Caro j’ai Besoin de te dire que ton évolution dans le militantisme me parle de plus en plus. Je pense que les discours comme les tiens sont plus que nécessaires et surtout ça fait du bien ! C’est facile de tomber dans certains travers surtout quand on a vécu moult traumatismes et qu’on essaye de décortiquer tout ça. Cette vidéo n’est pas trop longue du tout et le contenu et éclairant. Merci de nous fournir ce type de contenu c’est vraiment plus que nécessaire !! ❤
C’est typiquement le genre de livre que j’aimerai lire mais j’ai des difficultés avec la lecture. Mais tu es là pour synthétiser, vulgariser et rendre accessibles tous ces concepts et je t’en remercie.
hate d'écouter la suite. Effectivement, tous ces concept résonne beaucoup avec ma fréquentation des réseaux sociaux/des réseaux militants (ce que j'ai put voir ou faire). C'est bien que cette nouvelle perspective arrive (avec son lot de conflit bien sur)
Passionnant, en effet, plusieurs fois j’ai pu me sentir agressée dans des situations de conflit. Aussi, je pense avoir déjà vécu des agressions dans lesquelles je me demandais ce que j’avais fait qui méritait une telle violence. Les situations d’agression se résument aux moments où l’on s’est adressé à moi avec violences physiques et/ou verbales sans me laisser quelconque possibilité de communiquer. Par la suite, je me suis considérablement renfermée lors de situations de conflits par peur de la violence que ma réaction aurait pu engendrer chez l’autre. Même ayant conscience que la réaction de l’autre n’était pas de ma responsabilité je me demande toujours en cas de réponse violente ce qui chez moi a engendré ça… Les gens fuyants les conflits refusent aussi parfois de communiquer de ces choses pour lesquelles nous sommes en désaccord. Je me rends compte que la violence ressenti lors d’agression et lors de simple refus de communiquer est tout à fait similaire dans les conséquences ressentis. C’est à dire il y’a un sentiment de vide considérable et de non reconnaissance d’un parti par rapport à l’autre. Même ayant déjà été dans les 2 cas, je pense avoir déjà été agressive moi aussi et avoir refusé de continuer à communiquer. Parfois après avoir essayé tout de même de comprendre et de me faire comprendre sans succès et d’autres des l’instant où je me sentais agressée. J’ai beaucoup de mal à distinguer ma responsabilité dans une situation d’agression bien plus que dans une situation de conflit ou j’arrive bien plus facilement à prendre du recul… Tout ça est très intéressant et à la fois inconfortable à questionner. Hâte à la prochaine vidéo ✨
Salut Caro, un grand grand merci pour ton travail qui est d’une très grande qualité. Pour ma part tu me permet d’accéder a de nouvelles idées et de nouveaux angles de vue sur pleins de thèmes différents et c’est super enrichissant. Un énorme merci pour ça, je te suis reconnaissante.
Non mais vraiment, hésite pas à faire des vidéos de 3h au contraire 😅 c'est vraiment prenant, et tu le racontes de façon clair et précise, le temps passe super vite quand on t'écoute donc t'inquiète pas si ça dure longtemps 😁💕💕
La connection, j'ai entendu parlé de ce livre y'a 3 jours et je m'etais dit qu'il fallait que je le lise. Et HOP! Revue lecture par toi, incroyable, merci de débroussailler ma future lecture ❤
Alors moi j’adore tes longues vidéos!!!!!❤❤❤ ça passe tout seul, c’est fluide, clair, compréhensible, bref c’est super!!!! Tu peux continuer à faire plein de revue de livres comme ça ( pour la socio aussi 😊❤) merciiiiiiiiiiii❤
Franchement le livre semble hyper interessant et potentiellement productif, mais pour le moment j'ai de la peine à raisonner avec malgré le faite que j'adorais. Enfaite c'est parce que j'ai un soucis qu'on appelle "l'alexithimie". En gros dans mon cas ça veut dire que bien souvent je ressens des emotions mais que je n'ai aucune idee de ce qu'elles sont ou meme d'ou elles viennent. Pour moi cest un sorte de delais mentale qui fait qu'il me faut de longue reflexion pour comprendre ce qui se passe pour moi. Donc dans le cas où l'autrice dit "pour savoir si cest une aggression, il faut savoir si on a peur de quelque chose de precis", c'est un tres bon conceil en general mais un que personellement je peux difficilement appliquer. Il m'est deja arriver de me rendre compte d'un danger beaucoup trop tard. Parce que pour moi il faut deja que je me rende compte si je ressens une emotion, puis est ce une emotion negative ou positive, puis quelle emotion exacte est elle, puis est elle intense, puis d'ou vient elle. Ça ne me vient pas du tout naturellement, je dois faire tout ça tres machinalement. Donc dans mon cas, si jai un doute sur une situation, c'est pas vraiment possible de l'appliquer dans des situations de doutes. Il faudrait que je trouve d'autre moyen de me faire se genre de questionnement.
Waouh merci beaucoup Carolina !! 👏J'ai acheté Le conflit n'est pas une agression il y a plusieurs années suite à une situation de médiation complètement foirée dans un groupe militant féministe, en me demandant si on n'avait pas collectivement fait une connerie en excluant une personne (rétrospectivement je crois bien que c'était le cas). Je me suis dit qu'il fallait que je me penche sur ce raisonnement pour éviter de reproduire les mêmes erreurs. Malgré cette bonne volonté et plusieurs tentatives, j'ai trouvé la lecture très difficile … et j'ai jamais réussi à finir. C'est beaucoup plus simple pour moi de me concentrer avec de l'audio, et ta manière de résumer / expliquer le propos des chapitres est très utile donc vraiment merci de me permettre de continuer la réflexion !
Salut, la communication est vraiment un domaine qui m'intéresse, donc forcément les conflits et les agressions que l'on retrouve dans la communication. J'ai eu de très très graves problèmes de communication, avec les autres et forcément avec ma copine avec qui j'ai pu prendre beaucouuuuuuup de temps pour en discuter, ce qui m'a permis de comprendre plein de mécanismes et surtout de m'améliorer. Alors, j'ai souffert de beaucouuuuuup de traumatismes, harcèlements, humiliations etc., etc., ce qui m'a donné une vision particulière du monde. Je ne vais pas tout détailler ce que j'aurais à en dire, car ce serait méga long, mais l'impuissance est un des aspects qui est souvent revenu, quand j'ai commencé à exprimer avec des mots ce que je ressentais - ce qui n'était pas une mince affaire de là d'où je partais. Je me retrouvais souvent dans la situation où je ne savais pas quoi faire et souvent ce "je ne sais pas quoi faire" engendrait une forme de violence, c'est-à-dire de la colère. Alors bien sûr, en général, cette forme d'impuissance peut engendrer une agression car on va réparer une impuissance vécue à un moment donné de notre vie, comme quand je voyais une personne en commentaire agresser une autre personne, je tombais sur l'agresseur, comme j'aurais voulu tomber sur l'agresseur quand j'étais harcelé à l'école (mon agresseur du coup). Donc cette répétition impuissance -> agression revient souvent. Et moi qui aime lire Alice Miller, elle explique bien ces mécanismes. Si un enfant a été nié dans ses besoins, il aura senti de l'impuissance, une colère qui n'a pu être exprimée et cette énergie-là, il faudra bien qu'elle s'exprime un jour, soit en somatisant ou/et soit en agression envers les autres, ou ses propres enfants. Il y aura forcément une agressivité au bout du compte. Alors bien sûr, dans l'absolu ce qui fonctionne bien c'est de laisser la personne parler, mais encore faut-il que ça ne nous déclenche pas nous aussi et généralement on retrouve un schéma type ou deux personnes vont entrer en conflit car elles vont chacune revivre un évènement spécifique de leur enfance : une personne va le revivre en tant que victime, une autre va le revivre en tant que victime qui exprime enfin sa colère, donc devient bourreau, récupère la puissance perdue en quelque sorte. Le problème qu'il y a en général, au niveau de la société, c'est la place que l'on accorde aux traumatismes et leur prise en charge, car pour moi, la plus grande partie du problème est traumatique. Aussi, l'autre souci majeur c'est la place que l'on donne à l'agressivité, la colère, dans notre société et notamment la prise en charge de cette émotion, de ce comportement, dans les cabinets psy. On pourrait se dire que l'agressivité a sa place chez un psy, sinon où elle pourrait avoir sa place ? Eh bien détrompez-vous, beaucoup de psys la refusent parce qu'ils ne savent pas quoi en faire, soit ils la refusent explicitement ou sinon ne vont pas - consciemment ou non - emmener le patient vers cette émotion car ils la redoute. Personnellement, j'ai été des années à ne pas exprimer ma colère chez un psy - d'une façon ou d'une autre - parce que je n'avais pas le droit de le faire dans mon enfance sinon j'aurais perdu mes parents (dans mes peurs, donc peur du rejet). Mais j'ai fini par me dire que c'était des peurs, pas justifiées, que le psy n'allait pas me rejeter, car il était là pour ça. J'ai exprimé ma colère (plutôt contenue en plus) chez 3 psys et 2 m'ont rejeté... Donc pas surprenant que l'on retrouve des gens agressifs en pleine nature. Ca aussi c'est à prendre en compte. Quand on dit que la colère c'est "négatif", pas surprenant qu'on engendre du refoulement, donc plus d'agressivité encore. Par rapport à ce que tu dis vers 21:35. Si les gens préfèrent se sentir persécuté, je pense que c'est parce qu'ils ont un problème avec l'intime. En fait, moi qui suis en train d'essayer de créer des rapports plus intimes avec les autres - je suis autiste, donc quand je parle de "rapports intimes" c'est juste dire "Comment ça va ?" à quelqu'un et le demander sincèrement, en l'écoutant etc., eh bien, je me rends compte que ce n'est pas que ma famille qui a un problème avec l'intime, mais la société en général. Ce qui fait que je ne suis pas le seul qui trouve ça humiliant de parler de soi, de ses besoins... ce qui est grave j'en conviens. Donc les gens vont plus aller vers le conflit, parce que si je commence à entrer dans un rapport "intime" avec une autre personne, en gros de lui demander si je l'ai blessé ou pas, elle va être mal à l'aise je pense et avoir honte (humiliation avec ses besoins/l'intime dans l'enfance comme beaucoup de monde) et si je lui dis que j'ai été blessé, c'est quasi sûr que tu vas avoir quelqu'un qui va répondre par le mépris (un lecteur par exemple) en traitant de fragile ou que sais-je. Ce qui ajoute de l'humiliation à l'humiliation déjà ressenti. Si on prend la CNV, peu de gens l'utilisent (pour pas mal de raisons) parce que c'est humiliant d'afficher ouvertement ses besoins comme ça. Dans notre société ça ne se fait pas, c'est même plutôt tabou en fait.
Oh le truc sur la colère et les psys est tellement réel. De ma petite expérience, c'est pas bien vu et un psy peu porté à essayer d'en comprendre les raisons va juste vous dégager ou ghoster et c'est tout comme. Perso j'y ai presque vu la reproduction d'un rapport de domination, les psys font généralement partie de la bourgeoise libérale et cette injonction à se contenir est vraiment pas réaliste en plus d'être classiste et sexiste. Perso ça me dérange pas de voir un psy exprimer une émotion même de l'agacement et tenter d'aller au-delà de la friction mais la plupart des personnes ne vont pas s'embêter et vont juste se débarrasser du client qui les a un peu incommodé.
Le début de vidéo est intéressant ça renvoit à ce qui se passe en France avec la criminalisation d'un mouvement de militants ecolos qui résistent face a la répression et qui ensuite sont qualifié de violents. Vidéos très intéressante, merci :)
Merci! Tu viens de me donner une belle lecture pour m aider à sourcer ma VAE d assistante sociale sur la gestion du conflit en structure d hébergement collective! ❤
Merci pour cette analyse❤ Elle fait écho à ce ressenti qu'il y a aujourd'hui une vraie crispation des débats autour des violences systémiques. C'est un plaisir de te revoir sur UA-cam😘. Ton décor est trop beau😍
Le ressenti..... Descartes montrait la faiblesse du ressenti que seule la rationalité peut éclairer. Le peuple des Lumières n'a plus les lumières à tout les étages.
merci pour le partage de ce livre, il fait largement écho au traitement que subissent certains députés nupes aujourd'hui, dans la mesure où le débat n'est pas possible, la contradiction non plus étant donné que chaque critique est aussitôt discréditée par une alliance avec un clan terroriste. je parle évidemment du conflit israelo-palestinien.
Concernant le point dont tu parles vers 30:00, je ne suis pas d'accord. Je vais prendre un exemple qui est arrivé plein de fois avec une copine que j'avais. Je rappelle qu'ici tu fais la différence entre un conflit et une agression d'une façon très intéressante, mais qu'à ce moment précis, tu précises que c'est un conflit quand on se sent agressé(e) parce qu'on a été traumatisé(e), mais qu'on ne l'est pas du coup, parce que c'est "fantasmé". Ma copine de l'époque donc a vécu des choses traumatisantes ce qui fait qu'elle se mettait en protection dès que j'étais tendu dans la conversation ou en colère - vu que j'ai été bien traumatisé aussi, ça arrivait souvent... Alors il y avait bien un rapport de domination, donc d'agression selon les critères dont tu as parlé juste avant. Plus tard, quand on a appris à mieux communiquer et que je lui ai montrée qu'elle n'était pas en danger de se défendre, qu'elle a pu en faire l'expérience - c'est un travail délicat qui demande beaucoup de temps - on a pu entrer en conflit sans agression, car elle a pu prendre un pouvoir qu'on lui avait retiré dans l'enfance. Alors je ne me base pas que sur le fait qu'elle n'était pas en danger réellement ou pas pour dire qu'il y avait une agression, car dans son traumatisme, la situation était comme réelle et puis elle était agressée de nouveau dans son "imaginaire traumatique". Le cerveau à ce moment-là est dans le passé, le corps aussi, donc ce n'est pas que fantasmé, c'est vécu vraiment comme le passé. Je suis donc à ce moment-là son agresseur, même si ça peut être désagréable à porter. Je sais que personnellement cette position d'agresseur - qui ici était justifiée pour le coup - a été difficile à porter d'autres fois, quand ça n'était pas justifié comme ça, parce que ça me renvoyait moi à mes traumatismes où j'ai subi des injustices dingues. Alors bien sûr, tout est une question de communication ici, c'est-à-dire accepter au maximum de nos possibilités la réalité de chacun. Mais ce n'est pas toujours possible, car cette acceptation c'est généralement une étape très avancée de ce processus de gestion de conflits entre deux personnes ou de conflits plus large. Avant cela, le premier pas était de dire "je n'y arrive pas". Quand on est deux personnes traumatisé(e)s qui vivent ensemble - ce qui est très fréquent - la gestion de conflit est difficile car ces situations font clignoter les deux personnes comme un sapin de Noël, tellement les déclencheurs peuvent s'affoler, et cette réciprocité on n'en parle assez peu souvent, qu'il peut y avoir un déclencheur qui active chez l'autre un déclencheur, qui va engendrer une réaction, qui va déclencheur l'autre, qui va engendrer une autre réaction qui va déclencher l'autre etc. Les premiers pas sont souvent très compliqués, mais déjà accepter qu'il y a traumatismes et essayer d'expliquer quand on se sent mal etc., c'est déjà un gros exercices. Perso ça me déclenchait de devoir simplement dire "Je vais mal", je paniquais rien qu'à l'idée donc... mais à force d'écoute et d'entraide - car on peut s'entraider dans le conflit - on finit par y arriver, même si ça prend beaucoup de temps. Un cas précis où la confrontation aurait été préjudiciable pour cette copine, ce dont tu parles vers 36:00. Dans le discours il semblait que j'avais raison, factuellement je disais vrai, ma plainte était justifiée, ma copine semblait vraiment de mauvaise foi car quand je voulais l'emmener dans une direction dans mon discours, elle fuyait et même disait que non, ce qui moi me déclenchait, car ma mère faisait ça et quand j'avais peur au lieu de me rassurer, elle entretenait un flou qui me faisait paniquer intérieurement... Donc la situation empirait évidemment. Seulement, ma copine revivait un trauma d'enfance où elle avait été piégé(e)... sans pouvoir s'exprimer, donc dès qu'elle se sentait piégée, car dans mon intention je la menais vers une sorte de piège rhétorique, elle essayait de s'échapper, donc en ne me répondant pas, en mentant ou en étant "de mauvaise foi". Alors dans une confrontation, elle aurait pu être démentie et moi je pensais qu'elle me manipulait alors que non, elle revivait un trauma dans lequel elle était la personne que l'on ne croyait pas, que l'on piégeait et qui devait se nier alors qu'au fond elle savait qu'elle avait raison, mais ne pouvait pas l'exprimer, car le trauma engendre ce genre de mécanismes qui font qu'on perd nos moyens. Là encore il a fallu beaucoup de temps, de discussions pour en sortir. Mais je dois dire que c'est la compréhension des traumas et de leurs mécanismes qui a vraiment aidé. Dès qu'on a su que c'était les traumas on a essayé de chercher dans le passé à quoi ça nous renvoyait... Ca n'a pas été long à trouver... partant de là, on pouvait voir ce qui se passait, comme si nous avions une deuxième lecture de l'évènement qui avait lieu en court. Ca ne le rendait pas plus facile au début, mais au moins on pouvait commencer par exprimer des choses, dire après coup au début "tiens, j'ai encore réagi comme avec ma mère" et la fois d'après on arrive à le voir plus tôt, puis encore plus tôt etc., jusqu'à temps qu'on puisse le déceler systématiquement et même arriver à stopper la discussion pour se reconnecter à son trauma d'origine, le pleurer pour enfin trouver l'apaisement dont on avait tant besoin.
Merci pour ton travail et ta patience ! :) Je sais plus du tout depuis combien de temps je te suis exactement (mais ça fait vraiment un bail) et je trouve que ça fait un peu écho a tes premières vidéos qui tournaient beaucoup autour de l'analyse de soi et des relations humaines.
J'ai hâte aussi de voir la suite. Merci pour ton travail qui m'a fait réaliser que j'ai souvent été dans ce genre de situation parce que j'aime revenir avec mes proches sur certaines choses et j'ai toujours eu du mal à comprendre pourquoi parfois certaines personnes se sentent agressées alors que je veux juste parler d'une situation qui a été désagréable pour moi. Et , moi qui me remets toujours en question, je me dis que parfois j'ai certainement dû me sentir agressée à tord. Très intéressant ❤
Coucou Caro ! Rien à voir avec la vidéo dont je n'ai rien à dire (top comme d'habitude) Petit commentaire simplement pour te demander plus de vidéos lifestyle (si ça t'intéresse) ! Mon intérêt pour toi s'étend à une curiosité pour tes goûts musicaux, tes routines et habitudes de vie, la façon dont tu gères ton métier de youtubeuse etc Je ne sais pas si ça intéresse d'autres personnes que moi, mais en tout cas, je ressens que des sujets plus légers sont parfois agréables à explorer aussi :) Voilà, j'espère que tu vas bien et merci encore pour la qualité de tes vidéos qui ajoute tellement de belles choses à la toile de UA-cam :)
RÉSUMÉ : Dans "Le conflit n'est pas une agression", la créatrice décompose les thèmes du livre éponyme, soulignant la confusion courante entre conflit et agression dans les interactions sociales et institutionnelles. Elle examine comment la surestimation du préjudice mène souvent à une réaction excessive et comment la peur de l'altérité exacerbe les conflits, transformant des désaccords mineurs en accusations graves. La vidéo explore le rôle des médias sociaux et de la communication dans l'escalade ou la résolution de ces conflits, critiquant la tendance à éviter le dialogue constructif. En abordant des cas comme l'islamophobie ou les malentendus dans les relations interpersonnelles, elle appelle à une meilleure compréhension et à une communication plus ouverte pour désamorcer les tensions et promouvoir une coexistence plus harmonieuse.
Ce livre a l’air très intéressant, dans la pensée globale. Cependant je me permets juste de faire quelques remarques, car certains éléments mal compris pourraient être dangereux je pense pour les victimes de violences intrafamiliales et conjugales: Être capable d’identifier ce type de violences prend des années et des années tellement elles sont ancrés dans notre culture. Donc si une femme ou une fille a peur dans une relation de couple ou familial même sans être capable d’identifier des violences ou une véritable violence, même en étant persuadé que X personne ne sera jamais vraiment violente avec elle . Cela ne signifie pas que elle n’est pas victime de ( graves ) violences). De plus être confus juste avoir peur mais on ne sait pas de quoi , est un signe d’être victime de violences. Dans l’état actuelle des choses, la société et la culture reste trop mysogine pour que l’identification des femmes en situation de violences se fassent à partir de faits, mais elle est faite à partir des sentiments que vit la personne en question par les travailleurs sociaux. La plupart des personnes traumatisées n’identifient pas à tort des violences au contraire. Par contre elles peuvent effectivement être contrôlés par une personne violente par juste des signes de cette violence, des menaces diffuses sans que jamais cette personne ait besoin de commettre des violences ( mais son but restent de contrôler la victime). Les cas cités ou des personnes traumatisées se sentent ´à tort ´ agressées sont des cas précis en dehors de la famille et du couple, car même les personnes sont traumatisées sont socialisées à voir ces espaces comme des espaces de sécurité. Les accusations à tort citées sont des cas précis qui se passent en dehors du cadre familial et du couple, car effectivement les étrangers + beaucoup de personnes racisées ou pauvre , ou non hétérosexuelles sont présentées comme dangereuses pour les femmes surtout les femmes blanches. C’est dans ce cadre donc que les questions de l’autrice je pense sont pertinentes. Si une femme ou fille a peur dans un contexte familial ou de couple, ces questions sont je pense dangereuse car la majorité des victimes de violences vont répondre non et donc penser qu’il s’agit de simples conflits, faire intervenir une personne extérieure risque d’aggraver la situation si cette personne ( comme 95% des gens) n’est pas capable d’identifier des situations de violences familiales et de couples et donc à 90% de prendre le parti de l’agresseur.
Je trouve que ce thème résonne beaucoup avec le film Je verrai toujours vos visages sur la justice restaurative, que je conseille à toustes si vous ne l'avez pas encore vu, il est vraiment vraiment intéressant et touchant. Si vous ne devez voir qu'un film dans l'année c'est celui-là.
Salut Caro ! Tu parles dans ta vidéo de ressources sur le concept d'altérité d'un point de vue sociologique, et ça m'intéresse beaucoup ! Je crois pas les retrouver dans la description... En tout cas merci pour cette revue, j'adore le format :)
merci de me remettre dans le livre 3 ans apres sa lecture; jusqu'à la demi heure j'arrivais à técouter sans soucis seulement je vais juste te signaler un truc qui est valable pour beaucoup de monde de nos jours et ça m'a fait perdre le fil; plus possible de técouter; enfin j'ai perdu le fil... tu enchaines les "en fait" & là ouais j'arrive plus à écouter. gros travail sinon bravo à toi
Petite question, plutôt dans la forme que le fond, est-ce que c'est compliqué youtube de faire du chapitrage ? Parce que je trouve que tes présentations de livres sont réellement organisées de façon très logique et pour retrouver des détails après coup pour en parler un chapitrage serait pratique
Coucou !! C'est hyper intéressant ce contenue (et ta vidéo au passage..).. J'ai juste une question : lorsqu'une personne qui a subit une agression physique se venge en infligeant les même dégats physiques à son agresseur, c'est une autre agression qui a comme explication un traumatisme, mais pas comme une agression réciproque ? (Vrai question)
Peut on alors envisager un instant qu'aujourdhui, certaines femmes s'attaquent à des hommes un peu trop naifs et gentils pour appliquer une domination et exercer une certaine forme de vengeance sur leur haine des hommes en général ? Parler de sexisme car on a pas eu une augmentation ou un poste, accuser quelqu'un de pervers narcissique car il a osé lui dire non ?
Magnifique! ça me donne envie de le lire. Ca me fait penser au "Discours de la servitude volontaire" de La Boétie qui analyse les souffrances des "victimes" de la monarchie à l'époque, du point de vue de la responsabilité des victimes. Cela me fait aussi penser à une fable que j'avais écrite sur la relativité du "Bien" et du "Mal" et donc de l'altérité. Je te la partage ici : ua-cam.com/video/dlvAwzU1yaU/v-deo.html
Coucou :) je sais que je l'ai déjà recommandé mais ce dont tu parles me fait tellement penser à la CNV que je me sens obligé d'en reparler. J'aimerais tellement avoir ton avis là-dessus. La vidéo qui m'a scotché est celle-là : ua-cam.com/video/l7TONauJGfc/v-deo.html
Wow, c'est vraiment une légitimation des agressions .Prcq cette réthroqiue de Sarah Schulman chie vraiment sur l'histoire des luttes féministes et queer. C'est vraiment un livre qui justifie les abus avec un éthos de gauchiste mais rien de plus. D'ailleurs Schulman dans un autre livre explique que la pédocriminalité c pas si grave, et que c'est du "sexe intergénérationnel". Et puis, stop comparer des victimes qui font des call-out sur internet a des flics
Pas d'hommes transidentifiés dans les toilettes des femmes ou dans quelconque espace dédié aux femmes. Rien avoir avec le fait d'avoir peur d'être agressée, quoi que, même si certaines ont peur, non pas parce qu'elles ont en face un trans, mais parce qu'elles ont en face un homme, celà doit être respecté. Ne pas se rendre compte que les femmes ont lutté pour acquérir leurs propres espaces et qu'à peine les ont-elles eus, il faudrait laisser des hommes les coloniser, c'est irrespectueux pour les femmes et les féministes qui se sont battues pour ces espaces. Du reste, ce livre a l'air intéressant.
@@lacarologie toi aussi, un pseudo complètement autocentré vraiment typique du monde libéral et de l'idéologie trans que tu défends. Mais celà m'embête de devoir répondre à de l'ad hominem par de l'ad hominem...
@@lacarologie En réalité, on propose quoi aux femmes battues qui n'ont pas envie de voir des hommes dans leurs refuges ? on propose quoi aux femmes vi*lées ou agressées qui n'ont pas envie de voir des hommes dans leurs vestiaires ? Nan parce que bon, je me questionne... Que propose-t-on pour les jeunes filles qui vont aux toilettes et devraient se retrouver avec des mecs d'1m90 avec une musculature et une ossature d'hommes ? Aux femmes en prison ? Aux estétitiennes ? Aux sportives ? Pourquoi il serait du role du féminisme, qui s'est déjà battu pour les femmes, de le faire maintenant pour des hommes ? J'en ai connu des hommes transidentifiés, jamais qui demandaient ces nouvelles choses tout droit venues des pays anglosaxons. Le féminisme mainstreem est à mille lieues de la réalité commune aujourd'hui. Le voile, la prostitution, et les trans maintenant.
J’aimais bien tes vidéos …jusqu’à ce que tu cites Israël/Palestine …surestimation du préjudice? Les israéliens surestimeraient ils le risque que représente le Hamas et le Jigad??? La peur de la différence? Sais tu qu’il y a des arabes et des juifs qui vivent en bonne intelligence? Parle pas de ce que tu connais pas . Je t’efface de mes abonnements .je déteste la démagogie dans laquelle tu t’orientes …
@@CyrilChevrotbah non pourquoi ? Tu peux être belge, suisse, candienne, luxembourgeoise, camerounaise, Comorienne, haïtienne, Nigériane … et parler français car en faite c’est une des langues officielles de ces pays . Tout ne tourne pas autour de la France d’ailleurs dans quelques années ce sera en Afrique qu’il y aura le plus de locuteurs français. Donc bon je vois pas pourquoi on devrait partir du principe qu’elle s’adresse aux français. C’est comme quand tu parles en anglais tu t’adresses à tout ceux qui parle anglais et pas seulement aux anglais.
Caro j’ai Besoin de te dire que ton évolution dans le militantisme me parle de plus en plus. Je pense que les discours comme les tiens sont plus que nécessaires et surtout ça fait du bien ! C’est facile de tomber dans certains travers surtout quand on a vécu moult traumatismes et qu’on essaye de décortiquer tout ça. Cette vidéo n’est pas trop longue du tout et le contenu et éclairant.
Merci de nous fournir ce type de contenu c’est vraiment plus que nécessaire !! ❤
C’est typiquement le genre de livre que j’aimerai lire mais j’ai des difficultés avec la lecture. Mais tu es là pour synthétiser, vulgariser et rendre accessibles tous ces concepts et je t’en remercie.
hate d'écouter la suite. Effectivement, tous ces concept résonne beaucoup avec ma fréquentation des réseaux sociaux/des réseaux militants (ce que j'ai put voir ou faire). C'est bien que cette nouvelle perspective arrive (avec son lot de conflit bien sur)
J'en suis qu'au début mais c'est déjà passionnant, un immense merci pour ce travail de vulgarisation
Passionnant, en effet, plusieurs fois j’ai pu me sentir agressée dans des situations de conflit. Aussi, je pense avoir déjà vécu des agressions dans lesquelles je me demandais ce que j’avais fait qui méritait une telle violence. Les situations d’agression se résument aux moments où l’on s’est adressé à moi avec violences physiques et/ou verbales sans me laisser quelconque possibilité de communiquer. Par la suite, je me suis considérablement renfermée lors de situations de conflits par peur de la violence que ma réaction aurait pu engendrer chez l’autre. Même ayant conscience que la réaction de l’autre n’était pas de ma responsabilité je me demande toujours en cas de réponse violente ce qui chez moi a engendré ça… Les gens fuyants les conflits refusent aussi parfois de communiquer de ces choses pour lesquelles nous sommes en désaccord. Je me rends compte que la violence ressenti lors d’agression et lors de simple refus de communiquer est tout à fait similaire dans les conséquences ressentis. C’est à dire il y’a un sentiment de vide considérable et de non reconnaissance d’un parti par rapport à l’autre. Même ayant déjà été dans les 2 cas, je pense avoir déjà été agressive moi aussi et avoir refusé de continuer à communiquer. Parfois après avoir essayé tout de même de comprendre et de me faire comprendre sans succès et d’autres des l’instant où je me sentais agressée. J’ai beaucoup de mal à distinguer ma responsabilité dans une situation d’agression bien plus que dans une situation de conflit ou j’arrive bien plus facilement à prendre du recul… Tout ça est très intéressant et à la fois inconfortable à questionner. Hâte à la prochaine vidéo ✨
Salut Caro, un grand grand merci pour ton travail qui est d’une très grande qualité. Pour ma part tu me permet d’accéder a de nouvelles idées et de nouveaux angles de vue sur pleins de thèmes différents et c’est super enrichissant. Un énorme merci pour ça, je te suis reconnaissante.
Non mais vraiment, hésite pas à faire des vidéos de 3h au contraire 😅 c'est vraiment prenant, et tu le racontes de façon clair et précise, le temps passe super vite quand on t'écoute donc t'inquiète pas si ça dure longtemps 😁💕💕
La connection, j'ai entendu parlé de ce livre y'a 3 jours et je m'etais dit qu'il fallait que je le lise. Et HOP! Revue lecture par toi, incroyable, merci de débroussailler ma future lecture ❤
Alors moi j’adore tes longues vidéos!!!!!❤❤❤ ça passe tout seul, c’est fluide, clair, compréhensible, bref c’est super!!!! Tu peux continuer à faire plein de revue de livres comme ça ( pour la socio aussi 😊❤) merciiiiiiiiiiii❤
Vraiment top ! Merci de nous résumer aussi bien des pensées complexes
Franchement le livre semble hyper interessant et potentiellement productif, mais pour le moment j'ai de la peine à raisonner avec malgré le faite que j'adorais.
Enfaite c'est parce que j'ai un soucis qu'on appelle "l'alexithimie". En gros dans mon cas ça veut dire que bien souvent je ressens des emotions mais que je n'ai aucune idee de ce qu'elles sont ou meme d'ou elles viennent. Pour moi cest un sorte de delais mentale qui fait qu'il me faut de longue reflexion pour comprendre ce qui se passe pour moi.
Donc dans le cas où l'autrice dit "pour savoir si cest une aggression, il faut savoir si on a peur de quelque chose de precis", c'est un tres bon conceil en general mais un que personellement je peux difficilement appliquer. Il m'est deja arriver de me rendre compte d'un danger beaucoup trop tard.
Parce que pour moi il faut deja que je me rende compte si je ressens une emotion, puis est ce une emotion negative ou positive, puis quelle emotion exacte est elle, puis est elle intense, puis d'ou vient elle. Ça ne me vient pas du tout naturellement, je dois faire tout ça tres machinalement. Donc dans mon cas, si jai un doute sur une situation, c'est pas vraiment possible de l'appliquer dans des situations de doutes.
Il faudrait que je trouve d'autre moyen de me faire se genre de questionnement.
Waouh merci beaucoup Carolina !! 👏J'ai acheté Le conflit n'est pas une agression il y a plusieurs années suite à une situation de médiation complètement foirée dans un groupe militant féministe, en me demandant si on n'avait pas collectivement fait une connerie en excluant une personne (rétrospectivement je crois bien que c'était le cas). Je me suis dit qu'il fallait que je me penche sur ce raisonnement pour éviter de reproduire les mêmes erreurs. Malgré cette bonne volonté et plusieurs tentatives, j'ai trouvé la lecture très difficile … et j'ai jamais réussi à finir. C'est beaucoup plus simple pour moi de me concentrer avec de l'audio, et ta manière de résumer / expliquer le propos des chapitres est très utile donc vraiment merci de me permettre de continuer la réflexion !
Salut, la communication est vraiment un domaine qui m'intéresse, donc forcément les conflits et les agressions que l'on retrouve dans la communication. J'ai eu de très très graves problèmes de communication, avec les autres et forcément avec ma copine avec qui j'ai pu prendre beaucouuuuuuup de temps pour en discuter, ce qui m'a permis de comprendre plein de mécanismes et surtout de m'améliorer.
Alors, j'ai souffert de beaucouuuuuup de traumatismes, harcèlements, humiliations etc., etc., ce qui m'a donné une vision particulière du monde. Je ne vais pas tout détailler ce que j'aurais à en dire, car ce serait méga long, mais l'impuissance est un des aspects qui est souvent revenu, quand j'ai commencé à exprimer avec des mots ce que je ressentais - ce qui n'était pas une mince affaire de là d'où je partais.
Je me retrouvais souvent dans la situation où je ne savais pas quoi faire et souvent ce "je ne sais pas quoi faire" engendrait une forme de violence, c'est-à-dire de la colère. Alors bien sûr, en général, cette forme d'impuissance peut engendrer une agression car on va réparer une impuissance vécue à un moment donné de notre vie, comme quand je voyais une personne en commentaire agresser une autre personne, je tombais sur l'agresseur, comme j'aurais voulu tomber sur l'agresseur quand j'étais harcelé à l'école (mon agresseur du coup).
Donc cette répétition impuissance -> agression revient souvent. Et moi qui aime lire Alice Miller, elle explique bien ces mécanismes. Si un enfant a été nié dans ses besoins, il aura senti de l'impuissance, une colère qui n'a pu être exprimée et cette énergie-là, il faudra bien qu'elle s'exprime un jour, soit en somatisant ou/et soit en agression envers les autres, ou ses propres enfants. Il y aura forcément une agressivité au bout du compte.
Alors bien sûr, dans l'absolu ce qui fonctionne bien c'est de laisser la personne parler, mais encore faut-il que ça ne nous déclenche pas nous aussi et généralement on retrouve un schéma type ou deux personnes vont entrer en conflit car elles vont chacune revivre un évènement spécifique de leur enfance : une personne va le revivre en tant que victime, une autre va le revivre en tant que victime qui exprime enfin sa colère, donc devient bourreau, récupère la puissance perdue en quelque sorte.
Le problème qu'il y a en général, au niveau de la société, c'est la place que l'on accorde aux traumatismes et leur prise en charge, car pour moi, la plus grande partie du problème est traumatique. Aussi, l'autre souci majeur c'est la place que l'on donne à l'agressivité, la colère, dans notre société et notamment la prise en charge de cette émotion, de ce comportement, dans les cabinets psy. On pourrait se dire que l'agressivité a sa place chez un psy, sinon où elle pourrait avoir sa place ? Eh bien détrompez-vous, beaucoup de psys la refusent parce qu'ils ne savent pas quoi en faire, soit ils la refusent explicitement ou sinon ne vont pas - consciemment ou non - emmener le patient vers cette émotion car ils la redoute.
Personnellement, j'ai été des années à ne pas exprimer ma colère chez un psy - d'une façon ou d'une autre - parce que je n'avais pas le droit de le faire dans mon enfance sinon j'aurais perdu mes parents (dans mes peurs, donc peur du rejet). Mais j'ai fini par me dire que c'était des peurs, pas justifiées, que le psy n'allait pas me rejeter, car il était là pour ça. J'ai exprimé ma colère (plutôt contenue en plus) chez 3 psys et 2 m'ont rejeté... Donc pas surprenant que l'on retrouve des gens agressifs en pleine nature. Ca aussi c'est à prendre en compte. Quand on dit que la colère c'est "négatif", pas surprenant qu'on engendre du refoulement, donc plus d'agressivité encore.
Par rapport à ce que tu dis vers 21:35. Si les gens préfèrent se sentir persécuté, je pense que c'est parce qu'ils ont un problème avec l'intime. En fait, moi qui suis en train d'essayer de créer des rapports plus intimes avec les autres - je suis autiste, donc quand je parle de "rapports intimes" c'est juste dire "Comment ça va ?" à quelqu'un et le demander sincèrement, en l'écoutant etc., eh bien, je me rends compte que ce n'est pas que ma famille qui a un problème avec l'intime, mais la société en général.
Ce qui fait que je ne suis pas le seul qui trouve ça humiliant de parler de soi, de ses besoins... ce qui est grave j'en conviens. Donc les gens vont plus aller vers le conflit, parce que si je commence à entrer dans un rapport "intime" avec une autre personne, en gros de lui demander si je l'ai blessé ou pas, elle va être mal à l'aise je pense et avoir honte (humiliation avec ses besoins/l'intime dans l'enfance comme beaucoup de monde) et si je lui dis que j'ai été blessé, c'est quasi sûr que tu vas avoir quelqu'un qui va répondre par le mépris (un lecteur par exemple) en traitant de fragile ou que sais-je. Ce qui ajoute de l'humiliation à l'humiliation déjà ressenti.
Si on prend la CNV, peu de gens l'utilisent (pour pas mal de raisons) parce que c'est humiliant d'afficher ouvertement ses besoins comme ça. Dans notre société ça ne se fait pas, c'est même plutôt tabou en fait.
Oh le truc sur la colère et les psys est tellement réel. De ma petite expérience, c'est pas bien vu et un psy peu porté à essayer d'en comprendre les raisons va juste vous dégager ou ghoster et c'est tout comme. Perso j'y ai presque vu la reproduction d'un rapport de domination, les psys font généralement partie de la bourgeoise libérale et cette injonction à se contenir est vraiment pas réaliste en plus d'être classiste et sexiste. Perso ça me dérange pas de voir un psy exprimer une émotion même de l'agacement et tenter d'aller au-delà de la friction mais la plupart des personnes ne vont pas s'embêter et vont juste se débarrasser du client qui les a un peu incommodé.
Bravo pour ton taf Caro !! Et merci !
Le début de vidéo est intéressant ça renvoit à ce qui se passe en France avec la criminalisation d'un mouvement de militants ecolos qui résistent face a la répression et qui ensuite sont qualifié de violents. Vidéos très intéressante, merci :)
Incroyable !! Merci !
Merci! Tu viens de me donner une belle lecture pour m aider à sourcer ma VAE d assistante sociale sur la gestion du conflit en structure d hébergement collective! ❤
Merci c’est un énorme taf
Merci pour cette analyse❤ Elle fait écho à ce ressenti qu'il y a aujourd'hui une vraie crispation des débats autour des violences systémiques. C'est un plaisir de te revoir sur UA-cam😘.
Ton décor est trop beau😍
Le ressenti..... Descartes montrait la faiblesse du ressenti que seule la rationalité peut éclairer. Le peuple des Lumières n'a plus les lumières à tout les étages.
Cyril détends-toi c'est le week-end et tu casse les couilles à tout le monde
Merci pour le soutien ♡
@@lacarologie Ptdr😂😂
Trop intéressaaaant! Ça m’a aidé aussi dans mes propres réflexions, ma guérison par rapport à la réaction au conflit, merciii ❤
merci pour le partage de ce livre, il fait largement écho au traitement que subissent certains députés nupes aujourd'hui, dans la mesure où le débat n'est pas possible, la contradiction non plus étant donné que chaque critique est aussitôt discréditée par une alliance avec un clan terroriste. je parle évidemment du conflit israelo-palestinien.
C'est vraiment passionnant, merci pour ce partage et ce format!
Un grand merci ❤ Cette vidéo tombe à point nommé dans ma vie ! Hâte de voir la suite !
Concernant le point dont tu parles vers 30:00, je ne suis pas d'accord. Je vais prendre un exemple qui est arrivé plein de fois avec une copine que j'avais. Je rappelle qu'ici tu fais la différence entre un conflit et une agression d'une façon très intéressante, mais qu'à ce moment précis, tu précises que c'est un conflit quand on se sent agressé(e) parce qu'on a été traumatisé(e), mais qu'on ne l'est pas du coup, parce que c'est "fantasmé".
Ma copine de l'époque donc a vécu des choses traumatisantes ce qui fait qu'elle se mettait en protection dès que j'étais tendu dans la conversation ou en colère - vu que j'ai été bien traumatisé aussi, ça arrivait souvent... Alors il y avait bien un rapport de domination, donc d'agression selon les critères dont tu as parlé juste avant. Plus tard, quand on a appris à mieux communiquer et que je lui ai montrée qu'elle n'était pas en danger de se défendre, qu'elle a pu en faire l'expérience - c'est un travail délicat qui demande beaucoup de temps - on a pu entrer en conflit sans agression, car elle a pu prendre un pouvoir qu'on lui avait retiré dans l'enfance.
Alors je ne me base pas que sur le fait qu'elle n'était pas en danger réellement ou pas pour dire qu'il y avait une agression, car dans son traumatisme, la situation était comme réelle et puis elle était agressée de nouveau dans son "imaginaire traumatique". Le cerveau à ce moment-là est dans le passé, le corps aussi, donc ce n'est pas que fantasmé, c'est vécu vraiment comme le passé. Je suis donc à ce moment-là son agresseur, même si ça peut être désagréable à porter. Je sais que personnellement cette position d'agresseur - qui ici était justifiée pour le coup - a été difficile à porter d'autres fois, quand ça n'était pas justifié comme ça, parce que ça me renvoyait moi à mes traumatismes où j'ai subi des injustices dingues.
Alors bien sûr, tout est une question de communication ici, c'est-à-dire accepter au maximum de nos possibilités la réalité de chacun. Mais ce n'est pas toujours possible, car cette acceptation c'est généralement une étape très avancée de ce processus de gestion de conflits entre deux personnes ou de conflits plus large. Avant cela, le premier pas était de dire "je n'y arrive pas".
Quand on est deux personnes traumatisé(e)s qui vivent ensemble - ce qui est très fréquent - la gestion de conflit est difficile car ces situations font clignoter les deux personnes comme un sapin de Noël, tellement les déclencheurs peuvent s'affoler, et cette réciprocité on n'en parle assez peu souvent, qu'il peut y avoir un déclencheur qui active chez l'autre un déclencheur, qui va engendrer une réaction, qui va déclencheur l'autre, qui va engendrer une autre réaction qui va déclencher l'autre etc. Les premiers pas sont souvent très compliqués, mais déjà accepter qu'il y a traumatismes et essayer d'expliquer quand on se sent mal etc., c'est déjà un gros exercices. Perso ça me déclenchait de devoir simplement dire "Je vais mal", je paniquais rien qu'à l'idée donc... mais à force d'écoute et d'entraide - car on peut s'entraider dans le conflit - on finit par y arriver, même si ça prend beaucoup de temps.
Un cas précis où la confrontation aurait été préjudiciable pour cette copine, ce dont tu parles vers 36:00. Dans le discours il semblait que j'avais raison, factuellement je disais vrai, ma plainte était justifiée, ma copine semblait vraiment de mauvaise foi car quand je voulais l'emmener dans une direction dans mon discours, elle fuyait et même disait que non, ce qui moi me déclenchait, car ma mère faisait ça et quand j'avais peur au lieu de me rassurer, elle entretenait un flou qui me faisait paniquer intérieurement... Donc la situation empirait évidemment.
Seulement, ma copine revivait un trauma d'enfance où elle avait été piégé(e)... sans pouvoir s'exprimer, donc dès qu'elle se sentait piégée, car dans mon intention je la menais vers une sorte de piège rhétorique, elle essayait de s'échapper, donc en ne me répondant pas, en mentant ou en étant "de mauvaise foi".
Alors dans une confrontation, elle aurait pu être démentie et moi je pensais qu'elle me manipulait alors que non, elle revivait un trauma dans lequel elle était la personne que l'on ne croyait pas, que l'on piégeait et qui devait se nier alors qu'au fond elle savait qu'elle avait raison, mais ne pouvait pas l'exprimer, car le trauma engendre ce genre de mécanismes qui font qu'on perd nos moyens.
Là encore il a fallu beaucoup de temps, de discussions pour en sortir. Mais je dois dire que c'est la compréhension des traumas et de leurs mécanismes qui a vraiment aidé. Dès qu'on a su que c'était les traumas on a essayé de chercher dans le passé à quoi ça nous renvoyait... Ca n'a pas été long à trouver... partant de là, on pouvait voir ce qui se passait, comme si nous avions une deuxième lecture de l'évènement qui avait lieu en court. Ca ne le rendait pas plus facile au début, mais au moins on pouvait commencer par exprimer des choses, dire après coup au début "tiens, j'ai encore réagi comme avec ma mère" et la fois d'après on arrive à le voir plus tôt, puis encore plus tôt etc., jusqu'à temps qu'on puisse le déceler systématiquement et même arriver à stopper la discussion pour se reconnecter à son trauma d'origine, le pleurer pour enfin trouver l'apaisement dont on avait tant besoin.
Merci pour ton travail et ta patience ! :) Je sais plus du tout depuis combien de temps je te suis exactement (mais ça fait vraiment un bail) et je trouve que ça fait un peu écho a tes premières vidéos qui tournaient beaucoup autour de l'analyse de soi et des relations humaines.
Passionnant, merci beaucoup.
C'est hyper interessant! Merci! Bon sang 40h de travail mais ça vaut le coup
Super intéressant. J'ai hâte de voir la suite..
Merci Caro pour ça taff de fou! Hâte de voir la suite
Merci pour ton travail😊
Super intéressante cette vidéo ! Merci beaucoup ❤️😊
J'ai hâte aussi de voir la suite. Merci pour ton travail qui m'a fait réaliser que j'ai souvent été dans ce genre de situation parce que j'aime revenir avec mes proches sur certaines choses et j'ai toujours eu du mal à comprendre pourquoi parfois certaines personnes se sentent agressées alors que je veux juste parler d'une situation qui a été désagréable pour moi. Et , moi qui me remets toujours en question, je me dis que parfois j'ai certainement dû me sentir agressée à tord. Très intéressant ❤
Coucou Caro ! Rien à voir avec la vidéo dont je n'ai rien à dire (top comme d'habitude)
Petit commentaire simplement pour te demander plus de vidéos lifestyle (si ça t'intéresse) ! Mon intérêt pour toi s'étend à une curiosité pour tes goûts musicaux, tes routines et habitudes de vie, la façon dont tu gères ton métier de youtubeuse etc
Je ne sais pas si ça intéresse d'autres personnes que moi, mais en tout cas, je ressens que des sujets plus légers sont parfois agréables à explorer aussi :)
Voilà, j'espère que tu vas bien et merci encore pour la qualité de tes vidéos qui ajoute tellement de belles choses à la toile de UA-cam :)
RÉSUMÉ :
Dans "Le conflit n'est pas une agression", la créatrice décompose les thèmes du livre éponyme, soulignant la confusion courante entre conflit et agression dans les interactions sociales et institutionnelles. Elle examine comment la surestimation du préjudice mène souvent à une réaction excessive et comment la peur de l'altérité exacerbe les conflits, transformant des désaccords mineurs en accusations graves. La vidéo explore le rôle des médias sociaux et de la communication dans l'escalade ou la résolution de ces conflits, critiquant la tendance à éviter le dialogue constructif. En abordant des cas comme l'islamophobie ou les malentendus dans les relations interpersonnelles, elle appelle à une meilleure compréhension et à une communication plus ouverte pour désamorcer les tensions et promouvoir une coexistence plus harmonieuse.
Super intéressant, hâte de voir la suite !
Ce livre a l’air très intéressant, dans la pensée globale.
Cependant je me permets juste de faire quelques remarques, car certains éléments mal compris pourraient être dangereux je pense pour les victimes de violences intrafamiliales et conjugales:
Être capable d’identifier ce type de violences prend des années et des années tellement elles sont ancrés dans notre culture. Donc si une femme ou une fille a peur dans une relation de couple ou familial même sans être capable d’identifier des violences ou une véritable violence, même en étant persuadé que X personne ne sera jamais vraiment violente avec elle . Cela ne signifie pas que elle n’est pas victime de ( graves ) violences). De plus être confus juste avoir peur mais on ne sait pas de quoi , est un signe d’être victime de violences. Dans l’état actuelle des choses, la société et la culture reste trop mysogine pour que l’identification des femmes en situation de violences se fassent à partir de faits, mais elle est faite à partir des sentiments que vit la personne en question par les travailleurs sociaux.
La plupart des personnes traumatisées n’identifient pas à tort des violences au contraire. Par contre elles peuvent effectivement être contrôlés par une personne violente par juste des signes de cette violence, des menaces diffuses sans que jamais cette personne ait besoin de commettre des violences ( mais son but restent de contrôler la victime).
Les cas cités ou des personnes traumatisées se sentent ´à tort ´ agressées sont des cas précis en dehors de la famille et du couple, car même les personnes sont traumatisées sont socialisées à voir ces espaces comme des espaces de sécurité. Les accusations à tort citées sont des cas précis qui se passent en dehors du cadre familial et du couple, car effectivement les étrangers + beaucoup de personnes racisées ou pauvre , ou non hétérosexuelles sont présentées comme dangereuses pour les femmes surtout les femmes blanches.
C’est dans ce cadre donc que les questions de l’autrice je pense sont pertinentes. Si une femme ou fille a peur dans un contexte familial ou de couple, ces questions sont je pense dangereuse car la majorité des victimes de violences vont répondre non et donc penser qu’il s’agit de simples conflits, faire intervenir une personne extérieure risque d’aggraver la situation si cette personne ( comme 95% des gens) n’est pas capable d’identifier des situations de violences familiales et de couples et donc à 90% de prendre le parti de l’agresseur.
Incroyable cette vidéo, tu fais un travail de dingue merci ❤
Super intéressant merci pour ce travail ❤
Je trouve que ce thème résonne beaucoup avec le film Je verrai toujours vos visages sur la justice restaurative, que je conseille à toustes si vous ne l'avez pas encore vu, il est vraiment vraiment intéressant et touchant. Si vous ne devez voir qu'un film dans l'année c'est celui-là.
Merci caro du tournage
Force a toi caro du montage
Vraiment un top boulot Carolina !
Trop intéressant, je pense que je vais me procurer le livre
Merci pour cette vidéo très intéressante ! :)
Salut Caro ! Tu parles dans ta vidéo de ressources sur le concept d'altérité d'un point de vue sociologique, et ça m'intéresse beaucoup ! Je crois pas les retrouver dans la description... En tout cas merci pour cette revue, j'adore le format :)
merci pour cette video et ton travail
merci de me remettre dans le livre 3 ans apres sa lecture; jusqu'à la demi heure j'arrivais à técouter sans soucis seulement je vais juste te signaler un truc qui est valable pour beaucoup de monde de nos jours et ça m'a fait perdre le fil; plus possible de técouter; enfin j'ai perdu le fil... tu enchaines les "en fait" & là ouais j'arrive plus à écouter.
gros travail sinon bravo à toi
Petite question, plutôt dans la forme que le fond, est-ce que c'est compliqué youtube de faire du chapitrage ? Parce que je trouve que tes présentations de livres sont réellement organisées de façon très logique et pour retrouver des détails après coup pour en parler un chapitrage serait pratique
Trop bien cette vidéo merci
Qu’est-ce que tu penses de la critique de Caroline Fourest du wokisme? (Non ce n’est pas une facho)
Oui ça valait la peine : A-bouez poanlan, E c'haller en em dennan = A force de se donner du mal, on peut s'en tirer.
Tu es magnifique :)
Coucou !! C'est hyper intéressant ce contenue (et ta vidéo au passage..)..
J'ai juste une question : lorsqu'une personne qui a subit une agression physique se venge en infligeant les même dégats physiques à son agresseur, c'est une autre agression qui a comme explication un traumatisme, mais pas comme une agression réciproque ? (Vrai question)
Peut on alors envisager un instant qu'aujourdhui, certaines femmes s'attaquent à des hommes un peu trop naifs et gentils pour appliquer une domination et exercer une certaine forme de vengeance sur leur haine des hommes en général ?
Parler de sexisme car on a pas eu une augmentation ou un poste, accuser quelqu'un de pervers narcissique car il a osé lui dire non ?
Parfait cette vidéo, j'ai emprunté ce livre à la médiathèque et je n'ai pas eu le temps de le lire.
41:00
22'56, systémique ou systématique 🤔
Quand les deux se sentent en danger, conflit ou agression ?
♥️♥️♥️♥️
Je ne saurais trop te conseiller une œuvre philosophique majeure : Naruto 😅
Magnifique! ça me donne envie de le lire. Ca me fait penser au "Discours de la servitude volontaire" de La Boétie qui analyse les souffrances des "victimes" de la monarchie à l'époque, du point de vue de la responsabilité des victimes.
Cela me fait aussi penser à une fable que j'avais écrite sur la relativité du "Bien" et du "Mal" et donc de l'altérité. Je te la partage ici : ua-cam.com/video/dlvAwzU1yaU/v-deo.html
👍
Coucou :) je sais que je l'ai déjà recommandé mais ce dont tu parles me fait tellement penser à la CNV que je me sens obligé d'en reparler. J'aimerais tellement avoir ton avis là-dessus. La vidéo qui m'a scotché est celle-là : ua-cam.com/video/l7TONauJGfc/v-deo.html
Pour la prison, c’est faux, il faut arrêter de tout excuser. Quand X a cambriolé l appart de mon frere, il n’avait qu a travailler
Wow, c'est vraiment une légitimation des agressions .Prcq cette réthroqiue de Sarah Schulman chie vraiment sur l'histoire des luttes féministes et queer.
C'est vraiment un livre qui justifie les abus avec un éthos de gauchiste mais rien de plus.
D'ailleurs Schulman dans un autre livre explique que la pédocriminalité c pas si grave, et que c'est du "sexe intergénérationnel".
Et puis, stop comparer des victimes qui font des call-out sur internet a des flics
T'es pas sérieuse 😂😂😂
Pas d'hommes transidentifiés dans les toilettes des femmes ou dans quelconque espace dédié aux femmes. Rien avoir avec le fait d'avoir peur d'être agressée, quoi que, même si certaines ont peur, non pas parce qu'elles ont en face un trans, mais parce qu'elles ont en face un homme, celà doit être respecté. Ne pas se rendre compte que les femmes ont lutté pour acquérir leurs propres espaces et qu'à peine les ont-elles eus, il faudrait laisser des hommes les coloniser, c'est irrespectueux pour les femmes et les féministes qui se sont battues pour ces espaces. Du reste, ce livre a l'air intéressant.
Tu portes bien ton pseudo dis-donc
@@lacarologie toi aussi, un pseudo complètement autocentré vraiment typique du monde libéral et de l'idéologie trans que tu défends. Mais celà m'embête de devoir répondre à de l'ad hominem par de l'ad hominem...
@@LaCafardeuse d'accord
@@lacarologie En réalité, on propose quoi aux femmes battues qui n'ont pas envie de voir des hommes dans leurs refuges ? on propose quoi aux femmes vi*lées ou agressées qui n'ont pas envie de voir des hommes dans leurs vestiaires ? Nan parce que bon, je me questionne... Que propose-t-on pour les jeunes filles qui vont aux toilettes et devraient se retrouver avec des mecs d'1m90 avec une musculature et une ossature d'hommes ? Aux femmes en prison ? Aux estétitiennes ? Aux sportives ? Pourquoi il serait du role du féminisme, qui s'est déjà battu pour les femmes, de le faire maintenant pour des hommes ? J'en ai connu des hommes transidentifiés, jamais qui demandaient ces nouvelles choses tout droit venues des pays anglosaxons. Le féminisme mainstreem est à mille lieues de la réalité commune aujourd'hui. Le voile, la prostitution, et les trans maintenant.
@@LaCafardeuse "L'ideologie trans" n'existe. Par contre ta transphobie elle, est malheureusement réelle.
J’aimais bien tes vidéos …jusqu’à ce que tu cites Israël/Palestine …surestimation du préjudice? Les israéliens surestimeraient ils le risque que représente le Hamas et le Jigad??? La peur de la différence? Sais tu qu’il y a des arabes et des juifs qui vivent en bonne intelligence? Parle pas de ce que tu connais pas . Je t’efface de mes abonnements .je déteste la démagogie dans laquelle tu t’orientes …
On vous souhaite un bon aurevoir monsieur Finkelkraut
Bref, encore des concepts et des analyses américaines qui n'ont rien à faire en France si on connaît l'historicité de la France et de l'Amérique.
ouais sauf que la Carologie n'est pas française et ne vit pas en France :-)
@@bronzebalance6018 quand on parle français, on d'adresse à qui ? Aux chinois ?
La carologie n'est pas française. Bref ;)
@@libelluleeffrayee755 alors il faut le signifier, quand on parle en français on s'adresse aux français, c'est un peu la base.
@@CyrilChevrotbah non pourquoi ? Tu peux être belge, suisse, candienne, luxembourgeoise, camerounaise, Comorienne, haïtienne, Nigériane … et parler français car en faite c’est une des langues officielles de ces pays . Tout ne tourne pas autour de la France d’ailleurs dans quelques années ce sera en Afrique qu’il y aura le plus de locuteurs français. Donc bon je vois pas pourquoi on devrait partir du principe qu’elle s’adresse aux français. C’est comme quand tu parles en anglais tu t’adresses à tout ceux qui parle anglais et pas seulement aux anglais.
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