Incroyable! Je n’avais jamais vu l’amour sous cet angle. C’est tellement bon en moi d’entendre cela. Je défile tous vos podcasts…vous êtes la petite étoile ⭐️ que j’attendais depuis tellement longtemps! J’aimerai contribuer sur l’un de vos projets. Y’a t’il quelque chose que je puisse faire pour vous ? Je déborde d’enthousiasme, je suis bienveillante et je suis toujours positive pour moi et pour les autres.
Wouah quelle "claque"! 🤩 Avoir 36 ans passés et découvrir cette "évidence" comme ça... J'en suis toute chamboulée 🙃 À mettre dans toutes les oreilles, dès la maternelle 😄😍💖
Merci Chlotilde pour cet épisode. Longtemps, je me suis interrogée sur l'amour et tu mets en lumière une évidence qui a fait écho en moi et qui je pense m'aidera beaucoup à avancer dans ma vie personnelle. J'aurais aimé que tu donnes plus d'exemple sur la manière de changer ou faire évoluer nos pensées face à l'être aimé. Merci beaucoup !
Je ne suis pas certain que l’on puisse choisir d’aimer quelqu’un délibérément, comme vous le dites. En effet, la phase préliminaire à la rencontre amoureuse, est généralement à la base d’une attirance physique qui incline à aller vers l’autre. Il y a déjà un besoin charnel qui peut émerger. C’est un réflexe de notre cerveau reptilien qui est donc en dehors de tout contrôle. En suite de cette première rencontre, on peut trouver en l’autre tout un tas de qualités, mais elles seront, la plupart du temps liées à ce qu’elles m’apportent, en terme de satisfaction personnel. On rencontre l’autre à travers la projection de nos affectes et nos désirs. On aime moins l’autre pour ce qu’il est que pour ce qu’il m’apporte. Dans l’expression tomber amoureux, il y à tomber et quand on tombe souvent on se fait mal. C’est effectivement le cas si je suis en attente d’un besoin personnel que j’ai envie de satisfaire. Et je vais m’y attacher et je vais donc souffrir par peur de le perdre. Spinoza nous dit : « L’amour est une joie liée à l’idée d’une cause extérieure ». L’idée que l’on se fait de la personne est une pensé qui ne dépend pas de nous. On ne choisit pas de penser délibérément non plus, comme vous le dites. Les pensées sont un mouvement naturel de notre esprit, les pensées sont l’esprit. Elles nous font expérimenter des situations tout au long d’une vie en fonction de notre passé, voir nos empreintes karmiques ou nos tendances, diraient les bouddhistes. Nous sommes éventuellement, mais très rarement, l’observateur conscient de ces pensées. Et je crois que c’est ce que vous nous invitez à faire dans votre exposé? Réussir à trier nos 6 à 8000 pensées par jour est une très belle chose, mais qui mérite un très grand entrainement. D’autant que d’après les scientifiques, 80% sont de nature inconscientes. La méditation peut apporter le calme mental nécessaire à un plus grand discernement entre les choses qui dépendent de nous et celles qui n’en dépendent pas. La pensée Stoïcienne peut elle aussi, être très inspirante. Le véritable amour ne dépend pas de mes affectes, il est sans attachement. C’est celui qui me permet de voir l’autre dans la profondeur de son être. Même après 50 ans de vie commune sa peau flétrie, ses blagues vaseuses, ou le bruit qu’il fait en mangeant ne sont pas un problème. J’aime l’autre pour tous ses défauts et ses qualités bien sûr, mais là c’est plus facile. Et s’il me quitte un jour pour une autre personne, je dois le laisser partir vivre sa vie que je lui espère plus merveilleuse encore. Alors là je suis d’accord sur ce que vous exprimez, mais combien de personnes ont atteint ce niveau d’amour ?
Comment expliquer dans ce cas que l'on puisse parfois penser d'une personne qu'elle est "parfaite", qu'on n'a rien à lui reprocher, mais qu'on ne parvienne néanmoins pas à l'aimer ? et comment expliquer qu'on tombe amoureux de quelqu'un qui n'a que des défauts ? des femmes sont tombées amoureuses de brigands, d'hommes méchants violents alcooliques etc. Au contraire l'amour n'est pas quelque chose qui se contrôle et se décide. Même en se forçant à penser qu'on est bien et que la personne est géniale, ça ne suffit pas forcément. L'amour n'est il pas plutôt le fruit d'un bien-être que l'on ressent en présence de l'autre ?
Du coup ça veut dire aussi que cette façon de penser nous dédouane et dédouanent les autres sur le mal qu'on peut faire à quelqu'un puisqu'être aimer ne dépend pas de nous. C'est trés bisard .
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Une grande thème, merci pour le parler. Viva la vie avec ❤
Incroyable! Je n’avais jamais vu l’amour sous cet angle. C’est tellement bon en moi d’entendre cela.
Je défile tous vos podcasts…vous êtes la petite étoile ⭐️ que j’attendais depuis tellement longtemps! J’aimerai contribuer sur l’un de vos projets. Y’a t’il quelque chose que je puisse faire pour vous ?
Je déborde d’enthousiasme, je suis bienveillante et je suis toujours positive pour moi et pour les autres.
Merci ,la vie c’est aimer il n’y a que ça de vrai !
Wouah quelle "claque"! 🤩
Avoir 36 ans passés et découvrir cette "évidence" comme ça... J'en suis toute chamboulée 🙃
À mettre dans toutes les oreilles, dès la maternelle 😄😍💖
Bonjour Clotilde, merci pour tes podcasts. Je viens de prendre une claque là.
Gratitude. Merci :-).
Merci Chlotilde pour cet épisode. Longtemps, je me suis interrogée sur l'amour et tu mets en lumière une évidence qui a fait écho en moi et qui je pense m'aidera beaucoup à avancer dans ma vie personnelle. J'aurais aimé que tu donnes plus d'exemple sur la manière de changer ou faire évoluer nos pensées face à l'être aimé. Merci beaucoup !
J’adore, mais je me questionne....Qu’advient-t-il de l’amour que l’on ressent pour nos enfants?
Je ne suis pas certain que l’on puisse choisir d’aimer quelqu’un délibérément, comme vous le dites. En effet, la phase préliminaire à la rencontre amoureuse, est généralement à la base d’une attirance physique qui incline à aller vers l’autre. Il y a déjà un besoin charnel qui peut émerger. C’est un réflexe de notre cerveau reptilien qui est donc en dehors de tout contrôle. En suite de cette première rencontre, on peut trouver en l’autre tout un tas de qualités, mais elles seront, la plupart du temps liées à ce qu’elles m’apportent, en terme de satisfaction personnel. On rencontre l’autre à travers la projection de nos affectes et nos désirs. On aime moins l’autre pour ce qu’il est que pour ce qu’il m’apporte. Dans l’expression tomber amoureux, il y à tomber et quand on tombe souvent on se fait mal. C’est effectivement le cas si je suis en attente d’un besoin personnel que j’ai envie de satisfaire. Et je vais m’y attacher et je vais donc souffrir par peur de le perdre.
Spinoza nous dit : « L’amour est une joie liée à l’idée d’une cause extérieure ». L’idée que l’on se fait de la personne est une pensé qui ne dépend pas de nous. On ne choisit pas de penser délibérément non plus, comme vous le dites. Les pensées sont un mouvement naturel de notre esprit, les pensées sont l’esprit. Elles nous font expérimenter des situations tout au long d’une vie en fonction de notre passé, voir nos empreintes karmiques ou nos tendances, diraient les bouddhistes. Nous sommes éventuellement, mais très rarement, l’observateur conscient de ces pensées. Et je crois que c’est ce que vous nous invitez à faire dans votre exposé? Réussir à trier nos 6 à 8000 pensées par jour est une très belle chose, mais qui mérite un très grand entrainement. D’autant que d’après les scientifiques, 80% sont de nature inconscientes. La méditation peut apporter le calme mental nécessaire à un plus grand discernement entre les choses qui dépendent de nous et celles qui n’en dépendent pas. La pensée Stoïcienne peut elle aussi, être très inspirante.
Le véritable amour ne dépend pas de mes affectes, il est sans attachement. C’est celui qui me permet de voir l’autre dans la profondeur de son être. Même après 50 ans de vie commune sa peau flétrie, ses blagues vaseuses, ou le bruit qu’il fait en mangeant ne sont pas un problème. J’aime l’autre pour tous ses défauts et ses qualités bien sûr, mais là c’est plus facile. Et s’il me quitte un jour pour une autre personne, je dois le laisser partir vivre sa vie que je lui espère plus merveilleuse encore. Alors là je suis d’accord sur ce que vous exprimez, mais combien de personnes ont atteint ce niveau d’amour ?
Tu as rien compris
Merci pour cette vérité rétablie
Comment expliquer dans ce cas que l'on puisse parfois penser d'une personne qu'elle est "parfaite", qu'on n'a rien à lui reprocher, mais qu'on ne parvienne néanmoins pas à l'aimer ? et comment expliquer qu'on tombe amoureux de quelqu'un qui n'a que des défauts ? des femmes sont tombées amoureuses de brigands, d'hommes méchants violents alcooliques etc. Au contraire l'amour n'est pas quelque chose qui se contrôle et se décide. Même en se forçant à penser qu'on est bien et que la personne est géniale, ça ne suffit pas forcément. L'amour n'est il pas plutôt le fruit d'un bien-être que l'on ressent en présence de l'autre ?
Merci pour ce super podcast.
Super bravo
Et quand quelqu'un vous néglige et ne vous voit plus on nourrit cet amour avec quoi ? Des illusions ?
Du coup ça veut dire aussi que cette façon de penser nous dédouane et dédouanent les autres sur le mal qu'on peut faire à quelqu'un puisqu'être aimer ne dépend pas de nous. C'est trés bisard .
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