Comment empanner par 45 nœuds de vent
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- Опубліковано 5 бер 2013
- Empanner par 45 noeuds de vent et 8 mètres de creux sur l'Atlantique nord paraît suicidaire à tout navigateur normalement constitué... Mais dans une course aussi intense que la Volvo Ocean Race 2012, Franck Cammas et son équipage, talonnés par leurs concurrents sur la 8ème étape Lisbonne-Lorient, ont fini par passer à l'acte. Non sans réflexion ni préparation. Explications du skipper et des principaux membres de l'équipage de Groupama 4, sur des images extraordinaires de VOR 70 au portant dans la brise.
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![[Tutoriel] Voilier habitable - Envoi du Gennaker](/img/n.gif)
Sublime ! Ces gens de mer sont exceptionnels. Le courage, la force, le mental. Je suis toujours en admiration
Super séquence, avec des infos des principaux intéressés à froid pour la commenter, bon choix de musique (j'adore la cloche qui sonne) et bien sûre des images super impressionnantes ! Well done !
Impressionnant...j'adore les "il suffit" de certains commentaires !
Tranquillement..... dans son canapé.... en chausson.
trop vrai😃
Après la GV en lofant a progressivement été ramenée dans les conditions plus proches d'un virement de bord. Si les bastaques étaient bien préparées, le mât, les lattes et le vit de mulet étaient préservés. Bravo, belle manœuvre dans des conditions éprouvante tout de même. Restait à faire passer le gennaker sans dégâts.
Je ne comprend rien parce que je n’y connais rien mais c’est juste visuellement impressionnant !
Je n’aurais pas la moitié de leur courage comme ça au large...
@0:18 OMG la déferlante !!
Ces mecs font juste parti des meilleurs marins au monde mais yen a encore qui se permettent de ramener leur science sur internet...
Impressionnant
Que aventura
L'empannage est une manœuvre d'école. Il suffit de se mettre doucement bien vent arrière. Quand on y est, on donne un petit coup de barre pour changer d'amure, tout en maintenant un peu la grand-voile avec un brin du palan.
Ça c'est la theorie. Mais en pratique quand ça souffle, ça craint!!! C'est peut être la dernière manœuvre qu'on aurait envie de faire.
Le bateaux à fort tonnage ne pouvaient pas virer de bord (trop lent) donc ils devaient faire une boucle d'empannage. Ça devait être que du bonheur.
Le hâle bas était très choqué ?
et voile avec 3 ris et petit génois ,la mer vas avec , que dans les salon ou les bateaux fonces sans vagues ,han ha !!
Apprends à écrire correctement avant de nous donner des leçons de voile... C'est quoi un petit genois?, un solent un foc 1, 2 ou un tourmentin pour toi? Dans ce cas on ne parle plus de genois.
Dingue
c est le surf que tu peu changer d amure , ta vitesse réduit la force du vent . ( arrière ) et par équipe ou NKE autrement bout au vent !!
Leçon
Je crois pas que les gens qui n’ont jamais vu la mer ni ses fureurs peuvent se permettre de dire quelque chose.
Comme beaucoup j'aurai encore besoin de faire mes gammes sur un Optimiste en imaginant que je suis sur un Ultim comme Franck Cammas et Jean-Luc Nelias 😅
C'est la magie de la voile, c'est grisant même si on débute.
Le truc de la survitesse je me demande si c'est pas pour soulager la pression dans la GV. SI le bateau part au surf grâce à une vague il va se créer une composante de vent apparent (de face) qui va amoindrir la composante de vent arrière qu'avait la G.V. avant de partir au surf. Si c'est bien ça c'est pas bête du tout.
je pense aussi que c'est ca , "deventer" le bateau en profitant d'un surf pour gybe avec un vent incident plus faible
Oui, j'ai pensé la même chose, ce n'est pas idiot
chaud quoi
Ce n’est pas une « très grosse tempête » mais très exactement un fort coup de vent (force 9 échelle Beaufort) . L’empannage est néanmoins vraiment délicat et très périlleux (rupture du mât , voire avec une mer plus formée et plus en rapport avec le vent ou un mauvais train de vagues départ au lof et chavirage). Dans ces conditions hautement acrobatiques et dangereuses la coordination est vitale ainsi que le choix du moment en accord avec la mer et les risques de rafales.
Avec la grande voile maintenue bien bordée (ce qu'ils font) il n'y a pas de probleme de passage de bastaque. Une fois empannée, il suffit d'enlever celle sous le vent et de relacher la GV.
Il suffit...
Ca dit tout ça!
Tu as empanné au max sur un half-toner avec Beaufort 5. Pas plus.
Sur ce genre d'engin, avec la force des vagues, la GV lattée complétement même arrisée ce qui est le cas, c'est bien plus compliqué qu"il suffit". Et on ne relâche pas la GV après l'empannage, dans une telle mer. Tu veux des décapités?
Windsurf
Ayant échangé ma GV usée à fort rond de chute par une GV à corne, ça ne passe plus en dessous du pataras. Donc fatalement deux pataras distincts et largables. Je me demande ce qu'est le bon timing pour le lâcher du pataras bientôt sous le vent et le moment pour mettre sous tension le pataras qui sera le nouveau pataras au vent lors de l'empannage? Et quid de la bôme et de l'écoute de GV: faut-il toujours faire "un arrêt" de la bôme entre les deux pataras (donc au centre) et absolument tendre le nouveau pataras au vent avant de relâcher l'écoute de GV?
Je me demande comment faisaient les gars en mini avant que les barres de flèche ne deviennent très poussantes et donc maintiennent le mât seul?
Facile
Mhm..
Empennage? Tout ce blabla avec un virement de bord...
Rassure moi tu connais pas la différence entre virement de bord et empennage et c'est juste de l'ignorance ou c'est de la condescendance gratuite parce que ça fait trop mal a ton ego d'admettre que des mecs se bougent pour être bon dans quelque-chose ?
@@diplo6277
Abruti. Ce sont des images de près.
@@veraciteabsolue1221 non.
@@veraciteabsolue1221 t'es vraiment super con
Crois moi il y a une LEGERE differance entre virement de bord et empennage.. et je voudrais bien t'y voir toi a 38 noeuds de vent faire un empennage