Associer HPI et dys dans un grand tout indifférencié, ça n'aide pas parce que leurs difficultés ne sont pas DU TOUT les mêmes. D'autant qu'il y a plusieurs types de dys et que chaque trouble est différent : on ne gère pas un dyspraxique comme un dyslexique ou un dysphasique. Être mauvais en orthographe n'est pas forcément synonyme de dysorthographie : la dysorthographie, c'est d'abord un handicap qui empêche d'appliquer une règle d'orthographe ou de grammaire parce qu'elle ne peut pas être acquise, contrairement au mauvais en orthographe qui peut s'améliorer en travaillant autrement ou davantage. Pour faire court le vrai dysorthographique, on peut l'aider à faire autrement mais jamais à résoudre sa difficulté. Le HPI est plus difficile à cerner : il n'a pas de difficultés scolaires mais sociales et avec un environnement adapté, il s'en sort très bien.
Pourtant mon frère et moi on est tdah, dys et HPI et la neuropsy a bien dit à ma mère qu'il y avait très souvent une corrélation. J'ai eu plusieurs neuropsy au cours de ma vie et tous ont ce discours. Après oui tu peux être HPI sans être tdah ni dys comme tu peux être tdah et dys sans être HPI.
@@LunaireLovegood ah mais je ne dis pas que les différents handicaps ne se cumulent pas, ce que je dis, c'est que les aides mises en place sont très différentes en fonction du trouble dys constaté et que les considérer comme un seul et même trouble n'aidera pas à mieux les appréhender ou les comprendre , de même que le HPI aura des difficultés spécifiques, même s'il n'a pas d'autres troubles associés. Mon fils est TDA sans H, multidys et autiste, autant de troubles qui nécessitent des aménagements spécifiques pour chacun. Pour la dyspraxie, pour la dyscalculie, pour la dyslexie, pour la dysorthographie, il faut à chaque fois une adaptation dédiée.
Le HPI n'a pas besoin d'être détecté s'il n'a pas de difficultés. Un HPI avec des difficultés est un enfant qui a des troubles qui n'ont rien à voir avec leur QI. Le QI permet juste de compenser les troubles.
@@elodiecari Et ? J'ai été détecté suite à une phobie scolaire dont on cherchait l'origine, je sais déjà ce que tu dis. Mais les personnes HPI cumulent souvent des troubles comme TDA/H et DYS. Mettre des mots sur sa différence est important, HPI ou pas parce que le système scolaire n'est pas adapté. Les HPI sans diag peuvent vite développer un mal être parce qu'ils se sentent différent des autres mais sont incapables de l'expliquer donc le diag a son importance. Tu n'es pas neuropsy jusqu'à preuve du contraire.
@@LunaireLovegood absolument, il ne faut pas s'arrêter au HPI quand il y a des difficultés et consulter pour trouver leur origine qui ne peut pas être le HPI
La prochaine fois, invitez des gens compétents pour répondre à ces questions. Un psychothérapeute ou un psychiatre spécialisé dans ce domaine. Ca serait sympa. C'est dommage parce que le sujet est intéressant.
Je n'ai pas encore écouté, je suis simplement allée vérifier qui sont les intervenant.e.s et je me suis fait la même remarque : "pourquoi ne pas avoir invité de vrais spécialistes, thérapeutes et/ou chercheur.euse ?!" Je trouve la démarche curieuse et m'interroge sur la réelle envie de s'informer et d'informer réellement sur le sujet ou simplement de confirmer des biais cognitifs.
Il existe énormément d'émission sur le sujet que vous avez appeler de vos voeux. Ici, le sujet est : "Quelle politique pédagogique serait la plus pertinente face aux neurodiversités ? Faut il privilégié l'individu au détriment du commun ou trouver un équilibre ? Et si oui, comment? Les intervenants définissent correctement le Hpi, les troubles dys, le TDHA et entrent ensuite, avec des positions différentes (et parfois en accord), dans leur domaine d'expertise. Les psychologues et les psychiatres sont utiles pour définir et décrire; et traiter les troubles psychologiques parfois associés à ces singularités. Ensuite la société choisit comment traduire dans l'action ces singularités.
@@tangoguitz justement, malgré l'orientation "pédagogie" du sujet, avoir un.e professionnel.le ou chercheur.euse sur le sujet afin de s'assurer de la bonne définition me semble indispensable. Du dialogue et de la pluridisciplinarité pourront naître de vraies solutions !
On se croirait en 2002, le service public pourrait se mettre à la page et poser les bonnes questions. C'est franchement dommage vu les conflits que cela génère dans notre société
Il s'agit d'une analyse pédagogique autour des troubles dys, du hpi et du TDHA. Les définitions sont correctes et les intervenants les utilisent dans leur cadre d'expertise.
Je suis enseignant et je dois dire qu'à 17:18 la prise de position de Philippe Merieu est réconfortante. Il décrit précisément ce que nous ressentons. Il convient d'ailleurs d'insister sur la question de l'inclusion : non seulement personne ne s'oppose sur le principe, mais en plus nous souffrons de constater à quel point la réalité en est éloignée !
Incroyable... corrélation employé pour causalité par les deux intervenants!!!le terme le plus exact employé par les "Ramus Gauvrit,"serait HQI .ild n'ont pas eu le "potentiel" d'obtenir un score ils ont " obtenu un score (,qui est une moyenne de competences particulieres )
Toute une émission sans même évoquer la formation des enseignants afin de mieux repérer et aider ces élèves en difficulté ? Car pour mettre en place les « solutions » de ces deux intervenants, encore faudrait-il savoir repérer ces élèves (ce qui est loin d’être systématique)… Mais peut-être aurait-il fallu déjà que les intervenants soient à la pointe sur ces sujets. Pour eux, les Dys se résument à dyslexie (lecture) et dysorthographie ….. Quid de la dysphasie (langage oral), dyspraxie (motricité), dysgraphie (écriture), dyscalculie ? Le HP simplifié a sa plus simple expression « 130 de QI point barre » d’après la dame et puisque « l’énorme majorité réussit très bien, ça prouve bien que le QI n’est pas le problème ». Et puisqu’il y a la ritaline pour les TDAH, alors tout est le mieux dans le meilleur des mondes. Soyons fous pour la conclusion : « revenons au réel, travaillons avec nos mains » et « utilisons le savoir collectif pour tous profiter ensemble de cet apport ». C’est beau. Personne n’y avait pensé avant ! J’ai raconté et lu des histoires à mes enfants depuis le berceau et ça ne les a pas empêché d’être dys. Certes, une bonne éducation parentale est utile mais l’égalité des chances est un leurre. La scolarité a été une bataille car les enseignants sont démunis face à leur classe surchargée et le manque de formation et de moyens. Si un voyage scolaire annuel peut être organisé une fois par cycle, c’est déjà beau. Quant aux balades en forêt, les cours de cuisine etc, cela n’existe tout simplement pas (sauf en maternelle et encore). Quelle déception que cette émission, à côté de la plaque, à des années lumière du terrain. Ah oui, et puis sachez que de nos jours, on parle de « neuro-diversité ».
Je vous trouve bien sévère avec l'émission, qui ne prétendait pas répondre à tous vos questionnements, et avec les intervenants qui sont à la fois tributaire des questions qu'on leur pose et aussi d'une parole autour de leur domaine d'expertise. Je peux comprendre la frustration de ne pas pouvoir interagir. Les définitions, même si elles vous déplaisent et effectivement sont succintes, posent un cadre de départ pour évoquer ensuite l'analyse pédagogique qui est le coeur du sujet de cette émission. Les pistes pédagogiques évoquées par les invités ne remettent pas en cause les difficultés du quotidien des parents, des enfants et des enseignants. Ce sujet semble vous toucher de près mais je trouve toujours triste les personnes qui voient des ennemis partout.
@@tangoguitz je ne vois absolument pas des ennemis partout. Mais nous sommes sur France Culture, excusez moi d’avoir quelques attentes… le problème n’est pas que cette émission ne réponde pas à « toutes mes attentes », mais qu’elle ne réponde à aucune ! ni la définition du sujet, ni les détails et encore moins les pseudos solutions à 1000 lieues du terrain. Mais vous avez le droit d’être ravi… et moi le droit d’être déçue.
@@naialaclef critiquer vertement des invités dont le champ d'expertise est la pédagogie avec des positions divergentes et prétendre par la même connaître mieux ce domaine peut paraître à tout le moins présomptueux. Il faut parfois penser contre soi-même et aussi éviter les raccourcis et ainsi échouer à retranscrire correctement les dires des invités
@@tangoguitz Vos propos sont du bla-bla. Je ne veux pas entrer dans le champ rhétorique avec vous. J’écoute une émission de France Culture sur un sujet que je connais plutôt bien, étant concernée et mère d’enfants concernés (ayant donc dû acquérir des connaissances puis de l’expérience sur ces sujets) ; puis je donne mon avis dans l’espace « commentaires » prévu à cet effet. Je m’interroge plutôt sur votre acharnement à essayer de décrédibiliser mon avis... N’y a t’il que les soutiens de ces pédagogues qui sont autorisés à commenter cette vidéo ?
@@lmz-dev Tu généralises le cas spécifique des HPI propriétaires de SUV citoyens du monde atteints de colopathie fonctionnelle, qui eux souffrent vraiment
Effectivement, ce n'est pas un facteur de risque mais un facteur de chance. Ce n'est pas un trouble. Les enfants qui ont des troubles en ayant un haut QI n'ont pas à être réduits à leur QI pour justifier leurs difficultés alors qu'elles sont signes de vrais troubles.
Personnellement j'ai vu le comportement des enseignants pendant le COVID... lamentable...'d'abord la peur des élèves... ensuite la maltraitance des élèves avec comme support ; le masque... mettre en place la délation dans la classe... lamentable....je suis très très très déçu des enseignants.... leur seul revendications ; est des masques FFP2 ... lamentable..... .
C'est amusant, en france on essentialise les enfants en dys, ou hp. Aux usa, ils ont au moins l'honnêteté de parler de maladie ou handicap. Nous les dépassons en victimisation,m.
C'est bizarre depuis le début du génocide perpétré par le gouvernement israélien en Palestine je ne peux plus suivre l'émission animée par ce monsieur. Il avait montré tant de lâcheté et d'hypocrisie que je ne ressens plus aucun plaisir à suivre son émission. Alors que je la dévorais dans le passé. Avec tous mes respects aux invité.e.s.
Il manque des spécialistes ds ce pays. Il manque de tout. Le meilleur spécialiste c'est le concerné. Nous ne sommes pas écoutes tout simplement. Parlez nous si vous n'avez besoin de rien. TDAH TSA TAG TCA DYS TCC adulte, accrochez vous nous sommes nombreux. Cordialement. Le téléphone est nécessaire pour nous les dys. Votre debit vocal est juste trop lent pour nos cerveaux rapides. Point.
Ce ne sont pas des "termes", des "étiquettes", ce sont des troubles, des pathologies, des handicaps... Et les adultes sont aussi concernés, ils se sont juste (sur)adaptés, ou pas...Pour ceux qui peuvent...Ca se traduit aussi au travail : échecs, difficultés, burn-out, dépression etc... Et oui il y a des solutions pour mieux vivre avec ces Troubles.. J'ai écouté les premières minutes, insupportable...On en est toujours là...Sur le service public... Et le HPI n'est PAS un trouble, ça n'a rien à voir... Hélàs j'ai arrété la vidéo après 9 minutes...
Bien sûr que ce sont des étiquettes qui essaient de décrire un ensemble facteurs. Ce qui est insupportable, ce sont les gens comme vous qui n'arrivent pas à questionner l'épistémologie qui gouverne notre civilisation et qui fait autant de mal à nos enfants.
Le service public qui désinforme, encore une fois ! Les hpi, c'est juste les personnes qui réussissent le mieux une batterie de test d'une population donnée. Les 1,4% les plus intelligent. Ils n'ont pas plus de problèmes, pour ceux que ça intéresse, je vous conseille Franck Ramus
Vous n'avez pas écouté l'émission car c'est exactement ce qui est dit. Meirieux cite F Ramus. Ducos Philippi acquiesce en redonnant exactement les résultats des recherches de Gauvrit et Ramus Un peu d'honnêteté intellectuelle, s'il vous plait monsieur.
C,est tous sur le tdah les dys, les problèmes l'apprentissage a l'école,des comportements d'instituteurs et professeurs non formés. Les enfants dys tsa tdah dérange le système qui est déjà bien malade . Il faudrait aller voir ce que font certains pays comme la Finlande,le canada ect Il raconte n'importe quoi avec les dyslexique il connaît même pas les yeux saccades. Il faut laisser la place aux jeunes il ont les idées plus claires. Aucune étude ne prouve la corrélation avec les écrans et le tdah madame. Drôle d'émotions pas d'inviter dys tdah dommage.
Associer HPI et dys dans un grand tout indifférencié, ça n'aide pas parce que leurs difficultés ne sont pas DU TOUT les mêmes. D'autant qu'il y a plusieurs types de dys et que chaque trouble est différent : on ne gère pas un dyspraxique comme un dyslexique ou un dysphasique. Être mauvais en orthographe n'est pas forcément synonyme de dysorthographie : la dysorthographie, c'est d'abord un handicap qui empêche d'appliquer une règle d'orthographe ou de grammaire parce qu'elle ne peut pas être acquise, contrairement au mauvais en orthographe qui peut s'améliorer en travaillant autrement ou davantage. Pour faire court le vrai dysorthographique, on peut l'aider à faire autrement mais jamais à résoudre sa difficulté.
Le HPI est plus difficile à cerner : il n'a pas de difficultés scolaires mais sociales et avec un environnement adapté, il s'en sort très bien.
Pourtant mon frère et moi on est tdah, dys et HPI et la neuropsy a bien dit à ma mère qu'il y avait très souvent une corrélation. J'ai eu plusieurs neuropsy au cours de ma vie et tous ont ce discours. Après oui tu peux être HPI sans être tdah ni dys comme tu peux être tdah et dys sans être HPI.
@@LunaireLovegood ah mais je ne dis pas que les différents handicaps ne se cumulent pas, ce que je dis, c'est que les aides mises en place sont très différentes en fonction du trouble dys constaté et que les considérer comme un seul et même trouble n'aidera pas à mieux les appréhender ou les comprendre , de même que le HPI aura des difficultés spécifiques, même s'il n'a pas d'autres troubles associés. Mon fils est TDA sans H, multidys et autiste, autant de troubles qui nécessitent des aménagements spécifiques pour chacun. Pour la dyspraxie, pour la dyscalculie, pour la dyslexie, pour la dysorthographie, il faut à chaque fois une adaptation dédiée.
Le HPI n'a pas besoin d'être détecté s'il n'a pas de difficultés. Un HPI avec des difficultés est un enfant qui a des troubles qui n'ont rien à voir avec leur QI. Le QI permet juste de compenser les troubles.
@@elodiecari Et ? J'ai été détecté suite à une phobie scolaire dont on cherchait l'origine, je sais déjà ce que tu dis. Mais les personnes HPI cumulent souvent des troubles comme TDA/H et DYS. Mettre des mots sur sa différence est important, HPI ou pas parce que le système scolaire n'est pas adapté. Les HPI sans diag peuvent vite développer un mal être parce qu'ils se sentent différent des autres mais sont incapables de l'expliquer donc le diag a son importance. Tu n'es pas neuropsy jusqu'à preuve du contraire.
@@LunaireLovegood absolument, il ne faut pas s'arrêter au HPI quand il y a des difficultés et consulter pour trouver leur origine qui ne peut pas être le HPI
La prochaine fois, invitez des gens compétents pour répondre à ces questions. Un psychothérapeute ou un psychiatre spécialisé dans ce domaine. Ca serait sympa. C'est dommage parce que le sujet est intéressant.
Merci.
Merci, l'ignorance sur ce sujet est source de bien des violences.
Je n'ai pas encore écouté, je suis simplement allée vérifier qui sont les intervenant.e.s et je me suis fait la même remarque : "pourquoi ne pas avoir invité de vrais spécialistes, thérapeutes et/ou chercheur.euse ?!" Je trouve la démarche curieuse et m'interroge sur la réelle envie de s'informer et d'informer réellement sur le sujet ou simplement de confirmer des biais cognitifs.
Il existe énormément d'émission sur le sujet que vous avez appeler de vos voeux.
Ici, le sujet est : "Quelle politique pédagogique serait la plus pertinente face aux neurodiversités ? Faut il privilégié l'individu au détriment du commun ou trouver un équilibre ? Et si oui, comment?
Les intervenants définissent correctement le Hpi, les troubles dys, le TDHA et entrent ensuite, avec des positions différentes (et parfois en accord), dans leur domaine d'expertise.
Les psychologues et les psychiatres sont utiles pour définir et décrire; et traiter les troubles psychologiques parfois associés à ces singularités. Ensuite la société choisit comment traduire dans l'action ces singularités.
@@tangoguitz justement, malgré l'orientation "pédagogie" du sujet, avoir un.e professionnel.le ou chercheur.euse sur le sujet afin de s'assurer de la bonne définition me semble indispensable. Du dialogue et de la pluridisciplinarité pourront naître de vraies solutions !
On se croirait en 2002, le service public pourrait se mettre à la page et poser les bonnes questions. C'est franchement dommage vu les conflits que cela génère dans notre société
Il s'agit d'une analyse pédagogique autour des troubles dys, du hpi et du TDHA. Les définitions sont correctes et les intervenants les utilisent dans leur cadre d'expertise.
Je pense qu'il faudrait laisser les enfants ensemble sans les séparer, mais peut-être réduire les effectifs par classe.
Quel régal d’écouter Mr Meirieu. Merci !
Je suis enseignant et je dois dire qu'à 17:18 la prise de position de Philippe Merieu est réconfortante. Il décrit précisément ce que nous ressentons. Il convient d'ailleurs d'insister sur la question de l'inclusion : non seulement personne ne s'oppose sur le principe, mais en plus nous souffrons de constater à quel point la réalité en est éloignée !
Incroyable... corrélation employé pour causalité par les deux intervenants!!!le terme le plus exact employé par les "Ramus Gauvrit,"serait HQI .ild n'ont pas eu le "potentiel" d'obtenir un score ils ont " obtenu un score (,qui est une moyenne de competences particulieres )
S'il n'existe pas de corrélation, on ne recherche pas de causalité.
Mauvais en orthographe n'est pas dysorthographique.
Et dysorthographie s'atténue, s'améliore mais ne se soigne pas.
Toute une émission sans même évoquer la formation des enseignants afin de mieux repérer et aider ces élèves en difficulté ? Car pour mettre en place les « solutions » de ces deux intervenants, encore faudrait-il savoir repérer ces élèves (ce qui est loin d’être systématique)… Mais peut-être aurait-il fallu déjà que les intervenants soient à la pointe sur ces sujets. Pour eux, les Dys se résument à dyslexie (lecture) et dysorthographie …..
Quid de la dysphasie (langage oral), dyspraxie (motricité), dysgraphie (écriture), dyscalculie ?
Le HP simplifié a sa plus simple expression « 130 de QI point barre » d’après la dame et puisque « l’énorme majorité réussit très bien, ça prouve bien que le QI n’est pas le problème ». Et puisqu’il y a la ritaline pour les TDAH, alors tout est le mieux dans le meilleur des mondes. Soyons fous pour la conclusion : « revenons au réel, travaillons avec nos mains » et « utilisons le savoir collectif pour tous profiter ensemble de cet apport ». C’est beau. Personne n’y avait pensé avant !
J’ai raconté et lu des histoires à mes enfants depuis le berceau et ça ne les a pas empêché d’être dys. Certes, une bonne éducation parentale est utile mais l’égalité des chances est un leurre. La scolarité a été une bataille car les enseignants sont démunis face à leur classe surchargée et le manque de formation et de moyens. Si un voyage scolaire annuel peut être organisé une fois par cycle, c’est déjà beau. Quant aux balades en forêt, les cours de cuisine etc, cela n’existe tout simplement pas (sauf en maternelle et encore).
Quelle déception que cette émission, à côté de la plaque, à des années lumière du terrain.
Ah oui, et puis sachez que de nos jours, on parle de « neuro-diversité ».
Je vous trouve bien sévère avec l'émission, qui ne prétendait pas répondre à tous vos questionnements, et avec les intervenants qui sont à la fois tributaire des questions qu'on leur pose et aussi d'une parole autour de leur domaine d'expertise.
Je peux comprendre la frustration de ne pas pouvoir interagir.
Les définitions, même si elles vous déplaisent et effectivement sont succintes, posent un cadre de départ pour évoquer ensuite l'analyse pédagogique qui est le coeur du sujet de cette émission.
Les pistes pédagogiques évoquées par les invités ne remettent pas en cause les difficultés du quotidien des parents, des enfants et des enseignants. Ce sujet semble vous toucher de près mais je trouve toujours triste les personnes qui voient des ennemis partout.
@@tangoguitz je ne vois absolument pas des ennemis partout. Mais nous sommes sur France Culture, excusez moi d’avoir quelques attentes… le problème n’est pas que cette émission ne réponde pas à « toutes mes attentes », mais qu’elle ne réponde à aucune ! ni la définition du sujet, ni les détails et encore moins les pseudos solutions à 1000 lieues du terrain. Mais vous avez le droit d’être ravi… et moi le droit d’être déçue.
@@naialaclef critiquer vertement des invités dont le champ d'expertise est la pédagogie avec des positions divergentes et prétendre par la même connaître mieux ce domaine peut paraître à tout le moins présomptueux.
Il faut parfois penser contre soi-même et aussi éviter les raccourcis et ainsi échouer à retranscrire correctement les dires des invités
@@tangoguitz Vos propos sont du bla-bla. Je ne veux pas entrer dans le champ rhétorique avec vous.
J’écoute une émission de France Culture sur un sujet que je connais plutôt bien, étant concernée et mère d’enfants concernés (ayant donc dû acquérir des connaissances puis de l’expérience sur ces sujets) ; puis je donne mon avis dans l’espace « commentaires » prévu à cet effet.
Je m’interroge plutôt sur votre acharnement à essayer de décrédibiliser mon avis... N’y a t’il que les soutiens de ces pédagogues qui sont autorisés à commenter cette vidéo ?
@@naialaclef bien sûr que non.
Excusez moi du dérangement.
Bonne journée
HPI c'est sur toutes les langues mais pas dans les études scientifiques sérieuses. C'est bête ça !
En vrai, ceux qui souffrent ce sont les HPI transclasses.
@@lmz-dev Tu généralises le cas spécifique des HPI propriétaires de SUV citoyens du monde atteints de colopathie fonctionnelle, qui eux souffrent vraiment
@@truewords9089 Ha oui c'est vrai, c'est mon côté freudien.
Effectivement, ce n'est pas un facteur de risque mais un facteur de chance. Ce n'est pas un trouble. Les enfants qui ont des troubles en ayant un haut QI n'ont pas à être réduits à leur QI pour justifier leurs difficultés alors qu'elles sont signes de vrais troubles.
Personnellement j'ai vu le comportement des enseignants pendant le COVID... lamentable...'d'abord la peur des élèves... ensuite la maltraitance des élèves avec comme support ; le masque... mettre en place la délation dans la classe... lamentable....je suis très très très déçu des enseignants.... leur seul revendications ; est des masques FFP2 ... lamentable.....
.
C'est amusant, en france on essentialise les enfants en dys, ou hp. Aux usa, ils ont au moins l'honnêteté de parler de maladie ou handicap.
Nous les dépassons en victimisation,m.
HP n'est pas un trouble ou une maladie ou encore moins un handicap.
C'est bizarre depuis le début du génocide perpétré par le gouvernement israélien en Palestine je ne peux plus suivre l'émission animée par ce monsieur.
Il avait montré tant de lâcheté et d'hypocrisie que je ne ressens plus aucun plaisir à suivre son émission. Alors que je la dévorais dans le passé.
Avec tous mes respects aux invité.e.s.
Il manque des spécialistes ds ce pays.
Il manque de tout.
Le meilleur spécialiste c'est le concerné. Nous ne sommes pas écoutes tout simplement. Parlez nous si vous n'avez besoin de rien. TDAH TSA TAG TCA DYS TCC adulte, accrochez vous nous sommes nombreux. Cordialement.
Le téléphone est nécessaire pour nous les dys. Votre debit vocal est juste trop lent pour nos cerveaux rapides. Point.
Ce ne sont pas des "termes", des "étiquettes", ce sont des troubles, des pathologies, des handicaps...
Et les adultes sont aussi concernés, ils se sont juste (sur)adaptés, ou pas...Pour ceux qui peuvent...Ca se traduit aussi au travail : échecs, difficultés, burn-out, dépression etc... Et oui il y a des solutions pour mieux vivre avec ces Troubles..
J'ai écouté les premières minutes, insupportable...On en est toujours là...Sur le service public...
Et le HPI n'est PAS un trouble, ça n'a rien à voir...
Hélàs j'ai arrété la vidéo après 9 minutes...
Bien sûr que ce sont des étiquettes qui essaient de décrire un ensemble facteurs. Ce qui est insupportable, ce sont les gens comme vous qui n'arrivent pas à questionner l'épistémologie qui gouverne notre civilisation et qui fait autant de mal à nos enfants.
Le service public qui désinforme, encore une fois ! Les hpi, c'est juste les personnes qui réussissent le mieux une batterie de test d'une population donnée. Les 1,4% les plus intelligent. Ils n'ont pas plus de problèmes, pour ceux que ça intéresse, je vous conseille Franck Ramus
C'est ironique ou c'est un concours de désinformation ?
Vous n'avez pas écouté l'émission car c'est exactement ce qui est dit.
Meirieux cite F Ramus. Ducos Philippi acquiesce en redonnant exactement les résultats des recherches de Gauvrit et Ramus
Un peu d'honnêteté intellectuelle, s'il vous plait monsieur.
12:50 Les gens heureux n'ont pas d'histoire !
Nous vivons dans un pays rempli d'hpi depuis quelques mois!
Cest nul!
C,est tous sur le tdah les dys, les problèmes l'apprentissage a l'école,des comportements d'instituteurs et professeurs non formés.
Les enfants dys tsa tdah dérange le système qui est déjà bien malade .
Il faudrait aller voir ce que font certains pays comme la Finlande,le canada ect
Il raconte n'importe quoi avec les dyslexique il connaît même pas les yeux saccades.
Il faut laisser la place aux jeunes il ont les idées plus claires.
Aucune étude ne prouve la corrélation avec les écrans et le tdah madame.
Drôle d'émotions pas d'inviter dys tdah dommage.
La voix de M. Meirieu ferait un carton au cinéma, j'ai l'impression d'écouter une voix professionnelle de PUB ^^