolu de Wagner et j’attendais de voir ce que vous aviez à nous en dire ! Cela renforce cette idée que je me faisais de Wagner, qui a proposé ce que « l’art contemporain » aurait dû être et devrait être encore aujourd’hui. Le travail de Locchi semble monumental et votre excellente présentation m’a bien donné envie de me procurer l’ouvrage.
Je suis notamment intrigué par les conseils de lecture de musicologues. Savez-vous si le livre de Georgiades a été traduit en anglais ou en français ? Si non, avez-vous des conseils de lecture d’ouvrages comparables relatifs à la musique ?
Merci encore pour votre travail.

[@fabricemercier2184]

Excellent

[@Reneghislin]

J'ai écouté cette vidéo avant et après avoir lu Giorgio Locchi. Elle m'a été nécessaire tant il est utile de ne pas rester seul face à l'effort demandé pour sortir de l'immersion dans le mythe égalitaire et la vision linéaire de l'Histoire. Sa longueur est justifiée. Locchi permet aussi de comprendre pourquoi on peut être saisi de passion pour la musique de Wagner, ce qui est mon cas (Baudelaire le dit mieux que moi) ou de ressentir une répulsion. Elle parle à l'inconscient (comme toute musique) mais avec des profondeurs qui agglomèrent refoulé païen et crise de civilisation actuelle, donc mobilise ou perturbe. Je dois ajouter le confort apporté par la parole nette de timbre, de rythme et d'intensité d'Ego Non sans rien sacrifier des idées.

[@egonon5710]

Merci beaucoup pour votre message. Je suis heureux que le livre de G. Locchi ait à ce point suscité votre réflexion

[@sabinehuppert2643]

Merci pour cette vidéo, que j'ai écouté avec grande intérêt et qui m'a appris des choses ! Franco-allemande, fan de Wagner, j'ai même un peu appris sur moi-même (indirectement, bien sûr). Reste néanmoins un grand MAIS pour moi dans toute cette histoire de Sur-humanité. La fin de la video le fait sortir tout droit: il est encore question de dominer quelque chose, et soit-il sa propre misérable nature. Il y a dans cette pensée toujours un "moi" en face du reste du monde, l'Homme et le monde qu'il doit former: le monde comme une unité extérieur à soi ... et pourtant, nous arrivons au bout de cette pensée illusionnée et - masculine. C'est seulement dans la conscience de l'interdépendance de toute chose que nous allons pouvoir traverser le croisement dans lequel nous nous trouvons. Le grand changement il me semble ne résiderait pas dans un -enième dépassement, mais - dans l'humilité.

[@simonerhard5034]

l'humilité seconde une affirmation favorable à foisonnement d'éclosions, finissant en lutte à la force de volonté; les enfants n'y sont d'ailleurs pas toujours étrangers...

[@sabinehuppert2643]

J'avoue, je ne comprends pas très bien ... ??

[@Chironique]

Merci pour votre invitation à la lecture, je ne connaissais pas l'interprétation de Giorgio Locchi dans la lignée des penseurs du déclin comme Oswald Spengler ou Julius Evola. Votre référence à Stefan George trahit peut-être une lecture de Bertram ? Qui pourrait constituer une porte d'entrée à votre « mythologie surhumaniste » (je remarque que vos références appartiennent le plus souvent au champ de la première réception et la période de l'entre-deux-guerres, que votre approche est pourrait-on dire droitement : « morale et politique »). Vous entendre commenter des références qui sont le plus souvent proscrites des listes bibliographiques, aux théories bannies par l'historiographie (en raison de la mouvance politique de leurs auteurs ?) ; vous voir remonter « l'histoire des idées » à contre-courant... Cela vous expose à une double critique, celle de faire un monumental pas en arrière dans l'histoire de la réception, d'adopter une vision monumentale sur l'histoire pour reprendre la formule du philosophe. Mais parlons de Nietzsche ------------)

[@antocatch]

Merci! ❤️

[@micheldurand8716]

Génial, merci.

[@Roche-qui-tourne]

Merci. Je ne connais Locchi que de nom. Je vais lire ces deux ouvrages cette année. Faisant confiance à la présentation d'Antoine et à première vue, je ne suis d'avance pas convaincu par cette approche. Je pensais qu'il y avait une sorte de lien philosophique et intellectuel entre conservatisme et traditionalisme mais, plus j'avance, plus je me rends compte qu'il n'en est rien et que la pensée conservatrice est finalement le fossoyeur de la pensée traditionnelle, peut-être davantage que la pensée moderne et profane en tant que telle. En effet, la pensée conservatrice, auto-justifiante est une pensée dualiste (et qui choisit son ennemi), davantage que je ne l'avais perçu jusqu'à aujourd'hui. Un dualisme contre un manichéisme... Le conservatisme est une parodie de la pensée traditionnelle, elle se dit telle chose à un temps donné et quelque année plus tard, elle recycle ce contre quoi elle se battait hier, toujours une guerre de retard. Ça n'est pas le lieu mais je développerai cette première impression ailleurs. Il est, par exemple, impossible de penser entre ces deux termes : égalitarisme et surhumanisme. C'est une blague belge. Sans faire intervenir un troisième terme et d'un point de vue traditionaliste, nous sommes en face de deux formes parodiques d'un même archétype. Et, je remarque, que, dans tous les cas, absolument tous, on évite soigneusement de faire intervenir le troisième terme traditionnel ; ce qui nous prive du sens. Ce monde est tristement binaire et dualiste, à tout point de vue. Les conservateurs d'hier sont devenus les prométhéens d'aujourd'hui, recyclant l'avant-garde moderniste du XIXème siècle fondamentalement scientiste et new age à son époque, encore une guerre de retard vers une fuite en avant transhumaniste alors que les véritables avant-gardes transhumanistes sont des posthumanistes assumés. Le dernière saillie de Zemmour dans son alliance du zèbre et du chameau, l'autre grand remplacement de l'homme déraciné et remplacé par le robot, acclamée par tous les droitards, nous en dit long sur l'état actuel de la pensée conservatrice.

[@jonharper2626]

Pérennialistes de tous les pays, unissez-vous !

[@alphonsedodu5565]

La pensée moderne, de droite comme de gauche, progressiste ou réactionnaire contient la dualité issue du gnosticisme.

[@Roche-qui-tourne]

@@alphonsedodu5565 Oui, à l'intérieur d'une même famille de pensée vous voulez dire? Au sens de voie de la main gauche et voie de la main droite ? Sinon j'ai du mal m’exprimer mais ce que je voulais dire c'est que l'on nous oblige à penser entre les deux termes de modernisme et de conservatisme sans jamais faire intervenir le troisième terme qui est celui du traditionalisme. Conséquence : la nouvelle droite "conservatrice" prométhéenne et ses étranges syncrétismes, ses choix éditoriaux, etc

[@alphonsedodu5565]

@@Roche-qui-tourne Les conservateurs tentent de conserver le peu qu'il leur reste, mais ce faisant ils conservent aussi pas mal de choses dont ils ont a se plaindre.
De nos jours, un traditionnaliste a plus en commun avec un progressiste qu avec un traditionaliste de 1940.

[@nicolasdemarchenoyr3700]

En somme, Giorgio Locchi ne fait-il la même chose que nous pouvons reprocher aux Nietzschéen de gauche dans le sens de faire croire que Nietzsche n'a pas voulu dire ce qu'il a dit ?
Le Nietzschéen de gauche veut faire croire que les propos de Nietzsche contre l'égalité ne sont que des envolée lyrique, des figures de style, voir de l'ironie.
Le Nietzschéen de droite veut faire croire que Nietzsche était antisémite, racialiste pour ne pas dire raciste et dans la vision de Locchi un Wagnérien en puissance qui s'ignore (et malgré lui) par jalousie contre le génie de Wagner.
N'y a-t-il pas plutôt chez Locchi un intérêt d'ordre personnel de faire de Wagner un Nietzschéen, et de Nietzsche un Wagnérien tous les deux unis dans un mythe surhumaniste ?
Et donc de par la même une opposition qu'il juge valable contre Christianisme (sa critique du marxisme n'étant qu'un moyen d'attaquer le Christianisme manière subtile). Une opposition qui est réelle chez Nietzsche, mais inexistant chez Wagner et cela malgré les contorsions de Locchi (L'inconscient païen de la musique tonale n'étant rien d'autre qu'un moyen pour justifier son amour pour une musique crée par des Chrétien dans un monde Chrétien.)
Je vais tout de même acheter le livre, même si pour le peu que j'en ai entendu par le fils de Locchi et dans cette vidéo (qui est très bonne) me laisse plutôt sur l'idée d'un énième ouvrage de la nouvelle droite qui prend ses désirs pour une réalité historique et philosophique.

[@egonon5710]

Pardonnez-moi, mais la comparaison entre l'approche des « nietzschéens de gauche » et celle de Giorgio Locchi me paraît tout à fait malvenue. Si les premiers, comme vous dites, tentent de faire croire que Nietzsche n’a pas voulu dire ce qu’il avait écrit, l’approche de Giorgio Locchi, elle, consiste à retrouver l’origine de la pensée nietzschéenne derrière la polémique que Nietzsche a ouverte avec Wagner. Il n’a pas été question de « racisme » ou de « racialisme » dans cette vidéo (ni dans le livre de Locchi), mais du mythe surhumaniste et des thèmes nietzschéens en germe dans le drame wagnérien. La lecture des écrits de Nietzsche, de sa correspondance ainsi que de sa biographie montre bien la présence incontournable de Wagner dans sa vie. Aucun autre homme n’a à ce point occupé la pensée de Nietzsche, et cela devrait nous pousser à approfondir l’examen de leur relation, plutôt que de s’en tenir à ces images toutes faites qui nous sont véhiculées depuis longtemps, chose que fait admirablement Giorgio Locchi selon moi. Nietzsche lui-même nous a avertis : « J’ai aimé Wagner et nul autre […] Et il va de soi que je ne reconnais à personne le droit de s’approprier mon jugement actuel sur Wagner. En aucune façon, il ne doit être permis à l’irrespectueuse canaille qui fourmille comme les poux sur le corps de la société présente de mettre dans sa bouche un nom aussi grand que celui de Wagner, que ce soit pour le louer ou pour s’opposer à lui. »
Ensuite, je suis un peu surpris de lire que l’opposition au christianisme, « réelle chez Nietzsche », serait « inexistante chez Wagner ». Une fois encore, voilà un bon exemple des erreurs en lesquelles nous induisent ces images d’Epinal présentant un Nietzsche indigné, rompant avec un Wagner « chrétien ». Non, Richard Wagner n’a jamais été chrétien au sens courant du terme et ses propres écrits le montrent. Dans ses ouvrages en prose des années 1850 tout d’abord, comme « L’Art et la Révolution », « L’Œuvre d’art de l’Avenir » ou « Opéra et Drame », Wagner dresse une critique du christianisme qui n'est pas sans évoquer la future critique nietzschéenne. Deux grands reproches reviennent souvent sous la plume de Wagner : le christianisme serait « anti-naturel », dépréciant la vie au profit d’un au-delà, et il empêcherait la pleine expression de l’art et de la musique en particulier. Quelques exemples parmi tant d’autres :
« L’hypocrisie est le trait saillant, la physionomie caractéristique de tous les siècles chrétiens jusqu’à nos jours ; et ce vice s’accusa plus net et plus éhonté à mesure que l’humanité tirait de son intarissable souche intérieure, et malgré le Christianisme, une fraicheur nouvelle, et devenait mûre pour la solution de son véritable problème. » (l’Art et la Révolution »
« La déplorable influence du christianisme, ici encore, se fait reconnaître. Celui-ci, en effet, plaçant le but de l’homme entièrement en dehors de son existence terrestre, et ce but : le dieu absolu, extra-humain, ayant seul une valeur pour lui, la vie ne pouvait être l’objet des soucis de l’homme qu’en proportion de ses besoins les plus absolument indispensables. Une fois qu’on avait reçu la vie, on avait le devoir de la conserver jusqu’à ce qu’il plût à Dieu seul de nous délivrer de ce fardeau. Mais ses besoins ne pouvaient en aucune façon nous inciter à un travail agréable de la matière que nous devions employer pour les satisfaire ; seul, le but abstrait de la stricte conservation de la vie pouvait justifier notre activité physique. » (Ibid.)
« Le christianisme avait étouffé le mouvement organique de la vie artistique du peuple, sa force naturelle de conception : il avait incisé ses chairs, et détruit de son scalpel dualiste l’organisme même de sa vie. La communauté, dans laquelle seule la force de conception artistique du peuple peut s’élever jusqu’à la puissance de la parfaite création artistique, appartenait au catholicisme : dans la solitude, là seulement où des fractions du peuple - loin de la grande route de la vie collective - se trouvaient seules avec la nature, se conserva dans sa simplicité enfantine et son indigence restreinte, la chanson populaire indissolublement liée, tissée avec la poésie. » (Opéra et Drame)
« La force poétique créatrice de ces peuples fut donc aussi religieuse, inconsciemment collective, prenant racine dans la conception primitive de l’essence de la chose. C’est sur cette racine que le christianisme mit la main : le prosélytisme chrétien pouvait s’attaquer à la végétation luxuriante de l’arbre populaire germanique, mais il chercha à extirper les racines qui l’avaient fait grandir sur le sol de l’existence. Le christianisme enleva la foi religieuse, la conception fondamentale de l’essence de la nature, et la repoussa par une foi nouvelle, par un nouveau mode de conception tout à fait opposé à l’ancien. S’il ne put jamais extirper entièrement la foi ancienne, il lui emprunta du moins sa riche force artistique de persuasion : mais ce que cette force avait créé jusque-là, la légende infiniment riche, demeura comme une branche arrachée du tronc et de la racine, le fruit qui, ne recevant plus désormais sa nourriture de son germe même, alimentait encore misérablement le peuple même. » (Ibid.)
Je pourrais multiplier les citations à l’envi pour montrer que Wagner a développé, à tort ou à raison, une critique féroce du christianisme dans ses œuvres. Toutefois, il est vrai que, comme le montre Locchi lui-même, Wagner ne rejetait aucunement la figure de Jésus, qui ne différait pas fondamentalement selon lui des figures divines européennes. Wagner établissait en fait une distinction entre « le christianisme authentique » de Jésus et le « christianisme historique », « judaïsé » disait-il, en raison précisément de son rejet de la vie hors du temps de l’histoire. La religion de Wagner, présentée dans Parsifal, est donc assez personnelle, comme vous vous en doutez, opposant un Christ, « héros solaire rédempteur » au christianisme historique.
Compte tenu de ce que Wagner a lui-même exprimé, j’ai un peu de mal à comprendre en quoi Giorgio Locchi se livrerait à des « contorsions » pour prendre des libertés avec la réalité historique. Richard Wagner a en effet théorisé lui-même son projet et Locchi l’a simplement étudié sérieusement. La perspective qu’il nous présente sur la musique est précisément la perspective wagnérienne sur celle-ci. Si la pensée philosophique et artistique de Wagner vous intéresse, en plus du livre de Giorgio Locchi, je recommanderais particulièrement les textes que j’ai déjà cités, ainsi que « Une communication à mes amis », « Les Wibelungen ou l’histoire universelle par le mythe », un essai fondamental pour comprendre le futur Ring, mais aussi « La Naissance de la tragédie » de Nietzsche car, après tout, Wagner lui-même a avoué s’y être reconnu entièrement (une fois encore, il n’y a donc pas à forcer la réalité pour « faire de Wagner un nietzschéen »). La correspondance de Wagner à Nietzsche est amusante à cet égard, quand il lui raconte s’être battu avec Cosima pour lire le livre en question. Le couple n’ayant qu’un seul exemplaire à leur disposition, les deux voulaient lire le livre en même temps, ce qui a occasionné quelques disputes entre eux !

[@nicolasdemarchenoyr3700]

​@@egonon5710 Tout d'abord, je vous remercie pour votre réponse.
Je tiens à dire que j'ai jamais sous-entendu qu'il y avait du racialisme/racisme dans votre vidéo ou dans le livre de Locchi. J'ai seulement cité en exemple le cas de certains Nietzschéen de droite qui se servait de Nietzsche pour renforcer leur idéologie sans pour autant que l'auteur est tenu des propos qui vont dans ce sens.
Je n'ai pas n'ont plus dit que Richard Wagner était un Chrétien, toutefois vous l'avez dit vous-même. Wagner avait une admiration pour le Christ et interprétation personnelle de la foi chrétienne (en cela nous pouvons dire qu'il est resté protestant). Mais bien que le terme inexistant est très mal choisi. Le mépris de Wagner pour le Christianisme n'est pas le même que celui de Nietzsche.
Les ouvrages en prose que vous avez très justement cités datent d'environ 30 ans avant la mort de Wagner et le livre "La Naissance de la Tragédie" antérieurement de 11 ans au décès du compositeur. Entre temps Wagner à connu une évolution, ou du moins, l'artiste à mis de l'eau dans son vin, notamment dans "Art et Religion" dont la phrase "Nous continuerons à éprouver l’immense tragédie de cette existence terrestre, et quotidiennement nous aurons à lever les yeux sur le Sauveur crucifié, notre ultime refuge" est très parlante sur la raison pour laquelle Nietzsche a éprouvé un rejet de Wagner et une impossibilité à lui pardonner même après la mort.
Le fait que Nietzsche tire sa source de Wagner et que tout deux veulent une régénération de l'homme n'est pas à débattre. En cela, je suis d'accord avec Locchi, mais dans votre vidéo ainsi que dans un audio de Pierluigi Locchi sur Radio Courtoisie. J'ai ressenti, peut-être bien à tort, que Giorgio Locchi se concentrer uniquement sur l'objectif des deux hommes sans pour autant se soucier des divergences de moyen pour y accéder.
Car l'opposition entre Nietzsche et Wagner n'est pas seulement dû à la jalousie du premier envers le second, mais également sur le fond.
Wagner admirait dans le Christianisme l'ascétisme et la pitié, des valeurs qu'il considérait comme l'un des moyens pour la régénération de l'Homme. Il est vrai que Wagner n'avait que mépris pour les institutions religieuses notamment le clergé qu'il jugeait trop terrestre et corrompu, mais il reste tout de même un homme convaincu par l'importance de l'au-delà. C'est pour cela qu'il admirait le zèle Luther qui arriva bien trop selon lui.
Ai-je vraiment besoin de souligner que les volontés de Wagner pour le surhumain sont l'antithèse de la pensée Nietzschéen sur le surhomme ? C'est en cela que j'ai émis une critique (peut-être injuste) envers le bouquin de Locchi. Mais il me donne l'impression d'avoir pris en compte uniquement l'intention des deux hommes et non le résultat final entre les deux doctrines qui sont dissemblable entre elles (bien que de droite et anti-égalitaire).
Mais comme je l'ai dit dans mon premier commentaire, je compte acheter l'ouvrage en question qui me donnera peut-être tort à mes a priori.

[@alexism.7441]

Merci beaucoup, c'est très intéressant !

[@tfkbtlb]

Bonjour, félicitations pour cette excellente vidéo , je voudrais savoir si ce livre sera disponible en Kindle sur Amazon ?

[@egonon5710]

Merci pour votre message, mais malheureusement, il n'en est pas encore question

[@FastFungus]

Merci pour ce passionnant exposé. J'ai découvert grâce à vous l'existence de l'ouvrage _Die Welt der Formen. System eines Morphologischen Idealismus_ d'Hermann Friedmann dont vous avez cité un extrait en français. Toutefois je ne trouve nulle trace d'une traduction française de cet essai (ma lecture de l'allemand est quelque peu 'rouillée'). En connaîtriez-vous une complète à ce jour ? Mes félicitations au passage pour l'ensemble de votre travail.

[@egonon5710]

Merci beaucoup pour votre commentaire ! Pour répondre à votre commentaire, je ne crois malheureusement pas qu'il existe la moindre traduction complète de cet ouvrage de H. Friedmann. Le passage en question dans ma vidéo a été directement traduit en français par Giorgio Locchi, qui maîtrisait le français et l'allemand à la perfection.

[@isidorearthur9143]

⚜⚜⚜

[@michelgandilhon6613]

Emission remarquable. La lecture de Locchi est intéressante, mais contestable. L'oeuvre de Wagner relève aussi du mythe égalitaire. A Dresde en 1849, il combat sur les barricades avec Bakounine. Il lit Proudhon et Stirner. C'est à cette époque qu'il commence la tétralogie. L'or du Rhin peut être lu comme une critique du capitalisme inspiré par l'anarchisme de l'époque.

[@ju_noir6910]

Bonjour excellente vidéo ;pourrais-je avoir une listes de tout les moindre morceaux utilisés dans cette vidéo merci

[@farglory7715]

La liste des morceaux est dans la description

[@arios5533]

Bonne rétrospective cependant il serait borgne celui qui ne voit pas là un Adage à l'ultra libéralisme et à une croissance monumentale pour pouvoir se dépasser et accoucher d'un nouvel homme. Mais qu'en est-il des propositions catastrophiques qu engage ce dépassement ?

[@egonon5710]

Cette interprétation est fort superficielle, pardonnez-moi. Comme le dit Heidegger lui-même, dans le passage que je cite à la fin de la vidéo : "Il ne faut donc pas chercher les traits essentiels du Surhomme dans ces personnages dont une volonté de puissance à courte vue et mal inteprétée fait ses fonctionnaires principaux et qu'elle pousse aux sommets de ses différentes formes d'organisation."
Le thème du surhomme est précisément le contraire d'un laisser-aller total, c'est le thème de l'homme qui reprend le contrôle de sa destinée plutôt que de se laisser engloutir dans la quantité.

[@ambiguo2725]

C'est possibile d'avoir de sous-titres en français?

[@educatorsnake]

Référencement

[@anthonym.5292]

Ca fait mal de voir quelqu'un qui bite que dalle au Surhumain chez Nietzsche. Gros doigt d'honneur !

[@Rh1zom]

« On a pris trop pour argent comptant ce que disait Nietzsche », tout comme toute sa correspondance aussi certainement ou encore certains aphorismes de ecce homo. C’est vrai après tout, comment faire revenir Nietzsche dans le giron identitaire et wagnérien si ce n’est lui faire faire une contorsion à la manière de sa sœur après tout. Nietzsche n’a jamais été à l’abri des forfaitures (il les avait même prédite), mais en faire un wagnérien fallait oser.

[@lolo-de5wp]

Votre lecture que vous faites de l'homme est anhistorique, et ne se fonde pas sur les connaissances nouvelles qu'ont faites l'anthropologie. De tout temps l'homme a évolué, et un acquis de nouvelles compétences, qui l'ont amené à de nouvelles avancés.

[@egonon5710]

C'est littéralement la position de Giorgio Locchi, que je défends également dans cette vidéo.

[@pierrecyrc]

Quel est l’ennemi commun au judaïsme, à l’islam, au protestantisme, au libéralisme, au marxisme, au communisme, au socialisme, au nazisme, au néopaganisme, au surhumanisme nietzschéen, au progressisme, au déconstructivisme et au transhumanisme ?

[@michelgarcia447]

Gloubiboulga rhétorique.
C'est dans la veine philosophique à la Heidegger et cie , un reliquat de métaphysique religieuse laicisée qui n'aboutit qu'à du non sens.
Vouloir faire une philosophie de la musique est une incompréhension profonde de la musique. Ce qui ne veut pas dire que l'on ne puisse pas penser la musique.
Incompréhension de Nietzsche qui s'oppose aux positions pan germaniques, infantiles et grossières de Wagner et s'est orienté vers une pensée plus aboutie , plus mature et plus ouverte
Nietzsche est une philosophie pleine de contradictions riches de possibilités et d'interprétations. Quand j'entends parler du "mythe" de l'éternel retour en tant que vision cyclique du temps, je sais que j'ai à faire à quelqu'un qui n'a rien compris à Nietzsche. Il s'agit d'un princpe moral !!!! Idem pour le Surhomme.
Votre vision de la musique de Wagner est celle de la récupération tonitruante dans les films de science fiction. Infantile au mieux adolescent.

[@didiervidry7687]

@@michelgarcia447 t'es un imbécile sans corps qui ne sait pas écrire.
Une pauvre narcisse en polystyrène.
Le préalable à la compréhension de Nietzsche, c'est de convoquer L être.
Commence par te battre lorsqu'on te dit de sortir d'un bar pour en découdre, après tu pourras peut être savoir pourquoi et comment on peut mourir de stupeur sous la tête dun cheval ....

[@pan6634]

Mais Bach, pour moi, c'est vraiment mieux que Wagner, Que de la musique, pas un spectacle.

[@tontonyac]

Prem's :)

[@arminheide9145]

Nietzsche et Wagner, deux amants, énièmes pédérastes germains aimant un peu trop la virilité.

[@egonon5710]

En voilà un commentaire stupéfiant d'intelligence !

[@fanfan1130]

La musique allemande est surcotée (et vous en rajoutez une couche)

[@maxj1151]

Bonjour,
A quel titre?

[@fanfan1130]

@@maxj1151 Au titre qu'elle ne surpasse en rien la musique italienne, française ou russe. Elle a juste su mieux "se vendre". On en fait des caisses autour de Bach comme s'il avait révolutionné son temps, alors que... non, c'est un mythe. Il est un produit de son époque. Mais qui connaît Rameau, son génialissime contemporain français ?Quant à Wagner on peut certes dire qu'il était au dessus de Bizet, on aura plus de mal à dire qu'il est au dessus de Saint Saens (les deux sont certes incomparables). Reste Beethoven qui est en effet indétrônable, c'est la petite exception. Et je ne dis pas "petite" par hasard. Plus on s'intéresse à la musique classique en profondeur, plus on se rend compte que les génies ne dépassent généralement que d'une petite tête leur contemporains. Après l'histoire est l'histoire...

[@user-vk5vh6tj5l]

​@@fanfan1130 Tiens, la team chauvinistes on tour...

[@user-vk5vh6tj5l]

@@Feanor83 La prédominance des compositeurs allemands est surtout du au style romantique (et principalement de la symphonie) qui est beaucoup apprécié et considéré comme le summum de la musique savante (ce qui est totalement subjectif) . Le nationalisme s'est surtout développé au 19ième en musique. C'est d'ailleurs l'un des sujet de discorde Nietzche/Wagner.

[@fanfan1130]

@@Feanor83 Je suis globalement d'accord avec votre point de vue, vous avez raison sur cette histoire de désamour.
Juste pour préciser, Mozart et Schubert étaient autrichiens (font-ils partie de la musique allemande pour autant?) et Liszt était hongrois.