D'une puissance absolue. A écouter en boucle par ces temps difficiles. N'oublions jamais la victoire glorieuse du fils de Dieu sur Satan, sur la domination par la peur et faisons confiance à la lumière divine, elle travaille pour nous.
Père je te prie de venir en ma faveur je cris vers toi mes soupirs et repousse les mauvaises langues et les persecutions malsaines envers moi qui détruit ma santé. Je crois en Toi Seigneur que tu es la puissance même dans ce monde qui dévore les uns les autres Viens nous secourir viens descends et repands ta divinité sur nous tous. amen
Seigneur aide moi à honorer ma promesse que j'ai faite à la vierge Marie dans les années 80merci, gloire à toi seigneur , je crois en toi, j'ai confiance en toi seigneur Amen 🙏❤️🙏
Bonjour 😊 Qu’appelez-vous Sorcier ? Les personnes qui ont des connaissances sur les plantes et le monde divin et céleste. Sur ce qu’est le respect de la nature et le fait d’être à sa pleine écoute. Le fait d’aider l’humain afin de l’accompagner vers le meilleur, c’est à dire vers le meilleur de lui même et d’être dans l’amour. Le fait de respecter les animaux (ne pas oublier que nous ne sommes que des animaux) car ils respectent Dame nature et que la race de l’être humain pense avoir les connaissances ? Je suis curieuse de connaître votre vision de ce qu’est être un sorcier ? Sachez que je suis une Sorcière et que je fais cette merveilleuse prière 4 fois par jour. Le matin avant de poser mes pieds au sol en posant l’intention que cette journée se déroule au mieux et que Dieu me montre le chemin le plus juste et me donne les bonnes paroles afin d’être dans sa lumière divine et céleste. En milieu de journée. Le soir après avoir fait mes ablutions et avant de me coucher pour le remercier de cette journée. Et la nuit car le brouhaha est moindre et que c’est un moment fort opportun pour être entendu et prier 🙏 Avez-vous cette discipline ? Une sorcière. ✨🌸🦋🙏
Une magnifique langue.... Plutôt oubliée.... Pourtant la langue de Yeshua.. Lors de son passage sur cette terre.....ne jamais oublier ses nombreuses larmes tout au long de sa courte vie, qui c est fini par tant de souffrances !!
Il faut faire perdurer cette jolie langue qui est celle du christ il ne faut surtout pas qu elle s eteigne merci à vous de l avoir fait j aime 3couter cette langue je trouve qu elle me transporte et encore plus écouter l Avé Maria j aime trop que dieu vous protège et qu ils vous bénisse et qu 8l protège les arméniens pourquoi veut on voir disparaître les chrétiens de moyen Orient oh mon dieu si puissant je te supplies protège les amen
Allah AKBAR ÉTERNEL qui a raison auprès Allah AKBAR rien ne perdus ce ÉTERNEL qui a Raison k are ils ça tout ce qui il a établie se comme Créatures Allah connais tout les secrets rien n échappe depuis que L ÉTERNEL ALKHALAK A Établi tout chose et fait Don de Vie à tous Créature
Que mes frères et mes sœurs retrouvent leur cœur d'enfant.❤.Nous sommes tous ses enfants 🙏....Pour que la paix et la tendresse rayonne à nouveau. Nous te rendons grâce à toi notre père seigneur de l'univers ❤
Ainsi que vous, chacunes et chacuns. Toutes celles et ceux qui œuvrent, dans l'ombre, en silence et en mesure, pour la Paix, pour la Sérénité, pour la Santé de l'âme individuelle et collective. Ceux qui écoutent et apprennent, à prendre le pouls de la Nature qui souffre de nos abus. Pat. ♾️🌠🌹🤍 🙏❤️🧡💛💚🩵💙💜🙏
Frères et sœurs messieurs mesdames qui a mit le notre père de la langue de jésus christ notre sauveur et seigneur alpha et oméga grâce gloire soit rendu à jésus christ nous t'aimons nous tadorons nous avons confiance en toi et nous espérons en toi mercie beaucoup d'avance encore jésus christ millions milliards d'amour et sourire millions milliards du pitié et priez pour nous aurevoir
Ô seigneur prends ta place divine dans mon coeur qui est ton trône. Merci Seigneur Jesus Aie pitié de moi Fils de David a toi la gloire et la louange pour des siecles et des siecles. Amen.
Celui qui ne croit pas à perdu son âme .( Chrétiens .Juifs. Musulmans ) Le Tout Puissant n'a jamais poussé les êtres humains à s'entre tuer . Celui qui dit le contraire n'est que le fils ou la fille de Satan.
Un singur duhu și un singur Mîntuire și un singur adevăr, să ne disbracam de Haina veche și să ne îmbrăcăm în Haina Neprihanire a Lui Isus Hristos că ne este de folos,Scumpii si iubiți Domnului Isus Hristos, lupta cu noi este să spunem pe nume la pacat,nu ne ajută cu nimic, să intrăm într-o Biserică să facim un semnal cruce și să sarutam o pictură, iar eșim din Biserică și continuăm pacatul ,vorbesc despre persoanele care nu au încheiat legămîntul cu Domnul Isus Hristos, Scumpii și iubiți mei Frați și prieteni și Prețui a Lui Dumnezeu, Dumnezeu ne vrea ca tot ce mișcă pe acest Pământ să-i adică Slava Lui Isus Hristos să se disbrace de Haina veche a pacientului și fără de lege ,după aia să ne luptăm să ne îmbrăcăm în Haina Neprihanire a Lui Isus Hristos, și atunci în noi locuiește Lumina Sfântă a Lui Dumnezeu, nu mai poate locui fără de legea păcatului, nu mai exista curvie,nu mai exista minciună, nu mai exista alcol,nu mai exista violență, nu mai exista fărădelegi, și există un singur Mîntuire ,există o singură iubire, iubirea Sfântă a Lui Isus Hristos, există pace, există Dragoste unul față de altul, există adivar,există o singură cale, clea care duce în Eternitate,fără luptă nu-i cunună scumpii și iubiți mei Frați și prieteni, pentru a intra în Țară Sfântă a Lui Dumnezeu ne trebuie un Pasaport, care este?este Haina Neprihanire a Lui Isus Hristos so îmbrăcăm că nu-i scumpă este gratuită și plină de Binecuvîntari scumpii și iubiți mei Frați și prieteni și Preoți, cu maxim respect vă urez ca Izvoarele Duhului sfânt al Lui Isus Hristos să ne trezească pentru a intra în Țară Sfântă a Lui Dumnezeu și să ne umple de puterea Duhului sfânt al Lui Isus Hristos Amin.🙏🙏
L'araméen est la langue mère des langues sémites, à savoir l'hébreu puis l'arabe, donc aucune surprise de constater qu'une prière en araméen ressemble beaucoup à l'hébreu... Jésus, Yéshoua en hébreu était Juif, messie du peuple d'Israël par le sang, car descendant du roi David, puis du monde entier par la foi...
Beaucoup de mots on le meme sens en arabe aussi bien sur ce sont des langue sémite beaucoup de similitude Aboun par exemple père Abi Abou en arabe .Pour moi les livres saint nous viennent du meme et unique Créateur
Or l’araméen a évolué naturellement et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit- tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa- çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne, mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de cette vérité : les trois textes originaux de notre mono- théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament. Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire, car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi- gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie, ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque. Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique. Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa- tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de- puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le patronage des autorités israéliennes une belle édition de l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re- productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes, hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe, grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac- cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana- lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé- finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie, fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les « samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361 éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres- sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré- tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? » Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai- res de certains érudits. Par acquit de conscience nous avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher- cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal que la Révélation conçue pour la prédication et la prière universelle, faite pour la compréhension populaire, soit devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven- tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la science arabes des représentants prestigieux. Nous avons dit que la première version de la Bible juive se présente dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III, en même temps que furent collationnées les œuvres ho- mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé- nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec- teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc- tion ou l’adaptation d’une première version en langue hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi- tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï- ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro- bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive- ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa- vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti- lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara- méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou- verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum- ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales- tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté- rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère. De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup- çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi- fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage entre la société des hommes et l’expression divine. Que les résonances harmonieuses des psaumes en latin d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une documentation linguistique valable ni surtout l’origine ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan- gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic- tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu- blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
@husserliana même avec une prière vous arrivez a vous disputer il est ou votre respect ? Gloire à ton Saint nom YHWH Gloire à Yeshoua HA MASHIAH ( jésus christ ) Gloire à notre père Amen
Inchallah Namaste SHALOM AMEN QU'IL SOIT comment il était dans le s siècles des siècles Ameni inchallah Namaste salow sukran HALLAL PROTECT ME AND m'y fagmilie fazza3 ldfza 3
Jésus ssidna Issa il est né aux moyens Orient quand il prié il se prosterner pour dieu porté une djellaba et une barbe. la Bible à été écrite aux moyens Orient en araméen. aujourd'hui il y a des prêtres qui prient et se prosterne comme les musulmans mes en cachette.salam paix à nos frères chrétiens
Tout à fait. Il s ont fait de Jésus un européens. A l'époque les arabes n'existaient pas et la langue arabe non plus. C'est pour cela que mes frères juifs et musulmans qui sont dans l'erreur doivent venir à Yesshoua le fils de Dieu. Jésus le centre du monde, Dieu fait homme. L'avenir du monde sera chrétienne Amen Seigneur Jésus.
@عنكبوت جزائري tu m'as l'air bien fofolle comme araignée algérienne ! Pourquoi viens tu débattre sur ces vidéos si tu n'y crois pas? Ne perd pas ton temps il serait trop long de t'expliquer pourquoi avec le suivi de la chaîne de transmission nous n'avons aucun doute sur l'authenticité des ahadiths et encore moins des versets du Coran. Tu as choisis les passions et tu cherches à faire mecroire les gens comme tu as mecru.
l'arameen et l'arabe sont des langues geographiquement proche. la premiere vient de Galilée (nord d'israel) et l'autre de Medine. il y a peu de distance entre deux
Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête islamique au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).
Une fréquence, un chant, une psalmodie, un spaume. Une clée, une antité vivante, sur laquelle se repose des pensées au-delà des mots. Sur laquelle se greffe le "NÔTRE PÈRE" Chrétien (dit en Araméen). Une manière de communiquer avec YHWH, DIEU, ALLA, et tous les mondes, intérieurs et parallèles au nôtre. Ceux d'une autre dimension, à laquelle toutes les religions s'accrochent, pour ne faire qu'UN avec l'Univers, au-delà de l'image, de l'imagination et des apparences accessibles à nos cinq sens premiers. ♾️🌠🌹🤍 🙏❤️🧡💛💚🩵💙💜🙏
Or l’araméen a évolué naturellement et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit- tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa- çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne, mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de cette vérité : les trois textes originaux de notre mono- théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament. Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire, car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi- gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie, ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque. Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique. Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa- tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de- puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le patronage des autorités israéliennes une belle édition de l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re- productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes, hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe, grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac- cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana- lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé- finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie, fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les « samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361 éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres- sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré- tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? » Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai- res de certains érudits. Par acquit de conscience nous avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher- cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal que la Révélation conçue pour la prédication et la prière universelle, faite pour la compréhension populaire, soit devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven- tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la science arabes des représentants prestigieux. Nous avons dit que la première version de la Bible juive se présente dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III, en même temps que furent collationnées les œuvres ho- mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé- nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec- teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc- tion ou l’adaptation d’une première version en langue hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi- tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï- ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro- bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive- ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa- vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti- lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara- méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou- verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum- ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales- tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté- rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère. De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup- çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi- fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage entre la société des hommes et l’expression divine. Que les résonances harmonieuses des psaumes en latin d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une documentation linguistique valable ni surtout l’origine ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan- gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic- tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu- blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
L' arabe l ' hebreux et l araméen sont des langue sémite Allah ce dit Allaha en Araméen par exemple je ne parle pas l' araméen ni meme l' arabe juste un peu l' arabe dialectale et j' arrive a comprendre des mot en araméen
Or l’araméen a évolué naturellement et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit- tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa- çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne, mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de cette vérité : les trois textes originaux de notre mono- théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament. Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire, car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi- gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie, ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque. Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique. Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa- tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de- puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le patronage des autorités israéliennes une belle édition de l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re- productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes, hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe, grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac- cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana- lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé- finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie, fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les « samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361 éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres- sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré- tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? » Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai- res de certains érudits. Par acquit de conscience nous avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher- cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal que la Révélation conçue pour la prédication et la prière universelle, faite pour la compréhension populaire, soit devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven- tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la science arabes des représentants prestigieux. Nous avons dit que la première version de la Bible juive se présente dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III, en même temps que furent collationnées les œuvres ho- mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé- nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec- teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc- tion ou l’adaptation d’une première version en langue hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi- tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï- ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro- bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive- ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa- vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti- lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara- méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou- verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum- ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales- tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté- rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère. De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup- çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi- fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage entre la société des hommes et l’expression divine. Que les résonances harmonieuses des psaumes en latin d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une documentation linguistique valable ni surtout l’origine ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan- gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic- tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu- blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
Une certitude en tous cas, l’hébreu n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres- sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré- tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »
@@karimaitnasser6225 un seule sauveur jésus christ je suis métisse algérien j'ai vu jesus et mon ange gardien j'ai également échapper miraculeusement à deux tire par balle par miracle plein d'autres miracle seule jesus sauve Muhammad et un faux prophète pédophile sanguinaire allah le diable qui égards ordonne de tué et de mentir avec la takya et le djiad aissa est oas le jesus de la bible seule jesus sauve
This is too too much for UKRAINE. JESUS JESUS JESUS I am calling you to stop this INJUSTICE of Russia to Ukraine. You are the Truth ❤️ you and only you ❤️. This my demand this Friday. Not for me but your Ukrainian childrens.
Or l’araméen a évolué naturellement et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit- tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa- çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne, mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de cette vérité : les trois textes originaux de notre mono- théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament. Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire, car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi- gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie, ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque. Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique. Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa- tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de- puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le patronage des autorités israéliennes une belle édition de l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re- productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes, hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe, grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac- cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana- lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé- finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie, fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les « samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361 éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres- sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré- tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? » Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai- res de certains érudits. Par acquit de conscience nous avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher- cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal que la Révélation conçue pour la prédication et la prière universelle, faite pour la compréhension populaire, soit devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven- tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la science arabes des représentants prestigieux. Nous avons dit que la première version de la Bible juive se présente dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III, en même temps que furent collationnées les œuvres ho- mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé- nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec- teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc- tion ou l’adaptation d’une première version en langue hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi- tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï- ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro- bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive- ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa- vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti- lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara- méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou- verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum- ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales- tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté- rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère. De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup- çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi- fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage entre la société des hommes et l’expression divine. Que les résonances harmonieuses des psaumes en latin d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une documentation linguistique valable ni surtout l’origine ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan- gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic- tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu- blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
Protocole incomplet ! Je crois qu’il faut faire des ablutions avant et se prosterner par terre . De plus il y avait aussi Awen qui est la version feminine de Amen qui a été supprimée. C’est comme supprimer l’électricité à une ampoule qui ne sert plus à rien alors Aussi bordelic qu’un catholic !
D'une puissance absolue. A écouter en boucle par ces temps difficiles. N'oublions jamais la victoire glorieuse du fils de Dieu sur Satan, sur la domination par la peur et faisons confiance à la lumière divine, elle travaille pour nous.
Gloire à notre seigneur. Amen 🙏
Gloire à notre Seigneur Jésus
Je l'écoute en boucle tellement ce chant est beau en Araméen.
Gloire à toi seigneur jésus ! ✨
✨🙏💖
❤❤❤fait que se chant raisonné sur tout. La terre et dans nos cœur gloire à toi seigneur père fils et saint esprit amen amen amen ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤😊
❤
Père je te prie de venir en ma faveur je cris vers toi mes soupirs et repousse les mauvaises langues et les persecutions malsaines envers moi qui détruit ma santé. Je crois en Toi Seigneur que tu es la puissance même dans ce monde qui dévore les uns les autres Viens nous secourir viens descends et repands ta divinité sur nous tous. amen
Seigneur aide moi à honorer ma promesse que j'ai faite à la vierge Marie dans les années 80merci, gloire à toi seigneur , je crois en toi, j'ai confiance en toi seigneur Amen 🙏❤️🙏
La vocalise est apaisante et très relaxante. Belle voix grave et douce qui rend justice à cette prière divine.
Les sorciers ne peuvent pas supporter cette Puissante Prière car elle est très Puissante Powerfully ADONAI ayez pitié de moi Père Amin
Bonjour 😊
Qu’appelez-vous Sorcier ?
Les personnes qui ont des connaissances sur les plantes et le monde divin et céleste.
Sur ce qu’est le respect de la nature et le fait d’être à sa pleine écoute.
Le fait d’aider l’humain afin de l’accompagner vers le meilleur, c’est à dire vers le meilleur de lui même et d’être dans l’amour.
Le fait de respecter les animaux (ne pas oublier que nous ne sommes que des animaux) car ils respectent Dame nature et que la race de l’être humain pense avoir les connaissances ?
Je suis curieuse de connaître votre vision de ce qu’est être un sorcier ?
Sachez que je suis une Sorcière et que je fais cette merveilleuse prière 4 fois par jour.
Le matin avant de poser mes pieds au sol en posant l’intention que cette journée se déroule au mieux et que Dieu me montre le chemin le plus juste et me donne les bonnes paroles afin d’être dans sa lumière divine et céleste.
En milieu de journée.
Le soir après avoir fait mes ablutions et avant de me coucher pour le remercier de cette journée.
Et la nuit car le brouhaha est moindre et que c’est un moment fort opportun pour être entendu et prier 🙏
Avez-vous cette discipline ?
Une sorcière.
✨🌸🦋🙏
N'oublions jamais la victoire de Jésus et le triomphe de dieu AMEN
Une magnifique langue....
Plutôt oubliée....
Pourtant la langue de Yeshua..
Lors de son passage sur cette terre.....ne jamais oublier ses nombreuses larmes tout au long de sa courte vie, qui c est fini par tant de souffrances !!
Dieu de réconfort, dans mes moments solitaires, sois ma consolation. Permets-moi de ressentir la chaleur de ton amour et la certitude de ta présence.
Jésus merci infiniment pour la rédemption , merci pour Ton sacrifice Ultime sur Amin
Merci seigneur Jésus et je te demande de libérer mon fils cedric dans l'enfer de la drogue merci seigneur Jésus je confiance en toi
A tout les percuté dans ce monde d'où y proclame ton nom Jésus-Christ et ce qui ce font tué également leurs porte son grandement ouverte ✨
notre père qui est aux cieux que ton nom soit sanctifié
Viennes ton royaume donne nous le pain celui dont j ai besoin
Aujourd'hui. Et laisse tomber ce dont je n ai pas besoin
Comme toi même tu l as fait
Il faut faire perdurer cette jolie langue qui est celle du christ il ne faut surtout pas qu elle s eteigne merci à vous de l avoir fait j aime 3couter cette langue je trouve qu elle me transporte et encore plus écouter l Avé Maria j aime trop que dieu vous protège et qu ils vous bénisse et qu 8l protège les arméniens pourquoi veut on voir disparaître les chrétiens de moyen Orient oh mon dieu si puissant je te supplies protège les amen
Allah AKBAR ÉTERNEL qui a raison auprès Allah AKBAR rien ne perdus ce ÉTERNEL qui a Raison k are ils ça tout ce qui il a établie se comme Créatures Allah connais tout les secrets rien n échappe depuis que L ÉTERNEL ALKHALAK A Établi tout chose et fait Don de Vie à tous Créature
Que mes frères et mes sœurs retrouvent leur cœur d'enfant.❤.Nous sommes tous ses enfants 🙏....Pour que la paix et la tendresse rayonne à nouveau. Nous te rendons grâce à toi notre père seigneur de l'univers ❤
c'est magnifique 🥲 merci 🙏 que la Paix soit avec vous
Ainsi que vous, chacunes et chacuns. Toutes celles et ceux qui œuvrent, dans l'ombre, en silence et en mesure, pour la Paix, pour la Sérénité, pour la Santé de l'âme individuelle et collective.
Ceux qui écoutent et apprennent, à prendre le pouls de la Nature qui souffre de nos abus.
Pat. ♾️🌠🌹🤍
🙏❤️🧡💛💚🩵💙💜🙏
J’adore cette prière chanté en Mantra 🕉️ MAGNIFICIUM ✨✨✨❤️🔥❤️🔥❤️🔥
Magnifique ❤️ 😇🙏🙏🙏 c'est très puissant
I Seigneur ! Prend Pitié de moi Et mes enfants Seigneur ! Miséricordes Père d’amour Amen Amen Amen Shalom
Seigneur prends pitié du monde entier ❤
Frères et sœurs messieurs mesdames qui a mit le notre père de la langue de jésus christ notre sauveur et seigneur alpha et oméga grâce gloire soit rendu à jésus christ nous t'aimons nous tadorons nous avons confiance en toi et nous espérons en toi mercie beaucoup d'avance encore jésus christ millions milliards d'amour et sourire millions milliards du pitié et priez pour nous aurevoir
Je te loue Père de gloire ADONAI ELOHIM YAHUWAH EMMANUEL merci Pour Ton Sang Versé à La Croix pour me délivré du péché de la mort Amen
Que la douceur de vivre imprègne chaque jour de ma vie.
C'est absolument magnifique
C’est magnifique merci Jésus sauve nous 🙏 amen ♥️
Je t'aime et te fais une entière confiance seigneur Jésus Christ..amour paix liberté joie dans le monde entier..❤️❤️❤️🙏❤️❤️❤️
Ô seigneur prends ta place divine dans mon coeur qui est ton trône. Merci Seigneur Jesus Aie pitié de moi Fils de David a toi la gloire et la louange pour des siecles et des siecles. Amen.
Magnifique !
Pardon Seigneur pour mon manque de foi. Svp redonne moi rendez vous et que St Michel Archange m y amène
Ici et maintenant amen 🙏
Merci ressenti de paix et d être proche du langage du Christ
Magnifique ! Amen 🙏🏻
GRATITUDE divine 💙💙💙💙💙😊
Merci beaucoup très belle prière Amen
Wow. Just wow. Thank you.
☆♡JÉSUS♡☆♡CHRIST♡☆
☆♡AMEN♡☆
Nous somme tous des frères en humanité
Celui qui ne croit pas à perdu son âme .( Chrétiens .Juifs. Musulmans ) Le Tout Puissant n'a jamais poussé les êtres humains à s'entre tuer . Celui qui dit le contraire n'est que le fils ou la fille de Satan.
Sublime !
merci du fond du coeur pour cette traducton , soyez bénis !
Seigneur jésus christ 🙏 ❤️🕊️✝️
Merci
Amen 🙏
Si jolie
Amen
Merci, amen.
GRANDIOS 🙏🙏😿
Question : est-ce que la musique est accordée en 432 Hz ? Cette accord permet une synchronisation des deux hémisphères cérébraux.
Que Dieu vous protège.
Wow j'aimerais apprendre l'araméen
Un singur duhu și un singur Mîntuire și un singur adevăr, să ne disbracam de Haina veche și să ne îmbrăcăm în Haina Neprihanire a Lui Isus Hristos că ne este de folos,Scumpii si iubiți Domnului Isus Hristos, lupta cu noi este să spunem pe nume la pacat,nu ne ajută cu nimic, să intrăm într-o Biserică să facim un semnal cruce și să sarutam o pictură, iar eșim din Biserică și continuăm pacatul ,vorbesc despre persoanele care nu au încheiat legămîntul cu Domnul Isus Hristos, Scumpii și iubiți mei Frați și prieteni și Prețui a Lui Dumnezeu, Dumnezeu ne vrea ca tot ce mișcă pe acest Pământ să-i adică Slava Lui Isus Hristos să se disbrace de Haina veche a pacientului și fără de lege ,după aia să ne luptăm să ne îmbrăcăm în Haina Neprihanire a Lui Isus Hristos, și atunci în noi locuiește Lumina Sfântă a Lui Dumnezeu, nu mai poate locui fără de legea păcatului, nu mai exista curvie,nu mai exista minciună, nu mai exista alcol,nu mai exista violență, nu mai exista fărădelegi, și există un singur Mîntuire ,există o singură iubire, iubirea Sfântă a Lui Isus Hristos, există pace, există Dragoste unul față de altul, există adivar,există o singură cale, clea care duce în Eternitate,fără luptă nu-i cunună scumpii și iubiți mei Frați și prieteni, pentru a intra în Țară Sfântă a Lui Dumnezeu ne trebuie un Pasaport, care este?este Haina Neprihanire a Lui Isus Hristos so îmbrăcăm că nu-i scumpă este gratuită și plină de Binecuvîntari scumpii și iubiți mei Frați și prieteni și Preoți, cu maxim respect vă urez ca Izvoarele Duhului sfânt al Lui Isus Hristos să ne trezească pentru a intra în Țară Sfântă a Lui Dumnezeu și să ne umple de puterea Duhului sfânt al Lui Isus Hristos Amin.🙏🙏
AMEN AMEN AMEN
Awen Awen Awen aussi !
L'araméen est la langue mère des langues sémites, à savoir l'hébreu puis l'arabe, donc aucune surprise de constater qu'une prière en araméen ressemble beaucoup à l'hébreu... Jésus, Yéshoua en hébreu était Juif, messie du peuple d'Israël par le sang, car descendant du roi David, puis du monde entier par la foi...
Quelqu'un sait comment on dit " sauve moi jésus " en Araméen ?
Beaucoup de mots on le meme sens en arabe aussi bien sur ce sont des langue sémite beaucoup de similitude Aboun par exemple père Abi Abou en arabe .Pour moi les livres saint nous viennent du meme et unique Créateur
Or l’araméen a évolué naturellement
et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant
désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit-
tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture
arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa-
çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se
conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous
appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas
plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne,
mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles
soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de
cette vérité : les trois textes originaux de notre mono-
théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les
deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament.
Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire,
car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi-
gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir
dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres
suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la
nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors
des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un
silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie,
ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque.
Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui
constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou
de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot
hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que
sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique.
Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles
liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa-
tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de-
puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne
saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les
faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on
ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le
patronage des autorités israéliennes une belle édition de
l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re-
productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes,
hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas
même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une
traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et
parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son
époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux
le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des
Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque
fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe,
grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une
nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a
été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons
matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée
marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac-
cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana-
lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé-
finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni
par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas
Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne
des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans
ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie,
fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les
« samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361
éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu
n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres-
sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite
l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des
autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré-
tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le
grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en
arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui
le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le
premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »
Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai-
res de certains érudits. Par acquit de conscience nous
avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les
exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des
mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher-
cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique
sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute
une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une
vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal
que la Révélation conçue pour la prédication et la prière
universelle, faite pour la compréhension populaire, soit
devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven-
tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs
d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer
en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la
science arabes des représentants prestigieux. Nous avons
dit que la première version de la Bible juive se présente
dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au
ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III,
en même temps que furent collationnées les œuvres ho-
mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous
a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la
mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé-
nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec-
teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait
s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit
des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne
les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc-
tion ou l’adaptation d’une première version en langue
hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une
telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle
après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi-
tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on
fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est
encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï-
ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au
i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro-
bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte
hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive-
ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa-
vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti-
lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la
Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara-
méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques
années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou-
verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum-
ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales-
tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté-
rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise
militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle
paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les
savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en
avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère.
De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de
signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup-
çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte
sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi-
fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur
le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous
avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et
évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité
archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage
entre la société des hommes et l’expression divine. Que
les résonances harmonieuses des psaumes en latin
d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le
cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une
certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une
documentation linguistique valable ni surtout l’origine
ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan-
gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur
valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à
la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic-
tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu-
blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par
le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une
sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer
en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
@Abdul Jalil il y'a de la haine en vous Que Dieu vous pardonne Amen
@husserliana même avec une prière vous arrivez a vous disputer il est ou votre respect ? Gloire à ton Saint nom YHWH
Gloire à Yeshoua HA MASHIAH ( jésus christ )
Gloire à notre père Amen
QESA 🙏🏻✨✨✨ Qu'il, En, Soit, Ainsi 🙏🏻✨✨✨✨ 🏺💙
Nous percevons seulement ce que nous avons appris.
Jésus de Nazareth l’homme de Galilée
❤❤❤Amen ❤
❤❤❤❤❤
🙏🏻💝
❤
Inchallah Namaste SHALOM AMEN QU'IL SOIT comment il était dans le s siècles des siècles Ameni inchallah Namaste salow sukran HALLAL PROTECT ME AND m'y fagmilie fazza3 ldfza 3
Jésus ssidna Issa il est né aux moyens Orient quand il prié il se prosterner pour dieu porté une djellaba et une barbe. la Bible à été écrite aux moyens Orient en araméen. aujourd'hui il y a des prêtres qui prient et se prosterne comme les musulmans mes en cachette.salam paix à nos frères chrétiens
Tout à fait. Il s ont fait de Jésus un européens. A l'époque les arabes n'existaient pas et la langue arabe non plus. C'est pour cela que mes frères juifs et musulmans qui sont dans l'erreur doivent venir à Yesshoua le fils de Dieu. Jésus le centre du monde, Dieu fait homme. L'avenir du monde sera chrétienne Amen Seigneur Jésus.
@@francoisrohaut5866 Nous reconnaissons Issa paix sur lui comme un prophète musulman mais vous avez délaissé sa religion qui était l'islam
@عنكبوت جزائري un illettré qui fait du copié collé c'est original. Et la bible de Barnabé que le Vatican refuse de reconnaître ça donne quoi?
@عنكبوت جزائري tu m'as l'air bien fofolle comme araignée algérienne ! Pourquoi viens tu débattre sur ces vidéos si tu n'y crois pas? Ne perd pas ton temps il serait trop long de t'expliquer pourquoi avec le suivi de la chaîne de transmission nous n'avons aucun doute sur l'authenticité des ahadiths et encore moins des versets du Coran. Tu as choisis les passions et tu cherches à faire mecroire les gens comme tu as mecru.
@@user-pu9er7oj3n les textes sont faux pour la soumission du peuple
stupéfier de découvrir des similitudes avec l'arabe!! même l’écriture
l'arameen et l'arabe sont des langues geographiquement proche. la premiere vient de Galilée (nord d'israel) et l'autre de Medine. il y a peu de distance entre deux
Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête islamique au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).
bonjour, excusez moi, pourquoi j'ai l'impression que l'araméen ressemble beaucoup au sanskrit indien ? c'est une illusion que j'ai ou c'est vrai ?
la page n'existe plus sur le site
araméen et arabe ce ressemble comme 2 goute d'eau,
oui ce sont des langue sémite au meme titre que l' hebreux presque le meme alphabet .
Je ne trouve aucune resemblance avec l'arabe absolument aucune
Les mots ne sont que des symboles de symboles. Nous leurs donnons des significations.
C'est le "Notre Père". Pas la prière de Jesus, qui est une autre prière.
L'Amen n'a pas de traduction ???
Je crois que c est ainsi soit il.
Amen, ou Amin, signifie « qu’il en soit ainsi » ou ainsi soit-il ! 🙏🏽
Une fréquence, un chant, une psalmodie, un spaume.
Une clée, une antité vivante, sur laquelle se repose des pensées au-delà des mots.
Sur laquelle se greffe le "NÔTRE PÈRE" Chrétien (dit en Araméen).
Une manière de communiquer avec YHWH, DIEU, ALLA, et tous les mondes, intérieurs et parallèles au nôtre.
Ceux d'une autre dimension, à laquelle toutes les religions s'accrochent, pour ne faire qu'UN avec l'Univers, au-delà de l'image, de l'imagination et des apparences accessibles à nos cinq sens premiers.
♾️🌠🌹🤍
🙏❤️🧡💛💚🩵💙💜🙏
Or l’araméen a évolué naturellement
et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant
désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit-
tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture
arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa-
çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se
conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous
appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas
plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne,
mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles
soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de
cette vérité : les trois textes originaux de notre mono-
théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les
deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament.
Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire,
car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi-
gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir
dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres
suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la
nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors
des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un
silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie,
ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque.
Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui
constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou
de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot
hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que
sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique.
Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles
liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa-
tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de-
puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne
saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les
faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on
ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le
patronage des autorités israéliennes une belle édition de
l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re-
productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes,
hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas
même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une
traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et
parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son
époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux
le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des
Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque
fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe,
grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une
nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a
été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons
matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée
marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac-
cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana-
lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé-
finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni
par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas
Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne
des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans
ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie,
fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les
« samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361
éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu
n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres-
sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite
l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des
autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré-
tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le
grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en
arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui
le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le
premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »
Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai-
res de certains érudits. Par acquit de conscience nous
avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les
exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des
mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher-
cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique
sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute
une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une
vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal
que la Révélation conçue pour la prédication et la prière
universelle, faite pour la compréhension populaire, soit
devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven-
tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs
d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer
en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la
science arabes des représentants prestigieux. Nous avons
dit que la première version de la Bible juive se présente
dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au
ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III,
en même temps que furent collationnées les œuvres ho-
mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous
a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la
mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé-
nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec-
teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait
s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit
des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne
les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc-
tion ou l’adaptation d’une première version en langue
hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une
telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle
après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi-
tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on
fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est
encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï-
ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au
i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro-
bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte
hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive-
ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa-
vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti-
lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la
Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara-
méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques
années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou-
verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum-
ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales-
tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté-
rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise
militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle
paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les
savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en
avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère.
De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de
signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup-
çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte
sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi-
fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur
le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous
avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et
évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité
archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage
entre la société des hommes et l’expression divine. Que
les résonances harmonieuses des psaumes en latin
d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le
cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une
certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une
documentation linguistique valable ni surtout l’origine
ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan-
gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur
valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à
la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic-
tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu-
blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par
le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une
sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer
en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
l'arabe s'est inspiré de l'araméen.
L' arabe l ' hebreux et l araméen sont des langue sémite Allah ce dit Allaha en Araméen par exemple je ne parle pas l' araméen ni meme l' arabe juste un peu l' arabe dialectale et j' arrive a comprendre des mot en araméen
Or l’araméen a évolué naturellement
et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant
désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit-
tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture
arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa-
çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se
conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous
appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas
plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne,
mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles
soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de
cette vérité : les trois textes originaux de notre mono-
théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les
deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament.
Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire,
car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi-
gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir
dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres
suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la
nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors
des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un
silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie,
ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque.
Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui
constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou
de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot
hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que
sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique.
Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles
liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa-
tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de-
puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne
saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les
faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on
ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le
patronage des autorités israéliennes une belle édition de
l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re-
productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes,
hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas
même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une
traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et
parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son
époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux
le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des
Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque
fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe,
grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une
nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a
été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons
matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée
marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac-
cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana-
lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé-
finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni
par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas
Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne
des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans
ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie,
fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les
« samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361
éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu
n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres-
sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite
l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des
autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré-
tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le
grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en
arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui
le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le
premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »
Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai-
res de certains érudits. Par acquit de conscience nous
avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les
exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des
mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher-
cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique
sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute
une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une
vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal
que la Révélation conçue pour la prédication et la prière
universelle, faite pour la compréhension populaire, soit
devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven-
tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs
d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer
en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la
science arabes des représentants prestigieux. Nous avons
dit que la première version de la Bible juive se présente
dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au
ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III,
en même temps que furent collationnées les œuvres ho-
mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous
a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la
mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé-
nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec-
teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait
s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit
des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne
les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc-
tion ou l’adaptation d’une première version en langue
hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une
telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle
après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi-
tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on
fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est
encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï-
ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au
i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro-
bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte
hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive-
ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa-
vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti-
lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la
Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara-
méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques
années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou-
verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum-
ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales-
tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté-
rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise
militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle
paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les
savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en
avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère.
De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de
signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup-
çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte
sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi-
fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur
le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous
avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et
évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité
archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage
entre la société des hommes et l’expression divine. Que
les résonances harmonieuses des psaumes en latin
d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le
cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une
certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une
documentation linguistique valable ni surtout l’origine
ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan-
gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur
valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à
la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic-
tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu-
blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par
le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une
sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer
en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
almine al 3alamine en arabe
Une certitude en tous cas, l’hébreu
n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres-
sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite
l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des
autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré-
tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le
grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en
arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui
le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le
premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »
@@karimaitnasser6225 un seule sauveur jésus christ je suis métisse algérien j'ai vu jesus et mon ange gardien j'ai également échapper miraculeusement à deux tire par balle par miracle plein d'autres miracle seule jesus sauve Muhammad et un faux prophète pédophile sanguinaire allah le diable qui égards ordonne de tué et de mentir avec la takya et le djiad aissa est oas le jesus de la bible seule jesus sauve
Maya en sanskrit veut dire illusion ou magie
This is too too much for UKRAINE. JESUS JESUS JESUS I am calling you to stop this INJUSTICE of Russia to Ukraine. You are the Truth ❤️ you and only you ❤️. This my demand this Friday. Not for me but your Ukrainian childrens.
Jesus Jesus Jesus au non de Jesus Christ de Nazareth arrest cette guere. Ou est tu? Pas possible, pas just, arret cet arret cette injustice injustice
l'arabe a été inventé par l'araméen ♡♡
Or l’araméen a évolué naturellement
et sans heurt en langue arabe, cette dernière se trouvant
désormais l’héritière des passés égyptien, cananéen, hit-
tite et babylonien. Telle est l’exacte mesure de la culture
arabe, mère et inspiratrice de l’hellénisme qu’elle a fa-
çonné dans son esprit et dans ses lois. Arabe et Grec se
conjuguent et se coordonnent pour donner ce que nous
appelons la civilisation qui n’est, comme on le voit, pas
plus orientale qu’occidentale, pas plus sémite qu’aryenne,
mais une et indivisible en toutes ses parties, qu’elles
soient spirituelles ou matérielles. Témoins imposants de
cette vérité : les trois textes originaux de notre mono-
théisme ; ils sont rédigés l'un en arabe, le Coran ; les
deux autres en grec, l’ancien et le nouveau Testament.
Une mise au point sur l’hébraïsme est ici nécessaire,
car une illusion compliquée d’une perpétuelle prestidi-
gitation étymologique a pu entraîner bien des gens à voir
dans les Hébreux et dans leur « culture » les ancêtres
suprêmes de l’histoire de l’Orient et par là même de la
nôtre. Et tout d’abord il est bon de savoir qu’en dehors
des textes bibliques, l’histoire fait sur les Hébreux un
silence total. Nulle part ni l’archéologie, ni l’épigraphie,
ni la statuaire ne révèlent le moindre vestige hébraïque.
Sur les milliers de textes cunéiformes ou égyptiens qui
constituent les bibliothèques d’Egypte, de Ras Shamra ou
de Ninive, pas plus que dans les récits araméens le mot
hébreu n’est mentionné ; les fameux rois bibliques que
sont David ou Salomon ne défraient aucune chronique.
Aucune mention non plus de l’épopée et des batailles
liées à un exode des Hébreux. Nulle rupture de civilisa-
tion n’est attestée par les fouilles faites en Palestine de-
puis 1890. Le néant est aussi parfait que définitif. Il ne
saurait donc être question d’histoire lorsqu’on ignore les
faits, ni de tenter de deviner les événements alors qu’on
ne possède aucun document. En 1973 a été publiée sous le
patronage des autorités israéliennes une belle édition de
l’œuvre de Flavius Josèphe ; l’ouvrage est illustré de re-
productions babyloniennes, sumériennes, égyptiennes,
hittites, c’est-à-dire arabes. Nul hébraïsme là-dedans, pas
même dans le texte qui, comme chacun le sait, est une
traduction du grec, Flavius Josèphe écrivant en grec et
parlant arainéen ainsi que tous les Palestiniens de son
époque. Ajoutons qu’ignorés des Evangiles, les Hébreux
le sont aussi du Coran qui parle seulement des Juifs, des
Israélites, ou des Enfants d’Israël. En tous cas chaque
fois que figure le mot hébreu dans les littératures arabe,
grecque ou latine, il désigne une religion et non pas une
nation. Il existe bien une épître aux Hébreux mais elle a
été rejetée par les exégètes ; d’abord pour des raisons
matérielles, la notation « aux Hébreux » ayant été ajoutée
marginalement ; ensuite parce que personne n’était d’ac-
cord sur le sens du terme hébreu qui échappe à toute ana-
lyse sérieuse. Il nous est actuellement impossible de dé-
finir les Hébreux ni dans le temps, ni dans l’espace, ni
par la sociologie, ni par la confession. Et ce n’est pas
Flavius Josèphe qui nous aidera ; son Histoire ancienne
des Juifs est étonnante dans ses contradictions et dans
ses contes : il place la Chaldée hors de la Mésopotamie,
fait d’Abraham un roi de Syrie ; il signale aussi que les
« samaritains sont hébreux mais pas juifs >. (page 361
éditions Lidis 1973). Une certitude en tous cas, l’hébreu
n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres-
sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite
l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des
autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré-
tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le
grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en
arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui
le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le
premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »
Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai-
res de certains érudits. Par acquit de conscience nous
avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les
exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des
mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher-
cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique
sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute
une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une
vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal
que la Révélation conçue pour la prédication et la prière
universelle, faite pour la compréhension populaire, soit
devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven-
tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs
d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer
en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la
science arabes des représentants prestigieux. Nous avons
dit que la première version de la Bible juive se présente
dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au
ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III,
en même temps que furent collationnées les œuvres ho-
mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous
a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la
mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé-
nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec-
teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait
s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit
des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne
les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc-
tion ou l’adaptation d’une première version en langue
hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une
telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle
après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi-
tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on
fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est
encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï-
ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au
i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro-
bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte
hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive-
ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa-
vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti-
lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la
Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara-
méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques
années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou-
verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum-
ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales-
tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté-
rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise
militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle
paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les
savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en
avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère.
De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de
signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup-
çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte
sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi-
fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur
le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous
avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et
évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité
archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage
entre la société des hommes et l’expression divine. Que
les résonances harmonieuses des psaumes en latin
d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le
cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une
certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une
documentation linguistique valable ni surtout l’origine
ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan-
gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur
valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à
la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic-
tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu-
blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par
le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une
sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer
en Palestine. Elle est donc un instrument politique.
Sezenaseccjokoooo
Protocole incomplet ! Je crois qu’il faut faire des ablutions avant et se prosterner par terre . De plus il y avait aussi Awen qui est la version feminine de Amen qui a été supprimée. C’est comme supprimer l’électricité à une ampoule qui ne sert plus à rien alors Aussi bordelic qu’un catholic !
Merci
Amen
💛💛💛💛
❤❤❤❤❤Amen
Merci
J'AIMERAIS TANT LIRE CETTE BELLE PRIÈRE DE JESUS D'AMOUR EN FRANCAIS POUR ENCORE PLUS M'IMPRÉGNER DE CES PAROLES ❤
Amen 🙏
Amen 💖💥🔥
Amen