Bonjour, merci pour cette intervention éclairante. Face au défi de la dé-sectorialisation des politiques urbaines et face au "plafond de verre" des politiques de droit commun (comme mentionné par Mr Didier, la politique de la ville ne peut pas à elle seule lutter contre les mécanismes de ségrégation sociaux-spatiaux), comment se positionnent les professionnels de la politique de la ville par rapport à la notion de "différentiation" territoriale discutée dans le projet de loi 4D ? Cette logique de différentiation territoriale, au delà de la simple territorialisation, pourrait-elle permettre à la politique de la ville d'assumer plus qu'un rôle de "supplément d'âme" aux politiques de droit commun ?
Bonjour, merci pour cette intervention éclairante. Face au défi de la dé-sectorialisation des politiques urbaines et face au "plafond de verre" des politiques de droit commun (comme mentionné par Mr Didier, la politique de la ville ne peut pas à elle seule lutter contre les mécanismes de ségrégation sociaux-spatiaux), comment se positionnent les professionnels de la politique de la ville par rapport à la notion de "différentiation" territoriale discutée dans le projet de loi 4D ? Cette logique de différentiation territoriale, au delà de la simple territorialisation, pourrait-elle permettre à la politique de la ville d'assumer plus qu'un rôle de "supplément d'âme" aux politiques de droit commun ?