Merci infiniment. Je redeviens une petite fille de 8ans , nous ecoutions ma mère qui est partie il y'a très peu de temps malheureusement et mes tantes nous raconter ces beaux contes. Thafounasth igoujilanes, Zalghoum, Nouja tsariell etc...C'est fabuleux. Aatikeme Assaha à Khalti et turzi Ellaamar in chaa Allah.
Cette brave dame, sûrement monolingue, aurait rédigé des merveilles si elle maîtrisait l'écrit en amazigh. On assiste actuellement en Kabylie à des campagnes d'alphabétisation des adultes menées en arabe et en français et non en amazigh qui est généralement la seule langue parlée par les concerné(e)s ! Est-il raisonnable d'apprendre à des adultes à lire et écrire une langue qu'ils ne maitriseront jamais et de négliger celle qu'ils parlent depuis leur naissance ? Ce genre de pratiques ne doit exister nulle part ailleurs ! Les générations actuelles, soi-disant scolarisées, sont incapables de s'exprimer avec éloquence comme le fait cette dame ! Doit-on considérer que la scolarisation en Algérie avait pour seul but de dépersonnaliser les gens et d'en faire des acculturés ? Un responsable du FLN dans les années 1970 avait répondu à un journaliste, qui lui demandait les raisons pour lesquelles la langue amazighe n'était pas enseignée, ceci : ''le problème du berbère sera résolu lorsque l'enfant en rentrant de l'école ne comprendra plus sa grand-mère" ! En 2020, nous constatons que ce responsable a atteint son objectif !
Quelle triste réalité... nos conteurs (allophones) emporteront bientôt ce qu'il nous reste de notre littérature orale... dire qu'autrefois elle foisonnait. Plus aucun intérêt n'est porté à notre culture qui se voit peu à peu arabisée.
Salam, azoul, je ne reconnais plus mais consœurs et confrères Amazighs algériens...Essayez de faire comme nos aînés...Personne n'a pu leur faire oublier leur Histoire ni leur langue maternelle millénaire si ce n'est par leur résilience orale et leur éducation que nulle autre n'égale,alors assez de parlotte et éduquons nos enfants selon nos rites et principes et n'oublions pas les dimensions humaine et musulmane qui n'est pas l'apanage de ceux qui veulent occulter notre amazighité.Le silence est d'or et la parole est d'argent pour ceux qui ne savent y faire!À bon entendeur... 😢
Magnifique,sa nous rappelle notre enfance et l’ambiance qui régnait à cette époque,Guedha.
Tanmirt tameqrant , tamacaHut agi ksit arrit , aka itid nemmal di tama n Waqvu ! Mot par Mot !
Rabi akimhoud ayamass imazighen adhisaghzouf rabi dhalamrim
tanmirtim awetma lasal
Merci infiniment. Je redeviens une petite fille de 8ans , nous ecoutions ma mère qui est partie il y'a très peu de temps malheureusement et mes tantes nous raconter ces beaux contes. Thafounasth igoujilanes, Zalghoum, Nouja tsariell etc...C'est fabuleux. Aatikeme Assaha à Khalti et turzi Ellaamar in chaa Allah.
Adhyarham Rabi yamam dhiljanath ouk dhilmoumnin
Merci bcp:
C était très agreable😀
Aatikam asaha ikmizghasva rabi galaamrim
Magnifique et noble conteuse , ce conte est très connu des kabyles *
Theghzi la3mar i hadja
Thanmirth ahajA
J'adore ça m'a rappelé mon enfance 🥰🥰
Tanemmirt ik !
C'est une partie de livre du taoues Amrouche le graine magique
Tanemmirt !
Merci pour cette narration quoique partielle,
Je cherche toujours l'entièreté du conte.
Longue vie nana
Longue vie Hadja 🥰🥰🥰🥰
Pp0
Cette brave dame, sûrement monolingue, aurait rédigé des merveilles si elle maîtrisait l'écrit en amazigh.
On assiste actuellement en Kabylie à des campagnes d'alphabétisation des adultes menées en arabe et en français et non en amazigh qui est généralement la seule langue parlée par les concerné(e)s !
Est-il raisonnable d'apprendre à des adultes à lire et écrire une langue qu'ils ne maitriseront jamais et de négliger celle qu'ils parlent depuis leur naissance ?
Ce genre de pratiques ne doit exister nulle part ailleurs !
Les générations actuelles, soi-disant scolarisées, sont incapables de s'exprimer avec éloquence comme le fait cette dame !
Doit-on considérer que la scolarisation en Algérie avait pour seul but de dépersonnaliser les gens et d'en faire des acculturés ?
Un responsable du FLN dans les années 1970 avait répondu à un journaliste, qui lui demandait les raisons pour lesquelles la langue amazighe n'était pas enseignée, ceci : ''le problème du berbère sera résolu lorsque l'enfant en rentrant de l'école ne comprendra plus sa grand-mère" !
En 2020, nous constatons que ce responsable a atteint son objectif !
Quelle triste réalité... nos conteurs (allophones) emporteront bientôt ce qu'il nous reste de notre littérature orale... dire qu'autrefois elle foisonnait. Plus aucun intérêt n'est porté à notre culture qui se voit peu à peu arabisée.
Salam, azoul, je ne reconnais plus mais consœurs et confrères Amazighs algériens...Essayez de faire comme nos aînés...Personne n'a pu leur faire oublier leur Histoire ni leur langue maternelle millénaire si ce n'est par leur résilience orale et leur éducation que nulle autre n'égale,alors assez de parlotte et éduquons nos enfants selon nos rites et principes et n'oublions pas les dimensions humaine et musulmane qui n'est pas l'apanage de ceux qui veulent occulter notre amazighité.Le silence est d'or et la parole est d'argent pour ceux qui ne savent y faire!À bon entendeur... 😢
Dommage traduisez en arabe ou francais ma mère Allah yarhmha me la raconté mais je les oublié
Uii moi aussi je cherche l'histoire en français
Top top top ♥️💚💙💛
Mdr