J’ai ouvert les eyes pour voir qui j’avais besoins Comment je te hate j’crois que t’a pas idée J’arrive defoncer c pour ça ma tete elle sonne J’ai mis ma peine dans un conne Baby a kiffer la fame moi j’ai allumer la flamme j’suis broke bitch qu’est ce que t’attend de moi elle en profite et ça fais des mois je t’aime de ouf mais tu le sais pas encore encore un soir Ou mon heart il es mort Trop dur croire en l’amour Que des actrice maintenant qu’elle es est al J’suis souris plus Maintenant qu’elle est dans ma iv j’en veux plus Du cash Comment tu fais si les poches elle sont vide Comment tu fais si mon âme elle est triste T’en fais pas si mes yeux y sont vide
Je suis Hongrois, mais j'ai fait traduire mon texte en français: C’est une dépendance, mon frère, ce n’est pas si simple, Ce n’est pas comme pour toi, ce n’est pas si limpide. Car il n’a pas grandi pareil, ni sous les mêmes cieux, Le père et le fils ? Pas saints, et les murs sont crasseux. Un enfant du milieu, plein de talent mais chargé, Un père noyé dans l’encre d’une boutique échappée. C’est une expérience, mais le modèle est mauvais, Une dépendance, mon frère, et le vin amer s’impose à jamais. C’est une dépendance, mon frère, une tolérance forcée, Pour éviter les regards, ne pas se faire croiser. Le meuble du comptoir se moque de la douleur, Le capuchon cache les rages et les malheurs. On se saoule ou on casse les portes en entrant, On fuit les ombres qui nous suivent lentement. Tu tiens debout, toujours, malgré les coups et les cris, Et tu pleures des absents qui t’ont laissé ici. Trop tard pour espérer une paix tardive, Trop tard pour tomber à genoux, même plaintive. Un sentiment qui dure, le corps ne supporte, La colère éclate, les murs se brisent en cohortes. La poussière envahit, l’espace étouffe en silence, La brume, dans ton esprit, devient une permanence. Ce n’est pas un happy ending, petit frère, C’est un souffle brisé dans le cœur d’un partenaire. C’est mes derniers gestes sur des tâches oubliées, C’est une pauvreté d’âme qu’on ne peut déguiser. C’est une chute sans réveil, une descente sans fin, Un monde virtuel où la douleur n’a plus de frein. Tu vois encore tes chances fausses te glisser des mains, C’est une dépendance, mon frère, ce n’est pas le même chemin. C’est une dépendance, mon frère, ce n’est pas si simple, Ce n’est pas comme pour toi, ce n’est pas si limpide. Car il n’a pas grandi pareil, ni sous les mêmes cieux, Le père et le fils ? Pas saints, et les murs sont crasseux. Un enfant du milieu, plein de talent mais chargé, Un père noyé dans l’encre d’une boutique échappée. C’est une expérience, mais le modèle est mauvais, Une dépendance, mon frère, et le vin amer s’impose à jamais
incroyable, la prod ma mis une claque félicitation
Du grand daiki
trop chaud🔥
trop fort!
1re prod que j'écoute de toi et c'est un banger
J’attendais le poulet
🙏🏻
🔥🔥🔥
Trop bien 😮
Fou
J’ai ouvert les eyes pour voir qui j’avais besoins
Comment je te hate j’crois que t’a pas idée
J’arrive defoncer c pour ça ma tete elle sonne
J’ai mis ma peine dans un conne
Baby a kiffer la fame
moi j’ai allumer la flamme
j’suis broke bitch
qu’est ce que t’attend de moi
elle en profite
et ça fais des mois
je t’aime de ouf
mais tu le sais pas encore
encore un soir
Ou mon heart il es mort
Trop dur croire en l’amour
Que des actrice
maintenant qu’elle es est al
J’suis souris plus
Maintenant qu’elle est dans ma iv
j’en veux plus
Du cash
Comment tu fais si les poches elle sont vide
Comment tu fais si mon âme elle est triste
T’en fais pas si mes yeux y sont vide
Je suis Hongrois, mais j'ai fait traduire mon texte en français:
C’est une dépendance, mon frère, ce n’est pas si simple,
Ce n’est pas comme pour toi, ce n’est pas si limpide.
Car il n’a pas grandi pareil, ni sous les mêmes cieux,
Le père et le fils ? Pas saints, et les murs sont crasseux.
Un enfant du milieu, plein de talent mais chargé,
Un père noyé dans l’encre d’une boutique échappée.
C’est une expérience, mais le modèle est mauvais,
Une dépendance, mon frère, et le vin amer s’impose à jamais.
C’est une dépendance, mon frère, une tolérance forcée,
Pour éviter les regards, ne pas se faire croiser.
Le meuble du comptoir se moque de la douleur,
Le capuchon cache les rages et les malheurs.
On se saoule ou on casse les portes en entrant,
On fuit les ombres qui nous suivent lentement.
Tu tiens debout, toujours, malgré les coups et les cris,
Et tu pleures des absents qui t’ont laissé ici.
Trop tard pour espérer une paix tardive,
Trop tard pour tomber à genoux, même plaintive.
Un sentiment qui dure, le corps ne supporte,
La colère éclate, les murs se brisent en cohortes.
La poussière envahit, l’espace étouffe en silence,
La brume, dans ton esprit, devient une permanence.
Ce n’est pas un happy ending, petit frère,
C’est un souffle brisé dans le cœur d’un partenaire.
C’est mes derniers gestes sur des tâches oubliées,
C’est une pauvreté d’âme qu’on ne peut déguiser.
C’est une chute sans réveil, une descente sans fin,
Un monde virtuel où la douleur n’a plus de frein.
Tu vois encore tes chances fausses te glisser des mains,
C’est une dépendance, mon frère, ce n’est pas le même chemin.
C’est une dépendance, mon frère, ce n’est pas si simple,
Ce n’est pas comme pour toi, ce n’est pas si limpide.
Car il n’a pas grandi pareil, ni sous les mêmes cieux,
Le père et le fils ? Pas saints, et les murs sont crasseux.
Un enfant du milieu, plein de talent mais chargé,
Un père noyé dans l’encre d’une boutique échappée.
C’est une expérience, mais le modèle est mauvais,
Une dépendance, mon frère, et le vin amer s’impose à jamais
That's touching from French, well done
@ashleyr6428 thank you!