Précisions supplémentaires : • Il ne faut pas oublier aussi que l'entourage joue aussi énormément dans l'auto-édition. Yatuu et Laurel l'ont toujours montré dans leurs planches, leurs compagnons sont un soutien (qu'il soit moral ou directement investi dans le projet). Il est très dur de se lancer dans l'auto-édition en solo, notamment vis à vis de la charge de travail monstrueuse, surtout quand on veut en faire quelque chose de pérenne. • N'oubliez pas que l'auto-édition nécessite aussi un cadre légal ; il faut être déclarer (coucou numéro SIRET). Et qui dit déclarer, dit taxes, dit charges, dit IMPÔTS. On les oublie souvent, mais l'URSSAF non. Étonnement. • Un article très complet de Marie&Julien sur sa campagne corwdfunding réussi : mariejulien.com/post/2019/05/23/cyberspace-building-crew-le-guide-ultime-de-ma-campagne-kickstarter-reussie • Il faut pensé aussi au Dépot Légal ( je vous renvoie au commentaire de Freaks, ci-dessous!) • Pour ce qui est du réseau des libraires, pour plus de précisions, allez voir le commentaire de Xavier Dauchy ci-dessous, fort instructif !
Très chouette vidéo ! Je sors tout juste d'un master métiers de l'édition et je travaille maintenant en librairie, et je suis 100% d'accord avec ce que tu dis de l'auto-édition : sans pour autant la dénigrer, il faut rappeler que derrière la publication d'un livre selon le processus d'édition "traditionnel", il y a une sacrée chaîne d'acteurs essentiels ! Quand tu parles de la maison d'édition, on n'y pense pas assez mais ça comprend aussi le correcteur/la correctrice, le/la graphiste, le directeur ou la directrice artistique, l'éditeur/l'éditrice et les assistant(e)s d'édition qui relisent le manuscrit et accompagnent l'autrice/l'auteur pour améliorer le texte/la BD, etc. Tout ça, ce sont des métiers à part entière avec des savoir-faire, alors quand on auto-édite son bouquin et qu'on doit endosser tous ces rôles sans avoir forcément d'expérience, c'est en effet un travail titanesque qui peut vite se casser la figure. Bref, merci pour cette vidéo éclairante ! :)
Bravo, c'est très complet ! En tant que micro et auto éditeur je m'y retrouve. Un autre coût incompressible : la part prise par les libraires quand on fait du dépôt chez eux, en général 30%, ce qui fait très vite monter le prix de vente. Un truc que l'on pourrait ajouter c'est que les salons du livre sont souvent le lieu où l'ont vends le plus et au mieux (pas de frais port, pas de % pris par le libraire) mais tout est à votre charge en tant qu'éditeur : déplacement, stand, logement, etc.
OUI, L'#AUTOEDITION EST UN BOULOT COLOSSAL (et ne doit ni être pris à légère, ni par défaut). L'autoédition c'est créer sa propre entreprise et c'est endosser seul la direction de la chaîne du livre. Merci @YeahCy pour cette vidéo très pertinente 👍
5 років тому+31
"T'es pas content(e) de ton travail, ben ouvre ton entreprise." C'est drôle, j'ai entendu ça un bon millier de fois depuis que je suis coincé au chômage.
Moi j'ai remarqué un truc rigolo dans ma ville : plein de commerces font faillite, sauf certains, parmi les plus anciens, qui sans génie particulier parviennent à durer pendant des décennies, voire des générations... Alors quel est leur secret ? Quand on gratte un peu, on réalise que ces entreprises appartiennent à des familles de la vieille bourgeoisie locale, riche depuis des générations, qui possède des immeubles entier loués, et donc qui est totalement rentière... Et en fait ils créent des entreprises (souvent des commerces) pour s'occuper les 10 doigts (oui parce que dans ces milieux faut pas non plus passer ses journées dans un hamac, c'est mal vu), et se donner un statut social (commerçant ou entrepreneur, ça a une autre gueule que rentier !). Et en réalité, ils se foutent complètement de la rentabilité de leur business : Si ça marche très bien tant mieux, alors ce sont de grands entrepreneurs qui peuvent faire la morale à tout le monde, et si ça vivote ou si c'est déficitaire c'est pas grave : la rente immobilière est là de toutes façons, et ça va juste leur permettre de payer moins d'impôts... Donc soit ils gagnent, soit ils gagnent. Donc en fait le vrai secret pour créer une entreprise pérenne à coup sûr c'est de l'hériter de ses parents, en même temps que quelques appartements. Comment mais tu n'a pas de parents rentiers ? Mais quel vilain défaut ! Si tu n'y mets pas du tien, je ne peux rien pour toi !
J'en profite pour faire mon auto-promo au passage. En tant qu'auteur indépendant (dans le tout petit monde du jeu de rôle, vous savez, le milieux où le meilleur des meilleur doit s'en tirer à a peine 5000ex pour toute la francophonie... oui c'est toi qu'on regarde Donjon&dragons)... eh ben je vis exactement la même expérience, mais à l'inverse. "Si t'es pas content, t'as qu'a te faire éditer". Car si j'ai choisit de partir tout seul, c'est bien parce que le milieux est comme il est, qu'il a ses défauts et ses forces, donc on est peut être un peu mieux loti que les auteurs de BD, sur le plan de la liberté, par contre question finances... se dégager un salaire, c'est de l'ordre de l'exploit. Je voulais revenir sur L'argument du "avoir une communauté" est ultra primordial est important. Car vous pourrez avoir le plus beau projet du monde, si personne ne vous suit, l'information ne se répendra pas. C'est là que la communauté se rend utile et vient booster vos capacités de Community manager. même à très petite échelle, ces petits "like" ou "partage" sur un réseau feront la différence. Mais les inconnus, ne le font pas. Les fans, les membres d'une communauté, les gens qui vous soutiennent le feront, ils montreront le projet. Par contre, ils feront pas le travail à votre place et c'est difficile d'entretenir une relation de confiance envers ces gens, qui font ça bénévolement par "passion" quand vous, par passion aussi, vous essayer de gagner un peu d'argent ou essayer juste de vous rentabiliser. Les relations sont tendus avec ceux qui vous jalousent, ceux qui pense pouvoir faire la même chose, ceux qui sont parano de la copie... etc etc. Bref, l'auto-édition c'est un job, qui rapporte peu et qui, cumulé au travail de création peut s'avérer très gratifiant, si on aime manger des pâtes. (après on est parfois invité en convention et on a quelques avantages... mais c'est pas la vie de châteaux non plus). Pour paraphraser. Je dirais que l'auto édition, c'est plusieurs métiers en même temps. et j'insiste bien sur "métier". Car si certains semblent penser que c'est inné, le management, la PAO, les relectures, l'illustration, l'impression, la communication, la vente, la législation.... et j'en passe. ça ne s'apprend pas tout seul. Perso, dans mon secteur, je ne croit plus dans le Crowdfunding, les éditeurs n'en ont que trop profité et ont déréglé les habitudes des "clients". Heureusement, il y a encore de la reconnaissance pour les projets indé (parce que auto-édité ne veut pas dire "amateur", merci). Tout ça pour dire qu'après des années de créations et 3 livres déjà dispo, je suis "jeu du mois" et c'est déjà une grosse reconnaissance pour moi. www.drivethrurpg.com/product/273067/La-Couvee facebook.com/XenoMother www.legrog.org/ Merci pour ta vidéo !
Merci pour cette vidéao, qui est bien vrai ! J'auto-édite dans quelques semaines pour la premiere fois un livre jeunesse sur KDP, intitulé "Tim et le peuple magique" et on se rend pas bien compre effectivement de tout le travail que cela représente, bien plus au final que le temps consacré à l'écriture et aux illustrations. Le travail de marketing, de correction, de promotion autour du livre est considérable. Mais honnêtement je ne regrette rien, c'est un challenge et une reconnaissance personnelle d'avoir mener à bien un tel projet.
J'ai voulu vendre un livre sur KDP et si je vendais le livre 28€ je resevais 2€ par vente, je trouve personellement que c'est du vol donc je suis actuellement en recherche d'un autre moyen, ce qui n'est pas simple surtout que je n'ai pas de font 😅
Oui ça fait beaucoup de travail et de talents à cumuler. Bravo aux auto-éditrices que tu sites 💪💪💪 Merciiiii pour cette vidéo éclairante et d’evoquer l’importance de l’aide de l’entourage et le rappel des prélèvements de l’état 😉😁😁
Dans le "désavantage" de l'auto-édition quand tu n'as pas de budget c'est de se débrouiller en faisant par soi-même les tâches qui seraient confiées à une maison d'édition donc oui ça ne comporte pas que des avantages mais les avantages sont de toucher + de revenus par ses livres, je parle d'un plus gros pourcentage alors qu'en édition classique, l'auteur(e) est celui ou celle qui touche le moins alors que c'est lui ou elle qui crée l'oeuvre, la base! En plus si on choisit l'auto-édition par amazon par ex, on peut toucher ses revenus tous les mois alors qu'en édition classique, j'ai halluciné quand j'ai su que les auteurs et autrices étaient payés qu'une fois dans l'année ou 2 et généralement 1 an après la sortie de leur livre, c'est pas pratique je trouve que ça soit pour vivre mais aussi pour déclarer ses revenus actuels où les auteurs et autrices ont besoin d'un réel statut qui les protègent mieux que ça. Donc à l'heure actuelle, c'est la solution quand les auteurs et autrices veulent gagner plus et avoir leurs revenus des livres plus régulièrement car il n'y a pas encore beaucoup d'écoute de la part du gouvernement pour un meilleur statut pour les auteurs et autrices et ils se battent pour avoir ça actuellement. Je pense qu'il faut faire les 2: se battre pour leurs droits au gouvernement et les auteurs et autrices peuvent opter pour l'auto-édition aussi. D'ailleurs même des auteurs connus se lancent aussi dans l'aventure auto-édition que ça soit pour un meilleur revenu mais aussi pour l'expérience de faire les choses par soi-même. Personnellement moi qui écris et qui a l'intention plus tard de publier certaines histoires dont des nouvelles, je vais opter pour l'auto-édition pour la rémunération mais aussi l'expérience de faire les choses par moi-même, j'ai déjà monté une web série en étant la scénariste, réalisatrice, caméraman avec l'aide d'acteurs amateurs du coup ça ne me fait pas peur. En plus, je sais que ça soit l'auto-édition ou l'édition classique, les auteurs et autrices peuvent difficilement vivre que des revenus de leurs livres en plus des taxes qu'ils doivent payer, en plus qu'ils n'ont pas le droit au chômage, des hausses de cotisation etc. Même si je veux publier certaines de mes histoires, je sais ça, et je fais une formation pro actuellement pour faire un autre métier mais toujours en lien avec l'écriture qui est ma vocation. Après je ne sais pas si je vais rester en salariat ou tenter l'autoentrepreneuriat, j'ai d'abord envie de tester le salariat et si je ne trouve pas de boulot en tant que salarié, je me lancerai à mon compte, je sais qu'il y aura des difficultés aussi à l'autoentrepreneuriat mais pourquoi pas tester. Et le boulot que je vais faire dans ma formation pro c'est être community manager, travailler dans la communication digitale dont je sais que je peux le faire en salarié ou en freelance à mon compte. En plus de l'écriture et publier mes livres, pour vivre en plus de la communication digitale, si je me lance à mon compte, je proposerai des services de rédaction, dont je tiens 1 blog et je vais créer un autre blog et services de correction de français dont j'aime bien corriger aussi mais plus à destination des étudiants et entreprises, pas pour corriger des livres car trop de boulot, trop long et j'aimerai plus écrire que lire. Et par ex malgré les difficultés que j'ai rencontrés durant la réalisation de ma web série, des défauts qu'elle a avec pas de budget à part une caméra sans micro, je suis fière de l'avoir réalisée en ayant été double voir triple-casquette et fière d'avoir réussi à la finir alors que c'était pas gagné avec les emplois du temps différents des acteurs et fière de l'avoir fini en moins d'1 an, commencé à tourner en novembre en hiver et fini en été ^^
Alors juste pour ajouter un truc sur le "pourquoi pas dans toutes les librairies", il y a deux types de librairies. (c'est le maillon dis "distributeur") - les "petites" librairies qu'il faut effectivement démarcher comme dis dans la vidéo, très souvent elles consituent elles mêmes leur stock et n'ont pas de politiques de retour (j'y reviendrai après). Ces petites librairies ont très souvent des groupements régionaux pour leur permettre de faire des achats groupés, en général un auteur / éditeur ne fera que peu d'argent avec eux. Par ils sont faciles à démarcher. Ils ont indirectement un autre problème c'est qu'il y a aussi beaucoup de mauvais payeurs. - Les "grosses" librairies (cela compte aussi pour la grande distribution qui marche pareil), qui ont des "meetings" trimestriels où les éditeurs viennent leur proposer entre deux verres leurS livreS pour qu'ils soit mis dans les rayons des magasins. Et la c'est plus ou moins la foire d'empoigne pour les éditeurs, tu as l'éditeur qui va tenter de placer ses 7500 titeuf et 50 "génération mal logées" pour la France. Mais en général ces grosses enseignes vont dire qu'ils prennent les 7500 titeuf sans condition (parce que ca se vend) mais les 50 autres si ils ne sont pas vendus au bout de 3 mois l'éditeur devra les racheter au prix de XX% de leur valeur d'achat initial. De plus si l'éditeur veut une bonne place en rayon (tête de gondole, rayon nouveauté, etc). l'éditeur devra accépter de vendre ses livres encore moins cher au distributeur. Alors oui, on pourrait voir un Yatuu / comme convenu / maliki dans ces enseignes mais ce n'est pas qu'un problème de réseau, c'est clairement un des problèmes mais si il y avait une vrai demande de la part des grosses librairies / de la grande distribution un circuit court se serait mis en place.
Bonjour !!! Merci beaucoup pour cette vidéo et pour toutes les autres. Je me lance doucement dans le monde de l'illustration et la BD, et vos vidéos m'aide énormément. Encore Merci!😁😁
Merci mille fois ! Ca fait du bien d'entendre une autrice qui reconnait et défend le métier d'éditeur. J'espère que tu n'as pas changé d'avis depuis que tu as fait cette vidéo, les débats ont été plutôt houleux ces derniers mois. Alors, oui, il y a un problème au niveau des droits d'auteurs et de considération du travail des auteurs, surtout de la part des grosses maisons d'édition. Mais il faut garder à l'esprit que tous les éditeurs ne sont pas des vampires prêts à se repaitre du travail des autres pour leur profit personnel et que fabriquer, corriger, imprimer, vendre et expédier un livre coûte trèèèèèès cher. Donc merci encore de ta pédagogie et de bien rappeler tout cela. Alice, graphiste ET éditrice.
Merci pour cette vidéo très complète ! Je me pose énormément de questions sur le sujet et j'ai même fait une vidéo répertoriant justement les pour et les contre à mon échelle. Ta vidéo donne un nouvel éclairage à toutes ces interrogations. Évidemment l'auto-edition m'a l'air d'être un travail titanesque.
Coucou Élodie, si tu relis ton commentaire 1 an après (et surtout après avoir auto-édité ton premier roman ❤️), je pense que tu vas avoir un grand sourire 😁
j'aime ta vidéo, c'est très précis, après , l'autoédition permet quand même un un petit auteur comme moi de créer un livre, car finalement , il est très difficile de trouver un éditeur.....
Pouce bleu pour la chemise ^^ Plus sérieusement, très bonne vidéo, très concrète sur l'autoédition. Un souci très pratique, le stockage des ouvrages. Parce qu'entre le moment où ils sortent des presses et le moment où tu les expédies, faut les entreposer quelque part.
L'auto-édition est d'autant moins la panacée que, même si il est possible de proposer des packages en prix de gros aux libraires comme le fait Yatuu par exemple, c'est un acte militant voire de foi de la part du libraire de les prendre, dans la mesure où il ne pourra pas retourner les invendus vu qu'un auteur en auto-édition ne le gère pas (ou alors, j'ai envie de dire qu'il est devenu éditeur, comme Lapin), c'est donc un risque qu'il prend par rapport à un livre diffusé par le système traditionnel où le retour d'invendus est possible: encore une joyeuseté de la chaine du livre, mais ce serait un peu long d'en parler ici. Donc en pratique le volume va se faire par correspondance (charge de travail supplémentaire) et par les salons (charge de travail et frais supplémentaires). Et puis on peut mentionner aussi les imprimeurs qui ne veulent pas traiter avec des auteurs directement (je pense à une conversation Twitter vue récemment, mais je ne parviens pas à retrouver le lien) ce qui ne facilite pas la recherche d'un imprimeur, les menus problèmes logistiques: twitter.com/Maliki_officiel/status/808334130719129601 , etc. … Je pourrais en parler encore longtemps, mais je finirais par reprendre le contenu de mes articles sur Fleen, où une partie significative de mon boulot de causer des webcomics francophones est de comprendre comment tout cela peut marcher, financièrement parlant: fleen.com/category/fsfcpl/ Je vais donc finir sur ceci: l'auto-édition n'est pas la panacée, mais à une période où la couche "édition" a de plus en plus tendance à refourguer son boulot sur les auteurs (gestion des couleurs, promotion par les réseaux sociaux, etc.) tout en les traitant de moins en moins bien, de sorte que tout le monde finisse par se demander à quoi cette couche sert, c'est l'exemple de ceux qui ont pris leur indépendance et pu auto-éditer qui va forcer la couche "édition" à se remettre en question et se bouger le cul. Parce que d'un autre côté, il y a une chaine du livre qui est en place, et ce serait un gaspillage insensé de tout faire sauter juste parce qu'elle dysfonctionne actuellement, il n'est donc pas déraisonnable d'espérer et faire en sorte qu'elle s'améliore aussi par l'intérieur, sans avoir à soi-même recourir à l'auto-édition.
Faux! Les libraires prennent qu'en dépôt quand c'est en autoédition et c'est à leur avantage car ils prennent aussi la partie habituellement dédiée à l'éditeur soit 30 % à 35 % du prix du livre. Alors qu'habituellement c'est environ 15 %.
Voilà un "résumé" qui est parlant et qui rappel le fonctionnement "en micro entreprise" représente énormément de boulot en plus d'être multi-tâches (et sans buguer avec l'écran bleu).
Thanks, I really liked your video, I'm planning to self-publish my novel. But I already have an experience in self-publishing my manga under another pen-name. It's really hard to invest so much time in marketing and going to conventions to sell it cause bookstores are afraid your book might not sell so they are not eager to take it. But at the same time, you have complete control over your work, which is cool.
Une vidéo très intéressante merci, c'est souvent la carte qu'on m'a proposé en tant que jeune autrice, mais je n'ai pas (encore) les épaules et la communauté pour tenter cette charge de travail. J'espère que ça en fera réfléchir plusieurs avant de parler d'auto-édition à tout va quand un projet ne fonctionne pas pour de l'édition tradi.
Merci pour ce point, je pense que la majorité de ceux qui conseillent ce système ne sont pas conscients de ce qu'il implique 🙄 En résumé, convaincre une maison d'édition, c'est la convaincre de prendre un risque financier à travers toi. Donc sans elle, tu gères ce risque tout seul 👍
Très chouette vidéo, tu expliques bien les difficultés lié à l'auto édition, c'est justement tout ces points qui me freine, je me vois mal, avec un travail alimentaire, faire de l'auto édition, j'aurais jamais le temps...
Vidéo super intéressante ! Et très complète. Que je pourrais donc partager au prochain qui m'en parle et à qui j'ai la flemme d'expliquer pourquoi ma réponse est "Non." :D !
Ou alors il suffit juste d'arrêter de se plaindre des galères d'auteur ou bien d'aller travailler à l'usine qui est quand même le plus beau métier du monde...
Merci pour cette vidéo ! Sur la BD, je ne sais pas comment fonctionne la correction, mais idéalement, en auto-edition, il faut aussi gérer ça soit meme et un correcteur ça se paye aussi ^^ C'est ce qui se voit le plus vite, après la couverture, de mon point de vue, et qui explique en partie que c'est déprécier :(
Merci pour cette vidéo très complète. Je sais le travail monstre que cela demande, mais quel statut pour se lancer dans l'autoédition sans trop de coût?
Bonjour. Merci pour cette vidéo super instructif. En effet cela m'as été très utile pour en savoir un peu plus sur cette démarche. Déjà je peux vous dire que j'ai fait la même démarche en musique parce que je suis auto auteur compositeur et interprète de deux albums de compositions que j'ai auto produit en total indépendance avec mes propres économies. Mais il se trouve que je me suis lancé dans l'écriture, parralèlement donc ma question si un jour je sort un livre à coté de mes albums de musique ce serait comment je peux me protéger avec les droits d'auteur pour qu'on sache que j'en suis bien l'écrivain ??? et aussi, vers qui je peux me tourner pour avoir un numéro de siret ???? Voilà merci d'avance et n'hésitez pas à me donner votre avis sur tout mon commentaire.
Coucou..j'en suis la j'ai terminé un album pour enfant texte et illustrations...je vais prospecter les éditeurs et envisager l auto édition on verra merci pour tous ces conseils QUESTION Y A T IL un format pour les ink tobers.. Question CONNAÎT tu ' Ergon editeur ''qui pratique des échanges de cartes illustrees ..sur un thème ou une lettre imposee...ce serait pas mal d'organiser un truc dans ce genre pour les inktobers...voir ''''l'alsacienne des mots ''cartes sur ERGON EDITEUR MERCI DE M'AVOIR LUE AMITIES VIRTUELLES
Merci pour cette vidéo, sinon, je m'appelle Sylvie Flaneau alias Lady Djuky, je suis auteure de roman fantaisie jeunesse et être en auto-edition c'est un choix car j'ai envoyé mon manuscrit à des maisons d'édition et j'ai remarqué que ça ne les intéresse pas mais ça intéresse à lecteurs et lectrices, je me suis dit que le plus important c'est eux et j'ai lancer cette idée dès que j'aurais fais mon trois romans et là, je vais booster mes trois romans fantaisie jeunesse bientôt, pour vivre, je travaille en intérim pour manger et payer mes factures. Voilà ! Sinon je t'encourager de tout cœur ❤ bisous 😚 Sylvie Flaneau
Merci pour cette video ! J'aurai egalement rajouté que beaucoup demande une somme -extremement- faible en auto edition (Si on compte les frais incompresibles que tu as cité, mais aussi, et surtout, les taxes (de forcement statut auto entrepreneur non ?), parfois il reste plus grand chose)
C'est pareil pour tous les genres livres, à ceci prêt qu'en BD, les planches sont faites pour correspondre à une page ou une double-page ; souvent, les gens qui s'autoéditent en roman n'ont pas de notion de maquettage (la mise en forme du livre), ne savent pas se servir de ces logiciels... Par contre, du point de vue fabrication, un roman est presque toujours moins cher à produire qu'une BD !
Ne serait-ce pas une illustration de Gijé de la Boîte à Musique derrière? ;) vidéo vraiment intéressante, plusieurs fois on m'a déjà dit ça, et j'ai failli me faire avoir en me disant "j'avoue, qu'est-ce que j'attends?" Eh bien j'attends ÇA: avoir une communauté solide, du contenu à proposer, des talents de graphiste, une communication bien gérée et un savoir-faire que je n'ai pas. Chouette vidéo qui montre bien que c'est pas si facile :D
On peut aussi faire une BD par plaisir en-dehors de son taf, et en faire tirer quelques exemplaires pour sa propre satisfaction de voir son travail devenir un vrai livre et pourquoi pas en proposer quelques uns à la famille et aux amis ? Dans ce cas vous ne donnez de conseils qu'à ceux qui veulent en vivre, pas aux autres, dommage c'est ce que je cherchais.
Pour "Comme Convenu", je ne sais pas, mais pour "Erika et les princes en détresse", ça à été un sacré succès ! Le Crowfunding visait une impression de 500 exemplaires. Au final, il à largement dépasser le 100% estimé, et à fini à 564% au final, soit plus de 2 823 exemplaires imprimé, soit un peu plus de cinq fois les estimations originales. Pas mal pour un premier tome ! ;)
Comme convenu aussi, ça a été un sacré succès ! 2860% ont été atteints, pour quasi 8000 contributeurs (et une campagne pour Comme convenu tome 2, avec 9300 contributeurs). Bref, gros succès :)
Mais du coup, si aucun éditeur ne veut de mon (mes) projet et que je n'ai qu'une toute petite communauté, je peux dire adieu à l'édition ?! J'ai toujours été consciente du gros travail que cela demande et je ne vise pas non plus une renommée internationale (ni même un succès national d'ailleurs). Juste pouvoir partager un projet qui me tient à coeur et le voir prendre vie :) Ça fait quelques temps que l'idée me trotte dans la tête, et cette vidéo met bien tout à plat et me donne encore plus envie de faire tout plein de petits goodies et autres contreparties
@@yeahcy Oui, c'est sûr que les coûts risquent de ne pas être rentabilisés... Après, tant que je me débrouille à avoir même ne serait-ce qu'un tout petit bénéfice ça me va ! (j'ai l'habitude) :D
Bonjour! Pour faire écho à votre vidéo: employe-du-moi.org/indie_americans/ - «Indie americans» projet d’exposition consacré à plus d’une quinzaine d’auteurs indépendants édités au Canada et aux États-Unis par des maisons d’éditions comme Fantagraphics ou Drawn & Quarterly, mais qui ont aussi une importante pratique de l’auto-édition. - Et, au passage, merci pour vos différentes interventions sur la plateforme Twitch :)
Je sais que ça n'a rien à voir avec le contenu de la vidéo mais je pense que ça serai cool si tu ajouterai une musique en fond pour mettre une meilleure ambiance et un bon rythme. Sinon continue c'était très intéressant !
@@yeahcy OK c'est totalement ton choix ! Sinon vraiment je tiens à te féliciter sur ton évolution sur UA-cam ça fait un moment que je te suis et je tiens à te dire que j'aime toujours autant !!
@@yeahcy vu ! bien sur, mais l'auto édition, en roman ou BD, est faites pour que l'auteur existe !!! le bunker construit par les éditeurs qui ont le mérite de l'avoir fait et fait fonctionner, reste inaccessible à une très large majorité des auteurs... de plus, en BD, la précarité de l'auteur va décimer cette partie de la culture Française. Donc, ok, si tu veux vendre, l'AE est un vrai boulot à plein temps. Mais quand l'éditeur t'ignore, c'est la solution. ;o)
@@lucdof1 Très clairement, les auteurs de BD ont cet avantage qu'ils peuvent faire des gifs, faire des stickers, faire tous les produits dérivés graphiques Pour un romancier, c'est ENCORE un coût supplémentaire (et tu ne peux pas faire sans, car les gens tiennent à leurs goodies)
@@maximedurante7574 La vidéo l'explique très bien mais ça demande des compétences supplémentaires, être autrice-auteur de BD c'est déjà un métier à part entière. Et ça demande aussi du temps et de l'énergie
La meilleur solution je trouve en auto edition je pense que c'est de bosser en équipe et le paradis ça serait de bosser en couple c'est moins cher mdr. Par exemple si toi tu te met à mort sur le dessin ton homme s'occupera de contacter l'imprimeur de faire ta pub etc.... c'est un gain de temps énorme car bon on le sait tous être dessinateur si on veut bien bosser et bien il y a pas vraiment de temps libre plus on a de temps pour bosser sur le dessin mieux c'est Ce qui peut être interessant et cela se fait peut etre déja c'est que des personne se lance en "freelance" ou plutôt en éditeur indépendant. La personne s'occupe de tout pendant que le dessinateur fait sa bd et après soit vous faite du 50/50 niveau prix ou vous vous arranger . En tout cas je pense qu'il y a des opportunité intéressante. Quand tu parle de communauté tu as bien raison c'est vraiment le plus important mais pour faire comprendre un peu mieux au gens on peu prendre l'exemple d'une publicité, si on ne fait pas la pub d'un produit personne ne l’achètera car personne sera au courant que ça existe, et là le produit ici c'est nous les dessinateur ou youtuber etc.... Moi par exemple comme je fais quasiment jamais de pub pour ma chaine you tube bin j'ai pratiquement pas de vue ni de j'aime tout simplement parce que personne connait ma chaine lol.
Merci ! Effectivement les duo fonctionnent mieux, Yatuu et Laurel ont toujours dit/montré le binôme qu'elles formaient avec leurs compagnons respectifs mais la encore dire que c'est une solution, c'est faux. Déjà sortir un salaire pour une personne dans l'auto édition, c'est du taff monstre, alors pour deux. Il faut avoir envie, il faut que ça soit l'ambition de l'autre, et avoir les reins solides niveau finances. Ces team fonctionnent parce qu'ils vont dans le même sens de l'ambition, autant te dire que c'est tellement rare, qu'il faut même pas voir ça comme une solution.
@@yeahcy Oui c'est sur mais hélas faire ça tout seul personnellement je pense que ce n'est pas possible. Après il faut voir aussi tout les point par exemple quand tu vas voir un éditeur si ta bd ne lui plais pas il ne t'aidera pas tandis que là peu importe ce que tu fais si ça te plais à toi tu peu en faire des livre directement bon évidement c'est encore mieux de savoir que ça plait au moins à ta communauté lol. Sincérement je pense que tu es trop pessimiste à ce sujet après oui certe je suis pas dessinateur professionnel je ne me suis pas assez penché sur le sujet mais je trouve que éditeur ou pas c'est un monde où tu sais que tu vas en chier .
@@NicocoOfficielle Pour résumé ta dernière phrase "Je n'ai aucune idée des réalités de ce métier, je ne m'y suis même jamais intéressé, mais je trouve que toi, qui a une expertise du métier, tu es trop pessimiste" Jo-li. Et "trop pessimiste" pour terminer par " tu vas en chier". La cohérence, c'est pas ça.
Autre remarque : pour certaines subventions / aide, les régions refusent quand t'es en auto édition T_T.... Mais le soucis : y a beaucoup d'éditeurs malveillants qui ne font pas leur travail de diffusion, il faut en avoir conscience.
C'est pas logique. À partir du moment où un éditeur te prends en charge c'est dans son intérêt de te vendre pour gagner sa part sinon il perd son argent et son temps. Les places sont limitées dans le planning alors malveillance, quel intérêt ?
@@swks5582 Tu obtiens une subvention sous le couvert d'une édition : l'éditeur s'en fiche que ça se vend ou pas puisqu'il a déjà gagné de l'argent avec la subvention. Car oui, la plupart du temps la subvention est touchée par l'EDITEUR et non l'AUTEUR. Il laisse l'auteur faire toute la promo. Pour l'éditeur, autant ne pas perdre le temps à faire de la pub et recommencer à trouver un auteur avec une nouvelle subvention. 3 ans plus tard, le livre est au pilon : les exemplaires restant sont soit vendu à l'auteur (il paye environ 40 % du prix final) soit à un grossiste.
Ah ah, la vidéo aurait pu durer 10 secondes : un auteur n'a pas le statut pour vendre de la marchandise… Cela nécessite de créer un nouveau statut. Après l'auto-édition est très formateur que ça soit une réussite ou un échec. :)
l'auto edition faire tout tout seul c'est assez ouf...faut minimum 4 personnes ..............le dessinateur quelqu un qui finance et 2 autres qui vont se bouger et faires les démarches impression distribution etc..........Mais si on a pas d editeur et on croit a son projet on sera obligé
Bonjour, pourrais je connaître le nom des deux imprimeurs pour les livres "Comme convenu" et"Erika" l'écriture brillante sur du mate est intéressante, je n'ai pas encore réussi à trouver cette option. Merci
Je ne suis pas vraiment convaincu par cette vidéo. D'après les auteurs, et surtout d'après leurs contrats, les éditeurs les payent très très mal. La première solution est bien sûr de changer d'éditeur ou d'en choisir un autre dès le départ, mais ce n’est déjà pas simple de faire éditer... SI les auteurs acceptent de travailler pour des clopinettes (tout ça pour voir leur album à la Fnac), pourquoi les éditeurs changeraient de pratique ? Si l'auteur en a marre, il le remplace par un autre qui vient d'arriver et qui sera ravi de se faire embobiner à son tour. Seul un rapport de force entre auteur et éditeur peut débloquer la situation. Pour cela, les auteurs ne devraient JAMAIS accepter des contrats avec une avance trop faible. (facile à dire, chaque auteur est libre de faire ce qu'il veut) Alors quelles solutions ? - l'auto-édition en ai une avec tout le boulot qu'il y a derrière, mais au moins le % sur les ventes est bien plus important - mettre la bd gratuite en libre d'accès comme Laurel ou Pepper and Carrot pour créer une communauté autour de l'auteur. Pour Pepper, l'auteur gagne sa vie via les dons de ses lecteurs sans éditer une BD physique. Du producteur directement vers le consommateur en somme. Pour Laurel, tu l'as bien décrit, une fois la communauté présente, il est facile de faire un crowdfunding. Certes, cela prend du temps (envoi des albums, gérer l'impression etc...), mais combien de temps perdent les auteurs à bosser pour quasiment rien dans le cas éditeur. Si les auteurs majeurs se mettent dès demain à quitter les éditeurs pour l'auto-édition, je pari que les éditeurs voudront bizarrement renégocier les contrats à la hausse. PS: Pepper and Carrot est sorti en BD chez Glénat en France, mais il ne touche aucun droit dessus. Il crée sa BD avec des outils libres de droits, donne accès aux planches gratuitement et permet d'éditer son oeuvre sans lui payer de royalties. Je sais, cela paraît étrange, mais c'est un libriste. Glénat participe tout de même à son patreon, mais il n'y a rien d'obligatoire.
Tu fais un hors sujet vis à vis de cette vidéo. Je ne parle pas de l'édition traditionnelle, je parle uniquement de l'auto édition brandit comme carte miracle. Je passe mon temps à faire de la pedagogie pour informer sur nos droits, pour garder nos acquis. Cette vidéo est la pour mettre en lumière le boulot monstre qu'est l'auto-édition, mais pour dire que l'édition tradi est plus simple.
@@yeahcy Non ce n'est pas un hors sujet puisqu'il explique, et il a raison, que si les auteurs en viennent à l'auto édition c'est justement parce que l'édition classique ne joue plus son rôle. Quand l'auteur en plus de faire sa BD, doit faire la maquette, la colorimétrie, la relecture, la promo via ses réseaux sociaux, etc... au final il fait quasi tout le boulot. Alors à quoi bon un éditeur? (hormis le prestige éventuellement pour flatter son égo). Tout ça pour toucher moins de 3000 euros d'à valoir...quand on lui en propose! Donc l'auto édition, même si c'est compliqué, n'est pas si désavantageuse que ça pour le peu qu'on ai une communauté derrière.
Ou peut être que tu n'as simplement pas compris le sens de ces commentaires. Peut être qu'à force d'entendre tes jérémiades on te conseille de faire de l'auto-édition sous entendu si les maisons d'éditions sont justes payées à rien foutre t'as qu'à faire leur job tu verras bien. Je fais le même commentaire envers ceux qui crachent sur les patrons qui s'enrichissent sur le dos des pauvres salariés t'avais qu'à faire des études pour devenir patron au lieu de faire des études pour devenir grouillot de base.... Sauf que la majorité des entreprises mettent la clef sous la porte... Comme le disait l'autre si le champ du voisin est plus vert laisse le s'emmerder à tondre....
On n'écrit pas "Bah si t'es pas contente", mais "Ben si t'es pas contente". C'est invraisemblable, ça. "Bah" exprime la résignation, comme dans "Bah, tant pis". Oui, je mènerai ce combat jusqu'au bout. ... Comment ça, futile ? Je perds mon temps comme je veux. Et j'auto-édite mes commentaires.
Précisions supplémentaires :
• Il ne faut pas oublier aussi que l'entourage joue aussi énormément dans l'auto-édition. Yatuu et Laurel l'ont toujours montré dans leurs planches, leurs compagnons sont un soutien (qu'il soit moral ou directement investi dans le projet). Il est très dur de se lancer dans l'auto-édition en solo, notamment vis à vis de la charge de travail monstrueuse, surtout quand on veut en faire quelque chose de pérenne.
• N'oubliez pas que l'auto-édition nécessite aussi un cadre légal ; il faut être déclarer (coucou numéro SIRET). Et qui dit déclarer, dit taxes, dit charges, dit IMPÔTS. On les oublie souvent, mais l'URSSAF non. Étonnement.
• Un article très complet de Marie&Julien sur sa campagne corwdfunding réussi : mariejulien.com/post/2019/05/23/cyberspace-building-crew-le-guide-ultime-de-ma-campagne-kickstarter-reussie
• Il faut pensé aussi au Dépot Légal ( je vous renvoie au commentaire de Freaks, ci-dessous!)
• Pour ce qui est du réseau des libraires, pour plus de précisions, allez voir le commentaire de Xavier Dauchy ci-dessous, fort instructif !
Super vidéo, merci
Ah, parfait ton com, en effet Laurel, Yatuu, Maliki, ils bossent en duo ! Tout seul comme taf c'est vraiment vraiment difficile.
Merci, c est éclairant 👍👍👍
Malheureusement, le complice parfait, ça ne tombe pas sur commande...
Très chouette vidéo ! Je sors tout juste d'un master métiers de l'édition et je travaille maintenant en librairie, et je suis 100% d'accord avec ce que tu dis de l'auto-édition : sans pour autant la dénigrer, il faut rappeler que derrière la publication d'un livre selon le processus d'édition "traditionnel", il y a une sacrée chaîne d'acteurs essentiels ! Quand tu parles de la maison d'édition, on n'y pense pas assez mais ça comprend aussi le correcteur/la correctrice, le/la graphiste, le directeur ou la directrice artistique, l'éditeur/l'éditrice et les assistant(e)s d'édition qui relisent le manuscrit et accompagnent l'autrice/l'auteur pour améliorer le texte/la BD, etc. Tout ça, ce sont des métiers à part entière avec des savoir-faire, alors quand on auto-édite son bouquin et qu'on doit endosser tous ces rôles sans avoir forcément d'expérience, c'est en effet un travail titanesque qui peut vite se casser la figure. Bref, merci pour cette vidéo éclairante ! :)
Bravo, c'est très complet !
En tant que micro et auto éditeur je m'y retrouve.
Un autre coût incompressible : la part prise par les libraires quand on fait du dépôt chez eux, en général 30%, ce qui fait très vite monter le prix de vente.
Un truc que l'on pourrait ajouter c'est que les salons du livre sont souvent le lieu où l'ont vends le plus et au mieux (pas de frais port, pas de % pris par le libraire) mais tout est à votre charge en tant qu'éditeur : déplacement, stand, logement, etc.
OUI, L'#AUTOEDITION EST UN BOULOT COLOSSAL (et ne doit ni être pris à légère, ni par défaut).
L'autoédition c'est créer sa propre entreprise et c'est endosser seul la direction de la chaîne du livre.
Merci @YeahCy pour cette vidéo très pertinente 👍
"T'es pas content(e) de ton travail, ben ouvre ton entreprise." C'est drôle, j'ai entendu ça un bon millier de fois depuis que je suis coincé au chômage.
La startup nation enfin, fait un effort.
Erf, navrée pour toi ^^ J'espère que tu trouveras dans ton domaine :) Courage ! ( Les jobs alimentaires sont toujours détestables )
Moi j'ai remarqué un truc rigolo dans ma ville : plein de commerces font faillite, sauf certains, parmi les plus anciens, qui sans génie particulier parviennent à durer pendant des décennies, voire des générations... Alors quel est leur secret ?
Quand on gratte un peu, on réalise que ces entreprises appartiennent à des familles de la vieille bourgeoisie locale, riche depuis des générations, qui possède des immeubles entier loués, et donc qui est totalement rentière... Et en fait ils créent des entreprises (souvent des commerces) pour s'occuper les 10 doigts (oui parce que dans ces milieux faut pas non plus passer ses journées dans un hamac, c'est mal vu), et se donner un statut social (commerçant ou entrepreneur, ça a une autre gueule que rentier !).
Et en réalité, ils se foutent complètement de la rentabilité de leur business : Si ça marche très bien tant mieux, alors ce sont de grands entrepreneurs qui peuvent faire la morale à tout le monde, et si ça vivote ou si c'est déficitaire c'est pas grave : la rente immobilière est là de toutes façons, et ça va juste leur permettre de payer moins d'impôts... Donc soit ils gagnent, soit ils gagnent.
Donc en fait le vrai secret pour créer une entreprise pérenne à coup sûr c'est de l'hériter de ses parents, en même temps que quelques appartements. Comment mais tu n'a pas de parents rentiers ? Mais quel vilain défaut ! Si tu n'y mets pas du tien, je ne peux rien pour toi !
Bah yes juste quand je me posais des questions dessus tu sors une vidéo dessus ehe génial ! Merci
J'en profite pour faire mon auto-promo au passage.
En tant qu'auteur indépendant (dans le tout petit monde du jeu de rôle, vous savez, le milieux où le meilleur des meilleur doit s'en tirer à a peine 5000ex pour toute la francophonie... oui c'est toi qu'on regarde Donjon&dragons)... eh ben je vis exactement la même expérience, mais à l'inverse.
"Si t'es pas content, t'as qu'a te faire éditer". Car si j'ai choisit de partir tout seul, c'est bien parce que le milieux est comme il est, qu'il a ses défauts et ses forces, donc on est peut être un peu mieux loti que les auteurs de BD, sur le plan de la liberté, par contre question finances... se dégager un salaire, c'est de l'ordre de l'exploit.
Je voulais revenir sur L'argument du "avoir une communauté" est ultra primordial est important.
Car vous pourrez avoir le plus beau projet du monde, si personne ne vous suit, l'information ne se répendra pas. C'est là que la communauté se rend utile et vient booster vos capacités de Community manager. même à très petite échelle, ces petits "like" ou "partage" sur un réseau feront la différence. Mais les inconnus, ne le font pas.
Les fans, les membres d'une communauté, les gens qui vous soutiennent le feront, ils montreront le projet. Par contre, ils feront pas le travail à votre place et c'est difficile d'entretenir une relation de confiance envers ces gens, qui font ça bénévolement par "passion" quand vous, par passion aussi, vous essayer de gagner un peu d'argent ou essayer juste de vous rentabiliser. Les relations sont tendus avec ceux qui vous jalousent, ceux qui pense pouvoir faire la même chose, ceux qui sont parano de la copie... etc etc.
Bref, l'auto-édition c'est un job, qui rapporte peu et qui, cumulé au travail de création peut s'avérer très gratifiant, si on aime manger des pâtes.
(après on est parfois invité en convention et on a quelques avantages... mais c'est pas la vie de châteaux non plus).
Pour paraphraser. Je dirais que l'auto édition, c'est plusieurs métiers en même temps.
et j'insiste bien sur "métier". Car si certains semblent penser que c'est inné, le management, la PAO, les relectures, l'illustration, l'impression, la communication, la vente, la législation.... et j'en passe. ça ne s'apprend pas tout seul.
Perso, dans mon secteur, je ne croit plus dans le Crowdfunding, les éditeurs n'en ont que trop profité et ont déréglé les habitudes des "clients".
Heureusement, il y a encore de la reconnaissance pour les projets indé (parce que auto-édité ne veut pas dire "amateur", merci).
Tout ça pour dire qu'après des années de créations et 3 livres déjà dispo, je suis "jeu du mois" et c'est déjà une grosse reconnaissance pour moi.
www.drivethrurpg.com/product/273067/La-Couvee
facebook.com/XenoMother
www.legrog.org/
Merci pour ta vidéo !
Merci pour cette vidéao, qui est bien vrai ! J'auto-édite dans quelques semaines pour la premiere fois un livre jeunesse sur KDP, intitulé "Tim et le peuple magique" et on se rend pas bien compre effectivement de tout le travail que cela représente, bien plus au final que le temps consacré à l'écriture et aux illustrations. Le travail de marketing, de correction, de promotion autour du livre est considérable. Mais honnêtement je ne regrette rien, c'est un challenge et une reconnaissance personnelle d'avoir mener à bien un tel projet.
J'ai voulu vendre un livre sur KDP et si je vendais le livre 28€ je resevais 2€ par vente, je trouve personellement que c'est du vol donc je suis actuellement en recherche d'un autre moyen, ce qui n'est pas simple surtout que je n'ai pas de font 😅
Waw, je me rendais pas compte à quel point c'était un taff de malade l'auto-édition... Merci pour la vidéo !
Oui ça fait beaucoup de travail et de talents à cumuler. Bravo aux auto-éditrices que tu sites 💪💪💪 Merciiiii pour cette vidéo éclairante et d’evoquer l’importance de l’aide de l’entourage et le rappel des prélèvements de l’état 😉😁😁
Dans le "désavantage" de l'auto-édition quand tu n'as pas de budget c'est de se débrouiller en faisant par soi-même les tâches qui seraient confiées à une maison d'édition donc oui ça ne comporte pas que des avantages mais les avantages sont de toucher + de revenus par ses livres, je parle d'un plus gros pourcentage alors qu'en édition classique, l'auteur(e) est celui ou celle qui touche le moins alors que c'est lui ou elle qui crée l'oeuvre, la base! En plus si on choisit l'auto-édition par amazon par ex, on peut toucher ses revenus tous les mois alors qu'en édition classique, j'ai halluciné quand j'ai su que les auteurs et autrices étaient payés qu'une fois dans l'année ou 2 et généralement 1 an après la sortie de leur livre, c'est pas pratique je trouve que ça soit pour vivre mais aussi pour déclarer ses revenus actuels où les auteurs et autrices ont besoin d'un réel statut qui les protègent mieux que ça.
Donc à l'heure actuelle, c'est la solution quand les auteurs et autrices veulent gagner plus et avoir leurs revenus des livres plus régulièrement car il n'y a pas encore beaucoup d'écoute de la part du gouvernement pour un meilleur statut pour les auteurs et autrices et ils se battent pour avoir ça actuellement. Je pense qu'il faut faire les 2: se battre pour leurs droits au gouvernement et les auteurs et autrices peuvent opter pour l'auto-édition aussi. D'ailleurs même des auteurs connus se lancent aussi dans l'aventure auto-édition que ça soit pour un meilleur revenu mais aussi pour l'expérience de faire les choses par soi-même. Personnellement moi qui écris et qui a l'intention plus tard de publier certaines histoires dont des nouvelles, je vais opter pour l'auto-édition pour la rémunération mais aussi l'expérience de faire les choses par moi-même, j'ai déjà monté une web série en étant la scénariste, réalisatrice, caméraman avec l'aide d'acteurs amateurs du coup ça ne me fait pas peur.
En plus, je sais que ça soit l'auto-édition ou l'édition classique, les auteurs et autrices peuvent difficilement vivre que des revenus de leurs livres en plus des taxes qu'ils doivent payer, en plus qu'ils n'ont pas le droit au chômage, des hausses de cotisation etc.
Même si je veux publier certaines de mes histoires, je sais ça, et je fais une formation pro actuellement pour faire un autre métier mais toujours en lien avec l'écriture qui est ma vocation. Après je ne sais pas si je vais rester en salariat ou tenter l'autoentrepreneuriat, j'ai d'abord envie de tester le salariat et si je ne trouve pas de boulot en tant que salarié, je me lancerai à mon compte, je sais qu'il y aura des difficultés aussi à l'autoentrepreneuriat mais pourquoi pas tester.
Et le boulot que je vais faire dans ma formation pro c'est être community manager, travailler dans la communication digitale dont je sais que je peux le faire en salarié ou en freelance à mon compte. En plus de l'écriture et publier mes livres, pour vivre en plus de la communication digitale, si je me lance à mon compte, je proposerai des services de rédaction, dont je tiens 1 blog et je vais créer un autre blog et services de correction de français dont j'aime bien corriger aussi mais plus à destination des étudiants et entreprises, pas pour corriger des livres car trop de boulot, trop long et j'aimerai plus écrire que lire.
Et par ex malgré les difficultés que j'ai rencontrés durant la réalisation de ma web série, des défauts qu'elle a avec pas de budget à part une caméra sans micro, je suis fière de l'avoir réalisée en ayant été double voir triple-casquette et fière d'avoir réussi à la finir alors que c'était pas gagné avec les emplois du temps différents des acteurs et fière de l'avoir fini en moins d'1 an, commencé à tourner en novembre en hiver et fini en été ^^
Alors juste pour ajouter un truc sur le "pourquoi pas dans toutes les librairies", il y a deux types de librairies. (c'est le maillon dis "distributeur")
- les "petites" librairies qu'il faut effectivement démarcher comme dis dans la vidéo, très souvent elles consituent elles mêmes leur stock et n'ont pas de politiques de retour (j'y reviendrai après). Ces petites librairies ont très souvent des groupements régionaux pour leur permettre de faire des achats groupés, en général un auteur / éditeur ne fera que peu d'argent avec eux. Par ils sont faciles à démarcher.
Ils ont indirectement un autre problème c'est qu'il y a aussi beaucoup de mauvais payeurs.
- Les "grosses" librairies (cela compte aussi pour la grande distribution qui marche pareil), qui ont des "meetings" trimestriels où les éditeurs viennent leur proposer entre deux verres leurS livreS pour qu'ils soit mis dans les rayons des magasins.
Et la c'est plus ou moins la foire d'empoigne pour les éditeurs, tu as l'éditeur qui va tenter de placer ses 7500 titeuf et 50 "génération mal logées" pour la France. Mais en général ces grosses enseignes vont dire qu'ils prennent les 7500 titeuf sans condition (parce que ca se vend) mais les 50 autres si ils ne sont pas vendus au bout de 3 mois l'éditeur devra les racheter au prix de XX% de leur valeur d'achat initial.
De plus si l'éditeur veut une bonne place en rayon (tête de gondole, rayon nouveauté, etc). l'éditeur devra accépter de vendre ses livres encore moins cher au distributeur.
Alors oui, on pourrait voir un Yatuu / comme convenu / maliki dans ces enseignes mais ce n'est pas qu'un problème de réseau, c'est clairement un des problèmes mais si il y avait une vrai demande de la part des grosses librairies / de la grande distribution un circuit court se serait mis en place.
Merci pour ces précisions ! Je vais mentionner daller voir ton commentaire dans celui épinglé !
Bonjour !!! Merci beaucoup pour cette vidéo et pour toutes les autres. Je me lance doucement dans le monde de l'illustration et la BD, et vos vidéos m'aide énormément. Encore Merci!😁😁
Merci mille fois !
Ca fait du bien d'entendre une autrice qui reconnait et défend le métier d'éditeur.
J'espère que tu n'as pas changé d'avis depuis que tu as fait cette vidéo, les débats ont été plutôt houleux ces derniers mois.
Alors, oui, il y a un problème au niveau des droits d'auteurs et de considération du travail des auteurs, surtout de la part des grosses maisons d'édition. Mais il faut garder à l'esprit que tous les éditeurs ne sont pas des vampires prêts à se repaitre du travail des autres pour leur profit personnel et que fabriquer, corriger, imprimer, vendre et expédier un livre coûte trèèèèèès cher.
Donc merci encore de ta pédagogie et de bien rappeler tout cela.
Alice, graphiste ET éditrice.
Je te remercie pour tes explications, c'était clair!
C'est très intéressant d'avoir toutes ces informations et de voir le travail important que cela demande .
J'ai retenu l'importance de la communauté en auto édition mais comment constituer cette communauté
Merci pour cette super vidéo complète, accessible et objective :) Toujours hâte et ravie de voir tes contenus . Tout de bon à toi ❤🌻
Merci pour cette vidéo très complète ! Je me pose énormément de questions sur le sujet et j'ai même fait une vidéo répertoriant justement les pour et les contre à mon échelle. Ta vidéo donne un nouvel éclairage à toutes ces interrogations. Évidemment l'auto-edition m'a l'air d'être un travail titanesque.
Coucou Élodie, si tu relis ton commentaire 1 an après (et surtout après avoir auto-édité ton premier roman ❤️), je pense que tu vas avoir un grand sourire 😁
j'aime ta vidéo, c'est très précis, après , l'autoédition permet quand même un un petit auteur comme moi de créer un livre, car finalement , il est très difficile de trouver un éditeur.....
Pouce bleu pour la chemise ^^ Plus sérieusement, très bonne vidéo, très concrète sur l'autoédition. Un souci très pratique, le stockage des ouvrages. Parce qu'entre le moment où ils sortent des presses et le moment où tu les expédies, faut les entreposer quelque part.
L'auto-édition est d'autant moins la panacée que, même si il est possible de proposer des packages en prix de gros aux libraires comme le fait Yatuu par exemple, c'est un acte militant voire de foi de la part du libraire de les prendre, dans la mesure où il ne pourra pas retourner les invendus vu qu'un auteur en auto-édition ne le gère pas (ou alors, j'ai envie de dire qu'il est devenu éditeur, comme Lapin), c'est donc un risque qu'il prend par rapport à un livre diffusé par le système traditionnel où le retour d'invendus est possible: encore une joyeuseté de la chaine du livre, mais ce serait un peu long d'en parler ici. Donc en pratique le volume va se faire par correspondance (charge de travail supplémentaire) et par les salons (charge de travail et frais supplémentaires).
Et puis on peut mentionner aussi les imprimeurs qui ne veulent pas traiter avec des auteurs directement (je pense à une conversation Twitter vue récemment, mais je ne parviens pas à retrouver le lien) ce qui ne facilite pas la recherche d'un imprimeur, les menus problèmes logistiques: twitter.com/Maliki_officiel/status/808334130719129601 , etc.
…
Je pourrais en parler encore longtemps, mais je finirais par reprendre le contenu de mes articles sur Fleen, où une partie significative de mon boulot de causer des webcomics francophones est de comprendre comment tout cela peut marcher, financièrement parlant: fleen.com/category/fsfcpl/
Je vais donc finir sur ceci: l'auto-édition n'est pas la panacée, mais à une période où la couche "édition" a de plus en plus tendance à refourguer son boulot sur les auteurs (gestion des couleurs, promotion par les réseaux sociaux, etc.) tout en les traitant de moins en moins bien, de sorte que tout le monde finisse par se demander à quoi cette couche sert, c'est l'exemple de ceux qui ont pris leur indépendance et pu auto-éditer qui va forcer la couche "édition" à se remettre en question et se bouger le cul. Parce que d'un autre côté, il y a une chaine du livre qui est en place, et ce serait un gaspillage insensé de tout faire sauter juste parce qu'elle dysfonctionne actuellement, il n'est donc pas déraisonnable d'espérer et faire en sorte qu'elle s'améliore aussi par l'intérieur, sans avoir à soi-même recourir à l'auto-édition.
Faux! Les libraires prennent qu'en dépôt quand c'est en autoédition et c'est à leur avantage car ils prennent aussi la partie habituellement dédiée à l'éditeur soit 30 % à 35 % du prix du livre. Alors qu'habituellement c'est environ 15 %.
Voilà un "résumé" qui est parlant et qui rappel le fonctionnement "en micro entreprise" représente énormément de boulot en plus d'être multi-tâches (et sans buguer avec l'écran bleu).
Excellent aperçu de l'auto édition
Merci pour cette vidéo.
Ton travail est toujours passionnant, clair et jamais simpliste. Merci pour ça.
Thanks, I really liked your video, I'm planning to self-publish my novel. But I already have an experience in self-publishing my manga under another pen-name. It's really hard to invest so much time in marketing and going to conventions to sell it cause bookstores are afraid your book might not sell so they are not eager to take it. But at the same time, you have complete control over your work, which is cool.
Merci beaucoup pour ce magnifique éclaircissement
Une vidéo très intéressante merci, c'est souvent la carte qu'on m'a proposé en tant que jeune autrice, mais je n'ai pas (encore) les épaules et la communauté pour tenter cette charge de travail. J'espère que ça en fera réfléchir plusieurs avant de parler d'auto-édition à tout va quand un projet ne fonctionne pas pour de l'édition tradi.
Merci pour ce point, je pense que la majorité de ceux qui conseillent ce système ne sont pas conscients de ce qu'il implique 🙄
En résumé, convaincre une maison d'édition, c'est la convaincre de prendre un risque financier à travers toi. Donc sans elle, tu gères ce risque tout seul 👍
Très chouette vidéo, tu expliques bien les difficultés lié à l'auto édition, c'est justement tout ces points qui me freine, je me vois mal, avec un travail alimentaire, faire de l'auto édition, j'aurais jamais le temps...
La vidéo est géniale, super complète et simple a comprendre. Merci
Vidéo super intéressante ! Et très complète. Que je pourrais donc partager au prochain qui m'en parle et à qui j'ai la flemme d'expliquer pourquoi ma réponse est "Non." :D !
Ou alors il suffit juste d'arrêter de se plaindre des galères d'auteur ou bien d'aller travailler à l'usine qui est quand même le plus beau métier du monde...
Didier Fabrice J’ai de la peine pour toi. Tu veux en parler? 😂
Bonjour je voudrais savoir si on peut envoyer un script a une maison d édition quand on n est mineur ?
Vidéo très bien explicitée merci :D
Merci pour cette vidéo !
Sur la BD, je ne sais pas comment fonctionne la correction, mais idéalement, en auto-edition, il faut aussi gérer ça soit meme et un correcteur ça se paye aussi ^^
C'est ce qui se voit le plus vite, après la couverture, de mon point de vue, et qui explique en partie que c'est déprécier :(
Merci pour cette vidéo très complète. Je sais le travail monstre que cela demande, mais quel statut pour se lancer dans l'autoédition sans trop de coût?
Merci pour cette vidéo fort intéressante.
Bonjour. Merci pour cette vidéo super instructif. En effet cela m'as été très utile pour en savoir un peu plus sur cette démarche. Déjà je peux vous dire que j'ai fait la même démarche en musique parce que je suis auto auteur compositeur et interprète de deux albums de compositions que j'ai auto produit en total indépendance avec mes propres économies. Mais il se trouve que je me suis lancé dans l'écriture, parralèlement donc ma question si un jour je sort un livre à coté de mes albums de musique ce serait comment je peux me protéger avec les droits d'auteur pour qu'on sache que j'en suis bien l'écrivain ??? et aussi, vers qui je peux me tourner pour avoir un numéro de siret ???? Voilà merci d'avance et n'hésitez pas à me donner votre avis sur tout mon commentaire.
Coucou..j'en suis la j'ai terminé un album pour enfant texte et illustrations...je vais prospecter les éditeurs et envisager l auto édition on verra merci pour tous ces conseils QUESTION Y A T IL un format pour les ink tobers..
Question CONNAÎT tu ' Ergon editeur ''qui pratique des échanges de cartes illustrees ..sur un thème ou une lettre imposee...ce serait pas mal d'organiser un truc dans ce genre pour les inktobers...voir ''''l'alsacienne des mots ''cartes sur ERGON EDITEUR
MERCI DE M'AVOIR LUE AMITIES VIRTUELLES
Super bien expliqué du coup
Merci pour cette vidéo, sinon, je m'appelle Sylvie Flaneau alias Lady Djuky, je suis auteure de roman fantaisie jeunesse et être en auto-edition c'est un choix car j'ai envoyé mon manuscrit à des maisons d'édition et j'ai remarqué que ça ne les intéresse pas mais ça intéresse à lecteurs et lectrices, je me suis dit que le plus important c'est eux et j'ai lancer cette idée dès que j'aurais fais mon trois romans et là, je vais booster mes trois romans fantaisie jeunesse bientôt, pour vivre, je travaille en intérim pour manger et payer mes factures. Voilà ! Sinon je t'encourager de tout cœur ❤ bisous 😚 Sylvie Flaneau
Merci pour cette video ! J'aurai egalement rajouté que beaucoup demande une somme -extremement- faible en auto edition (Si on compte les frais incompresibles que tu as cité, mais aussi, et surtout, les taxes (de forcement statut auto entrepreneur non ?), parfois il reste plus grand chose)
Tout à fait ! Je le rajoute dans la note épinglé !
je vais faire mon auto edition aussi et mon BD.
Jolie carte de voeux de Anais derrière toi hihi (Siathekat :))
Hey je te trouve trop belle et j'adore t'es vidéo
Bonjour Yeah Cy : tes conseils sont valables pour l'auto-édition de roman ?
C'est pareil pour tous les genres livres, à ceci prêt qu'en BD, les planches sont faites pour correspondre à une page ou une double-page ; souvent, les gens qui s'autoéditent en roman n'ont pas de notion de maquettage (la mise en forme du livre), ne savent pas se servir de ces logiciels... Par contre, du point de vue fabrication, un roman est presque toujours moins cher à produire qu'une BD !
Ne serait-ce pas une illustration de Gijé de la Boîte à Musique derrière? ;)
vidéo vraiment intéressante, plusieurs fois on m'a déjà dit ça, et j'ai failli me faire avoir en me disant "j'avoue, qu'est-ce que j'attends?" Eh bien j'attends ÇA: avoir une communauté solide, du contenu à proposer, des talents de graphiste, une communication bien gérée et un savoir-faire que je n'ai pas. Chouette vidéo qui montre bien que c'est pas si facile :D
C'est bien lui !
Merci
Hello , je sais , c'est pas le sujet mais je kiff trop tes tatoos 👌👌👌👌😌😌 la classe!
Merci hé !
Peut être que tu y as déjà répondu, dans ce cas je suis désolée mais où as-tu acheté ta chemise?
Bonjour, je souhaiterais vous contacter car j'aimerais collaborer. Avez vous une adresse mail à nous communiquer.
On peut aussi faire une BD par plaisir en-dehors de son taf, et en faire tirer quelques exemplaires pour sa propre satisfaction de voir son travail devenir un vrai livre et pourquoi pas en proposer quelques uns à la famille et aux amis ? Dans ce cas vous ne donnez de conseils qu'à ceux qui veulent en vivre, pas aux autres, dommage c'est ce que je cherchais.
je confirme, l'auto édition c'est compliqué.......pffffff
Et les deux bouquins que tu as présentés, ils ont marchés au final ?
Pour "Comme Convenu", je ne sais pas, mais pour "Erika et les princes en détresse", ça à été un sacré succès ! Le Crowfunding visait une impression de 500 exemplaires. Au final, il à largement dépasser le 100% estimé, et à fini à 564% au final, soit plus de 2 823
exemplaires imprimé, soit un peu plus de cinq fois les estimations originales. Pas mal pour un premier tome ! ;)
@@ValLoche23 Cool. Merci pour la réponse. Ca donne espoir.
Comme convenu aussi, ça a été un sacré succès ! 2860% ont été atteints, pour quasi 8000 contributeurs (et une campagne pour Comme convenu tome 2, avec 9300 contributeurs). Bref, gros succès :)
@@chestnya cool ^^
Mais du coup, si aucun éditeur ne veut de mon (mes) projet et que je n'ai qu'une toute petite communauté, je peux dire adieu à l'édition ?!
J'ai toujours été consciente du gros travail que cela demande et je ne vise pas non plus une renommée internationale (ni même un succès national d'ailleurs). Juste pouvoir partager un projet qui me tient à coeur et le voir prendre vie :)
Ça fait quelques temps que l'idée me trotte dans la tête, et cette vidéo met bien tout à plat et me donne encore plus envie de faire tout plein de petits goodies et autres contreparties
Tu peux, mais tu t'exposes à en vendre peu et potentiellement ne pas rentrer dans tes frais mais c'est un risque que tu choisis !
@@yeahcy Oui, c'est sûr que les coûts risquent de ne pas être rentabilisés... Après, tant que je me débrouille à avoir même ne serait-ce qu'un tout petit bénéfice ça me va ! (j'ai l'habitude) :D
Hey, nouveau tattoo sur ton bras ? ❤
C'est possiiiiible 😏
Bonjour! Pour faire écho à votre vidéo: employe-du-moi.org/indie_americans/ - «Indie americans» projet d’exposition consacré à plus d’une quinzaine d’auteurs indépendants édités au Canada et aux États-Unis par des maisons d’éditions comme Fantagraphics ou Drawn & Quarterly, mais qui ont aussi une importante pratique de l’auto-édition. - Et, au passage, merci pour vos différentes interventions sur la plateforme Twitch :)
Je sais que ça n'a rien à voir avec le contenu de la vidéo mais je pense que ça serai cool si tu ajouterai une musique en fond pour mettre une meilleure ambiance et un bon rythme. Sinon continue c'était très intéressant !
Pas envie.
@@yeahcy OK c'est totalement ton choix ! Sinon vraiment je tiens à te féliciter sur ton évolution sur UA-cam ça fait un moment que je te suis et je tiens à te dire que j'aime toujours autant !!
@@yeahcy Pas envie, pas envie... Ah ben si chacun fait ce qu'il veut, selon ses envies, c'est la porte ouverte à l'auto édition.
@@yeahcy Tu as bien raison mais investir dans un meilleur micro ne serait par contre pas du luxe)
Pour faire de l'auto édition, il faut SURTOUT un produit qui va marcher !!! Une BD sympa qui va plaire !! le reste vient "presque" tout seul !
Va falloir regarder la vidéo Jean à un moment.
@@yeahcy vu ! bien sur, mais l'auto édition, en roman ou BD, est faites pour que l'auteur existe !!! le bunker construit par les éditeurs qui ont le mérite de l'avoir fait et fait fonctionner, reste inaccessible à une très large majorité des auteurs... de plus, en BD, la précarité de l'auteur va décimer cette partie de la culture Française. Donc, ok, si tu veux vendre, l'AE est un vrai boulot à plein temps. Mais quand l'éditeur t'ignore, c'est la solution. ;o)
On voit les contrepartie pour une BD mais comment ça se passe pour les contreparties d'un roman sans illu du coup ?
J'en ai aucune idée
comment ça sans illu? en gros si tu as pas d'éditeur savoir comment faire la couverture de ton roman en image?
Tu payes de ta poche un graphiste qui va faire tes contreparties
@@lucdof1 Très clairement, les auteurs de BD ont cet avantage qu'ils peuvent faire des gifs, faire des stickers, faire tous les produits dérivés graphiques
Pour un romancier, c'est ENCORE un coût supplémentaire (et tu ne peux pas faire sans, car les gens tiennent à leurs goodies)
@@maximedurante7574 La vidéo l'explique très bien mais ça demande des compétences supplémentaires, être autrice-auteur de BD c'est déjà un métier à part entière. Et ça demande aussi du temps et de l'énergie
La meilleur solution je trouve en auto edition je pense que c'est de bosser en équipe et le paradis ça serait de bosser en couple c'est moins cher mdr. Par exemple si toi tu te met à mort sur le dessin ton homme s'occupera de contacter l'imprimeur de faire ta pub etc.... c'est un gain de temps énorme car bon on le sait tous être dessinateur si on veut bien bosser et bien il y a pas vraiment de temps libre plus on a de temps pour bosser sur le dessin mieux c'est
Ce qui peut être interessant et cela se fait peut etre déja c'est que des personne se lance en "freelance" ou plutôt en éditeur indépendant. La personne s'occupe de tout pendant que le dessinateur fait sa bd et après soit vous faite du 50/50 niveau prix ou vous vous arranger .
En tout cas je pense qu'il y a des opportunité intéressante.
Quand tu parle de communauté tu as bien raison c'est vraiment le plus important mais pour faire comprendre un peu mieux au gens on peu prendre l'exemple d'une publicité, si on ne fait pas la pub d'un produit personne ne l’achètera car personne sera au courant que ça existe, et là le produit ici c'est nous les dessinateur ou youtuber etc.... Moi par exemple comme je fais quasiment jamais de pub pour ma chaine you tube bin j'ai pratiquement pas de vue ni de j'aime tout simplement parce que personne connait ma chaine lol.
Et pour finir je tiens à dire que ta chaîne est vraiment sympa j'aime bien voir ton traintrain de dessinatrice je te souhaite de réussir tu le mérite
Merci ! Effectivement les duo fonctionnent mieux, Yatuu et Laurel ont toujours dit/montré le binôme qu'elles formaient avec leurs compagnons respectifs mais la encore dire que c'est une solution, c'est faux. Déjà sortir un salaire pour une personne dans l'auto édition, c'est du taff monstre, alors pour deux. Il faut avoir envie, il faut que ça soit l'ambition de l'autre, et avoir les reins solides niveau finances. Ces team fonctionnent parce qu'ils vont dans le même sens de l'ambition, autant te dire que c'est tellement rare, qu'il faut même pas voir ça comme une solution.
@@yeahcy Oui c'est sur mais hélas faire ça tout seul personnellement je pense que ce n'est pas possible. Après il faut voir aussi tout les point par exemple quand tu vas voir un éditeur si ta bd ne lui plais pas il ne t'aidera pas tandis que là peu importe ce que tu fais si ça te plais à toi tu peu en faire des livre directement bon évidement c'est encore mieux de savoir que ça plait au moins à ta communauté lol.
Sincérement je pense que tu es trop pessimiste à ce sujet après oui certe je suis pas dessinateur professionnel je ne me suis pas assez penché sur le sujet mais je trouve que éditeur ou pas c'est un monde où tu sais que tu vas en chier .
@@NicocoOfficielle Pour résumé ta dernière phrase "Je n'ai aucune idée des réalités de ce métier, je ne m'y suis même jamais intéressé, mais je trouve que toi, qui a une expertise du métier, tu es trop pessimiste" Jo-li.
Et "trop pessimiste" pour terminer par " tu vas en chier". La cohérence, c'est pas ça.
Malheureusement, le conjoint idéal pour ça (le conjoint tout court d'ailleurs), ça ne vient pas sur commande. Donc à défaut, on se lance seul.
Autre remarque : pour certaines subventions / aide, les régions refusent quand t'es en auto édition T_T....
Mais le soucis : y a beaucoup d'éditeurs malveillants qui ne font pas leur travail de diffusion, il faut en avoir conscience.
C'est pas logique. À partir du moment où un éditeur te prends en charge c'est dans son intérêt de te vendre pour gagner sa part sinon il perd son argent et son temps. Les places sont limitées dans le planning alors malveillance, quel intérêt ?
@@swks5582 Tu obtiens une subvention sous le couvert d'une édition : l'éditeur s'en fiche que ça se vend ou pas puisqu'il a déjà gagné de l'argent avec la subvention. Car oui, la plupart du temps la subvention est touchée par l'EDITEUR et non l'AUTEUR. Il laisse l'auteur faire toute la promo. Pour l'éditeur, autant ne pas perdre le temps à faire de la pub et recommencer à trouver un auteur avec une nouvelle subvention. 3 ans plus tard, le livre est au pilon : les exemplaires restant sont soit vendu à l'auteur (il paye environ 40 % du prix final) soit à un grossiste.
Ah ah, la vidéo aurait pu durer 10 secondes : un auteur n'a pas le statut pour vendre de la marchandise… Cela nécessite de créer un nouveau statut. Après l'auto-édition est très formateur que ça soit une réussite ou un échec. :)
C'est comme quand on est un mauvais enseignant... on devient inspecteur et on dit aux autres comment ils doivent faire :)
l'auto edition faire tout tout seul c'est assez ouf...faut minimum 4 personnes ..............le dessinateur quelqu un qui finance et 2 autres qui vont se bouger et faires les démarches impression distribution etc..........Mais si on a pas d editeur et on croit a son projet on sera obligé
Amazon fait tout.
L'avantage du crowdfunding c'est peut-être les bénéfices direct pour les chanceux.
Bonjour, pourrais je connaître le nom des deux imprimeurs pour les livres "Comme convenu" et"Erika" l'écriture brillante sur du mate est intéressante, je n'ai pas encore réussi à trouver cette option. Merci
Je ne suis pas vraiment convaincu par cette vidéo.
D'après les auteurs, et surtout d'après leurs contrats, les éditeurs les payent très très mal.
La première solution est bien sûr de changer d'éditeur ou d'en choisir un autre dès le départ, mais ce n’est déjà pas simple de faire éditer...
SI les auteurs acceptent de travailler pour des clopinettes (tout ça pour voir leur album à la Fnac), pourquoi les éditeurs changeraient de pratique ?
Si l'auteur en a marre, il le remplace par un autre qui vient d'arriver et qui sera ravi de se faire embobiner à son tour.
Seul un rapport de force entre auteur et éditeur peut débloquer la situation.
Pour cela, les auteurs ne devraient JAMAIS accepter des contrats avec une avance trop faible. (facile à dire, chaque auteur est libre de faire ce qu'il veut)
Alors quelles solutions ?
- l'auto-édition en ai une avec tout le boulot qu'il y a derrière, mais au moins le % sur les ventes est bien plus important
- mettre la bd gratuite en libre d'accès comme Laurel ou Pepper and Carrot pour créer une communauté autour de l'auteur.
Pour Pepper, l'auteur gagne sa vie via les dons de ses lecteurs sans éditer une BD physique. Du producteur directement vers le consommateur en somme.
Pour Laurel, tu l'as bien décrit, une fois la communauté présente, il est facile de faire un crowdfunding. Certes, cela prend du temps (envoi des albums, gérer l'impression etc...), mais combien de temps perdent les auteurs à bosser pour quasiment rien dans le cas éditeur.
Si les auteurs majeurs se mettent dès demain à quitter les éditeurs pour l'auto-édition, je pari que les éditeurs voudront bizarrement renégocier les contrats à la hausse.
PS: Pepper and Carrot est sorti en BD chez Glénat en France, mais il ne touche aucun droit dessus. Il crée sa BD avec des outils libres de droits, donne accès aux planches gratuitement et permet d'éditer son oeuvre sans lui payer de royalties. Je sais, cela paraît étrange, mais c'est un libriste. Glénat participe tout de même à son patreon, mais il n'y a rien d'obligatoire.
Tu fais un hors sujet vis à vis de cette vidéo. Je ne parle pas de l'édition traditionnelle, je parle uniquement de l'auto édition brandit comme carte miracle. Je passe mon temps à faire de la pedagogie pour informer sur nos droits, pour garder nos acquis. Cette vidéo est la pour mettre en lumière le boulot monstre qu'est l'auto-édition, mais pour dire que l'édition tradi est plus simple.
@@yeahcy Non ce n'est pas un hors sujet puisqu'il explique, et il a raison, que si les auteurs en viennent à l'auto édition c'est justement parce que l'édition classique ne joue plus son rôle. Quand l'auteur en plus de faire sa BD, doit faire la maquette, la colorimétrie, la relecture, la promo via ses réseaux sociaux, etc... au final il fait quasi tout le boulot. Alors à quoi bon un éditeur? (hormis le prestige éventuellement pour flatter son égo). Tout ça pour toucher moins de 3000 euros d'à valoir...quand on lui en propose!
Donc l'auto édition, même si c'est compliqué, n'est pas si désavantageuse que ça pour le peu qu'on ai une communauté derrière.
Je préfère les anciennes vidéo de Joueur Du Grenier ! Hein ? C'est pas le joueur du grenier DAMNED
ha ba si t'en parles de l'auto édition ^^
Ou peut être que tu n'as simplement pas compris le sens de ces commentaires. Peut être qu'à force d'entendre tes jérémiades on te conseille de faire de l'auto-édition sous entendu si les maisons d'éditions sont justes payées à rien foutre t'as qu'à faire leur job tu verras bien.
Je fais le même commentaire envers ceux qui crachent sur les patrons qui s'enrichissent sur le dos des pauvres salariés t'avais qu'à faire des études pour devenir patron au lieu de faire des études pour devenir grouillot de base.... Sauf que la majorité des entreprises mettent la clef sous la porte...
Comme le disait l'autre si le champ du voisin est plus vert laisse le s'emmerder à tondre....
Didier, on t'attend a l'EHPAD, dépêche-toi.
On n'écrit pas "Bah si t'es pas contente", mais "Ben si t'es pas contente". C'est invraisemblable, ça. "Bah" exprime la résignation, comme dans "Bah, tant pis". Oui, je mènerai ce combat jusqu'au bout. ... Comment ça, futile ? Je perds mon temps comme je veux. Et j'auto-édite mes commentaires.
Et l'édition du journal l'Auto ? On en parle ? Mmmh ?
@@Bdutig Bah j'm'en balek.
@@yeahcy Et vous avez bien raison.