Merci pour cette charmante dame. Ce sont les mêmes contes que me racontait ma grand-mère, née à Alger, mais originaire de Taguemount Lejdid (Iwadiyen), une commune limitrophe des Ait Douala. Malheureusement, je suis la dernière génération de ma famille qui parle le kabyle et qui se souvient de ces contes.
Les contes traditionnels comme celui-ci ont été transmis oralement depuis des millénaires. Il n’y a pas d’”écrivain” des contes amazighs, mais des conteuses qui se transmettent ces histoires de grand-mère à petite-fille. Certains écrivains les ont mis par écrit (comme Mouloud Mammeri), mais originellement toutes ces histoires étaient d’abord orales. Le génie de chaque conteuse est de transmettre le conte comme il lui a été donné, en y incluant son propre souffle et sa vivacité.
Merci à vous pour ce message. J'espère donner envie aux amazighs de toutes régions de documenter de manière authentique leurs traditions dans leurs langues, et montrer que c'est possible même avec un matériel minimal comme un smartphone (via WhatsApp par exemple, comme c'est le cas ici).
Sahitt ! mya iberdan, kemmel lecghel ayi g Le3naya Sidi Rebbi. Wa d inigh i temghart ayi n lbaraka ad akem ye3fu Rebbi, wa d iseghsef g le3mer-im, awal-im ur yes3i ssuma ❤
Les contes traditionnels comme celui-ci ont été transmis oralement depuis des millénaires. Il n’y a pas d’”écrivain” à l’origine des contes amazighs, mais des conteuses qui se transmettent ces histoires de grand-mère à petite-fille. Certains écrivains les ont ensuite mis par écrit (comme Mouloud Mammeri), mais originellement toutes ces histoires étaient d’abord orales. Le génie de chaque conteuse est de transmettre le conte comme il lui a été donné, en l’incarnant et lui donnant sa vivacité.
Merci pour cette charmante dame. Ce sont les mêmes contes que me racontait ma grand-mère, née à Alger, mais originaire de Taguemount Lejdid (Iwadiyen), une commune limitrophe des Ait Douala. Malheureusement, je suis la dernière génération de ma famille qui parle le kabyle et qui se souvient de ces contes.
Merci pour ce travail pour preserver notre patrimoine et notre langue
Thanamirth et longue vie yama yamina 💟❤💐
Les contes traditionnels comme celui-ci ont été transmis oralement depuis des millénaires. Il n’y a pas d’”écrivain” des contes amazighs, mais des conteuses qui se transmettent ces histoires de grand-mère à petite-fille.
Certains écrivains les ont mis par écrit (comme Mouloud Mammeri), mais originellement toutes ces histoires étaient d’abord orales. Le génie de chaque conteuse est de transmettre le conte comme il lui a été donné, en y incluant son propre souffle et sa vivacité.
Merci pour votre apport à la conservation de la culture Kabyle Mme. Vous êtes la digne descendante de votre brave père, qu’il repose en paix
Merci à vous pour ce message. J'espère donner envie aux amazighs de toutes régions de documenter de manière authentique leurs traditions dans leurs langues, et montrer que c'est possible même avec un matériel minimal comme un smartphone (via WhatsApp par exemple, comme c'est le cas ici).
Merci pour votre conte a Na Yamina. Longue vie à vous et que Dieu vous bénisse.
Un merveilleux conte. J'ai adoré. Merci Madame.
Sahitt ! mya iberdan, kemmel lecghel ayi g Le3naya Sidi Rebbi. Wa d inigh i temghart ayi n lbaraka ad akem ye3fu Rebbi, wa d iseghsef g le3mer-im, awal-im ur yes3i ssuma ❤
Tanmirt i nna yamina d kecc negh kem id aghed issawden tamacahutt agi
On t'aime notre chère grand-mère ❤❤
Welah yatakem saha 😍😍😍😙Merci
Tanmirt tameqrant a na yamina
Misinna dacu ig fesusen dacu igazayen inayas ig fesusen dechar ig zayen delkhir
Thanemirth ef cheghol aki
Innayas achu igugaren aman inayas dasawen. Innayas achu igugaren asawan, innayas delkhil, innayas dachu igugaren elkhil, innayas dargaz el3ali, innayas dachu igugaren argaz el3ali innayas detskhil
J'adore s tumert
Azul piloucha👍👍👍
Cèst qui L'ecrivan de cette histoire stp ?
Les contes traditionnels comme celui-ci ont été transmis oralement depuis des millénaires. Il n’y a pas d’”écrivain” à l’origine des contes amazighs, mais des conteuses qui se transmettent ces histoires de grand-mère à petite-fille.
Certains écrivains les ont ensuite mis par écrit (comme Mouloud Mammeri), mais originellement toutes ces histoires étaient d’abord orales. Le génie de chaque conteuse est de transmettre le conte comme il lui a été donné, en l’incarnant et lui donnant sa vivacité.
C'est dommage que c'est pas traduit en français.
Hadja awiyanaghd isafra Di chwikan
Elle s appelle pas hadja mais nana yamina
Elle s appelle pas hadja mais elle se appelle nana yamina
@@amnaykaci5361 elle a fait son pèlerinage donc elle est hadja na yamina pour satisfaire tout le monde.