Les yeux sur écran qui chauffe, j’me rends compte que la vie n’est pas rose Si j’me mouille faut pas qu’je coule, deux larmes qui accompagnes mes paroles J’prends mes distances en ce moment, je sais qu’ça ravi pas mes proches J’veux faire le tour de mes pensées mais là j’ai plus rien dans les poches Le cœur en mode automatique, je sais qu’ça ravive pas mes souvenirs J’voulais te voir une dernière fois, la vie t’as transformé en souvenir Mais c’est pas possible, mains dans les poches alors je marche seul Dans les mêmes rues d’ma ville où y’a deux ans j’me sentais grave seul Mais j’avance quand même, la distance nous sépare en écart J’voudrai savoir quoi penser d’moi mais la musique fait qu’je m’égare Est-ce qu’on t’as balafré avec des mots sans se rendre compte Que la puissance de ces derniers peut faire ces derniers peut faire escalader le pont Sur un trois secondes plus tard, y’a la mort qui toque à la porte En moins d’une seconde chrono, y’a l’amour qui court à la perte On se sent jeune, on s’détruit à la santé des illusions On prend un coeur, on l’détruit a l’honneur des désillusions Qui nous ont frappé, choqué, saches que là j’appaise mes mots Plus un bruit qui sort d’ma bouche, si un je pèse mes mots J’pense aux proche parti trop tôt, je cueille une fleur, je pense mes morts Faudrait plus d’un millier de roses si un beau jour je panse mes maux Désolé maman si en c’moment ton fils est distant J’aimerai te parler de tout mais y’a des mots qui ne disent pas Ma belle, j’apprends au fil du temps, que les mots d’amour ne se disent plus Ces lettres misent à la chaîne nous détruirons pendant les disputes Alors on s’égare, on s’aime puis on s’écarte Vu qu’nos pensées correspondent plus à c’qu’on disait au départ Mais sur la ligne ligne d’arrivée, j’ai aperçu des pas Ceux de nos futurs enfants pour qui je n’existerai pas J’ai prit l’habitude d’émotions qui n’auraient jamais dû m’atteindre J’ai les pensées qui s’entremêlent quand j’ai la vraie vie sur la tempe La réussite nous appellera et j’la mettrai pas sur attente J’ai une histoire enfui dans l’âme et tu peux le voir sur ma teinte Le plus douloureux, c’est d’voir ce qu’on était disparaître Ils diront qu’ils seront là pour toi mais tous les humains disent pareil Quand j’ai compris ce que j’valais, plus rien n’se jouait au paraître Un matin tu te réveille et la boule au ventre disparait Alors t’avances, fier dans ta ville, les problèmes derrière toi Et tu t’rappelles, d’elle dans ta vie, les problèmes te dépassent Les pensées noires prennent le contrôle, alors tu divague sur un toit Les souvenirs te feront glisser, mais tu tomberas sur un tas De souvenirs qui raviveront les conditions de l’arrachement Que tu as subit et qui fera qu’en peu de temps la rage monte J’ai vu défilé mes erreurs J’suis seul face à mes doutes J’dors plus la nuit, j’attends l’aurore J’sais plus vraiment c’que je redoute J’ai pris conscient de c’qui m’entoure Mais j’lai fait au mauvais timing C’est mes propres mains qui m’enterrent Un mauvais choix ruinera ta vie Et j’en ai croisé du monde Sur la grande route des épreuves Une vue aérienne sur le monde Sur la grande roue, j’vois les épaves De tous leurs corps, si pour gagner faut faire des choix On les fera J’ai vu mon cœur s’accélérer, le jour où ta peau m’effleura Ma fréquence cardiaque s’accélère Scelle nos souvenirs comme Latimer On saura jamais quand c’est l’heure Quels s’raient tes mots si là tu meurs On banalise et ça d’vient grave On tourne le dos comme des ingrats Comme un oiseau j’veux tant voler On sait pas quand la mort viendra Tu peux être au bord du plongeoir Un oiseau passant au d’ssus d’toi Sept jours plus tard comme ce dernier Vers le ciel tu peux t’envoler Au fond de moi, je garde la foi Je n’sais pas, si les anges m’écoutent J’peux faire qu’une seule chose à la fois Pour l’instant j’dois gérer mes doutes Le ciel s’assombrit.. On n’voit plus les bleus sur son corps Une larme coule face à son prix Je n’ai pas pu racheter son cœur Les problèmes s’empirent.. J’perds le contrôle quand les tours montent La vent s’empare.. De nos problèmes dans la tourmente 100eme jour seul, face au miroir Mon reflet a disparu Des cicatrices qui s’voient dans l’noir J’en gagne au moins dix par an La lumière s’éteint, je voudrai que mes écris furent Dans un silence, j’écris un texte pour affiner mon écriture
Parfois tard la nuit Je pense à certaines choses Ce que j’aimerais faire de ma vie Ptetre un jour je pourrais vivre de mes proses Faire parti des hommes de l’ombre comme oxmo Ou Népal qui avait l’air d’avoir compris la vie Pour l’instant j’aimerais juste raconter sa mélancolie Malheureusement trop de chose dans le cerveau Beaucoup trop sombre pour pouvoir l’exprimer Aucun des mots utilisés peuvent me comprendre Ni aucun ami d’ailleurs, trop complexe à digéré Je lutte chaque jour pour ne pas pendre- Ma conscience qui lutte pour ne pas devenir fou Qui lutte pour ne pas haïr absolument tout Même après m’être questionner je ne trouve aucune réponse Même les tranquillisants les plus fort me permettent qu’une defonce Qui pourrais me faire oublier la froideur de ce monde Mes pleures ,meme de glace, arrivant au sol,fondent Et j’aimerais bien toucher chaque personne Comme une larme qui coule derrière le phone Plus qu’une insomnie ma vie un foutoir complet Ou chaque choses qui se passe te nuisent Une enfance qui te construit AH je comprends mieux pourquoi je me complaît Dans la tristesse et autres formes de nuit Mes yeux chaque jour plus sombre Des cernes qui ne guérissent plus On les confonds souvent avec l’ombre L’ombre des âmes qui ne vivent plus Des gars comme toi et moi qui ont préféré en finir Parfois j’y pense et je me dis que j’aimerais n’être quun souvenir D’une lointaine époque Que ma vie ne soit plus qu’un détail d’une histoire Je sais que c’est pas ouf mais bon...
@@Simfeaaa mec Jviens juste de voir ton com et très sincèrement bah j’ai un blocage j’ai vraiment pas l’impression de savoir bien écrire mais merci beaucoup 🙏
Ptit texte Je balaye devant ma porte Avant de m'occuper des autres Est ce que c'est de ma faute Si ces gens ne tiennent pas le bon rôle La vie m'as beaucoup déçu Mais je suis passé au dessus Et jusqu'à présent, rien ne m'obstrue Jsuis seul quand j'avance dans la rue Au fur et à mesure que je marche, j'entends les ptits qui s'insulte Tu penses que leur parents
Les yeux shit, vers le ciel. Fume des tiges de charbon. Avant le wagon pour le charbon. Défilent, affiches, de bleue laguon. Dans la tête des poissons. Puis le taff, routine fumant vieux dragon. Attendre la pose café, comme une douce vahiné. Nuage de lait, on pense soleil, odeur vanillé. Chacune de mes bouffees me rappel. Que le temps n ai qu une pelle, qui creuse pour moi. Et mon boss me rappel, pour des miettes pas du sables, que pour du rêve y me payera pas. A l envers mon sablier. mon réveil, peut rien, pour mes rêves éveillés. J ai demandé à peter, d arrêter venir me chercher. Pan pan en sueur, je me suis encore réveillé.
Encore un texte dans l’noir Quand tout humain broie son espoir Tout me laisse croire Qu’on finira l’jeu sans victoire Plus rien à vivre Plus rien à voir Plus rien soutenir Encaisse plus les miroirs Quand même ton reflet Possède les marques du désespoir Ça désespère Jusqu’à ne plus y croire Jusqu’à perdre tes frères Qui ne veulent plus te voir boire A 200 sur les routes Les yeux loin du compteur Si seulement tu pouvais T’échapper en déserteur Le regard de ton père Peut apaiser tes peurs Mais sans ta mère Tu dois apaiser ses pleurs Qui peut apaiser les tiens ? Quand seul dans la nuit Plus rien ne te retiens Pour risquer l’incartade Tranche des larmes de chagrin Pour chaque écart C’est une trace sur les mains Des traits sous les yeux Sous l’emprise du malin Des mots malheureux Pour ceux à qui tu tiens C’est le mal du bien Quand tu n’crois plus à rien Quand le cœur sans moyens Se débat loin des siens Rejoindre Népal la consécration Partir trop jeune et plein d’ambitions Mais qui écouterait tes sons ? Qui ressentirait C’que le monde a d’oppression C’que le monde a de pression Provoquant dépression Provoquante régression Avenir en perdition En recherche de mission T’a juste besoin d’un sens à donner Pas d’avis pas d’astuce Juste raison d’se lever Sans raison travailler Mais que leur ont-ils fait ? Plus rien n’a de sens C’est un monde inversé Faut trouver pour chercher Pleurer pour arranger T’es la rage incarnée Insomnies t’ont calmées T’es-tu déjà vu écrire à 3h du mat ? Impossible plus tôt ou plus tard Dans la tête habite un traître T’a t-il déjà indiqué la plus proche fenêtre ? As-tu déjà résisté à tous ses appels à l’aide ? Obligé de gagner sans quoi te voila dead On circule dans la ville Heureusement qu’y a la clique Le soleil se fait tard L’ambiance est aux fêtards Mais y’aura qu’un pétard Vas-y fais tourner. Le monde est trop instable Ça fait que d’tourner. (Pont)
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement? Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte? Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger? Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"? N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang Dans le même wagon du RER où t'étais seul Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter? Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté? Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé? Est-ce que tu gardais, à l'époque Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes? Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse? L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle? Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux? Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs? Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même? Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"? Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe? Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof? As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam? Victime du seum et du stress qui détruit nos organes En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme? Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi' En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle? Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle? Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct? T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point? Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé? T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé? Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin? Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français? J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, j'ai pas fait HEC J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po, j'ai pas fait HEC J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place? Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres Le sang glacial sous la polaire, j'médite J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier Qui a conseillé la conseillère d'orientation? Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Entrer dans ce monde plat nous dessert J'plane, est-ce le désir? J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures Un petit grain de sable La solitude m'inspire des airs Et j'entends tout ce rap dans mon crâne Comme des mantras qui m'entravent Et, même quand on montera Y a toujours quelque chose qui manquera Tant que j'continuerai à reculer pour compter mes pas Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas qu'on t'aimait pas C'est juste qu'on t'ignorait Pire qu'un robot d'Asimov Ta vie, un casino T'es quasiment en liberté, enfermé dans des cases immenses Une femme battue se fait carna Carnage désincarné Sang écarlate sur le carrelage Moi, je garde ça dans un carnet Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant Trop de moments précieux, vis le moment présent J'emmerde l'horloger, tu f'rais mieux de réfléchir Famille de réfugiés jamais relogée Quand j'parle de valeurs, ils m'parlent de premiers prix Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris En dépit de l'esprit, on est pris dans les cris Seul face à mon reflet, aucune symétrie Et puis j'ai rendu la seule qui m'aimait triste Celle qui s'était éprise de mes tristes débris Et mes regrets m'étripent car j'ai vu depuis Mes écrits la détruire, la déprime l'amaigrir Quand l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement Comme la fin d'un monde où l'soleil mourant est gris Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité Putride devient l'esprit qu'on a pétri de modernité Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons C'est pour les cyborgs défectueux, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? hey
Dans le rap ,j'ai un tour d'avance Je cours dans le rap je suis déjà premier je pense Je rappe et déjà je me lances En travail ,en mange en dors et les projets arrivent quand Quand je pense ,ce monde est habituel En est déjà habitué je ne mens pas Les plus grands comiques sont souvent les plus tristes Les plus grands rappeurs leur vie n'est pas rangés comme Tetris Cest grâce au nuage ,que j'aurai pas la tête dans les nuages j'ai déjà 19 ans d'âge Je rappe ,j'ai pose mes rimes mes écrits mes rimes stylé, La vie se sauve parfois grâce au stylo C'est parfois une évidence Mais beaucoup de mensonge dansent Sur cette terre Si on dirai la vérité En aurai dis que c'est un mensonge En peut dire qu'il y a des mystères ,depuis la nuit des temps La misère non supprimé , toujours pas trouver la solution Malgres les progrès de l'humanité, Des millions de problèmes mais bien sûr que quelques solutions,que personnent a hérité La vérité est un arbre ,le mensonge est une forêt En a écouté ,mais sa rentre de l'autre oreille
J’ai longtemps cru la foie de croire en moi avant les autres Fier jusqu’à la mort et les mauvais savent qu’on s’en fou Le fond du mal reflète la forme, les sages savent qu’on le vaut Coupons les liens faibles avant d’en subir la rupture Le produit d’un amour sincère est dans le pardon, pardonne moi J’ai fuis les jours qui viennent comme un lache, mais j’suis qu’un homme On a mérité des baffes quand le temps était de notre côté Aveuglé par la beauté on se laisse porté par reel ? Le bois regorge d’eau, il prend pas feu Un peu ton corps Les larmes aux sels ont coulé Les sang est étalé sur nos plaies profondes qui nous saignent Au fond on sait qu’on s’aime Mais les frontières n’y connaissent rien La vie prévoit un train pour les gens amoureux qui s’haine ? On souffre et on le sait, mais comment guérir par le sang ? Le sens nous tourne autour sans même jamais nous effleurer Des minutes grandes pour se serrer Des petites heures qu’on voit voler Les temps sont comme les gens, changent et rechangent selon l’instant Les bicraveurs le savent, les clients ne voit que la poudre J’ai croisé certains anges qui en plein vols ont pris foudre Courir après l’bonheur j’ai essayé J’ai pas l’cardio Le malheur t’attend derrière avec des bouteilles d’eau La vérité est sous le ciel, au dessus c’est l’éternel J’ai longtemps fait le sourd quand j’entendais le tonnerre surgir Ma langue est flouté par la politesse C’est quoi ce jolie mot ? La société se meurt dans ce monde remplie de jeux sans notices Les fachos tirent sur flics, et les appellent au passage J’aimerai qu’on reviennent au temps d’avant celui des cathédrales Les larmes soignent la haine et les plaies s’insurgent d’alcool On prie le ciel de v’nir en aide alors que lui mème nous idole J’ai jamais pris toutes ces conneries C’est pas mainteant que j’vais m’y mettre Une connexion partielle entre elle et moi c’est évident qu’on s’aime ? Elle part en laissant brûler la moitié d’une adolescence L’essence est une richesse mais les richesses sont dur à prendre Alors on fuit, le regard dans le vide J’ai le coeur qui se vide de sentiments comme l’estomac du mec d’en bas quand les centimes manquent L’adrénaline fait le tri la nuit entre vrais potes Certains partent en courant et d’autres se tapent avec la rage sous dope A la recherche de l’antidote, les anciens flop quand ils se proclament à la mode C’est l’antilope qui fait l’crocher pas la lionne Chaque verres comptent, l’alcool montent, le pilon te rend apte à la discussion Poumon noir, comme ton coeur, relation en feu j’suis l’charbon On est prit dans les débris, c’est dur de rester debout Celui qu’a la plus belle vue, n’a pas tout l’temps la plus belle vie Le chagrin forme des guerriers prêt à affronter la misère J’ai connu les temps dur me fait pas croire que j’viens d’en haut Le visage en sang, c’est là qu’tu retiens pas tes mots Ces fils de putes craches sur mon nom, moi sur le tombent, c’est la monnaie d’la pièce J’vends pas la haze parce que j’ai d’autre que-tru a faire On est dedans comme dans un chatte On effleure chacune de tes problèmes avec un sourire au lèvres Les mains levé vers l’éternel J’éternue quand je vois les traitres vouloir me faire la bise On apprend de nos fautes, personnes n’en abusent Dans ce monde lache les liens se forment et se défont comme des lacets C’est sous drogue dur qu’on se stimule Voilà pourquoi on tombe Le regard dans le vide, avec le verre pleins quelques secondes A foison j’ai pris des coups, les laches sont remplie d’amertume Ils voulait joué les fou mais sont rongé par la fame Y a pas d’acteur qui croit au rêves, vu qu’il persistent dans leur model On est la moyenne de nos potes, regarde bien ceux qui t’aiment Les vrais resteront sans fautes et les intéressé s’demele
J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place? Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres Le sang glacial sous la polaire, j'médite J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier Qui a conseillé la conseillère d'orientation? Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Entrer dans ce monde plat nous dessert J'plane, est-ce le désir? J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures Un petit grain de sable La solitude m'inspire des airs
J’écris un autre soir sur cette instru si posée J’quitte enfin cette ville Encore une étape de passée Il m’a fallu 6ans pour encore aimer, T’as mis 3 mois à terminer mon esprit si bousillé J’perd la face,face à c‘que je t’ai donné T’occupera mon esprit sur quelques mois ou année Même si tu m’as d’ja oublié J’t’oublierais un soir d’hiver, j’penserais à toi entrain d’marcher Capuche de la North Face sur la tête, Quand l’argent reprendra le dessus, Que je mettrais même pas les pieds à une fête, De tout ça y’a de quoi d’perd la tête, J’partirais solo au bout du monde accepter cette défaite, Tous un peu hypocrites, Plus j’grandis et plus le monde est bête Pas de nouvelles bonne nouvelles T’es peut-être déjà dans le lit d’un gars, Qui t’considère que pour du sexe charnel, J’n’attend que toi,moi, loyal et loin du vice universel T’penseras même pas a mon anniversaire Une énième bougie soufflée dans nos réalité si amères J’suis l’Idéaliste qui voit les choses de façon contraires Pardonne mon regard et ma froideur j’ai grandi sans père, Une mère triste et seule Très tôt le cœur noir les deux font la paire, Toujours à manger dans l’assiette, Des larmes face aux factures, des images qui se répètent dans ma tête J’veux sauver et brûler le monde mon instabilité empiète J’ferais tout pour un seul bonheur, Celui de l’âme qui m’a fait naître Un jour l’hameçon coulera La vie tournera, Que nos sacrifices ne soient pas vains, Qu’on soit dans d’beaux draps, Et j’attend encore celle qui me changera, Une femme sans vice, douce et qui redonne la foi, Dans un monde qui coule et qui m’rend très froid, Soit la réussite soit la chute j’attend d’savoir, Un king size ou une lame de rasoir tard le soir, Une nuit qui t’prend qui t’broie Une tourmente qui n’en a qu’après toi, J’cherche le sens de tout ça, Multiples réponses pour si peu d’questions Vagabonder pour trouver la lumière dans le noir
J’pose un regard sur la lumière qui est en moi, Tiraillé aussi tôt par un quotidien que j’apprécie pas, Ma vision de c’qui se passe dans l’espace temps me dépasse, État second dans l’appart si tu m’demande comment ça va je te dis ça s’passe Ils te laisseront pas marquer n’attend pas la passe Futilité amicales et sentimentales, Pas le temps pour ça j’prend pas de pause Photo souvenir, lèvres pulpeuses tu prend la pose A nos ébats, corps partagés,quand fallait être discrets Trahison plus terrible que les souvenirs des follements de ta voix de nos nuits acharnées, Si t’étais comme ils disaient? Si ta douceur malsaine cachait le reflet de ton visage et de ce que t’es Le diable prend l’apparence d’une femme intérieure n’est pas ta beauté, J’lache l’affaire pourtant l’âme à travers de ton regard ne fais que transpercer, Un cœur bien trop fermé, Sentiments bien trop partagés, La boucle est bouclée
Jregarde mon relfet dans les yeux J'vois des problèmes mais c'est pas grave Jrepense à ma main dans ses veuchs Pourquoi j'vais mieux quand j'me sens mal Mon père m'appelle J'suis parti donc Ça m'apaise L'émotion dans sa voix Évidemment qu'ça me pèse Puis jmenferme dans une pièce À mon mic jraconte mes peines Comment c'est possible d'rester Positif Ce monde me fout la haine jroule un pers J'ai vla la fumée dans la trachée Jmene une guerre contre moi même J'ai l'impression d'être dans les tranchées Fait belek la lame elle est tranchante Jcontinuerai de rapper même quand j'aurai dépassé 30 ans J'veux pas rater ma vie donc je vie le moment présent J'écoute mon Instinct quand faut agir dans l'instant En smoment J'suis instable J'lis tes messages comme des spams Jme perds sur insta, tout lmonde s'prend, pour une star Jperds la tête comme Ed' Stark J'ai des flash, quand j'te stalk J'ai surmonté, le pire stade Parler d'toi, faut qu'je stop Le rap mon antidote Si ya pas la presence de mes potes Mon père a des dreadlocks Donc un pour un taff il trouve pas d'porte À 17 ans premier appart Je fume un pilon j'suis autre part Si le secteur fait du biff, Bien-sûr que je prendrai ma part Fuck les cops Faut briser les anciens codes Réveil à 6 heures du mat pour faire blocus d'vant l'école, Eh C'est les blessures qui forgent l'écorce Les yeux gazé par les keufs j'peux plus taper mon digicode
Les yeux rivés Sur la rivière Mes mains frippés Sur une civière Hier je suis né, demain je suis sous terre Je suis un bouffon pour eux car je roule pas de joint de beuh Rien à faire je suis pas comme eux Je suis comme pas deux Je suis pacome 2
Pour toi Sofia ❤️ [Refrain] Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser C’est le seul de moyen de te parler Je veux juste t’aimer mais c’est pas gagner Depuis des jours tu ne quittes jamais mes pensées Je te veux a mes côtes Peu importe ce que ça dois me couter Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure [Couplet 1] Je prendrais soin de toi comme mes paupières J’voudrais jamais te dire un adieux J’ai l’impression t’es atteignable comme l’horizon Aussi philosophique que corazon Ton regard et si claire Quand j’te vois j’ai l’impression de regarder la mer Tu va peut être choqué Et sa j’suis désolé Mais quand tu parles avec moi J’fais que de penser a toi Tu me fais galérer Mais j’sais pas comment l’avouer J’veux m’tailler avec toi comme dans un conte de fée Mais ça peux pas être vrai alors j’ferrais d’notre amour un animé Tu demandes juste a être aimé Et moi je veux vraiment t’aimer [Refrain] Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser C’est le seul de moyen de te parler Je veux juste t’aimer , c’est une bataille Je te protégerais comme Hinata dans Naruto Je te veux a mes côtes Peu importe ce que ça dois me couter Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure [Couplet 2] Je voyais que nous mais la j’vois flou J’veux juste faire un trou dans ma tête Plus aucune raison de faire la fête Du coup j’pense vraiment qu’a toi J’suis vraiment rien sans toi Pour toi j’pourrais faire l’premier pas Mais j’ai l’impression que j’te mérite pas Mais si t’es heureuse j’serais heureux pour toi. Je te promet de rester fidèle et de te rendre heureuse La seule chose qui pourra nous séparer c’est cette faucheuse Je t’aimerais infiniment jusqu’a l’épuisement de mon âme Quand enfin j’verrais la lumière ça voudra dire que t’es devenue ma Femme [Refrain] Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser C’est le seul de moyen de te parler Je veux juste t’aimer , c’est une bataille Je te protégerais comme Hinata dans Naruto Je te veux a mes côtes Peu importe ce que ça dois me couter Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure [Couplet 3] Ça fais que 2 mois qu’on parle ensemble On pourrais dire que je m’enflamme mais c’est le commencement Mais j’ai vraiment envie d’y croire Même si y’a très peu d’espoir J’écris la nuit et je vois que mes texte sont moins noir Grâce a toi je re découvre l’espoir Vu que maintenant c’est toi qui alimente mon cœur Encore une fois j’écrit sur toi C’est juste que je suis fou de toi J’ai aucun moyen de t’en parler Ça va peut être te choquer Même si tu veux me bloquer J’peux pas me contrôler J’ai l’impression t’es atteignable Mais j’peux y arriver et sa j’le sais Car c’est avec toi que je veux me marier [Refrain] Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser C’est le seul de moyen de te parler Je veux juste t’aimer , c’est une bataille Je te protégerais comme Hinata dans Naruto Je te veux a mes côtes Peu importe ce que ça dois me couter Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure
A l’abri des regards, les mots ce masquent en vus des proses, J’écris des pavés sans refrains, j’dérobe mes vices, tout ces défauts J’compte même plus les lois enfreintes , le nombres de filles, tout ces gens faux. La première scène ce filme tout ce dessine jusqu’au sans faute Tu voyais l’signe mais c’etais fourbe, Avec des Si, j’remplie mes gourdes Avec cette fille, j’ai fais là bourde Sa part en vrille, La cage est folle, Ma clope ce grille, ou sont les fauves Un seul enjeux, j’engage mes forces, Tout dans le spliff j’allume les tords Du mal à calculé, en sommes, j’aurais besoin d’un PSY J’vous captes pas, en vol le satellite à vétie la camis’ dans ma tête c’est l’Asile, J’Me sent vrai parmis les fous Mais en vrai quesqu’on s’en fou, Faut ce laisser bercer par la Zik Les rêves manquent de couleurs, le sommeil est dans l’flou J’gamberge dans la douleurs, j’me ferais peter ce jours. Rimes artifices, l’art des mots est troublante J’commet des crimes artificielles et dans mon coeur cest pas tout blanc les cries n’ont rien d’communs, Libère ta rage en sortant du coma,
Quand jregarde tt squi nous entoure j’ai l’impresssion dme sentir seul J’écris tout ce que je ressens pourtant blanche est ma feuille J’avance dans l’noir en m’demandant à quoi ressemble la peur J’écris des phrases et des textes et des rimes mais pourtant j’me sens seul Alors je fuis La seule réalité qui m’concerne Tu me répétais qu’javais trop d’cernes Désormais j’me sens bien sans toi C’est Comme si j’avais retrouvé ce qui avait de mieux en moi Mais quand t’es partie je traînais tout seul dans la ville vec moi y’a pas d’amour à sens unique Nn nn . "Si je le veux bah tu le fais Si tu le veux bah j’hésite un peu " Musulman chrétien ou juif On porte tous un nom différent Ça nous sépare ça nous rassemble En ce moment j’ai l’impression que plus rien nous rassemble Les humains sont tous vides d’humanité Être humain ça devient une qualité On se cache dans une fausse égalité On se noie dans une fausse réalité Si tu penses être différent des autres c’est qu’tes coincé Pour te réveiller faudrait te pincer- Montrer ses opinions c’est devnus un peché- Plus j’avance et plus jme rend compte qu’on est piégé
J'aimerais être contemporain autant qu'intemporel Pour ça j'contemplerai le ciel J'suis d'ceux qui tendent l'oreille Pas d'ceux qu'attendent pour rien Y avait personne quand on pleurait C'est l'hécatombe, qu'importe le réel Vu qu'c'est Dieu qu'emporte le rêve Mon Seigneur c'est pour ça qu'on t'implorait J'vois les restes de bons sentiments Dans mon cœur incorporés Emportés par un corbeau, incarné par ton corps J'pourrais encore pleurer Mais j'suis plus qu'un missile téléguidé Que t'as armé quand t'as décidé d'me quitter J'sais plus qui t'es, pourtant c'est Entièrement de ma faute, t'as tout faux Si tu crois qu'les garçons vont en boite pour danser On pense avoir l'temps d'se rattraper Quand faut se dépêcher, parmi ceux qu'on fait céder Combien veulent confesser des pêchés? J'ai prédit qu'certains s'aideraient d'un psy hin On a tous le droit à cette rédemption Alors j'ai épousé ma plume Pour affronter les tempêtes et repousser la brume Y en a qu'une et elle m'absorbe Comme la goutte d'encre sur laquelle j'mets l'accent J'suis là pourtant mais j'suis absent, ouais J'ai épousé ma plume Ce soir pour mes matelots y aura pas d'dîner dansant On partagera une 'teille qu'on fera 'ner-'ner dans l'centre Ouais on aime être ensemble, toute l'année, les gens l'sentent Attirés par la violence parc'qu'on est nés dans l'sang Aucune affaire conclue avec les lâches Ceux qu'on eu quand j'avais rien À part l'amour d'mes galériens, ceux qu'on hue, avec des « H » Seul dans ma hutte, les yeux sur mon avenue Je pense à tout ceux qu'ils ont eu La roue tourne plus, y a sûrement un U Je pense à toi mon frère qu'a épousé ta plume Dépoussiéré ton armure et repoussé la brume Liquide nocif dans ta Cristalline dès que la crise t'abîme Et quand t'écris ces lignes Des étoiles qui s'alignent hors de ta chrysalide Bénie soit celle qui embellit ton ciel Même dans l'horreur pénitentiaire Quand tes erreurs pénibles t'encerclent Et quand le mal t'enserre T'as une femme sincère t'en es maintenant certain Car dans tes yeux les flammes dansèrent Force à toi si t'as épousé ta plume Si c'est la seule qui t'a plu Si vos chemins n'se quittent plus Moi elle m'absorbe comme la goutte d'encre sur laquelle j'mets l'accent J'suis là pourtant mais j'suis absent, c'est vrai J'suis plus vraiment là depuis qu'j'ai épousé ma plume Pour affronter les tempêtes et repousser la brume Y en a qu'une et elle m'absorbe J'suis là pourtant mais j'suis absent, hein Si j'étais un marin je lèverai l'ancre et Mon verre de rhum et j'chanterai À la gloire des femmes aux robes échancrées Y en a certaines que j'oublie vite, et je fuis comme un lâche Mais toi t'es parti en m'laissant blanc comme un linge face au lit vide Si tu laisses la flamme mourir, je mourrai d'abord N'oublie pas que le pardon se nourrit d'aveux D'un œil accusateur, tous les passants scrutent nos disputes Mais, ça ne les regarde pas, l'amour est aveugle Rien d'plus dangereux qu'une fille au cœur brisé Mais ta haine c'est ma seule lumière dans ce tunnel Car si tu m'détestes c'est qu'tu m'aimes J't'ai pas laissé de répit, en apparence Tu t'es épris d'un autre que moi pour me détruire Tu m'annonces que ton cœur est pris et puis On fait l'amour, tu trouves ça maléfique et dément Et ton amant étonnamment est plus magnétique qu'un mari aimant Aimant, aimant, aimant, aimant Tu sais, moi j'ai épousé cette plume Elle m'empêche de t'aimer Elle m'empêche d'écrire qu'on s'aime plus J'ai épousé cette plume Elle m'empêche de t'aimer Elle m'empêche d'écrire qu'on s'aime plus
C’est avec la boule ventre que j’commence ce titre Que j’commente ce beat, encore un texte que j’edit Et vu la mélodie j’peux pas faire d’l’égotrip J’evitait jusque là, mais là j’dois t’raconter ma vie Effriter jusque tard, mes démons viennent hanter la ville Et le soir,
J'observe ces hommes en costume Noyés dans cette masse informe Cette femme au visage dur qui passe en force Elle pense fort à sa carrière, fonce Malgré le harcèlement des hommes Mais la seule chose qui la pousse Quelque part, c'est le manque Elle a besoin de plus qu'un anti-dépresseur assez puissant Mais si elle laissait libre court à ses pulsions En vrai ce qu'elle ferait, c'est qu'elle peindrait Sur une fresque élevée, ses séquelles, elle sait ce qu'elle veut C'est quelque chose de presque élémentaire Après, est-ce qu'elle est mentalement prête? J'aimerais presque qu'elle m'enterre avant que le temps la prenne Avant qu'elle devienne un vrai squelette Et qu'on la perde au sens large, un vrai squelette Que l'on exhibe en sciences nat' pendant l'aprèm Un sourire éternel qui traîne en elle Comme si cette vie n'était qu'une triste blague Alors ils l'exhibent pour que l'on apprenne de force Que le règne de l'homme se trouve dans la science Et que la magie n'existe pas Mais on résistera Dans ta tête ça tourne pas rond Tes pensées sont des ellipses Le système te permet de voler Mais c'est pas des ailes, c'est des hélices Contrôle-toi ou fais-toi contrôler On peut être libre ou prisonnier de ses vices Et si les enfants décident de prendre le relai Les suivants subiront des années de sévices Soudain la gare se vide et les regards s'évitent Et c'est la guerre civile, elle est si vile L'amour se perd si vite La Terre mère étouffe sous la saleté de ses fils Face à ces idées qu'on subit, je sais, la cécité te séduit Nombrils égo-centrés, très peu s'entraident Triste ironie d'une société de services Les gens dans le besoin passent après les apparences qu'on va bientôt devoir sauver Que dire à ton voisin qu'a perdu ses grands-parents dans le ghetto de Varsovie Alors t'as gueulé sans trêve Et tu t'es plié en 4 sans trèfle Tes neurones ont grillé, ton cœur est cendré T'as jamais su plier quand t'as besoin d'rêve Peu de sang frais, dur de te concentrer Toute ton enfance dans des zones excentrées Tu es jeune et ambitieux donc tu te sens prêt Déjà tit-pe tu n'écoutais que le 113 T'as dit à ta mère "je reviens, le temps presse" Y a que pour te faire monter que je descendrai Un jour j'achèterai l'immeuble entier Juste pour être sûr qu'on te laisse entrer (toi) Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Tu sens bien que t'es unique Tu veux pas qu'on te double L'homme est lâche comme un nœud Et tu planes comme le doute Les liens se font et se défont Les humains s'offensent et se défoncent Même du sommet des arbres, tout ça te dépasse Tes sommes de pensées qu'le sommeil efface Nous sommes des zombies, nous sommes des masques Que des Hommes de face désormais néfastes Des zones désolées, des hommes et des femmes Tu te sens d'aucun des clans Des sourires en coin, des clins d'œil Avant le deuil d'un amour en déclin Fuir la nature immatérielle C'est pas sûr qu'on puisse Face à la lumière intérieure C'est nos yeux qu'on plisse Ils disent que l'amour rend aveugle Mais il t'a redonné la vue Il t'as fait muer quand ta rage était sourde Il a fait fredonner la rue Il t'a fait retirer le collier de chien qui te servait d'écharpe (toi) L'Éducation t'a fait désapprendre des choses essentielles que tu savais déjà Surtout n'oublie pas qu'avant tu riais mais l'amour te libère L'as-tu oublié? T'es rien dans l'univers Et avant tu rayonnais, libère ta lumière Ils voudront te raisonner Libère ta lumière, et Aventurier de l'inconnu (aventurier de l'in') Avant tu riais de l'inconnu (aventurier de l'in') Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais Aventurier de l'inconnu Avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement? Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte? Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger? Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"? N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang Dans le même wagon du RER où t'étais seul Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter? Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté? Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé? Est-ce que tu gardais, à l'époque Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes? Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse? L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle? Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux? Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs? Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même? Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"? Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe? Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof? As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam? Victime du seum et du stress qui détruit nos organes En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme? Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi' En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle? Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle? Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct? T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point? Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé? T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé? Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin? Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français? J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, j'ai pas fait HEC J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po, j'ai pas fait HEC J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place? Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres Le sang glacial sous la polaire, j'médite J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier Qui a conseillé la conseillère d'orientation? Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Entrer dans ce monde plat nous dessert J'plane, est-ce le désir? J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures Un petit grain de sable La solitude m'inspire des airs Et j'entends tout ce rap dans mon crâne Comme des mantras qui m'entravent Et, même quand on montera Y a toujours quelque chose qui manquera Tant que j'continuerai à reculer pour compter mes pas Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas qu'on t'aimait pas C'est juste qu'on t'ignorait Pire qu'un robot d'Asimov Ta vie, un casino T'es quasiment en liberté, enfermé dans des cases immenses Une femme battue se fait carna Carnage désincarné Sang écarlate sur le carrelage Moi, je garde ça dans un carnet Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant Trop de moments précieux, vis le moment présent J'emmerde l'horloger, tu f'rais mieux de réfléchir Famille de réfugiés jamais relogée Quand j'parle de valeurs, ils m'parlent de premiers prix Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris En dépit de l'esprit, on est pris dans les cris Seul face à mon reflet, aucune symétrie Et puis j'ai rendu la seule qui m'aimait triste Celle qui s'était éprise de mes tristes débris Et mes regrets m'étripent car j'ai vu depuis Mes écrits la détruire, la déprime l'amaigrir Quand l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement Comme la fin d'un monde où l'soleil mourant est gris Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité Putride devient l'esprit qu'on a pétri de modernité Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons C'est pour les cyborgs défectueux, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? hey
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement? Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte? Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger? Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"? N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang Dans le même wagon du RER où t'étais seul Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter? Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté? Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé? Est-ce que tu gardais, à l'époque Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes? Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse? L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle? Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux? Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs? Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même? Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"? Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe? Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof? As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam? Victime du seum et du stress qui détruit nos organes En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme? Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi' En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle? Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle? Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct? T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point? Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé? T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé? Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin? Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement? Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte? Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger? Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"? N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang Dans le même wagon du RER où t'étais seul Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter? Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté? Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé? Est-ce que tu gardais, à l'époque Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes? Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse? L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle? Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux? Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs? Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même? Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"? Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe? Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof? As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam? Victime du seum et du stress qui détruit nos organes En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme? Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi' En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle? Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle? Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct? T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point? Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé? T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé? Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin? Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français? J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, j'ai pas fait HEC J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po, j'ai pas fait HEC J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place? Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres Le sang glacial sous la polaire, j'médite J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier Qui a conseillé la conseillère d'orientation? Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Entrer dans ce monde plat nous dessert J'plane, est-ce le désir? J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures Un petit grain de sable La solitude m'inspire des airs Et j'entends tout ce rap dans mon crâne Comme des mantras qui m'entravent Et, même quand on montera Y a toujours quelque chose qui manquera Tant que j'continuerai à reculer pour compter mes pas Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas qu'on t'aimait pas C'est juste qu'on t'ignorait Pire qu'un robot d'Asimov Ta vie, un casino T'es quasiment en liberté, enfermé dans des cases immenses Une femme battue se fait carna Carnage désincarné Sang écarlate sur le carrelage Moi, je garde ça dans un carnet Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant Trop de moments précieux, vis le moment présent J'emmerde l'horloger, tu f'rais mieux de réfléchir Famille de réfugiés jamais relogée Quand j'parle de valeurs, ils m'parlent de premiers prix Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris En dépit de l'esprit, on est pris dans les cris Seul face à mon reflet, aucune symétrie Et puis j'ai rendu la seule qui m'aimait triste Celle qui s'était éprise de mes tristes débris Et mes regrets m'étripent car j'ai vu depuis Mes écrits la détruire, la déprime l'amaigrir Quand l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement Comme la fin d'un monde où l'soleil mourant est gris Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité Putride devient l'esprit qu'on a pétri de modernité Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons C'est pour les cyborgs défectueux, les Éléphant Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? hey
Les yeux sur écran qui chauffe, j’me rends compte que la vie n’est pas rose
Si j’me mouille faut pas qu’je coule, deux larmes qui accompagnes mes paroles
J’prends mes distances en ce moment, je sais qu’ça ravi pas mes proches
J’veux faire le tour de mes pensées mais là j’ai plus rien dans les poches
Le cœur en mode automatique, je sais qu’ça ravive pas mes souvenirs
J’voulais te voir une dernière fois, la vie t’as transformé en souvenir
Mais c’est pas possible, mains dans les poches alors je marche seul
Dans les mêmes rues d’ma ville où y’a deux ans j’me sentais grave seul
Mais j’avance quand même, la distance nous sépare en écart
J’voudrai savoir quoi penser d’moi mais la musique fait qu’je m’égare
Est-ce qu’on t’as balafré avec des mots sans se rendre compte
Que la puissance de ces derniers peut faire ces derniers peut faire escalader le pont
Sur un trois secondes plus tard, y’a la mort qui toque à la porte
En moins d’une seconde chrono, y’a l’amour qui court à la perte
On se sent jeune, on s’détruit à la santé des illusions
On prend un coeur, on l’détruit a l’honneur des désillusions
Qui nous ont frappé, choqué, saches que là j’appaise mes mots
Plus un bruit qui sort d’ma bouche, si un je pèse mes mots
J’pense aux proche parti trop tôt, je cueille une fleur, je pense mes morts
Faudrait plus d’un millier de roses si un beau jour je panse mes maux
Désolé maman si en c’moment ton fils est distant
J’aimerai te parler de tout mais y’a des mots qui ne disent pas
Ma belle, j’apprends au fil du temps, que les mots d’amour ne se disent plus
Ces lettres misent à la chaîne nous détruirons pendant les disputes
Alors on s’égare, on s’aime puis on s’écarte
Vu qu’nos pensées correspondent plus à c’qu’on disait au départ
Mais sur la ligne ligne d’arrivée, j’ai aperçu des pas
Ceux de nos futurs enfants pour qui je n’existerai pas
J’ai prit l’habitude d’émotions qui n’auraient jamais dû m’atteindre
J’ai les pensées qui s’entremêlent quand j’ai la vraie vie sur la tempe
La réussite nous appellera et j’la mettrai pas sur attente
J’ai une histoire enfui dans l’âme et tu peux le voir sur ma teinte
Le plus douloureux, c’est d’voir ce qu’on était disparaître
Ils diront qu’ils seront là pour toi mais tous les humains disent pareil
Quand j’ai compris ce que j’valais, plus rien n’se jouait au paraître
Un matin tu te réveille et la boule au ventre disparait
Alors t’avances, fier dans ta ville, les problèmes derrière toi
Et tu t’rappelles, d’elle dans ta vie, les problèmes te dépassent
Les pensées noires prennent le contrôle, alors tu divague sur un toit
Les souvenirs te feront glisser, mais tu tomberas sur un tas
De souvenirs qui raviveront les conditions de l’arrachement
Que tu as subit et qui fera qu’en peu de temps la rage monte
J’ai vu défilé mes erreurs
J’suis seul face à mes doutes
J’dors plus la nuit, j’attends l’aurore
J’sais plus vraiment c’que je redoute
J’ai pris conscient de c’qui m’entoure
Mais j’lai fait au mauvais timing
C’est mes propres mains qui m’enterrent
Un mauvais choix ruinera ta vie
Et j’en ai croisé du monde
Sur la grande route des épreuves
Une vue aérienne sur le monde
Sur la grande roue, j’vois les épaves
De tous leurs corps, si pour gagner faut faire des choix
On les fera
J’ai vu mon cœur s’accélérer, le jour où ta peau m’effleura
Ma fréquence cardiaque s’accélère
Scelle nos souvenirs comme Latimer
On saura jamais quand c’est l’heure
Quels s’raient tes mots si là tu meurs
On banalise et ça d’vient grave
On tourne le dos comme des ingrats
Comme un oiseau j’veux tant voler
On sait pas quand la mort viendra
Tu peux être au bord du plongeoir
Un oiseau passant au d’ssus d’toi
Sept jours plus tard comme ce dernier
Vers le ciel tu peux t’envoler
Au fond de moi, je garde la foi
Je n’sais pas, si les anges m’écoutent
J’peux faire qu’une seule chose à la fois
Pour l’instant j’dois gérer mes doutes
Le ciel s’assombrit..
On n’voit plus les bleus sur son corps
Une larme coule face à son prix
Je n’ai pas pu racheter son cœur
Les problèmes s’empirent..
J’perds le contrôle quand les tours montent
La vent s’empare..
De nos problèmes dans la tourmente
100eme jour seul, face au miroir
Mon reflet a disparu
Des cicatrices qui s’voient dans l’noir
J’en gagne au moins dix par an
La lumière s’éteint, je voudrai que mes écris furent
Dans un silence, j’écris un texte pour affiner mon écriture
Magnifique
pas lu trop long
Parfois tard la nuit
Je pense à certaines choses
Ce que j’aimerais faire de ma vie
Ptetre un jour je pourrais vivre de mes proses
Faire parti des hommes de l’ombre comme oxmo
Ou Népal qui avait l’air d’avoir compris la vie
Pour l’instant j’aimerais juste raconter sa mélancolie
Malheureusement trop de chose dans le cerveau
Beaucoup trop sombre pour pouvoir l’exprimer
Aucun des mots utilisés peuvent me comprendre
Ni aucun ami d’ailleurs, trop complexe à digéré
Je lutte chaque jour pour ne pas pendre-
Ma conscience qui lutte pour ne pas devenir fou
Qui lutte pour ne pas haïr absolument tout
Même après m’être questionner je ne trouve aucune réponse
Même les tranquillisants les plus fort me permettent qu’une defonce
Qui pourrais me faire oublier la froideur de ce monde
Mes pleures ,meme de glace, arrivant au sol,fondent
Et j’aimerais bien toucher chaque personne
Comme une larme qui coule derrière le phone
Plus qu’une insomnie ma vie un foutoir complet
Ou chaque choses qui se passe te nuisent
Une enfance qui te construit AH je comprends mieux pourquoi je me complaît
Dans la tristesse et autres formes de nuit
Mes yeux chaque jour plus sombre
Des cernes qui ne guérissent plus
On les confonds souvent avec l’ombre
L’ombre des âmes qui ne vivent plus
Des gars comme toi et moi qui ont préféré en finir
Parfois j’y pense et je me dis que j’aimerais n’être quun souvenir
D’une lointaine époque
Que ma vie ne soit plus qu’un détail d’une histoire
Je sais que c’est pas ouf mais bon...
C'est super bien gg frérot
@@Simfeaaa mec Jviens juste de voir ton com et très sincèrement bah j’ai un blocage j’ai vraiment pas l’impression de savoir bien écrire mais merci beaucoup 🙏
ptn mec t'écrit grv bien
@@klmfxn3941 merci vraiment c’est grave gentil mais si t’as des remarques à fait hésite pas hein
insane
RIP NÉPAL
Ptit texte
Je balaye devant ma porte
Avant de m'occuper des autres
Est ce que c'est de ma faute
Si ces gens ne tiennent pas le bon rôle
La vie m'as beaucoup déçu
Mais je suis passé au dessus
Et jusqu'à présent, rien ne m'obstrue
Jsuis seul quand j'avance dans la rue
Au fur et à mesure que je marche, j'entends les ptits qui s'insulte
Tu penses que leur parents
Suite
Tu penses que leur parents ferait quoi si il l'avait su
Tfacon je m'en faits pas
J'ai vu des choses bien plus grave.
Lourd 💪🏻🔥
Les yeux shit, vers le ciel.
Fume des tiges de charbon.
Avant le wagon pour le charbon.
Défilent, affiches, de bleue laguon.
Dans la tête des poissons.
Puis le taff, routine fumant vieux dragon.
Attendre la pose café, comme une douce vahiné.
Nuage de lait, on pense soleil, odeur vanillé.
Chacune de mes bouffees me rappel.
Que le temps n ai qu une pelle, qui creuse pour moi.
Et mon boss me rappel, pour des miettes pas du sables, que pour du rêve y me payera pas.
A l envers mon sablier. mon réveil, peut rien, pour mes rêves éveillés.
J ai demandé à peter, d arrêter venir me chercher.
Pan pan en sueur, je me suis encore réveillé.
Encore un texte dans l’noir
Quand tout humain broie son espoir
Tout me laisse croire
Qu’on finira l’jeu sans victoire
Plus rien à vivre
Plus rien à voir
Plus rien soutenir
Encaisse plus les miroirs
Quand même ton reflet
Possède les marques du désespoir
Ça désespère
Jusqu’à ne plus y croire
Jusqu’à perdre tes frères
Qui ne veulent plus te voir boire
A 200 sur les routes
Les yeux loin du compteur
Si seulement tu pouvais
T’échapper en déserteur
Le regard de ton père
Peut apaiser tes peurs
Mais sans ta mère
Tu dois apaiser ses pleurs
Qui peut apaiser les tiens ?
Quand seul dans la nuit
Plus rien ne te retiens
Pour risquer l’incartade
Tranche des larmes de chagrin
Pour chaque écart
C’est une trace sur les mains
Des traits sous les yeux
Sous l’emprise du malin
Des mots malheureux
Pour ceux à qui tu tiens
C’est le mal du bien
Quand tu n’crois plus à rien
Quand le cœur sans moyens
Se débat loin des siens
Rejoindre Népal la consécration
Partir trop jeune et plein d’ambitions
Mais qui écouterait tes sons ?
Qui ressentirait
C’que le monde a d’oppression
C’que le monde a de pression
Provoquant dépression
Provoquante régression
Avenir en perdition
En recherche de mission
T’a juste besoin d’un sens à donner
Pas d’avis pas d’astuce
Juste raison d’se lever
Sans raison travailler
Mais que leur ont-ils fait ?
Plus rien n’a de sens
C’est un monde inversé
Faut trouver pour chercher
Pleurer pour arranger
T’es la rage incarnée
Insomnies t’ont calmées
T’es-tu déjà vu écrire à 3h du mat ?
Impossible plus tôt ou plus tard
Dans la tête habite un traître
T’a t-il déjà indiqué la plus proche fenêtre ?
As-tu déjà résisté à tous ses appels à l’aide ?
Obligé de gagner sans quoi te voila dead
On circule dans la ville
Heureusement qu’y a la clique
Le soleil se fait tard
L’ambiance est aux fêtards
Mais y’aura qu’un pétard
Vas-y fais tourner.
Le monde est trop instable
Ça fait que d’tourner.
(Pont)
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement?
Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère
Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte?
Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger?
Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"?
N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures
Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang
Dans le même wagon du RER où t'étais seul
Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté
Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter?
Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté?
Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé?
Est-ce que tu gardais, à l'époque
Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes?
Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse?
L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette
Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse
De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle?
Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux?
Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs?
Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même?
Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"?
Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe?
Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof?
As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam?
Victime du seum et du stress qui détruit nos organes
En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué
Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme?
Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi'
En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit
T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle?
Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle?
Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct?
T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point?
Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé?
T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé?
Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin?
Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français?
J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, j'ai pas fait HEC
J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée
J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette
J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais
Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po, j'ai pas fait HEC
J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée
J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette
J'me suis longtemps d'mandé
J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire
Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative
Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place?
Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies
À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés
Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve
Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière
Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier
Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse
Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses
Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges
J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien
Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique
Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics
Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres
Le sang glacial sous la polaire, j'médite
J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout
Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie
J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier
Qui a conseillé la conseillère d'orientation?
Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation
Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention
Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre
J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide
C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Entrer dans ce monde plat nous dessert
J'plane, est-ce le désir?
J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre
Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures
Un petit grain de sable
La solitude m'inspire des airs
Et j'entends tout ce rap dans mon crâne
Comme des mantras qui m'entravent
Et, même quand on montera
Y a toujours quelque chose qui manquera
Tant que j'continuerai à reculer pour compter mes pas
Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas qu'on t'aimait pas
C'est juste qu'on t'ignorait
Pire qu'un robot d'Asimov
Ta vie, un casino
T'es quasiment en liberté, enfermé dans des cases immenses
Une femme battue se fait carna
Carnage désincarné
Sang écarlate sur le carrelage
Moi, je garde ça dans un carnet
Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant
Trop de moments précieux, vis le moment présent
J'emmerde l'horloger, tu f'rais mieux de réfléchir
Famille de réfugiés jamais relogée
Quand j'parle de valeurs, ils m'parlent de premiers prix
Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris
En dépit de l'esprit, on est pris dans les cris
Seul face à mon reflet, aucune symétrie
Et puis j'ai rendu la seule qui m'aimait triste
Celle qui s'était éprise de mes tristes débris
Et mes regrets m'étripent car j'ai vu depuis
Mes écrits la détruire, la déprime l'amaigrir
Quand l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement
Comme la fin d'un monde où l'soleil mourant est gris
Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité
Putride devient l'esprit qu'on a pétri de modernité
Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons
Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons
C'est pour les cyborgs défectueux, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert
Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle
Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts?
Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert
Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle
Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? hey
Dans le rap ,j'ai un tour d'avance
Je cours dans le rap je suis déjà premier je pense
Je rappe et déjà je me lances
En travail ,en mange en dors et les projets arrivent quand
Quand je pense ,ce monde est habituel
En est déjà habitué je ne mens pas
Les plus grands comiques sont souvent les plus tristes
Les plus grands rappeurs leur vie n'est pas rangés comme Tetris
Cest grâce au nuage ,que j'aurai pas la tête dans les nuages
j'ai déjà 19 ans d'âge
Je rappe ,j'ai pose mes rimes mes écrits mes rimes stylé,
La vie se sauve parfois grâce au stylo
C'est parfois une évidence
Mais beaucoup de mensonge dansent
Sur cette terre
Si on dirai la vérité
En aurai dis que c'est un mensonge
En peut dire qu'il y a des mystères ,depuis la nuit des temps
La misère non supprimé , toujours pas trouver la solution
Malgres les progrès de l'humanité,
Des millions de problèmes mais bien sûr que quelques solutions,que personnent a hérité
La vérité est un arbre ,le mensonge est une forêt
En a écouté ,mais sa rentre de l'autre oreille
J’ai longtemps cru la foie de croire en moi avant les autres
Fier jusqu’à la mort et les mauvais savent qu’on s’en fou
Le fond du mal reflète la forme, les sages savent qu’on le vaut
Coupons les liens faibles avant d’en subir la rupture
Le produit d’un amour sincère est dans le pardon, pardonne moi
J’ai fuis les jours qui viennent comme un lache, mais j’suis qu’un homme
On a mérité des baffes quand le temps était de notre côté
Aveuglé par la beauté on se laisse porté par reel ?
Le bois regorge d’eau, il prend pas feu
Un peu ton corps
Les larmes aux sels ont coulé
Les sang est étalé sur nos plaies profondes qui nous saignent
Au fond on sait qu’on s’aime
Mais les frontières n’y connaissent rien
La vie prévoit un train pour les gens amoureux qui s’haine ?
On souffre et on le sait, mais comment guérir par le sang ?
Le sens nous tourne autour sans même jamais nous effleurer
Des minutes grandes pour se serrer
Des petites heures qu’on voit voler
Les temps sont comme les gens, changent et rechangent selon l’instant
Les bicraveurs le savent, les clients ne voit que la poudre
J’ai croisé certains anges qui en plein vols ont pris foudre
Courir après l’bonheur j’ai essayé
J’ai pas l’cardio
Le malheur t’attend derrière avec des bouteilles d’eau
La vérité est sous le ciel, au dessus c’est l’éternel
J’ai longtemps fait le sourd quand j’entendais le tonnerre surgir
Ma langue est flouté par la politesse
C’est quoi ce jolie mot ?
La société se meurt dans ce monde remplie de jeux sans notices
Les fachos tirent sur flics, et les appellent au passage
J’aimerai qu’on reviennent au temps d’avant celui des cathédrales
Les larmes soignent la haine et les plaies s’insurgent d’alcool
On prie le ciel de v’nir en aide alors que lui mème nous idole
J’ai jamais pris toutes ces conneries
C’est pas mainteant que j’vais m’y mettre
Une connexion partielle entre elle et moi c’est évident qu’on s’aime ?
Elle part en laissant brûler la moitié d’une adolescence
L’essence est une richesse mais les richesses sont dur à prendre
Alors on fuit, le regard dans le vide
J’ai le coeur qui se vide de sentiments comme l’estomac du mec d’en bas quand les centimes manquent
L’adrénaline fait le tri la nuit entre vrais potes
Certains partent en courant et d’autres se tapent avec la rage sous dope
A la recherche de l’antidote, les anciens flop quand ils se proclament à la mode
C’est l’antilope qui fait l’crocher pas la lionne
Chaque verres comptent, l’alcool montent, le pilon te rend apte à la discussion
Poumon noir, comme ton coeur, relation en feu j’suis l’charbon
On est prit dans les débris, c’est dur de rester debout
Celui qu’a la plus belle vue, n’a pas tout l’temps la plus belle vie
Le chagrin forme des guerriers prêt à affronter la misère
J’ai connu les temps dur me fait pas croire que j’viens d’en haut
Le visage en sang, c’est là qu’tu retiens pas tes mots
Ces fils de putes craches sur mon nom, moi sur le tombent, c’est la monnaie d’la pièce
J’vends pas la haze parce que j’ai d’autre que-tru a faire
On est dedans comme dans un chatte
On effleure chacune de tes problèmes avec un sourire au lèvres
Les mains levé vers l’éternel
J’éternue quand je vois les traitres vouloir me faire la bise
On apprend de nos fautes, personnes n’en abusent
Dans ce monde lache les liens se forment et se défont comme des lacets
C’est sous drogue dur qu’on se stimule
Voilà pourquoi on tombe
Le regard dans le vide, avec le verre pleins quelques secondes
A foison j’ai pris des coups, les laches sont remplie d’amertume
Ils voulait joué les fou mais sont rongé par la fame
Y a pas d’acteur qui croit au rêves, vu qu’il persistent dans leur model
On est la moyenne de nos potes, regarde bien ceux qui t’aiment
Les vrais resteront sans fautes et les intéressé s’demele
J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire
Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative
Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place?
Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies
À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés
Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve
Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière
Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier
Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse
Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses
Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges
J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien
Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique
Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics
Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres
Le sang glacial sous la polaire, j'médite
J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout
Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie
J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier
Qui a conseillé la conseillère d'orientation?
Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation
Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention
Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre
J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide
C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Entrer dans ce monde plat nous dessert
J'plane, est-ce le désir?
J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre
Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures
Un petit grain de sable
La solitude m'inspire des airs
J’écris un autre soir sur cette instru si posée
J’quitte enfin cette ville
Encore une étape de passée
Il m’a fallu 6ans pour encore aimer,
T’as mis 3 mois à terminer mon esprit si bousillé
J’perd la face,face à c‘que je t’ai donné
T’occupera mon esprit sur quelques mois ou année
Même si tu m’as d’ja oublié
J’t’oublierais un soir d’hiver, j’penserais à toi entrain d’marcher
Capuche de la North Face sur la tête,
Quand l’argent reprendra le dessus,
Que je mettrais même pas les pieds à une fête,
De tout ça y’a de quoi d’perd la tête,
J’partirais solo au bout du monde accepter cette défaite,
Tous un peu hypocrites,
Plus j’grandis et plus le monde est bête
Pas de nouvelles bonne nouvelles
T’es peut-être déjà dans le lit d’un gars,
Qui t’considère que pour du sexe charnel,
J’n’attend que toi,moi, loyal et loin du vice universel
T’penseras même pas a mon anniversaire
Une énième bougie soufflée dans nos réalité si amères
J’suis l’Idéaliste qui voit les choses de façon contraires
Pardonne mon regard et ma froideur j’ai grandi sans père,
Une mère triste et seule
Très tôt le cœur noir les deux font la paire,
Toujours à manger dans l’assiette,
Des larmes face aux factures, des images qui se répètent dans ma tête
J’veux sauver et brûler le monde mon instabilité empiète
J’ferais tout pour un seul bonheur,
Celui de l’âme qui m’a fait naître
Un jour l’hameçon coulera
La vie tournera,
Que nos sacrifices ne soient pas vains,
Qu’on soit dans d’beaux draps,
Et j’attend encore celle qui me changera,
Une femme sans vice, douce et qui redonne la foi,
Dans un monde qui coule et qui m’rend très froid,
Soit la réussite soit la chute j’attend d’savoir,
Un king size ou une lame de rasoir tard le soir,
Une nuit qui t’prend qui t’broie
Une tourmente qui n’en a qu’après toi,
J’cherche le sens de tout ça,
Multiples réponses pour si peu d’questions
Vagabonder pour trouver la lumière dans le noir
J’pose un regard sur la lumière qui est en moi,
Tiraillé aussi tôt par un quotidien que j’apprécie pas,
Ma vision de c’qui se passe dans l’espace temps me dépasse,
État second dans l’appart
si tu m’demande comment ça va je te dis ça s’passe
Ils te laisseront pas marquer n’attend pas la passe
Futilité amicales et sentimentales,
Pas le temps pour ça j’prend pas de pause
Photo souvenir, lèvres pulpeuses tu prend la pose
A nos ébats, corps partagés,quand fallait être discrets
Trahison plus terrible que les souvenirs des follements de ta voix de nos nuits acharnées,
Si t’étais comme ils disaient?
Si ta douceur malsaine cachait le reflet de ton visage et de ce que t’es
Le diable prend l’apparence d’une femme intérieure n’est pas ta beauté,
J’lache l’affaire pourtant l’âme à travers de ton regard ne fais que transpercer,
Un cœur bien trop fermé,
Sentiments bien trop partagés,
La boucle est bouclée
Jregarde mon relfet dans les yeux
J'vois des problèmes mais c'est pas grave
Jrepense à ma main dans ses veuchs
Pourquoi j'vais mieux quand j'me sens mal
Mon père m'appelle
J'suis parti donc
Ça m'apaise
L'émotion dans sa voix
Évidemment qu'ça me pèse
Puis jmenferme dans une pièce
À mon mic jraconte mes peines
Comment c'est possible d'rester Positif
Ce monde me fout la haine
jroule un pers
J'ai vla la fumée dans la trachée
Jmene une guerre contre moi même
J'ai l'impression d'être dans les tranchées
Fait belek la lame elle est tranchante
Jcontinuerai de rapper même quand j'aurai dépassé 30 ans
J'veux pas rater ma vie donc je vie le moment présent
J'écoute mon Instinct quand faut agir dans l'instant
En smoment J'suis instable
J'lis tes messages comme des spams
Jme perds sur insta, tout lmonde s'prend, pour une star
Jperds la tête comme Ed' Stark
J'ai des flash, quand j'te stalk
J'ai surmonté, le pire stade
Parler d'toi, faut qu'je stop
Le rap mon antidote
Si ya pas la presence de mes potes
Mon père a des dreadlocks
Donc un pour un taff il trouve pas d'porte
À 17 ans premier appart
Je fume un pilon j'suis autre part
Si le secteur fait du biff,
Bien-sûr que je prendrai ma part
Fuck les cops
Faut briser les anciens codes
Réveil à 6 heures du mat pour faire blocus d'vant l'école,
Eh
C'est les blessures qui forgent l'écorce
Les yeux gazé par les keufs j'peux plus taper mon digicode
legendaire
@@laqeen0027 mon texte ?
vraiment bien
Parfois j’me d’mande pourquoi peiner la survie
Alors qu’au moins la mort elle peut te faire surprise
Les yeux rivés
Sur la rivière
Mes mains frippés
Sur une civière
Hier je suis né, demain je suis sous terre
Je suis un bouffon pour eux car je roule pas de joint de beuh
Rien à faire je suis pas comme eux
Je suis comme pas deux
Je suis pacome 2
Yo juste pour te prévenir que j'ai utilisé ta prod pour faire un remix du morceau, je crédite le nom de ta chaine UA-cam si ça te va ?
Oui fais le
Avec plaisir
Pour toi Sofia ❤️
[Refrain]
Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser
C’est le seul de moyen de te parler
Je veux juste t’aimer mais c’est pas gagner
Depuis des jours tu ne quittes jamais mes pensées
Je te veux a mes côtes
Peu importe ce que ça dois me couter
Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur
J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure
[Couplet 1]
Je prendrais soin de toi comme mes paupières
J’voudrais jamais te dire un adieux
J’ai l’impression t’es atteignable comme l’horizon
Aussi philosophique que corazon
Ton regard et si claire
Quand j’te vois j’ai l’impression de regarder la mer
Tu va peut être choqué
Et sa j’suis désolé
Mais quand tu parles avec moi
J’fais que de penser a toi
Tu me fais galérer
Mais j’sais pas comment l’avouer
J’veux m’tailler avec toi comme dans un conte de fée
Mais ça peux pas être vrai alors j’ferrais d’notre amour un animé
Tu demandes juste a être aimé
Et moi je veux vraiment t’aimer
[Refrain]
Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser
C’est le seul de moyen de te parler
Je veux juste t’aimer , c’est une bataille
Je te protégerais comme Hinata dans Naruto
Je te veux a mes côtes
Peu importe ce que ça dois me couter
Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur
J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure
[Couplet 2]
Je voyais que nous mais la j’vois flou
J’veux juste faire un trou dans ma tête
Plus aucune raison de faire la fête
Du coup j’pense vraiment qu’a toi
J’suis vraiment rien sans toi
Pour toi j’pourrais faire l’premier pas
Mais j’ai l’impression que j’te mérite pas
Mais si t’es heureuse j’serais heureux pour toi.
Je te promet de rester fidèle et de te rendre heureuse
La seule chose qui pourra nous séparer c’est cette faucheuse
Je t’aimerais infiniment jusqu’a l’épuisement de mon âme
Quand enfin j’verrais la lumière ça voudra dire que t’es devenue ma Femme
[Refrain]
Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser
C’est le seul de moyen de te parler
Je veux juste t’aimer , c’est une bataille
Je te protégerais comme Hinata dans Naruto
Je te veux a mes côtes
Peu importe ce que ça dois me couter
Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur
J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure
[Couplet 3]
Ça fais que 2 mois qu’on parle ensemble
On pourrais dire que je m’enflamme mais c’est le commencement
Mais j’ai vraiment envie d’y croire
Même si y’a très peu d’espoir
J’écris la nuit et je vois que mes texte sont moins noir
Grâce a toi je re découvre l’espoir
Vu que maintenant c’est toi qui alimente mon cœur
Encore une fois j’écrit sur toi
C’est juste que je suis fou de toi
J’ai aucun moyen de t’en parler
Ça va peut être te choquer
Même si tu veux me bloquer
J’peux pas me contrôler
J’ai l’impression t’es atteignable
Mais j’peux y arriver et sa j’le sais
Car c’est avec toi que je veux me marier
[Refrain]
Encore une fois j’écris sur toi , je fais que d’y penser
C’est le seul de moyen de te parler
Je veux juste t’aimer , c’est une bataille
Je te protégerais comme Hinata dans Naruto
Je te veux a mes côtes
Peu importe ce que ça dois me couter
Je t’aimerais pour toujours t’es l’élu de mon cœur
J’attendrais pour finir avec toi même si j’en ignore l’heure
A l’abri des regards, les mots ce masquent en vus des proses,
J’écris des pavés sans refrains, j’dérobe mes vices, tout ces défauts
J’compte même plus les lois enfreintes ,
le nombres de filles,
tout ces gens faux.
La première scène ce filme
tout ce dessine jusqu’au sans faute
Tu voyais l’signe mais c’etais fourbe,
Avec des Si, j’remplie mes gourdes
Avec cette fille, j’ai fais là bourde
Sa part en vrille, La cage est folle,
Ma clope ce grille, ou sont les fauves
Un seul enjeux, j’engage mes forces,
Tout dans le spliff j’allume les tords
Du mal à calculé, en sommes, j’aurais besoin d’un PSY
J’vous captes pas, en vol
le satellite à vétie la camis’
dans ma tête c’est l’Asile,
J’Me sent vrai parmis les fous
Mais en vrai quesqu’on s’en fou,
Faut ce laisser bercer par la Zik
Les rêves manquent de couleurs,
le sommeil est dans l’flou
J’gamberge dans la douleurs,
j’me ferais peter ce jours.
Rimes artifices, l’art des mots est troublante
J’commet des crimes artificielles et dans mon coeur cest pas tout blanc
les cries n’ont rien d’communs,
Libère ta rage en sortant du coma,
Quand jregarde tt squi nous entoure j’ai l’impresssion dme sentir seul
J’écris tout ce que je ressens pourtant blanche est ma feuille
J’avance dans l’noir en m’demandant à quoi ressemble la peur
J’écris des phrases et des textes et des rimes mais pourtant j’me sens seul
Alors je fuis
La seule réalité qui m’concerne
Tu me répétais qu’javais trop d’cernes
Désormais j’me sens bien sans toi
C’est Comme si j’avais retrouvé ce qui avait de mieux en moi
Mais quand t’es partie
je traînais tout seul dans la ville
vec moi y’a pas d’amour à sens unique
Nn nn
.
"Si je le veux bah tu le fais
Si tu le veux bah j’hésite un peu "
Musulman chrétien ou juif
On porte tous un nom différent
Ça nous sépare ça nous rassemble
En ce moment j’ai l’impression que plus rien nous rassemble
Les humains sont tous vides d’humanité
Être humain ça devient une qualité
On se cache dans une fausse égalité
On se noie dans une fausse réalité
Si tu penses être différent des autres c’est qu’tes coincé
Pour te réveiller faudrait te pincer-
Montrer ses opinions c’est devnus un peché-
Plus j’avance et plus jme rend compte qu’on est piégé
Grave lourd 🔥🔥
J'aimerais être contemporain autant qu'intemporel
Pour ça j'contemplerai le ciel
J'suis d'ceux qui tendent l'oreille
Pas d'ceux qu'attendent pour rien
Y avait personne quand on pleurait
C'est l'hécatombe, qu'importe le réel
Vu qu'c'est Dieu qu'emporte le rêve
Mon Seigneur c'est pour ça qu'on t'implorait
J'vois les restes de bons sentiments
Dans mon cœur incorporés
Emportés par un corbeau, incarné par ton corps
J'pourrais encore pleurer
Mais j'suis plus qu'un missile téléguidé
Que t'as armé quand t'as décidé d'me quitter
J'sais plus qui t'es, pourtant c'est
Entièrement de ma faute, t'as tout faux
Si tu crois qu'les garçons vont en boite pour danser
On pense avoir l'temps d'se rattraper
Quand faut se dépêcher, parmi ceux qu'on fait céder
Combien veulent confesser des pêchés?
J'ai prédit qu'certains s'aideraient d'un psy hin
On a tous le droit à cette rédemption
Alors j'ai épousé ma plume
Pour affronter les tempêtes et repousser la brume
Y en a qu'une et elle m'absorbe
Comme la goutte d'encre sur laquelle j'mets l'accent
J'suis là pourtant mais j'suis absent, ouais
J'ai épousé ma plume
Ce soir pour mes matelots y aura pas d'dîner dansant
On partagera une 'teille qu'on fera 'ner-'ner dans l'centre
Ouais on aime être ensemble, toute l'année, les gens l'sentent
Attirés par la violence parc'qu'on est nés dans l'sang
Aucune affaire conclue avec les lâches
Ceux qu'on eu quand j'avais rien
À part l'amour d'mes galériens, ceux qu'on hue, avec des « H »
Seul dans ma hutte, les yeux sur mon avenue
Je pense à tout ceux qu'ils ont eu
La roue tourne plus, y a sûrement un U
Je pense à toi mon frère qu'a épousé ta plume
Dépoussiéré ton armure et repoussé la brume
Liquide nocif dans ta Cristalline dès que la crise t'abîme
Et quand t'écris ces lignes
Des étoiles qui s'alignent hors de ta chrysalide
Bénie soit celle qui embellit ton ciel
Même dans l'horreur pénitentiaire
Quand tes erreurs pénibles t'encerclent
Et quand le mal t'enserre
T'as une femme sincère t'en es maintenant certain
Car dans tes yeux les flammes dansèrent
Force à toi si t'as épousé ta plume
Si c'est la seule qui t'a plu
Si vos chemins n'se quittent plus
Moi elle m'absorbe comme la goutte d'encre sur laquelle j'mets l'accent
J'suis là pourtant mais j'suis absent, c'est vrai
J'suis plus vraiment là depuis qu'j'ai épousé ma plume
Pour affronter les tempêtes et repousser la brume
Y en a qu'une et elle m'absorbe
J'suis là pourtant mais j'suis absent, hein
Si j'étais un marin je lèverai l'ancre et
Mon verre de rhum et j'chanterai
À la gloire des femmes aux robes échancrées
Y en a certaines que j'oublie vite, et je fuis comme un lâche
Mais toi t'es parti en m'laissant blanc comme un linge face au lit vide
Si tu laisses la flamme mourir, je mourrai d'abord
N'oublie pas que le pardon se nourrit d'aveux
D'un œil accusateur, tous les passants scrutent nos disputes
Mais, ça ne les regarde pas, l'amour est aveugle
Rien d'plus dangereux qu'une fille au cœur brisé
Mais ta haine c'est ma seule lumière dans ce tunnel
Car si tu m'détestes c'est qu'tu m'aimes
J't'ai pas laissé de répit, en apparence
Tu t'es épris d'un autre que moi pour me détruire
Tu m'annonces que ton cœur est pris et puis
On fait l'amour, tu trouves ça maléfique et dément
Et ton amant étonnamment est plus magnétique qu'un mari aimant
Aimant, aimant, aimant, aimant
Tu sais, moi j'ai épousé cette plume
Elle m'empêche de t'aimer
Elle m'empêche d'écrire qu'on s'aime plus
J'ai épousé cette plume
Elle m'empêche de t'aimer
Elle m'empêche d'écrire qu'on s'aime plus
C’est avec la boule ventre que j’commence ce titre
Que j’commente ce beat, encore un texte que j’edit
Et vu la mélodie j’peux pas faire d’l’égotrip
J’evitait jusque là, mais là j’dois t’raconter ma vie
Effriter jusque tard, mes démons viennent hanter la ville
Et le soir,
so prestige, dig & mine
J'observe ces hommes en costume
Noyés dans cette masse informe
Cette femme au visage dur qui passe en force
Elle pense fort à sa carrière, fonce
Malgré le harcèlement des hommes
Mais la seule chose qui la pousse
Quelque part, c'est le manque
Elle a besoin de plus qu'un anti-dépresseur assez puissant
Mais si elle laissait libre court à ses pulsions
En vrai ce qu'elle ferait, c'est qu'elle peindrait
Sur une fresque élevée, ses séquelles, elle sait ce qu'elle veut
C'est quelque chose de presque élémentaire
Après, est-ce qu'elle est mentalement prête?
J'aimerais presque qu'elle m'enterre avant que le temps la prenne
Avant qu'elle devienne un vrai squelette
Et qu'on la perde au sens large, un vrai squelette
Que l'on exhibe en sciences nat' pendant l'aprèm
Un sourire éternel qui traîne en elle
Comme si cette vie n'était qu'une triste blague
Alors ils l'exhibent pour que l'on apprenne de force
Que le règne de l'homme se trouve dans la science
Et que la magie n'existe pas
Mais on résistera
Dans ta tête ça tourne pas rond
Tes pensées sont des ellipses
Le système te permet de voler
Mais c'est pas des ailes, c'est des hélices
Contrôle-toi ou fais-toi contrôler
On peut être libre ou prisonnier de ses vices
Et si les enfants décident de prendre le relai
Les suivants subiront des années de sévices
Soudain la gare se vide et les regards s'évitent
Et c'est la guerre civile, elle est si vile
L'amour se perd si vite
La Terre mère étouffe sous la saleté de ses fils
Face à ces idées qu'on subit, je sais, la cécité te séduit
Nombrils égo-centrés, très peu s'entraident
Triste ironie d'une société de services
Les gens dans le besoin passent après les apparences qu'on va bientôt devoir sauver
Que dire à ton voisin qu'a perdu ses grands-parents dans le ghetto de Varsovie
Alors t'as gueulé sans trêve
Et tu t'es plié en 4 sans trèfle
Tes neurones ont grillé, ton cœur est cendré
T'as jamais su plier quand t'as besoin d'rêve
Peu de sang frais, dur de te concentrer
Toute ton enfance dans des zones excentrées
Tu es jeune et ambitieux donc tu te sens prêt
Déjà tit-pe tu n'écoutais que le 113
T'as dit à ta mère "je reviens, le temps presse"
Y a que pour te faire monter que je descendrai
Un jour j'achèterai l'immeuble entier
Juste pour être sûr qu'on te laisse entrer (toi)
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Tu sens bien que t'es unique
Tu veux pas qu'on te double
L'homme est lâche comme un nœud
Et tu planes comme le doute
Les liens se font et se défont
Les humains s'offensent et se défoncent
Même du sommet des arbres, tout ça te dépasse
Tes sommes de pensées qu'le sommeil efface
Nous sommes des zombies, nous sommes des masques
Que des Hommes de face désormais néfastes
Des zones désolées, des hommes et des femmes
Tu te sens d'aucun des clans
Des sourires en coin, des clins d'œil
Avant le deuil d'un amour en déclin
Fuir la nature immatérielle
C'est pas sûr qu'on puisse
Face à la lumière intérieure
C'est nos yeux qu'on plisse
Ils disent que l'amour rend aveugle
Mais il t'a redonné la vue
Il t'as fait muer quand ta rage était sourde
Il a fait fredonner la rue
Il t'a fait retirer le collier de chien qui te servait d'écharpe (toi)
L'Éducation t'a fait désapprendre des choses essentielles que tu savais déjà
Surtout n'oublie pas qu'avant tu riais mais l'amour te libère
L'as-tu oublié? T'es rien dans l'univers
Et avant tu rayonnais, libère ta lumière
Ils voudront te raisonner
Libère ta lumière, et
Aventurier de l'inconnu (aventurier de l'in')
Avant tu riais de l'inconnu (aventurier de l'in')
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Aventurier de l'inconnu
Avant tu riais de l'inconnu
Avant tu riais du temps qui passe et puis le temps est passé, mais
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement?
Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère
Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte?
Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger?
Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"?
N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures
Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang
Dans le même wagon du RER où t'étais seul
Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté
Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter?
Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté?
Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé?
Est-ce que tu gardais, à l'époque
Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes?
Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse?
L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette
Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse
De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle?
Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux?
Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs?
Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même?
Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"?
Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe?
Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof?
As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam?
Victime du seum et du stress qui détruit nos organes
En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué
Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme?
Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi'
En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit
T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle?
Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle?
Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct?
T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point?
Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé?
T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé?
Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin?
Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français?
J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, j'ai pas fait HEC
J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée
J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette
J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais
Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po, j'ai pas fait HEC
J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée
J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette
J'me suis longtemps d'mandé
J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire
Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative
Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place?
Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies
À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés
Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve
Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière
Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier
Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse
Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses
Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges
J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien
Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique
Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics
Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres
Le sang glacial sous la polaire, j'médite
J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout
Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie
J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier
Qui a conseillé la conseillère d'orientation?
Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation
Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention
Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre
J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide
C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Entrer dans ce monde plat nous dessert
J'plane, est-ce le désir?
J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre
Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures
Un petit grain de sable
La solitude m'inspire des airs
Et j'entends tout ce rap dans mon crâne
Comme des mantras qui m'entravent
Et, même quand on montera
Y a toujours quelque chose qui manquera
Tant que j'continuerai à reculer pour compter mes pas
Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas qu'on t'aimait pas
C'est juste qu'on t'ignorait
Pire qu'un robot d'Asimov
Ta vie, un casino
T'es quasiment en liberté, enfermé dans des cases immenses
Une femme battue se fait carna
Carnage désincarné
Sang écarlate sur le carrelage
Moi, je garde ça dans un carnet
Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant
Trop de moments précieux, vis le moment présent
J'emmerde l'horloger, tu f'rais mieux de réfléchir
Famille de réfugiés jamais relogée
Quand j'parle de valeurs, ils m'parlent de premiers prix
Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris
En dépit de l'esprit, on est pris dans les cris
Seul face à mon reflet, aucune symétrie
Et puis j'ai rendu la seule qui m'aimait triste
Celle qui s'était éprise de mes tristes débris
Et mes regrets m'étripent car j'ai vu depuis
Mes écrits la détruire, la déprime l'amaigrir
Quand l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement
Comme la fin d'un monde où l'soleil mourant est gris
Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité
Putride devient l'esprit qu'on a pétri de modernité
Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons
Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons
C'est pour les cyborgs défectueux, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert
Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle
Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts?
Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert
Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle
Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? hey
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement?
Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère
Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte?
Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger?
Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"?
N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures
Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang
Dans le même wagon du RER où t'étais seul
Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté
Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter?
Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté?
Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé?
Est-ce que tu gardais, à l'époque
Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes?
Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse?
L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette
Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse
De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle?
Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux?
Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs?
Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même?
Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"?
Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe?
Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof?
As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam?
Victime du seum et du stress qui détruit nos organes
En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué
Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme?
Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi'
En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit
T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle?
Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle?
Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct?
T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point?
Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé?
T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé?
Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin?
Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français
Est-ce que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement?
Gentille en privé mais, d'vant les gens, cruelle et légère
Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te respecte?
Sans excuse, est-ce que t'as d'jà regretté au point d'ber-ger?
Est-ce que tu t'es d'jà dit: "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus 16 ans"?
N'être plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures
Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et pisser l'sang
Dans le même wagon du RER où t'étais seul
Est-ce que t'as détourné l'regard? Dégoûté face à ta propre lâcheté
Est-ce qu'après t'as fait des trucs de malade juste pour t'racheter?
Est-ce pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté?
Est-ce que tu t'es identifié au taf de Kourtrajmé?
Est-ce que tu gardais, à l'époque
Des secrets d'famille lourds dont tu peux même pas parler à tes potes?
Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d'sauter la serveuse?
L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette
Est-ce que t'as d'jà ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse
De ceux qui te connaissent si tu t'faisais sauter la cervelle?
Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux?
Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs?
Est-ce que tu t'es d'jà menti à toi-même?
Est-ce que t'as été surpris quand on t'a dit "on tient à toi, mec"?
Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe?
Est-ce que t'as honte de vérifier qu't'es bien coiffé sur la tof?
As-tu déjà brisé d'tes mains la vitrine d'un zin-gam?
Victime du seum et du stress qui détruit nos organes
En regardant goutter ton sang, t'es-tu déjà planqué
Pour recompter ta somme jusqu'à c'qu'un condé t'assomme?
Est-ce que tu t'réveilles au milieu d'la nuit? Encore une inspi'
En sachant qu'l'alcool et les spliffs abîment le corps et l'esprit
T'es-tu remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle?
Est-ce que t'oublies que tu l'as détestée et t'as envie d'elle?
Est-ce que, pour n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct?
T'es-tu juré que plus jamais tu perdrais l'contrôle à c'point?
Est-ce que t'étais comme vide quand ils t'ont annoncé?
T'en es-tu voulu de n'pas pleurer sa mort? Est-ce que tu t'es forcé?
Est-ce que c'est venu plus récemment, pour un détail anodin?
Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français?
J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, j'ai pas fait HEC
J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée
J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette
J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais
Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po, j'ai pas fait HEC
J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des pauvres sur la chaussée
J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette
J'me suis longtemps d'mandé
J'viens d'un monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire
Et j'réponds aux questions du morceau d'avant par l'affirmative
Personne pour alléger nos peines, tu f'rais quoi à notre place?
Y a des choses qu'on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies
À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés
Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve
Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des chats de gouttière
Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d'hier
Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse
Mais, un jour, j'partirai sans affaire, attiré par les sens inverses
Cette envie d'bombarder quand tous les feux sont rouges
J'ai l'esprit daltonien, toi, tu fais l'mal quand t'étales ton bien
Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique
Un amour infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics
Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la couleur des tigres
Le sang glacial sous la polaire, j'médite
J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout
Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu'on leur dédie
J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un coup leur métier
Qui a conseillé la conseillère d'orientation?
Ma jeunesse, son cœur est en sang, l'oseille est en rotation
Profiter sans faire attention t'emmène en centre de rétention
Obligé d's'enterrer dans l'son, trouver une putain d'raison d'vivre
J'ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide
C'est pour les gosses à l'allure bizarre, les voleurs, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Entrer dans ce monde plat nous dessert
J'plane, est-ce le désir?
J'ai peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre
Écrivain le soir, j'rappe sur les dunes pendant des heures
Un petit grain de sable
La solitude m'inspire des airs
Et j'entends tout ce rap dans mon crâne
Comme des mantras qui m'entravent
Et, même quand on montera
Y a toujours quelque chose qui manquera
Tant que j'continuerai à reculer pour compter mes pas
Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas qu'on t'aimait pas
C'est juste qu'on t'ignorait
Pire qu'un robot d'Asimov
Ta vie, un casino
T'es quasiment en liberté, enfermé dans des cases immenses
Une femme battue se fait carna
Carnage désincarné
Sang écarlate sur le carrelage
Moi, je garde ça dans un carnet
Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant
Trop de moments précieux, vis le moment présent
J'emmerde l'horloger, tu f'rais mieux de réfléchir
Famille de réfugiés jamais relogée
Quand j'parle de valeurs, ils m'parlent de premiers prix
Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris
En dépit de l'esprit, on est pris dans les cris
Seul face à mon reflet, aucune symétrie
Et puis j'ai rendu la seule qui m'aimait triste
Celle qui s'était éprise de mes tristes débris
Et mes regrets m'étripent car j'ai vu depuis
Mes écrits la détruire, la déprime l'amaigrir
Quand l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement
Comme la fin d'un monde où l'soleil mourant est gris
Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité
Putride devient l'esprit qu'on a pétri de modernité
Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons
Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons
C'est pour les cyborgs défectueux, les Éléphant Man
Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert
Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle
Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts?
Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai souffert
Encore un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle
Pourquoi l'ai-je embrassée les yeux ouverts? hey