Passionnant ! Vraiment passionnant..."Science sans conscience n'est que ruine de l'âme"...a dit Rabelais en son temps...Deux et deux font quatre : une affirmation qui ne fait absolument pas appel à la réflexion : c'est un dogme mathématique et une convention de langage...en revanche deux et deux font cinq voilà qui permet de réfléchir, soit pour prouver que c'est faux, soit pour prouver que c'est vrai... soit pour prouver que c'est insoluble...Quant au désir opposé à l'obtention de l'objet désiré (objet au sens large) il semble qu'il soit bien plus intense que la satisfaction généralement éphémère d'avoir obtenu ce qu'on désirait...On "rêve" d'acquérir tel bien de consommation onéreux : on échafaude un plan pour économiser la somme suffisante pour l'acheter...le jour de l'achat c'est une forme de jouissance mais très vite la possession de ce qu'on a tant désiré se banalise au point que bientôt, on n'y pense même plus...il en est de même, comme tu le dis, dans la démarche pour séduire quelqu'un...une fois parvenu à ses fins la personne tant désirée à en général rapidement perdu beaucoup d'attrait, même pour une personne peu portée aux caprices...Quant à la souffrance le simple fait qu'elle puisse exister donne toute sa dimension au plaisir...si tout était plaisir, où serait la satisfaction pour l'Homme...en fait celui-ci est placé alternativement dans trois situations possibles : la souffrance mais avec l'espoir qu'elle s'arrête, le plaisir, ou une zone neutre qui laisse l'Homme ni heureux ni malheureux...sauf à affirmer que l'absence de malheur c'est la définition du bonheur...Faut-il avoir conscience d'être heureux pour l'être ? Il y aurait mille choses à dire...en tous cas reviens vite avec d'autres réflexions sur ce sujet ou sur un autre...Pour le coup c'est un plaisir ce genre de vidéo et pas du tout une souffrance ! Merci à toi
Merci beaucoup pour cette réponse aussi remplie qu'appreciable. J'aime beaucoup votre façon de voir les choses et la vision que vous m'apportez sur la réflexion que je tente tant bien que mal d'exprimer. Pour ce qui est du bonheur, il semble que ce dernier soit un sentiment rétrospectif qui évidemment fait l'objet d'un idéal inateignable. En somme un mot tellement galvaudé qu'il est impossible de l'associer à un sentiment en particulier. C'est la raison pour laquelle je faisais ce raccourci car il me semble que c'est bien lorsque l'on ne parvient pas à décrire si nous sommes heureux ou pas que nous le sommes réelement, ou en tout cas que le malheur n'est pas de la partie. Merci pour ce soutien, c'est très gentil et ça donne envie de continuer.
Passionnant ! Vraiment passionnant..."Science sans conscience n'est que ruine de l'âme"...a dit Rabelais en son temps...Deux et deux font quatre : une affirmation qui ne fait absolument pas appel à la réflexion : c'est un dogme mathématique et une convention de langage...en revanche deux et deux font cinq voilà qui permet de réfléchir, soit pour prouver que c'est faux, soit pour prouver que c'est vrai... soit pour prouver que c'est insoluble...Quant au désir opposé à l'obtention de l'objet désiré (objet au sens large) il semble qu'il soit bien plus intense que la satisfaction généralement éphémère d'avoir obtenu ce qu'on désirait...On "rêve" d'acquérir tel bien de consommation onéreux : on échafaude un plan pour économiser la somme suffisante pour l'acheter...le jour de l'achat c'est une forme de jouissance mais très vite la possession de ce qu'on a tant désiré se banalise au point que bientôt, on n'y pense même plus...il en est de même, comme tu le dis, dans la démarche pour séduire quelqu'un...une fois parvenu à ses fins la personne tant désirée à en général rapidement perdu beaucoup d'attrait, même pour une personne peu portée aux caprices...Quant à la souffrance le simple fait qu'elle puisse exister donne toute sa dimension au plaisir...si tout était plaisir, où serait la satisfaction pour l'Homme...en fait celui-ci est placé alternativement dans trois situations possibles : la souffrance mais avec l'espoir qu'elle s'arrête, le plaisir, ou une zone neutre qui laisse l'Homme ni heureux ni malheureux...sauf à affirmer que l'absence de malheur c'est la définition du bonheur...Faut-il avoir conscience d'être heureux pour l'être ? Il y aurait mille choses à dire...en tous cas reviens vite avec d'autres réflexions sur ce sujet ou sur un autre...Pour le coup c'est un plaisir ce genre de vidéo et pas du tout une souffrance ! Merci à toi
Merci beaucoup pour cette réponse aussi remplie qu'appreciable. J'aime beaucoup votre façon de voir les choses et la vision que vous m'apportez sur la réflexion que je tente tant bien que mal d'exprimer.
Pour ce qui est du bonheur, il semble que ce dernier soit un sentiment rétrospectif qui évidemment fait l'objet d'un idéal inateignable. En somme un mot tellement galvaudé qu'il est impossible de l'associer à un sentiment en particulier. C'est la raison pour laquelle je faisais ce raccourci car il me semble que c'est bien lorsque l'on ne parvient pas à décrire si nous sommes heureux ou pas que nous le sommes réelement, ou en tout cas que le malheur n'est pas de la partie. Merci pour ce soutien, c'est très gentil et ça donne envie de continuer.
JE LIKE FOOOOORT
Merci ma caille. Au plaisir de te voir.
en sah
Il a rien à dire quand ça dépasse sa limite intellectuelle le bonhomme mdr 😂